Aller au contenu

Messages recommendés

À ceux qui n'ont pas eu l'occasion de visiter les gares de la ligne Mascouche, voici l'occasion de les découvrir !

 

Visite de l'intérieur de la gare Mascouche avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/pkYTl

 

Visite de l'extérieur de la gare Mascouche avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/59CGw

 

Visite de l'intérieur de la gare Terrebonne avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/kPR3y

 

Visite de l'extérieur de la gare Terrebonne avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/A2tQi

 

Visite de l'intérieur de la gare Repentigny avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/Yk2cE

 

Visite de l'extérieur de la gare Repentigny avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/AkqFH

 

Visite de l'intérieur de la gare Pointe-aux-Trembles avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/qbQuk

 

Visite de l'extérieur de la gare Pointe-aux-Trembles avec Google StreetView : https://goo.gl/maps/sIAB7

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

Hausse des retards sur la ligne Mascouche depuis deux semaines

 

Les deux dernières semaines ont été plus pénibles pour les usagers de la ligne Mascouche à cause d’une hausse marquée de retards des trains.

Le taux de ponctualité a diminué drastiquement de près de 20% entre les 18 et 31 octobre, pour passer de 97,7% à 79,38%. Des problèmes de signalement et des trains de marchandises sont notamment en cause.

 

Il y a un nombre plus élevé de trains du Canadien national et du Canadien pacifique qui tombent en panne ou qui ne respectent pas leur horaire, ce qui bloque le passage et entraine des délais pour les trains de l’Agence métropolitaine de transport (AMT).

 

«La semaine dernière, il y avait un train de marchandise qui n’était pas sur son horaire et qui en plus était en panne», illustre Fanie St-Pierre, porte-parole de l’AMT. Cette situation a causé neuf retards sur 33 alors que la signalisation défectueuse en a causé six.

 

Des problèmes de connexion dans le signalement aux passages à niveau génèrent des codes d’urgence, qui forcent les chauffeurs de train à sortir des trains pour s’assurer que tout est en ordre, d’où les retards.

 

Il y a également eu une dizaine d’interventions d’urgence dans la semaine du 18 au 24 octobre.

 

 

Délais constatés

 

Si certains usagers n’ont pas remarqué de changement, d’autres ont constaté des délais plus longs.

 

«C’est surtout dû aux trains de marchandise, ils partagent les mêmes rails que nous. Mais ce ne sont pas de longs retards, 5-10 minutes», affirme Ariane Wododouatt, interrogée au quai de Pointe-aux-Trembles.

 

Elle ajoute qu’elle sent un énervement quand il y a des ralentissements. «Certains doivent prendre l’autobus tout de suite en sortant du train, les retards leur causent du tracas», dit celle qui prend le train tous les jours pour aller travailler.

 

 

La situation se règlera

 

De son côté l’AMT se dit consciente des désagréments et est confiante que la situation retournera bientôt à la normale.

 

«S’il n’y a pas d’incidents imprévisibles qui surviennent, tout est en place pour que la ligne retrouve ses objectifs de ponctualité», affirme Fanie St-Pierre.

 

Elle souligne que le taux de ponctualité pour 2015 pour le Train de l'Est est actuellement au-dessus de l’objectif de l’AMT, fixé à 95%.

Elle ajoute que pour les lignes dont le nombre de départs est moins grand, chaque retard a une plus grande influence sur le taux de ponctualité global.

 

La ligne Mascouche avait connu une baisse d’achalandage de 10% entre les mois de décembre et avril. Le niveau s’est toutefois rétabli en septembre dernier à celui de février, à 4700 déplacements par jour. L’AMT en vise 11 000 par jour d’ici quatre ans.

 

http://www.journaldemontreal.com/2015/11/05/hausse-des-retards-sur-la-ligne-mascouche-depuis-deux-semaines

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

La ligne Mascouche avait connu une baisse d’achalandage de 10% entre les mois de décembre et avril. Le niveau s’est toutefois rétabli en septembre dernier à celui de février, à 4700 déplacements par jour. L’AMT en vise 11 000 par jour d’ici quatre ans.

 

Mauvaise nouvelle. L'AMT aurait dû ajuster ses attentes. Car là, ça veut probablement dire qu'ils vont couper de l'argent dans le service des autres lignes pour augmenter leur budget de marketing. L'AMT a cette manie d'envoyer des personnes-sandwich distribuer des billets gratuits en dehors du bassin d'usagers potentiels pendant que le service en arrache, faute de sous.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un jour la ligne va être fini, un jour...

 

- Le stationnement de la gare St-Michel-Mtl-Nord est en construction et n'est pas encore ouvert au public

- L'édicule de la gare Sauvé n'est pas encore construit

- L'édicule de la gare Ahuntsic est en construction et n'est pas encore ouvert au public

- Les plateformes quai haut rétractables pour personnes à mobilité réduite doivent être installées sur chaque quai de la ligne et sont encore en conception

- Un deuxième stationnement doit être construit pour la gare Repentigny

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Plus de cinq ans de niaisage pour construire un simple édicule.

 

Gare Sauvé : l’AMT a décidé de déplacer l’édicule

 

Puisque les pourparlers entourant la construction d’un édicule à la gare de train de banlieue Sauvé étaient dans l’impasse, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) a décidé de modifier le projet.

 

«On a décidé de passer à autre chose parce que, clairement, après avoir étudié les possibilités qu’on avait avec l’ancien concept, on s’est bien rendu compte que ce n’était pas faisable dans les temps», a indiqué hier la porte-parole de l’agence gouvernementale, Fanie Clément Saint-Pierre.

 

À l’origine, l’édicule devait se trouver tout juste à l’ouest des voies ferrées du Canadien National, dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, tout près d’une extrémité de la rue Saint-Denis. La réalisation de ce plan s’est avérée plus compliquée que prévu en raison de la présence d’un collecteur d’égout de la ville de Montréal, dont la localisation n’était pas claire sur les plans. Cette découverte a rendu ardue la construction d’un mur de soutènement nécessaire à l’édification de l’édicule.

 

 

«Le Canadien National devait approuver ces plans et ce qu’il avait reçu ne le satisfaisait pas, a expliqué Mme Clément Saint-Pierre. Avec la Ville, c’était aussi assez complexe d’avoir leur retour sur ce qu’on pourrait faire pour bonifier les plans de la première version de la gare. C’est pour ça qu’on a décidé de déplacer l’édicule.»

 

Une étude de faisabilité de SNC-Lavalin, qui a été réalisée le mois dernier, a proposé quatre scénarios à l’AMT pour le déplacement de l’édicule de la gare Sauvé. Celui qui a été retenu consiste à retirer l’édicule de l’emprise ferroviaire et à le déplacer vers l’angle des rues Saint-Denis et Port-Royal.

 

La gare Sauvé génère environ 660 déplacements en transport en commun à chaque jour. L’AMT a calculé que pendant l’heure de pointe du matin, environ 315 personnes y descendent du train qui se dirige vers le centre-ville de Montréal alors que 25 autres y montent. Dans l’autre direction, à peine un poignée d’usagers y embarque ou y débarque.

Le concept de l’édicule sera également différent. Il ressemblera à celui qui a été construit à la gare de Saint-Léonard–Montréal-Nord, d’après les documents d’appel d’offres de l’AMT. L’édicule sera plus petit qu’à l’origine, mais il sera malgré tout équipé d’ascenseurs. Une «passerelle couverte» d’environ 6m de long assurera le lien entre le nouvel édicule et les quais qui ont été aménagés plus tôt cette année.

 

Un appel d’offres a été lancé la semaine dernière pour trouver une firme de génie-conseil qui sera responsable de mettre la dernière touche au projet et de rédiger les plans et devis. L’AMT espère pouvoir entreprendre la construction de l’édicule de la gare Sauvé en 2016. Les travaux devraient se terminer au plus tard en 2017.

 

Quant au coût de construction de l’édicule, l’AMT n’a pas voulu avancer un chiffre. Dans son étude, SNC-Lavalin a émis l’hypothèse qu’il s’élèverait à environ 1,9M$.

 

La gare Sauvé a accueilli ses premiers usagers du train de banlieue le 6 juillet dernier, soit près de sept mois après la mise en service de la ligne Mascouche. Ce retard est attribuable aux difficultés qu’a rencontrées l’AMT à trouver un compromis entourant la construction de l’édicule. Les travaux ont pour ce faire été arrêtés en 2012. Pour permettre aux usagers de transiter par la gare Sauvé, l’agence gouvernementale a construit au printemps dernier les quais de la gare.

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/871094/gare-sauve-lamt-a-decide-de-deplacer-ledicule/

 

Je parie que l'ensemble d'études qui a validé le mauvais concept, et l'autre ensemble d'études pour corriger ce gâchis aura fini par couter plus cher que l'édicule lui-même.

Modifié par nephersir7
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 mois plus tard...

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...