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Échangeur Turcot


WestAust

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J'ai déjà parlé de paresse?

 

C'est exactement ce que je disais: Offrons des alternatives viables et la clientèle passera de l'auto au TEC. Je penses que tu viens de nous en donner un bon exemple. Ça fait pas nécessairement plaisir de laisser son auto, c'est quand même un mode de transport qui peut être très plaisant, mais le TEC aussi peut l'être (pour ce qui est du métro cependant, j'ai bien peur que le surachalandage vienne en faire fuir qq uns éventuellement, si ce n'est pas déjà fait!).

 

Ce que je dis de plus, c'est seulement qu'avant d'ajouter de l'offre sur le réseau routier en ville, faudrait consolider le réseau de TEC. On a vraiment bcp de travail à faire et ce n'est pas vrai qu'on a pas d'achalandage potentiel pour le justifier.

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Routes

La circulation augmentera sur le nouvel échangeur Turcot, indique le MTQ

Mise à jour : 24/03/2009 21h45

 

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/03/20090324-214537.html

 

(La Presse Canadienne) Québec - La construction d'une nouvelle structure qui remplacera l'échangeur Turcot, à Montréal, sera suivie d'une hausse de la circulation de 20 000 voitures par jour, indique un rapport d'impact environnemental déposé mardi par le ministère des Transports.

 

Mais le ministère mise sur le fait qu'au moment de l'entrée en service de l'ensemble du complexe autoroutier, en 2016, des voitures moins polluantes diminueront les effets négatifs sur la qualité de l'air.

 

Selon le document du MTQ, malgré une circulation plus intense, la pollution atmosphérique aux abords de l'échangeur sera moins élevée dans sept ans qu'actuellement.

 

«L'augmentation très faible de la circulation routière est grandement compensée par cette diminution des émissions, de sorte que l'effet net serait une diminution généralisée des concentrations pour l'ensemble de la zone d'étude», indique le résumé de l'étude d'impact sur l'environnement.

 

Actuellement, 280 000 déplacements quotidiens sont enregistrés sur la structure vieillissante, dont le remplacement sera réalisé au coût de 1,5 milliard $.

 

Une fois le nouvel ouvrage achevé, 300 000 voitures circuleront chaque jour sur l'échangeur qui ne sera plus en hauteur comme c'est le cas actuellement, mais encastré dans des remblais, plus près du sol.

 

Un porte-parole de Transports Québec, Réal Grégoire, a déclaré mardi que la nouvelle structure améliorera la fluidité de la circulation, mais que sa construction n'avait pas pour objectif d'augmenter la circulation.

 

Selon M. Grégoire, la hausse du nombre de voitures se serait produite même sans l'entrée en service d'un nouvel échangeur.

 

«Imaginons qu'on ne reconstruit pas le Turcot, qu'on continue avec les structures actuelles: il y a une augmentation normale du trafic parce que la population augmente aussi, a-t-il dit. Donc il y a plus de trafic.» M. Grégoire n'a pas été en mesure de préciser si l'augmentation de la circulation est plus importante à cause de la nouvelle structure.

 

Le rapport d'impact du MTQ a été rendu public mardi par le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE).

 

D'autres documents sont aussi disponibles pour consultation jusqu'au 8 mai. D'ici là, les citoyens et groupes concernés pourront réclamer la tenue d'audiences sur le projet, qui doit être réalisé dans le cadre de partenariats publics-privés (PPP).

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Ce que vous sembler oublier c'est que la 40 à été concue dans les années 50. Elle était déjà "passé date" dans les années 70. C'est pas comme si on demandait de rajouter des voies à une autoroute de contournement comme la 30 ou la 640. On parle ici de l'échangeur Turcot et de la 40. Ces deux artères ne peuvent plus rester dans le même état

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Étude d'impact sur la reconfiguration de l'échangeur Turcot - Plus d'autos créeront moins de pollution

 

Le Devoir

Jeanne Corriveau

Édition du mercredi 25 mars 2009

 

Mots clés : Voitures, BAPE, Échangeur Turcot, Transport, Pollution, Montréal, Québec (province)

 

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Photo: Pedro Ruiz

 

Le BAPE a rendu publiques hier les études d'impact réalisées pour le compte

du ministère des Transport du Québec au sujet de l'échangeur Turcot. La publication de ces études n'a pas calmé la grogne des opposants au projet.

 

La reconstruction de l'échangeur Turcot entraînera une augmentation de la circulation routière et l'abaissement des structures près du sol est susceptible d'augmenter les concentrations de polluants dans le secteur. Qu'importe, conclut le ministère des Transports (MTQ) puisqu'en 2016, les voitures seront moins énergivores, donc moins polluantes.

 

Lorsque les travaux du nouvel échangeur Turcot seront terminés, 20 000 voitures de plus pourront y circuler, s'ajoutant ainsi aux 280 000 véhicules qui l'utilisent quotidiennement à l'heure actuelle.

 

Les auteurs des études d'impact dévoilées hier par le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) soutiennent toutefois qu'on observera une baisse généralisée des concentrations de polluants dans le quartier même si les voitures rouleront sur des talus, donc plus près du sol. On justifie cette prévision en faisant valoir que d'ici 2016, les gouvernements, principalement celui des États-Unis, obligeront les constructeurs automobiles à fabriquer des véhicules moins polluants. On précise toutefois que la modélisation effectuée ne tient pas compte des épisodes de congestion actuellement fréquents sur divers tronçons du complexe autoroutier. Mais comme on prévoit améliorer la fluidité de la circulation, on croit que les émanations polluantes seront du même coup réduites.

 

Ces conclusions ont fait sursauter André Porlier, directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal. «C'est le contraire de la réalité, et quand on regarde le bilan des gaz à effet de serre au Québec en 2006, la grande augmentation est attribuable au VUS et aux camions lourds. Comment peut-on assumer qu'il va y avoir une amélioration de l'efficacité des véhicules? Ça me semble tout à fait farfelu», commente-t-il.

 

Quatre scénarios ont été étudiés par le MTQ pour remédier au vieillissement de l'échangeur, dont l'un qui envisageait la reconstruction de structures en hauteur. Le scénario retenu prévoit toutefois la reconstruction de l'échangeur près du sol. Ce scénario aura l'avantage d'améliorer le paysage, la sécurité routière, ainsi que la fluidité de la circulation, fait valoir le MTQ.

 

Le projet retenu nécessitera l'expropriation de résidants du secteur et entraînera de nombreux inconvénients pendant la construction de l'échangeur. Les études d'impact examinent dans le détail l'ensemble des désagréments causés par le chantier.

 

Daniel Breton, un des militants écologistes à l'origine de la Coalition Québec-Kyoto, reproche d'ailleurs au BAPE de s'intéresser davantage aux impacts qu'aura le projet pendant sa construction qu'après. On écarte ainsi une réflexion de fond sur le projet, déplore-t-il. En omettant de remettre en question les prétentions des promoteurs dans les projets qui lui sont soumis, le BAPE ne joue pas son rôle, soutient-il.

 

De son côté, André Porlier s'est dit fort déçu que le MTQ n'ait pas intégré le transport collectif dans le projet malgré les revendications formulées non seulement par les groupes écologistes, mais également par la Ville de Montréal.

 

Les travaux de l'échangeur, réalisés en partenariat public-privé, sont évalués à 1,5 milliard de dollars et s'échelonneront sur six ans. Ils devraient être terminés en 2016. Des séances d'information tenues par le BAPE auront lieu les 20 et 21 avril prochain.

 

http://www.ledevoir.com/2009/03/25/241646.html (25/3/2009 11H53)

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Publié le 25 mars 2009 à 06h16 | Mis à jour à 09h38

Échangeur Turcot: des travaux de 1,5 milliard sur sept ans

 

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Bruno Bisson

La Presse

 

La reconstruction des quatre échangeurs qui composent le «Complexe Turcot», dans le sud-ouest de Montréal, va durer plus de sept ans, et coûtera environ 1,5 milliard, selon l'étude d'impact environnemental du projet, rendue publique hier par le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE).

 

La publication de l'imposante étude de 435 pages a officiellement lancé le début du processus d'évaluation environnementale de ce projet, et un débat public qui s'annonce déjà très orageux sur la présence de l'automobile et l'avenir des grandes autoroutes de la métropole.

 

 

Le projet du MTQ consiste à reconstruire les quatre échangeurs routiers qui relient les autoroutes Décarie (A-15), Ville-Marie (A-720), et Jean-Lesage (A-20), dans le sud-ouest de Montréal. Le chantier s'étendra sur sept kilomètres de distance, dans l'axe des autoroutes 20 et 720, et sur trois kilomètres, dans l'axe de l'A-15. Il s'agira d'un des plus grands chantiers d'infrastructures à Montréal depuis les Jeux olympiques de 1976.

 

 

Les grands piliers de béton et les bretelles surélevées de l'échangeur ne seront plus qu'un mauvais souvenir. Les 25 voies de circulation de cet immense carrefour seront réaménagées sur des remblais, plus près du sol. Selon le MTQ, les deux tiers des structures surélevées disparaîtront du paysage.

 

Déception

 

Ce projet du ministère des Transports du Québec, qui sera réalisé dans le cadre d'un partenariat public-privé, a aussitôt été dénoncé comme «une solution totalement dépassée» par un groupe écologiste, et comme une «déception» par une coalition de groupes sociocommunautaires du Sud-Ouest, où la majorité des travaux seront réalisés.

 

La porte-parole de la coalition Mobilisation-Turcot, Geneviève Locas, a déploré que le projet de reconstruction n'ait pas été modifié de façon importante depuis sa première présentation publique, il y a deux ans, et ce, malgré plusieurs consultations préalables menées par le ministère avec les élus municipaux et les organismes sociaux, économiques et communautaires des secteurs concernés.

 

«Les expropriations sont aussi nombreuses qu'il y a deux ans, affirme Mme Locas. Le MTQ ne fait preuve d'aucun effort d'intégration urbaine, et il n'a pas de projet précis pour les transports en commun. Et avec la construction de remblais, l'enclavement des quartiers demeure inquiétant. C'est une grosse déception pour nous.»

 

Le projet, qui a récemment fait l'objet de dures critiques par un conseiller municipal d'arrondissement dans un quotidien de la métropole, risque aussi de déplaire à l'administration du maire Gérald Tremblay, qui n'est pas entichée du concept proposé.

 

Dans une lettre adressée en novembre à la ministre des Transports, Julie Boulet, le maire Tremblay affirmait que «plusieurs préoccupations fondamentales exprimées par les élus municipaux et les citoyens n'ont pas été prises en compte par le ministère des Transports du Québec».

 

Le maire de Montréal demandait également à la ministre que le projet ne «soit pas conçu uniquement comme un corridor routier mais comme un véritable projet urbain intégré à son milieu».

 

En plein quartier résidentiel

 

Construit en 1967 et inauguré quelques semaines seulement avant l'Expo, l'échangeur Turcot est aujourd'hui en fin de vie utile. Ses grands piliers de béton, qui culminent jusqu'à 30 mètres de hauteur, sont en mauvais état. Le béton sous les voies de circulation surélevées s'émiette depuis des années, forçant le MTQ à installer des grilles pour empêcher les chutes de béton vers le sol. L'an dernier, le ministère a dû dépenser plus de 20 millions seulement en travaux d'entretien, en plus de fermer des voies de circulation durant plusieurs mois consécutifs.

 

Le nouvel échangeur sera construit plus près du sol. Les hautes bretelles de béton actuelles céderont la place à des remblais, d'une hauteur de deux à six mètres, selon les endroits, sur lesquelles seront aménagées les nouvelles voies de circulation. Cette reconstruction sur remblai permettra de supprimer les deux tiers des 28 structures surélevées qui composent aujourd'hui ce grand spaghetti de béton.

 

Le projet prévoit que l'autoroute Ville-Marie sera aussi rabaissée, entre la rue Atwater, à hauteur du centre-ville, jusqu'à l'échangeur Turcot. Une partie de l'autoroute 20 sera aussi reconstruite, à l'ouest de l'échangeur. Le MTQ profitera de l'occasion pour déplacer une voie ferrée, qui traverse tout le secteur d'est en ouest, pour la déménager au pied de la falaise Saint-Jacques.

 

Les impacts environnementaux du mégaprojet seront de plusieurs ordres. Les plus appréhendés par la population locale sont liés à la durée et à l'intensité des travaux de construction qui se dérouleront en grande part dans des secteurs habités.

 

Pour construire les remblais sur lesquels seront aménagées les nouvelles voies de circulation, le MTQ devra convoyer des centaines de milliers de tonnes de terre et de divers matériaux, dans les quartiers de Saint-Henri et de Côte-Saint-Paul, notamment.

 

Selon l'étude d'impact, la construction de ces remblais nécessitera environ 1,5 million de mètres cubes de matériaux divers, importés sur le chantier. À titre illustratif, il faudrait plus de 35 000 voyages de gros camions à benne (50 tonnes) pour déplacer un volume équivalent de terre.

 

Les groupes écologistes et sociocommunautaires locaux s'inquiètent aussi des effets à long terme de cette reconstruction qui entraînera une «légère» augmentation de la circulation automobile et une hausse de la concentration des contaminants dans l'air ambiant.

 

Coût du projet

1,5 milliard

 

Durée des travaux

 

7 ans

 

Mise en service

 

2015

 

Circulation actuelle

 

280 000 véhicules par jour

 

Circulation projetée

 

305 000 véhicules par jour

 

EXPROPRIATIONS

 

174 Logements démolis

 

25 propriétés résidentielles

 

36 propriétés commerciales

 

7 propriétés publiques

 

TOTAL

 

68 IMMEUBLES ET TERRAINS

 

VOLUME ESTIMÉ DES SOLS DE REMBLAI

 

1,5 million de mètres cubes ou 37 000 voyages de camion de 50 tonnes

 

SUPERFICIE DES OUVRAGES SURÉLEVÉS

 

Échangeur actuel

 

167 000 mètres carrés

 

Échangeur projeté

 

55 000 mètres carrés

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  • 2 semaines plus tard...

Roadwork ahead for Ville Marie autoroute

 

The GazetteApril 3, 2009

 

MONTREAL - Motorists can expect delays on the eastbound Ville Marie autoroute, starting this month, as Transport Quebec prepares for major roadwork on the downtown access road.

 

The Ville Marie overhaul, which picks up from where it left off in 2008, includes repairs to overpasses, underpasses and highway joints.

 

The eastbound artery will be shut down completely overnight Friday, Saturday and Sunday, between the Atwater exit and the entry to the Ville Marie tunnel.

 

The overnight closings will allow workers to prepare the site for repairs, Transport Quebec says.

 

As of Saturday, only two of the four lanes on the eastbound Ville Marie will be open to traffic during the day.

 

Other closings connected to the roadwork:

Highway 15 access to eastbound Ville Marie

 

St. Jacques St. access to eastbound Ville Marie

 

Greene Ave. access to eastbound Ville Marie

 

The roadwork is to be completed by the end of June, depending on weather conditions.

 

Similar lane closings and roadwork are expected to take place on the westbound Ville Marie once the eastbound artery is repaired, the provincial transport department says.

 

© Copyright © The Montreal Gazette

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Roadwork ahead for Ville Marie autoroute

 

The GazetteApril 3, 2009

 

MONTREAL - Motorists can expect delays on the eastbound Ville Marie autoroute, starting this month, as Transport Quebec prepares for major roadwork on the downtown access road.

 

The Ville Marie overhaul, which picks up from where it left off in 2008, includes repairs to overpasses, underpasses and highway joints.

 

The eastbound artery will be shut down completely overnight Friday, Saturday and Sunday, between the Atwater exit and the entry to the Ville Marie tunnel.

 

The overnight closings will allow workers to prepare the site for repairs, Transport Quebec says.

 

As of Saturday, only two of the four lanes on the eastbound Ville Marie will be open to traffic during the day.

 

Other closings connected to the roadwork:

Highway 15 access to eastbound Ville Marie

 

St. Jacques St. access to eastbound Ville Marie

 

Greene Ave. access to eastbound Ville Marie

 

The roadwork is to be completed by the end of June, depending on weather conditions.

 

Similar lane closings and roadwork are expected to take place on the westbound Ville Marie once the eastbound artery is repaired, the provincial transport department says.

 

© Copyright © The Montreal Gazette

 

 

Ma question est la suivant. Pourquoi faire tout ces rénovations majeurs alors que l'autoroute risque d'etre détruite d'ici peu. À moins que cette partie ne soit pas touché du tout lors du démantèlement de l'échangeur Turcot, ce que je doute.

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Ma question est la suivant. Pourquoi faire tout ces rénovations majeurs alors que l'autoroute risque d'etre détruite d'ici peu. À moins que cette partie ne soit pas touché du tout lors du démantèlement de l'échangeur Turcot, ce que je doute.

 

non ville marie n'as pas vraiment rapport avec le projet turcot, elle quand même assez neuve .

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