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Brasserie Molson - Expansion ou Remplacement ?


YUL

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  • 2 mois plus tard...

Dans La Presse ce matin, la journée après la confirmation de la vente des terrains de Radio-Canada

 

FREDERIC LANDTMETERS, PDG DE MOLSON COORS CANADA

À L’AUBE D’UN INVESTISSEMENT MAJEUR À MONTRÉAL

JEAN-PHILIPPE DÉCARIELA PRESSE

Molson Coors Canada n’a pas encore arrêté sa décision concernant l’avenir de sa brasserie de la rue Notre-Dame, mais son nouveau président, Frederic Landtmeters, assure que l’entreprise s’apprête à annoncer d’importants investissements à Montréal visant à optimiser la production de la plus vieille brasserie canadienne.

« En connaissez-vous des brasseries dans le monde qui construisent deux nouvelles usines dans un même pays durant la même année ? Molson Coors s’est engagée à le faire et elle va le faire. Il s’agit de décisions d’investissement qui se font dans un horizon de long terme », explique Frederic Landtmeters.

Molson Coors jongle avec le projet de construire une nouvelle brasserie à proximité de son centre de distribution dans l’est de Montréal ou de rénover ses installations multicentenaires de la rue Notre-Dame.

Il y a deux ans, Geoff Molson m’avait expliqué que l’entreprise songeait à déménager sa brasserie de la rue Notre-Dame, qui est devenue exiguë, pour démolir les bâtiments et offrir aux Montréalais une nouvelle fenêtre sur le fleuve Saint-Laurent.

Molson voulait conserver une partie du site de la rue Notre-Dame pour y ériger une microbrasserie qui allait commémorer sa présence industrielle, qui remonte à 1786.

« J’ai rencontré des employés de la brasserie et je leur ai dit que la décision n’était pas encore arrêtée et je leur ai promis qu’ils allaient être les premiers informés », explique Frederic Landtmeters.

UN MARCHÉ QUI ÉVOLUE

Signe que les temps changent et que le marché évolue, c’est un Belge qui préside maintenant aux destinées de Molson Coors Canada. Originaire d’un pays qui profite d’une riche tradition brassicole, Frederic Landtmeters souligne que la culture de la bière se développe grâce à la variété des produits.

Le nouveau PDG de Molson Coors Canada est entré en fonction en octobre et a déménagé au pays avec toute sa famille en janvier. Frederic Landtmeters travaille depuis 11 ans dans le monde de la bière.

Il a été directeur mondial de marque pour la bière Beck’s avant de s’établir en République tchèque à titre de chef du marketing de StarBev pour toute l’Europe centrale.

« Lorsque Molson Coors a acheté StarBev en 2012, j’ai poursuivi mon rôle en Europe jusqu’à ce que je sois nommé, en 2014, chef de Molson Coors Europe, en Grande-Bretagne.

« J’ai été emballé lorsqu’on m’a proposé le poste de PDG de Molson Coors Canada. J’ai la grande chance de travailler pour une entreprise familiale.

« C’est toute la différence du monde. On compte le temps en termes de générations, ce n’est pas la seule perspective du prochain trimestre », m’explique le PDG dans la salle du conseil de la famille Molson, dont les murs sont ornés de portraits des générations successives de dirigeants de la célèbre famille.

Frederic Landtmeters venait de passer le week-end en compagnie de Geoff Molson et il s’apprêtait à rencontrer les représentants de la famille Coors, la semaine prochaine, aux États-Unis.

« On prend des décisions pour les 25 prochaines années. On pense en fonction de l’héritage qu’on va laisser à la prochaine génération. C’est vraiment une autre dynamique. »

— Frederic Landtmeters

ACCROÎTRE LA VARIÉTÉ

Frederic Landtmeters confie que si son rôle principal est de s’assurer que Molson Coors Canada reste le premier choix pour les consommateurs, il doit aussi voir à ce que l’entreprise s’adapte aux changements de goûts de sa clientèle.

« La culture de la bière s’implante au Canada, grâce à la multiplication des microbrasseries. C’est une très bonne chose et cela nous force à offrir différents styles de bières pour bien répondre à la demande des consommateurs », observe le PDG.

Molson Coors a déjà élargi son offre en intégrant les microbrasseries Granville Island Brewing, de Vancouver, et Creemore, de l’Ontario. Ces deux entreprises ont conservé leur pleine identité et leur autonomie, et elles continuent de développer de nouveaux produits.

« C’est cela, le modèle. Les entreprises que l’on intègre doivent conserver leur liberté. On est là pour leur ouvrir notre réseau de distribution. On tient aussi à ce qu’elles conservent leur propre équipe de marketing », insiste le PDG.

Frederic Landtmeters a présidé en Grande-Bretagne à l’intégration de la microbrasserie Sharp’s à la famille Molson Coors. La marque qui était distribuée très localement s’est rapidement imposée partout en Grande-Bretagne.

« Non seulement ils ont conservé leur pleine autonomie, mais on les a aussi financés pour qu’ils investissent dans leur entreprise », expose Frederic Landtmeters.

Le nouveau PDG a rapidement compris que le marché canadien est tout sauf homogène. Le marché de Vancouver n’a rien à voir avec celui du Québec, ils sont aussi différents que peuvent l’être les marchés de Copenhague et de Madrid.

« Molson reste une très grande marque et je suis entièrement commis à son endroit. On va d’ailleurs lancer une nouvelle campagne publicitaire dans les prochaines semaines », avance le PDG.

Molson Coors est le principal commanditaire de la Ligue nationale de hockey et Molson Coors Canada est aussi associée à quatre des cinq équipes canadiennes qui participent aux séries éliminatoires cette année.

Frederic Landtmeters a assisté à son premier match éliminatoire à vie, mercredi dernier au Centre Bell, et il a été ébahi par le spectacle. « C’est incroyable, l’ambiance qu’il y avait là », souligne-t-il.

Le PDG a sûrement été en mesure de constater sur place combien la consommation de bière pouvait elle aussi être incroyable au Centre Bell, lors d’un match des séries…

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  • 5 semaines plus tard...

Expansion de Molson: le projet pourrait atteindre un demi-milliard

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/agroalimentaire/201705/18/01-5099138-expansion-de-molson-le-projet-pourrait-atteindre-un-demi-milliard.php

 

Le milieu des affaires montréalais devra patienter quelques mois encore avant de connaître le sort de la brasserie Molson de la rue Notre-Dame, que l'entreprise envisage de moderniser sur place ou de remplacer à neuf ailleurs à Montréal. Il s'agit d'un investissement qui pourrait atteindre un demi-milliard de dollars, selon l'option choisie.

« Nous souhaitons prendre cette décision d'ici 10 à 12 semaines, idéalement avant la fin de cette année », a indiqué le président et chef de la direction de Molson Coors, Mark Hunter, à l'occasion de l'assemblée des actionnaires qui avait lieu hier à Montréal, dans le centre de réception privé de Molson de la rue Notre-Dame. La tenue de l'assemblée s'effectue en alternance avec Denver, au Colorado, où se situe le principal siège administratif mondial de Molson Coors.
À Montréal, il y a un peu plus d'un an que ce projet d'investissement brassicole majeur a été énoncé par les dirigeants de Molson Coors, avec une décision prévue à l'origine pour la fin de 2016. Selon leurs propos d'hier à l'assemblée des actionnaires, les deux options seraient « encore sur la table » pour ce projet évalué à « quelques centaines de millions de dollars » : soit moderniser de fond en comble la brasserie actuelle de la rue Notre-Dame, soit construire à neuf à un nouvel emplacement industriel ailleurs dans la région de Montréal.

Toutefois, selon des informations obtenues par La Presse de différentes sources en marge de l'assemblée, Molson Coors semble vouloir privilégier la construction d'une nouvelle usine qui intégrerait les activités de distribution qui sont actuellement localisées dans l'est de la ville, rue Dickson.
Molson Coors est locataire de ce centre de distribution et utilise des entrepôts de l'ancienne usine d'appareils électroménagers de Mabe, située de l'autre côté de la rue.
Le site de l'ancienne usine Mabe a été racheté par une entreprise de camionnage qui souhaite y installer un centre de tri, activité qui ne cadrerait toutefois pas avec la vocation industrielle de l'endroit.
Par ailleurs, ces informateurs ont indiqué à La Presse que la rénovation de l'ancienne brasserie Molson de la rue Notre-Dame serait réalisable bien que le site soit particulièrement exigu et que l'on y ait déjà maximisé les capacités de brassage en les superposant sur plusieurs niveaux.
Toutefois, la rénovation du site de la rue Notre-Dame ne permettrait pas d'intégrer les activités de distribution, ce qui constitue une préoccupation majeure pour la direction de Molson Coors, qui souhaite optimiser à la fois ses capacités de production et ses activités de logistique.
Quoi qu'il en soit, la construction d'une nouvelle brasserie représentera des investissements d'au moins 300 millions pour Molson Coors. La facture pourrait atteindre les 500 millions si l'on décide d'y ajouter la construction d'un nouveau centre de distribution.
Trimestres occupés
Quant à l'allongement de cette prise de décision, le président Mark Hunter a expliqué que le nouvel échéancier « vers la fin de cette année » était attribuable en partie à l'agenda très rempli de Molson Coors depuis quelques trimestres, avec la transaction de 12 milliards US pour l'achat complet du partenariat MillerCoors.
Cette acquisition a presque doublé la taille de tout le groupe Molson Coors, avec un chiffre d'affaires de plus de 11 milliards US et une capacité de brassage de 122 millions d'hectolitres par an.
Avec cette acquisition, Molson Coors a raffermi ses parts de marché dans le top 3 dans les marchés cibles en Amérique du Nord, en Europe de l'Est et au Royaume-Uni.
Ainsi, la prise de décision concernant la brasserie de Montréal s'est insérée dans le « réexamen de l'ensemble de [la] chaîne d'approvisionnement [brasseries] et [du] réseau de distribution en Amérique du Nord », après la transaction de l'an dernier, a précisé M. Hunter.
« Une telle décision concerne de nouvelles capacités de brassage qui devront nous être utiles pour les 30 à 40 prochaines années au moins. Le plus important pour nous, ce n'est pas de prendre une décision rapide, mais bien de prendre la bonne décision. »
« Les deux options demeurent sur la table [rue Notre-Dame ou usine neuve ailleurs]. Nous sommes à l'étape du "stress-testing" [validation] des mérites de chaque option. Dans un cas ou dans l'autre, il s'agit d'un projet impliquant des centaines de millions de dollars en capital. Nous devons aussi nous assurer de prendre la meilleure décision selon la perspective de nos actionnaires. »
Par ailleurs, si Molson Coors décidait de délaisser sa brasserie actuelle de la rue Notre-Dame en faveur de nouvelles installations ailleurs à Montréal, le président Mark Hunter a indiqué que des activités seraient préservées dans ce lieu historique pour la brasserie Molson.
« Nous voudrions garder une vitrine commerciale et des activités de microbrasserie à caractère historique. Mais cet aspect de notre projet doit encore être discuté avec les autorités de la Ville de Montréal, étant donné que certaines sections de notre brasserie actuelle sont classées comme bâtiments patrimoniaux. »

 

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Publié le 18 mai 2017 à 05h00 | Mis à jour à 06h08

 

Expansion de Molson: le projet pourrait atteindre un demi-milliard

À Montréal, il y a un peu plus... (Photo Bernard Brault, Archives La Presse)

 

À Montréal, il y a un peu plus d'un an que le projet d'investissement brassicole majeur a été énoncé par les dirigeants de Molson Coors, avec une décision prévue à l'origine pour la fin de 2016.

Photo Bernard Brault, Archives La Presse

 

Le milieu des affaires montréalais devra patienter quelques mois encore avant de connaître le sort de la brasserie Molson de la rue Notre-Dame, que l'entreprise envisage de moderniser sur place ou de remplacer à neuf ailleurs à Montréal. Il s'agit d'un investissement qui pourrait atteindre un demi-milliard de dollars, selon l'option choisie.

L'assemblée des actionnaires de Molson Coors avait lieu... (Photo André Pichette, La Presse) - image 1.0

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L'assemblée des actionnaires de Molson Coors avait lieu hier à Montréal, dans le centre de réception privé de Molson de la rue Notre-Dame.

Photo André Pichette, La Presse

« Nous souhaitons prendre cette décision d'ici 10 à 12 semaines, idéalement avant la fin de cette année », a indiqué le président et chef de la direction de Molson Coors, Mark Hunter, à l'occasion de l'assemblée des actionnaires qui avait lieu hier à Montréal, dans le centre de réception privé de Molson de la rue Notre-Dame. La tenue de l'assemblée s'effectue en alternance avec Denver, au Colorado, où se situe le principal siège administratif mondial de Molson Coors.

À Montréal, il y a un peu plus d'un an que ce projet d'investissement brassicole majeur a été énoncé par les dirigeants de Molson Coors, avec une décision prévue à l'origine pour la fin de 2016. Selon leurs propos d'hier à l'assemblée des actionnaires, les deux options seraient « encore sur la table » pour ce projet évalué à « quelques centaines de millions de dollars » : soit moderniser de fond en comble la brasserie actuelle de la rue Notre-Dame, soit construire à neuf à un nouvel emplacement industriel ailleurs dans la région de Montréal.

Toutefois, selon des informations obtenues par La Presse de différentes sources en marge de l'assemblée, Molson Coors semble vouloir privilégier la construction d'une nouvelle usine qui intégrerait les activités de distribution qui sont actuellement localisées dans l'est de la ville, rue Dickson.

 

Molson Coors est locataire de ce centre de distribution et utilise des entrepôts de l'ancienne usine d'appareils électroménagers de Mabe, située de l'autre côté de la rue.

Le site de l'ancienne usine Mabe a été racheté par une entreprise de camionnage qui souhaite y installer un centre de tri, activité qui ne cadrerait toutefois pas avec la vocation industrielle de l'endroit.

Par ailleurs, ces informateurs ont indiqué à La Presse que la rénovation de l'ancienne brasserie Molson de la rue Notre-Dame serait réalisable bien que le site soit particulièrement exigu et que l'on y ait déjà maximisé les capacités de brassage en les superposant sur plusieurs niveaux.

Toutefois, la rénovation du site de la rue Notre-Dame ne permettrait pas d'intégrer les activités de distribution, ce qui constitue une préoccupation majeure pour la direction de Molson Coors, qui souhaite optimiser à la fois ses capacités de production et ses activités de logistique.

Quoi qu'il en soit, la construction d'une nouvelle brasserie représentera des investissements d'au moins 300 millions pour Molson Coors. La facture pourrait atteindre les 500 millions si l'on décide d'y ajouter la construction d'un nouveau centre de distribution.

Trimestres occupés

Quant à l'allongement de cette prise de décision, le président Mark Hunter a expliqué que le nouvel échéancier « vers la fin de cette année » était attribuable en partie à l'agenda très rempli de Molson Coors depuis quelques trimestres, avec la transaction de 12 milliards US pour l'achat complet du partenariat MillerCoors.

Cette acquisition a presque doublé la taille de tout le groupe Molson Coors, avec un chiffre d'affaires de plus de 11 milliards US et une capacité de brassage de 122 millions d'hectolitres par an.

Avec cette acquisition, Molson Coors a raffermi ses parts de marché dans le top 3 dans les marchés cibles en Amérique du Nord, en Europe de l'Est et au Royaume-Uni.

«Il y a eu beaucoup d'événements et de mouvements d'affaires dans l'entreprise l'an dernier. Et il y en a encore beaucoup cette année liés à l'intégration de ces actifs en Amérique du Nord et au niveau mondial.»

Mark Hunter

Ainsi, la prise de décision concernant la brasserie de Montréal s'est insérée dans le « réexamen de l'ensemble de [la] chaîne d'approvisionnement [brasseries] et [du] réseau de distribution en Amérique du Nord », après la transaction de l'an dernier, a précisé M. Hunter.

« Une telle décision concerne de nouvelles capacités de brassage qui devront nous être utiles pour les 30 à 40 prochaines années au moins. Le plus important pour nous, ce n'est pas de prendre une décision rapide, mais bien de prendre la bonne décision. »

« Les deux options demeurent sur la table [rue Notre-Dame ou usine neuve ailleurs]. Nous sommes à l'étape du "stress-testing" [validation] des mérites de chaque option. Dans un cas ou dans l'autre, il s'agit d'un projet impliquant des centaines de millions de dollars en capital. Nous devons aussi nous assurer de prendre la meilleure décision selon la perspective de nos actionnaires. »

Par ailleurs, si Molson Coors décidait de délaisser sa brasserie actuelle de la rue Notre-Dame en faveur de nouvelles installations ailleurs à Montréal, le président Mark Hunter a indiqué que des activités seraient préservées dans ce lieu historique pour la brasserie Molson.

« Nous voudrions garder une vitrine commerciale et des activités de microbrasserie à caractère historique. Mais cet aspect de notre projet doit encore être discuté avec les autorités de la Ville de Montréal, étant donné que certaines sections de notre brasserie actuelle sont classées comme bâtiments patrimoniaux. »

   


 
 

On n'apprend pas grand chose de précis à date, mais ça continue de discuter sur l'avenir des lieux. J'ai cherché un fil spécifique pour Molson, mais n'ai rien trouvé, alors je l'ai mis ici temporairement.

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Another 12  months ! This is getting ridiculous. How many times have they said that a decision will be made very soon in the past 2 years?!!  I get the impression that this is a negotiating tactic.  My feeling is that for some reason the land they wanted to expand to is not a available or too pricey for their tastes.  There is also the matter of getting government subsidies like Labatt did to protect jobs.  This may be a bluff to get the price down on their preferred site.  Normally these negociations are done behind closed doors but was mishandled and publized at the onset. Or the initial deal fell through.  This made their shopping for a new site more difficult as it drove the price up or maybe reduced their options.   Anyway, that's my theory...

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Moi je suis d'avis que Molson déménage sur un autre site dans la région de Montréal. Trois raisons

1- Cela redonnera un accès berges du fleuve pour les citoyens

2- Une donation ou cession d'une partie du terrain à prix raisonnable à la ville ou à un promoteur pourrait relancer le développement dans ce secteur (habitation, espaces verts, marchés, etc.) contribuant à son essor

3- Puisque l'édifice a une valeur patrimoniale, il serait intéressant que Molson puisse s'inspirer de l'exemple du musée Heineken à Amsterdam : 

 

26094381324_1e0544bdb3_b.jpg

musee-heineken.jpg

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Bien d'accord avec toi sur les trois points, Ju HG! Les premières indications semblent croire que c'est la voie probable que veut prendre Molson. L'idée d'utiliser l'édifice patrimonial pour en faire un musée comme l'Expérience Heineken à Amsterdam est intéressante (j'ai déjà visité, c'est très bien), mais j'espère que ça n'entre pas en conflit avec tes deux premiers points.

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Ce fil n'est pas tellement raccordé au projet ci-haut, mais plutôt à une supposition de l'érosion du centre décisionnel montréalais. J'opterais pour un nouveau fil, s'il y a un projet concret mis de l'avant.

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