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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

Messages recommendés

19 hours ago, Rocco said:

⬆️ But free market comes with freedom of vote.. and she got elected. Twice.

Exactly.

In the end, there's a deep contrast between how Canadians claim to feel about immigration at the federal level and how they act at the local level.

Everyone is a bien-pensant liberal until the changes needed to accommodate all those new Canadians are in their neighbourhoods.

Eventually Canadians will have to reconcile the 2, and either accept that there will be condo towers + infrastructure built in their neighbourhood, or start voting for a federal government that restricts immigration.

 

 

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  • 3 semaines plus tard...
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On 12/28/2023 at 2:28 PM, identifiant said:

Exactly.

In the end, there's a deep contrast between how Canadians claim to feel about immigration at the federal level and how they act at the local level.

Everyone is a bien-pensant liberal until the changes needed to accommodate all those new Canadians are in their neighbourhoods.

Eventually Canadians will have to reconcile the 2, and either accept that there will be condo towers + infrastructure built in their neighbourhood, or start voting for a federal government that restricts immigration.

In local FB groups here in Laval, people bitch and moan about condo towers... it's incredible... but at the same time they bitch and moan about expensive housing and wanting more parks. Like how do you reconcile these three things at once??  Which sorcery do these people want?? 

 

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Recul des ventes, mais des prix qui ne baissent pas

 

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PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE

Le prix médian des unifamiliales au Québec s’est établi à 416 500 $ en 2023, le même qu’en 2022, pour 10 995 transactions de moins. 

 

L’année 2023 s’est conclue avec un recul des ventes résidentielles dans toute la province de Québec et une légère accumulation de propriétés sur le marché, mais les prix sont restés stables, selon les dernières données publiées par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). 

 

Niveau d’activité inférieur à la moyenne

Les ventes résidentielles ont encore chuté au Québec en 2023, et ce, dans toutes les catégories de propriétés, indiquent les dernières statistiques compilées à partir de la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers. Le recul se chiffre à 10 995 transactions de moins qu’en 2022, soit au total 75 853. À l’échelle de la province, il s’agit d’une baisse de 13 %. La région métropolitaine de Montréal a subi une diminution des transactions de 14 % tout comme celle de Sherbrooke, tandis que celle de Gatineau a chuté de 15 %. Québec, Trois-Rivières et Saguenay ont mieux fait avec - 7 %. C’est à La Tuque que le marché résidentiel a connu sa plus forte baisse, soit - 36 %. Sept-Îles a reculé de 26 %, Charlevoix de 25 % et Mont-Tremblant de 21 %. Trois marchés seulement ont augmenté légèrement leurs transactions, soit Sainte-Adèle (+ 1 %), Alma (+ 4 %) et Montmagny (+8 %). 

Prix stables

Bien que les premiers acheteurs auraient espéré des chutes considérables du prix des propriétés, à cause notamment des taux d’intérêt élevés et d’une légère hausse des maisons disponibles, les statistiques indiquent une stabilité. Le prix médian des unifamiliales au Québec s’est établi à 416 500 $ en 2023, le même qu’en 2022. Le prix médian des copropriétés a connu une légère baisse de 1 % par rapport à 2022 pour s’établir à 360 000 $. Quant aux petites propriétés à revenus, leur prix a augmenté de 4 % et leur prix médian se chiffre à 520 000 $.

Les acheteurs qui ont mis la main sur une maison unifamiliale de la région métropolitaine de Montréal ont payé 2 % moins cher qu’en 2022 avec un prix médian de 541 000 $.

À Québec, ils ont plutôt fait face à une légère hausse de 3 % pour l’unifamiliale, le prix médian atteignant 350 000 $. Du côté de Sherbrooke, le prix médian des unifamiliales a grimpé de 8 % et atteint maintenant 377 943 $. Lorsqu’on décortique les prix médians par régions, le portrait ne reflète pas celui à l’échelle de la province. À Mont-Tremblant, par exemple, le prix médian des unifamiliales a grimpé de 9 %, à Mont-Laurier de 10 % et à Matane de 15 % par rapport à 2022. 

Premiers acheteurs discrets

Même si 2023 a vu une légère accumulation de propriétés à vendre, avec une hausse de 24 %, ce n’est pas suffisant pour faire basculer le marché en faveur des acheteurs. « Le quatrième trimestre témoigne justement d’un marché où les premiers acheteurs sont encore moins nombreux, analyse Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ, dans un communiqué. On observe deux phénomènes qui les incitent à remettre […] leur projet d’achat : le climat d’incertitude économique et les expectatives de baisse des taux d’intérêt en 2024. » Selon lui, dans ce contexte, les vendeurs sont aussi portés à remettre leur projet de vente. Charles Brant observe cependant que les acheteurs expérimentés ont profité de la hausse marquée du prix de leur propriété pendant la pandémie et avaient les moyens de conclure des transactions. Or ce ne sera pas suffisant, a expliqué l’expert, pour assurer une fluidité du marché. 

Hausse des délais de vente

Les propriétaires qui ont décidé de mettre leur propriété à vendre en 2023, par choix ou par obligation, ont dû être patients et devront continuer de l’être si elle n’est pas encore vendue. Le délai de vente moyen des unifamiliales au Québec était de 54 jours en 2023, soit 13 jours de plus qu’en 2022, où il en fallait 41. Ce délai n’a cependant rien de comparable à 2019, où les vendeurs patientaient en moyenne 98 jours pour conclure une transaction, voire 107 jours en 2018. Ceux qui vendaient une copropriété ou de petites propriétés à revenus ont dû compter 14 jours de plus en 2023 pour s’en départir avec des délais de 58 jours et 75 jours.

 

https://www.lapresse.ca/affaires/marche-immobilier/2024-01-12/recul-des-ventes-mais-des-prix-qui-ne-baissent-pas.php

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  • Administrateur

Crise du logement | Une partie de la solution réside dans le problème 

 

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PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

La pénurie persistante de main-d’œuvre dans le secteur de la construction tant résidentielle qu’industrielle et commerciale est l’un des facteurs qui ont contribué à la flambée des loyers. 

Ce n’est plus un mystère pour personne que la forte augmentation du nombre de nouveaux arrivants enregistrée au cours des dernières années a été l’un des principaux facteurs de la crise du logement qui sévit aujourd’hui partout au pays. La rareté du nombre de logements disponibles a fortement contribué à rendre inabordable les loyers et il faudra que l’offre s’arrime rapidement à la demande pour espérer un jour un retour à l’équilibre. 

 

Dans une chronique publiée la semaine dernière qui s’attardait sur un évènement qui ne devrait pas se produire en 2024, j’anticipais qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que le prix des logements redevienne abordable au cours de la prochaine année. 

On conviendra qu’il s’agissait davantage d’une grossière évidence plutôt que le fruit d’un exercice de prospective sophistiquée. On le voit et on le constate tous les jours, il y a pénurie de logements partout au Québec et au Canada alors que les nouvelles mises en chantier ont chuté en 2023 sous le niveau prépandémique de 2019. 

On connaît les grandes raisons de cette baisse d’activité : la hausse des coûts des matériaux qui a été enregistrée durant la pandémie et les prix qui sont restés élevés depuis ; la hausse des taux d’intérêt depuis deux ans et la pénurie persistante de main-d’œuvre dans le secteur de la construction tant résidentielle qu’industrielle et commerciale. 

Outre ces raisons, il faut de plus composer aujourd’hui avec un cycle de ralentissement économique qui ne favorisera pas la relance de nouvelles mises en chantier résidentielles à court terme. 

Dans une étude publiée jeudi, deux économistes du Mouvement Desjardins, Florence Jean-Jacobs et Marc Désormeaux, tracent un portrait détaillé de l’industrie de la construction québécoise qui devrait pourtant être, selon eux, la clé de voûte pour contrer la crise du logement. 

Parce qu’on a longtemps associé la construction résidentielle à un moteur économique, quand le bâtiment va tout va, disait-on. 

Pourtant, depuis dix ans, observent les économistes de Desjardins, la contribution de l’industrie de la construction au PIB québécois a chuté à rebours notamment de l’industrie des services. Les investissements en construction ont totalisé 43,5 milliards pour les trois premiers trimestres de 2023, soit l’équivalent de 9 % du PIB québécois. 

Contrer la pénurie par une meilleure représentativité 

La situation ne risque pas de s’améliorer parce que l’industrie de la construction résidentielle va continuer de souffrir de la pénurie de main-d’œuvre, notamment en raison de la forte pression attendue du côté industriel et commercial pour les 10 prochaines années. 

À lui seul, le Plan d’action d’Hydro-Québec d’investissements de plus de 150 milliards d’ici 2035 prévoit mobiliser 35 000 travailleurs de la construction par année durant 10 ans alors que l’industrie anticipait déjà des besoins de 16 000 nouveaux travailleurs par année pour répondre à la demande générale. 

Ajoutez à cela les autres grands projets industriels qui vont prendre forme et mobiliser des milliers de travailleurs dans la Vallée de la transition énergétique à Bécancour ou à l’usine Northvolt à McMasterville. 

Dans une étude récente de la Banque du Canada, on soulignait que la forte augmentation du nombre de nouveaux arrivants au Canada, plus d’un million au cours des quatre derniers trimestres, était en grande partie responsable du déséquilibre entre l’offre et la demande de logements disponibles au pays. 

On apprenait jeudi que les fonctionnaires du ministère de l’Immigration à Ottawa avaient été avertis il y a deux ans que la hausse des cibles d’accueil de nouveaux arrivants allait affecter l’abordabilité des logements au pays. 

Au Québec, le nombre de résidents temporaires a atteint en 2023 la marque des 528 000 individus, ce qui inclut les étudiants étrangers et les travailleurs étrangers temporaires. 

Dans leur étude, les économistes de Desjardins observent pour leur part qu’il y a une trop faible proportion d’immigrants ou de résidents non permanents qui travaillent dans l’industrie de la construction au Québec. Ces travailleurs étrangers ne représentent que 9 % du total contre 20 % dans l’ensemble des industries au Québec. 

Les entrepreneurs québécois ont besoin de charpentiers, d’électriciens, de conducteurs, de tous les corps de métier, en fait, et les travailleurs étrangers sont nettement sous-représentés alors qu’ils pourraient contribuer à la résolution du problème. 

Aux États-Unis, 34 % des travailleurs de la construction sont nés à l’extérieur du pays. Il faudrait, selon la Banque du Canada, que le nombre de résidents non permanents soit multiplié par trois dans l’industrie de la construction pour que leur taux de participation soit équivalent à celui de la population en général. 

L’afflux de travailleurs étrangers, qu’ils soient résidents temporaires ou permanents, a permis au cours des dernières années à l’économie canadienne et à l’économie québécoise d’opérer à leur plein potentiel, mais cette immigration massive a entraîné un déséquilibre manifeste dans le secteur du logement parce que le marché n’arrive pas à combler la trop forte demande. 

Les entrepreneurs en construction doivent commencer eux aussi à embaucher les travailleurs spécialisés dont ils ont besoin à l’étranger s’ils ne sont pas en mesure de recruter localement. 

L’an dernier, seulement 455 travailleurs qualifiés de la construction ont été embauchés à l’étranger via le programme fédéral des travailleurs de métiers spécialisés. Une infime décimale sur les 1,6 million de travailleurs de la construction au Canada.

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  • Administrateur
4 hours ago, Le Roach said:

Montréal contribue à un bond de 18 % du rythme des mises en chantier en décembre: https://lp.ca/oNIqI0?sharing=true

 

Check moi le spin de La Presse... un +18% sur des miettes, quand l'année a été désastreuse avec un -38% (et l'année auparavant était déjà pourrie).

 

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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-01-23/mises-en-chantier/c-est-en-train-de-remonter-tranquillement-assure-valerie-plante.php
 

Je n’arrive pas à coller le contenu de l’article.  
 

On peut ajouter l’arrogance aux grandes qualités de VP.  Pas d’allure son approche.  

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