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  • 4 semaines plus tard...
CDPQ-Infra veut amoindrir les impacts sur le Train de l’Est

 

Même si les Moulinois qui utilisent le Train de l’Est devront changer de train lorsqu’ils arriveront à la gare Correspondance A40 du nouveau projet de train léger électrique, présenté récemment par une filiale de la Caisse de dépôt et placement (CDPQ-Infra), cette dernière promet de tout faire pour que le temps de trajet des usagers ne soit pas allongé.

 

Questionné à ce sujet, le directeur des relations médias de CDPQ-Infra, Jean-Vincent Lacroix, estime que «la fréquence et la vitesse plus grandes des trains du nouveau système» compenseront pour le changement de train et ne rallongeront pas insidieusement le temps que mettra un usager à se rendre à sa destination.

 

«L’objectif numéro 1 est de bien connecter le nouveau système au réseau existant», ajoute M. Lacroix, précisant qu’il y aura un train toutes les trois minutes en période de pointe.

 

Le coût estimé de ce projet de 67 kilomètres et de 24 stations est de 5,5 G$, et la livraison complète est prévue en 2021. Les premières rames devraient être mises en service en 2020.

 

M. Lacroix ajoute même voir certains avantages au fait de changer de train. «Les gens qui veulent se diriger dans d’autres directions que vers la gare Centrale auront aussi l’occasion de le faire», note-t-il.

 

Tarifs inconnus

 

Impossible de connaître le prix à payer pour l’instant, car CDPQ-Infra n’a pas présenté de grille tarifaire lors du dévoilement du projet, en avril. Difficile de dire, pour l’instant, si les usagers devront débourser un montant supplémentaire.

 

«Il y a une volonté d’harmoniser les tarifs. On ne veut pas ajouter un nouveau titre de transport», indique Jean-Vincent Lacroix.

 

Des discussions à ce sujet sont en cours avec les différents services offrant du transport collectif dans la grande région de Montréal.

 

Consultations

 

Tout au long du printemps, des consultations auront lieu concernant le projet, pour «le raffiner», selon les propositions de chacun.

 

Jean-Marc Robitaille, maire de Terrebonne et préfet de la MRC Les Moulins, aurait bien aimé être consulté au préalable.

 

«Nous attendrons un rapport d’impacts plus détaillé avant de nous prononcer, mais nous aurions aimé être consultés avant, parce que là, on nous place presque devant le fait accompli», note-t-il.

 

Il ajoute que la période de consultation est très courte. «On présente un projet et il faudrait que ça devienne la priorité absolue pour nous. Mais il faut aussi continuer à s’occuper de notre ville», ajoute M. Robitaille.

 

L’Agence métropolitaine de transport (AMT) s’est réjouie de l’annonce du projet de train léger électrique, mais compte toutefois profiter des consultations pour sensibiliser les concepteurs du projet sur certains aspects, dont celui des impacts sur le Train de l’Est, précise Fanie Clément St-Pierre, sans entrer dans les détails pour l’instant.

 

La Revue a tenté d’obtenir l’avis de certains comités d’usagers du transport en commun, sans succès.

 

Un utilisateur du Train de l’Est nous a toutefois contactés pour nous faire part de son inquiétude.

 

«Si nous ratons notre correspondance, pour n’importe quelle raison, on parle d’un trajet de 90 minutes plutôt que de 65 minutes. Ça commence à être long», souligne Jacques Champagne.

 

Par ailleurs, il croit que «ce n’est pas en allongeant le temps du trajet que le nombre d’usagers augmentera sur une ligne déjà sous-utilisée», ajoute-t-il, faisant référence aux chiffres récemment dévoilés par l’AMT, qui démontrent le Train de l’Est n’est occupé qu’à 40 % de sa capacité actuelle.

 

M. Champagne formule également des inquiétudes concernant la tarification.

 

http://www.larevue.qc.ca/actualites_cdpq-infra-veut-amoindrir-impacts-sur-train-est-n37136.php

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  • 1 mois plus tard...
Changement de mode de propulsion des locomotives bimodes à la gare de Mont-Royal : les travaux sont maintenant terminés

 

Les travaux permettant le changement de propulsion des locomotives bimodes à la hauteur de la gare Ahuntsic sur la ligne de Mascouche sont maintenant terminés. Ces modifications ont été réalisées afin d'assurer la circulation en mode électrique des trains entre la gare Centrale de Montréal et la gare Ahuntsic, située tout juste après la gare de Mont-Royal.

 

De nouveaux pantographes ont été installés sur les locomotives circulant sur cette ligne afin que le changement de mode de propulsion puisse s’effectuer tel que prévu à la gare Ahunstic. L’installation de ces pièces a été complétée et les tests ont été effectués avec succès.

 

Le changement de mode de propulsion se fait désormais lors de l’arrêt du train à la gare Ahuntsic.

 

http://www.ville.mont-royal.qc.ca/fr/nouvelles/divers/changement-mode-propulsion-locomotives-bimodes-gare-mont-royal-travaux-sont

 

Je me demande si ils vont continuer à opérer le train en mode électrique sur le maigre tronçon de 2km qui restera après l'ouverture du REM.

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  • 1 mois plus tard...
Le Train de l’Est universellement accessible

 

Les personnes à mobilité réduite pourront désormais se déplacer dans les trains de banlieue de la ligne Mascouche. L’Agence métropolitaine de transport (AMT) vient tout juste de terminer les tests sur ses rampes rabattables (voir images).

 

L’AMT a investi 32M$ pour concevoir des rampes rabattables pour les personnes à mobilité réduite.

 

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Ces nouveaux équipement se trouveront aux gares Pointe-aux-Trembles, Rivières-des-Prairies, Anjou, Saint-Léonard–Montréal-Nord, Saint-Michel–Montréal-Nord, Ahuntsic et Sauvé, dont l’édicule est toujours en construction. Ces gares, qui se trouvent dans l’emprise du Canadien National (CN), disposent de quais qui sont bas par rapport au plancher des trains.

 

«[Lors de la construction de ces gares], on devait suivre les demandes du CN qui était d’avoir un gabarit qui respectait le transport des marchandise», a expliqué jeudi la porte-parole de l’AMT, Fanie Clément Saint-Pierre.

 

Aux gares de la ligne Mascouche qui sont situées dans Lanaudière, les quais sont au même niveau que les portes des trains, ce qui fait que les rampes rabattables ne sont pas nécessaires. Seules des mini-rampes ont été installées pour faciliter l’embarquement des personnes qui se déplacent en fauteuils roulant ou avec une poussette.

 

Les gares Canora et Mont-Royal, qui se trouvent aussi sur le trajet du Train de l’Est, ne sont pas universellement accessibles, mais elles sont considérées par l’AMT comme faisant partie de la ligne Deux-Montagnes.

L’AMT travaille depuis trois ans sur ce projet de rampes rabattables. Les discussions ont été laborieuses avec le CN puisque le transporteur ferroviaire souhaitait éviter tout risque de d’accrochage avec les trains de marchandises. L’agence gouvernementale envisage déjà d’installer ces rampes ailleurs sur son réseau, comme sur la ligne Saint-Hilaire.

 

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/1000342/le-train-de-lest-universellement-accessible/

 

32 millions pour ça?? Ça revient cher la rampe! Ça revient probablement à plusieurs millions par futur usager! Surtout que les parents avec des poussettes sont formellement défendus d'en faire usage:

 

Roxboro mother, baby left stranded by train after trying to use wheelchair ramp

http://www.cbc.ca/news/canada/montreal/amt-disability-accessibility-wheelchair-1.3622153

 

Typique de l'AMT.

Modifié par nephersir7
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Pourquoi n'ont-ils juste pas fait les quais à la bonne hauteur?

 

Très amateur.

Le CN ne permet pas la construction de quais hauts là où leurs trains passent. Ils ont peur que le débattement latéral des wagons de marchandises mal entretenus entre en conflit avec un quai haut. Je crois (mais je ne suis pas certain) que les chargements exceptionnels (wideloads) on quelque chose à voir avec ça aussi...

C'est la raison pour laquelle en Amérique du Nord, tous les quais sur des voies où circulent des trains de marchandises sont des quais bas.

 

Une exception : le O-Train d'Ottawa. Mais là, les quais ont été construits plus loin de la voie (pour respecter les normes du CN) de sorte que des rampes rétractables ont été installées pour pas tomber entre le train et le quai.

 

Envoyé de mon LG-D393 en utilisant Tapatalk

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Pour éviter le débattement latéral, les trains doivent rouler très lentement.

C'est le cas des trains de passagers qui entrent ou sortent de gare.

Le CN tient à pouvoir traverser ces gares sans avoir à ralentir car c'est beaucoup moins évident avec des convois de plus de 100 wagons chargés à bloc.

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  • 3 mois plus tard...

Un joyeux bilan

 

«Des problèmes majeurs» dans les gares du Train de l’Est

 

Les gares montréalaises du Train de l’Est sont trop isolées et mal aménagées pour séduire les usagers, selon un diagnostic posé par l’organisme Tandem, financé par la Direction de santé publique de Montréal.

 

Pendant six mois, des membres de quatre filières Tandem de Montréal ont effectué sondages, marches exploratoires et études des sept gares de l’est de la métropole, sur la ligne Mascouche.

 

Après la collecte de données, le constat était clair pour les organismes.

 

 

«Il y a des problèmes majeurs dans chaque gare, des lacunes pour ce qui a trait à la sécurité des piétons, des usagers du transport en commun et des cyclistes», affirme Stéphanie Lemay, conseillère en sécurité urbaine à Tandem Ahuntsic-Cartierville et coordonnatrice du Diagnostic de sécurité autour des gares du Train de l’Est.

 

Cinq des sept gares sont isolées dans des secteurs peu développés, ce qui «approfondit le sentiment d’insécurité», particulièrement à la tombée du jour, souligne Mme Lemay.

 

En exemple, on évoque la gare de Rivière-des-Prairies, entourée de boisés et de terrains vacants, dans un secteur où l’on ne trouve ni commerce ni résidence. Par contre, elle est à distance de marche du centre de détention Rivière-des-Prairies, de l’institut psychiatrique Pinel et du centre de détention jeunesse la Cité des Prairies.

 

Seules les gares Ahuntsic et Sauvé ont été intégrées dans le tissu urbain. «Néanmoins, toutes les gares sont peu achalandées hors des heures de pointe, ce qui fait que les usagers, surtout les personnes seules, ne s’y sentent pas en sécurité», ajoute la coordonnatrice.

 

Plusieurs cas de vandalisme ont été répertoriés depuis l’ouverture des gares, dont les écrans de celle de Pointe-aux-Trembles qui ont été vandalisés à deux reprises.

 

Le rapport évoque également le manque généralisé d’abris sur les quais, laissant les usagers sans recours face aux intempéries.

 

Inaccessibilité

Le document indique que 57% des répondants au sondage habitent à moins de trois kilomètres d’une gare, mais que 92% d’entre eux s’y rendent en voiture.

Tamdem explique ce recours à la voiture par la déficience des aménagements pour promouvoir le transport actif.

 

Par exemple, plusieurs gares possèdent des supports à vélo, mais plus de la moitié d’entre elles ne sont pas reliées à une piste cyclable. De plus, «Il y a un problème d’agencement entre les horaires des autobus et des trains et il y a des faiblesses majeures en terme d’aménagements sécuritaires pour les piétons. Il est alors plus simple et sécuritaire de s’y rendre en automobile qu’en autobus ou à pied», fait remarquer Mme Lemay.

 

Les personnes à mobilité réduite ont également des limitations pour utiliser les gares, alors que les édicules des gares Sauvé et Saint-Léonard–Montréal-Nord n’ont pas d’ascenseur.

 

Pistes d’actions

Tandem suggère entre autres d’ajouter des traverses et des feux piétons aux intersections à proximité des gares, ce qui permettrait de faciliter les déplacements à pied des usagers.

 

L’augmentation de la présence du personnel de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et des instances concernées sur le quai et l’édicule de la gare permettrait également de fortifier le sentiment de sécurité, souligne le rapport.

 

«Ce ne sont pas de gros aménagements, mais ils sont nécessaires pour la sécurité des usagers», déclare Mme Lemay, précisant que ces pistes d’action ne sont que des suggestions.

 

L’AMT ouverte au dialogue

Du côté de l’AMT, on se dit être ouvert à rencontrer les membres de Tandem et à faire des modifications qui permettront de bonifier le service, dans les limites du possible

 

«Nous aurions aimé travailler avec eux sur ce diagnostic pour leur expliquer la situation, mais également pour rencontrer les gens qui utilisent les stations, car ils ont des informations très pertinentes. Il nous fera plaisir de les rencontrer», affirme Fanny St-Pierre, conseillère en relations médias à l’AMT.

 

Toutefois, en ce qui concerne l’isolement des gares, difficile de faire autrement que ce qui a été réalisé.

 

«L’endroit choisi pour implanter une gare se fait avec nos partenaires. Nous ne pouvons pas installer une gare n’importe où sans parler aux propriétaires des chemins de fer, des terrains et aux municipalités. Il faut les implanter où c’est possible», ajoute Mme Saint-Pierre.

 

Cette dernière assure que l’accessibilité des a été testé avec des organismes

 

« Elles ont toutes un accès pour les personnes à mobilité réduite, mais il reste des travaux à effectuer à la gare Sauvé», affirme Mme St-Pierre.

 

Au cours des prochains mois, Tandem et la Direction en santé publique tenteront de rencontrer l’AMT pour lui présenter leurs conclusions.

 

 

Gare Ahuntsic

Située dans une emprise majoritairement commerciale sur le très passant boulevard l’Acadie, la gare n’a pas de stationnement incitatif à proximité.

• Bonne connectivité au réseau de transport collectif existant, mais aucun lien avec le réseau cyclable.

• Problèmes d’aménagements pour piétons à 4 intersections sur 5 et absence de mesure d’apaisement de la circulation

• Excellente fenestration de l’édicule principal, mais sentiment d’insécurité sous le viaduc en raison de la vitesse et du débit des véhicules, ainsi que de la minceur du trottoir.

 

Gare Sauvé

Implantée dans une emprise majoritairement résidentielle, la gare se trouve près du métro Sauvé et de plusieurs lignes d’autobus. L’achèvement d’un édicule principal permanent est prévu l’an prochain.

• Excellente connectivité au transport collectif existant et au réseau cyclable

• Sentiment d’insécurité, surtout le soir, dans les escaliers de l’édicule, ainsi que sur le quai, malgré la présence de caméras.

• Problème de visibilité créant des cachettes dans les escaliers.

• Présence d’un boisé créant une cachette à côté d’un sentier pédestre.

 

Gare Saint-Michel-Montréal-Nord

Située à l’angle des très passants boulevards Pie-IX et Industriel, la gare a des environs peu fréquentés et un faible achalandage.

• Bonne connectivité au transport collectif existant

• Absence d’abris, de traverses piétonnières, de voies cyclables protégées, d’aménagements piétonniers sécuritaires et de mesures d’apaisement de la circulation

• Sentiment d’insécurité lié à l’isolement du stationnement incitatif, à la carrière Saint-Michel et aux terrains vagues adjacents

 

Gare Saint-Léonard-Montréal-Nord

Située à l’arrière d’un centre commercial linéaire, la gare et son stationnement incitatif souffrent à plusieurs égards de cet emplacement.

• Sentiment d’insécurité lié au secteur enclavé et aux recoins pouvant servir de cachettes

• Voies piétonnes absentes ou discontinuées

• Feux de piéton trop courts (8 voies à traverser en 33 secondes dans un cas) ou contradictoires

 

Gare Anjou

Située dans un secteur industriel et commercial, la gare et son stationnement incitatif sont isolés et souffrent à plusieurs égards de cet emplacement.

• Mauvaise connectivité au transport collectif existant et au réseau cyclable, absence d’autobus près de la gare

• Voies piétonnes inexistantes ou encombrées, traverses piétonnes inexistantes à plusieurs intersections

• Sentiment d’insécurité lié à l’isolement des lieux, notamment dans le tunnel entre les quais

 

Gare Rivière-des-Prairies

Située en bordure d’un chemin de fer déjà existant, la gare est entourée de boisés et de terrains vacants sans aucun commerce ni résidence à proximité.

• Horaires de trains pas agencés à ceux des autobus.

• Édicule et abribus inexistants, manque d’abris sur les quais,

• Sentiment d’insécurité quand la gare est déserte, absence de caméra de surveillance dans le stationnement, malgré l’absence d’employé de l’AMT.

 

Gare Pointe-aux-Trembles

Implantée en bordure d’un chemin de fer existant, la gare fait face à quelques résidences et est entourée de boisés, d’un terrain abandonné, sans aucun commerce à proximité.

• Connectivité déficiente au transport collectif existant

• Voies piétonnes inexistantes ou discontinuées, absence de passages piétonniers, de ligne d’arrêt et de feu piéton

• Sentiment d’insécurité sur les quais, dans le long tunnel qui les surplombe et dans le stationnement incitatif, en raison du secteur isolé, ainsi que des boisées et des plantes pouvant servir de cachettes

 

 

<<Des problemes majeurs>> dans les gares du Train de l’Est | Metro

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Il me semble qu'ils ont oublié un point important : la tarification pour les usagers de l'île de Montréal. *Pour Rivière-des-Prairies par exemple, la TRAM est à 132$ comparativement à 83$ pour utiliser le réseau de la STM. *

 

Pourtant, le gain de temps est loin d'être proportionnel. *C'est même plus long de prendre le train!

 

Si on prend un itinéraire fictif, de l'intersection boulevard Perras / Primat-Paré jusqu'au centre Eaton:

  • le meilleur temps en utilisant la STM est de 1h02 (express 449 + ligne verte) (d'après Google Maps)
  • Avec le train, c'est 45 minutes de trajet + le temps de se rendre à la gare en bus (17 minutes), d'attendre le train (10 minutes si les correspondances sont bien coordonnées), puis de se rendre au centre Eaton à partir de la Gare Centrale (10 minutes, le temps de descendre du train inclus). *Donc au minimum 1h20.*

*

Pourquoi prendre le train, à part pour le confort, quand les bus express et le métro vous amènent à destination plus rapidement et pour moins cher?

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Et surtout sans devoir se timer pour ne pas devoir manquer LE train qui nous amène à destination, quand le combo autobus-métro est disponible sans devoir garder un horaire.

 

Le train de l'est est un éléphant blanc, qu'on appelle les choses par leur nom.

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