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Euh...oui !!! La réponse non seulement est simple mais en plus elle est évidente !! Bien sûr que c'est mauvais d'avoir n'importe quel endroit sans arbre dans une ville -sauf peut-être un parc industriel et encore !! Je suis certain qu'une bonne planification urbaine pourrait (devrait) prévoir des ilôts de verdures et des arbres dans un parc industriel.

 

Ton commentaire est un constat d'échec, une affirmation empreinte de fatalité. Les arbres n'ont pas qu'un fonction décorative. C'est vraiment n'importe quoi !!

 

Je suis d'accord. Il y a toutes sortes de moyens de verdir les rues. Il y a des plantes et même des arbres qui résistent mieux au manque de soleil que d'autres. Il suffit de bien planifier l'implantation de la verdure. L'idée que des rues seraient ok sans aucun arbre, c'est complètement loufoque. Il y a des plans quinquennaux communistes qui devaient penser comme ça.......

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Euh...oui !!! La réponse non seulement est simple mais en plus elle est évidente !! Bien sûr que c'est mauvais d'avoir n'importe quel endroit sans arbre dans une ville -sauf peut-être un parc industriel et encore !! Je suis certain qu'une bonne planification urbaine pourrait (devrait) prévoir des ilôts de verdures et des arbres dans un parc industriel.

 

Ton commentaire est un constat d'échec, une affirmation empreinte de fatalité. Les arbres n'ont pas qu'un fonction décorative. C'est vraiment n'importe quoi !!

 

En ce moment je trouve qu'à bien des endroits à Montréal l'arbre est décoratif plus qu'autre choses.

Oui il y a certainement une bonne intention d'ajouter des arbres le long d'une rue étroite grises et bien bétonnée mais c'est d'être naif de penser que l'arbre planter dans un petits puit de terre de 1 m2 va survivre au conditions présente.

Les arbres sur P. Kennedy ont peine à survivre 2-3 années mais on s'entête à replanter années après années. On peut pas reconfigurer le bâti à cet endroit on peut pas changer les conditions présentes, alors on fait quoi ?

Quel sont les autre solutions à part de planter un pauvre petit arbre à tout les 25-50 m ?

 

Et il ne faut pas mêler l'idée d'ilôts de verdure et la plantation isolée d'arbres à tous les 25-50 m. Sur P Kennedy, la solution pourrait être de sacrifier 2 places de stationnement à tous les 2 coins de rue pour créer des bacs de plantation pouvant accueillir un groupe d'arbre.

 

Mais encore là, si la rue est hostile à la végétation (vent, manque de soleil, température extrême) quelle sont les autres solutions ? On peu quand même pas détruire le bati existant !

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Et il ne faut pas mêler l'idée d'ilôts de verdure et la plantation isolée d'arbres à tous les 25-50 m. Sur P Kennedy, la solution pourrait être de sacrifier 2 places de stationnement à tous les 2 coins de rue pour créer des bacs de plantation pouvant accueillir un groupe d'arbre.

 

Sur ce point, je suis bien d'accord avec toi!:)

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Oui il y a certainement une bonne intention d'ajouter des arbres le long d'une rue étroite grises et bien bétonnée mais c'est d'être naif de penser que l'arbre planter dans un petits puit de terre de 1 m2 va survivre au conditions présente.

 

Le principal problème, c'est le déneigement. Je crois que les déneigeurs prennent un malin plaisir à les arracher avec leurs chenillettes.

C'est la raison pour laquelle on ne retrouve pas d'arbre mature le long des trottoirs du centre-ville.

La seule solution: les protecteurs en métal installés autour de chaque arbre sur de Maisonneuve, entre Peel et Drummond.

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Miska : je ne faisais que répondre à ta question. Je ne dis pas qu'il faut s'acharner à faire pousser des arbres en milieu urbain hostile. C'est idiot. Ce que je dis c'est que c'est regrettable qu'on en soit arrivé là.

 

Ta question est :

Est-ce si mauvais d'avoir certaines rues ou sections de rue qui sont sans arbres ?

La réponse est simple, évidente et sans équivoque. C'est tout.

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J'ajoute mon grain de sel, puisque j'ai un peu de temps avant de repartir au travail. Je retiens de l'expérience de Vancouver qui a développé depuis plusieurs décennies, une politique de pourcentage de verdure permanente sur chaque lot en développement. On a ainsi une série d'oasis plantés un peu partout en ville et qui se développe à mesure que les terrains changent de vocation.

 

Il est clair que les arbres croissent mieux sur une surface plus grande, qu'une fosse carrée sur le trottoir. Cependant on pourrait peut-être planter plus de conifères qui croissent aussi bien à l'ombre qu'au soleil, nécessitent moins d'espace et sont vert toute l'année. Aussi si on protège les fosses par un muret de béton qui fait office de pot, on évitera mieux les dommages causés par les déneigeuses l'hiver. Vrai aussi que les jeunes arbres sont plus vulnérables que les gros que l'on retrouve principalement sur les rues domiciliaires et je doute des mauvaises intentions des cols bleus qui ne se matérialiseraient qu'au centre-ville (une légende urbaine peu crédible).

 

Le problème est donc loin d'être insoluble et l'arbre fait nécessairement partie d'un aménagement urbain réussi tout en étant indispensable au bien-être des résidents. A ce propos on devrait développer une politique écologique nettement plus agressive tout en mettant la population dans le coup. Il n'y a aucune raison d'accepter plus longtemps les ilots de chaleur et le désert urbain encore trop répandu dans certains secteurs de la ville. C'est une question de volonté politique et de pression de la part des organismes écologiques et de la population en général, pour changer les choses.

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Vrai aussi que les jeunes arbres sont plus vulnérables que les gros que l'on retrouve principalement sur les rues domiciliaires et je doute des mauvaises intentions des cols bleus qui ne se matérialiseraient qu'au centre-ville (une légende urbaine peu crédible).

 

Les arbres matures des autres quartiers en souffrent également. À la base du tronc, les arbres sur trottoir ont à peu près tous des blessures et des cicatrices plus ou moins importantes. Il faudrait laisser au moins 2 pieds de surface non déneigée autour de chaque arbre. Au printemps, elle fondra!

 

À Québec, là où l'hiver commence deux semaines plus tôt et se termine deux semaines plus tard, la neige est laissée autour des arbres et ils s'en portent mieux.

La circulation sur les trottoirs et dans les rues se fait aussi bien qu'ici.

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Il y a plusieurs façon de faire pousser des arbres dans des carrées qui, en dessous, sont beaucoup plus larges et permet à l'arbre une saine vie. Parlez-en aux architectes paysagistes et ils seront fier de vous montrer ce qui peut être fait!

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 27 septembre 2011 à 15h23 | Mis à jour le 28 septembre 2011 à 11h49

Une formule simplifiée de Montréal en lumière

 

Fort de l'appui d'un nouveau commanditaire principal - le groupe bancaire RBC -, le festival Montréal en lumière va recentrer ses activités dans le Quartier des spectacles, là même où il a vu le jour il y a 12 ans.

 

«Nous avons opté pour une formule simplifiée», a expliqué hier en conférence de presse Alain Simard, le président de l'Équipe Spectra qui a mis sur pied Montréal en lumière à la suite de la volonté des gouvernements exprimée au Sommet sur l'économie et l'emploi à la fin des années 90. La mission: relancer la saison touristique hivernale en affirmant la position de Montréal comme métropole culturelle et gastronomique et «ville des festivals».

 

La formule est «simplifiée» d'abord du point de vue géographique: toutes les activités extérieures seront désormais concentrées sur la place des Festivals et l'esplanade de la Place des Arts; au cours des dernières années, à cause des chantiers que l'on sait au centre-ville, les activités familiales de Montréal en lumière se tenaient dans le Vieux-Port et sur la place Jacques-Cartier durant les week-ends; il y en aura désormais tous les jours durant Montréal en lumière.

 

Les spectacles continueront d'être présentés à la Place des Arts et dans les autres salles du Quartier des spectacles. Quant aux 50 «bonnes tables» du volet gastronomique, on continuera de les trouver un peu partout au centre-ville, dans le Mile-End et sur le Plateau-Mont-Royal. Cette année, les invités sont la Belgique francophone - une vingtaine de chefs et de chocolatiers de la région Wallonie-Bruxelles travailleront dans autant de restaurants montréalais entre le 16 et le 26 février 2012. Dans le même volet, les vedettes américaines sont Seattle, ville de fruits de mer et de restaurants éphémères, et la région vinicole de Washington-Oregon, deux États qui, ensemble, comptent plus de 1000 vignobles commerciaux d'où sortent riesling, chardonnay, merlot et autres cabernet franc.

 

Simplification aussi dans la nomenclature: les différents volets ne porteront plus les noms de leurs commanditaires respectifs comme, l'an dernier, les Arts Financière Sun Life, les Plaisirs de la Table SAQ et la Fête de la lumière BMO Banque de Montréal. L'apport de RBC, comprend-on, permet un réalignement commanditaire qui aidera Montréal en lumière à se départir de son image de «trois festivals en un», difficile à suivre... et à vendre.

 

Le groupe RBC (la marque de Royal Bank of Canada, plus grosse banque du pays) succède à Hydro-Québec, présentateur de Montréal en lumière depuis 10 ans. Qu'attend la Banque Royale de cette nouvelle association? «Notre objectif est d'être près des gens», explique à La Presse Micheline Martin, présidente de la Banque Royale (Québec). Contre «un gros chèque», Mme Martin verra sa marque occuper «seule» l'espace festivalier de février. L'enveloppe de RBC pour les dons et commandites atteint les 100 millions pour l'ensemble du Canada dont 6 millions pour le Québec, somme qui exclut la nouvelle commandite annoncée hier, précise Mme Martin. De ces 6 millions, 10% sont alloués aux activités culturelles, le gros des dons de RBC allant aux universités, hôpitaux et autres oeuvres caritatives.

 

Le budget de Montréal en lumière est de l'ordre de 8 millions; l'an dernier, les commandites comptaient pour 54% du budget de 6,4 millions, les subventions pour 34% et les revenus autonomes (la billetterie) pour 12%.

 

RBC est le deuxième grand groupe bancaire canadien à devenir le commanditaire principal d'un grand festival montréalais; l'autre est le groupe TD (Toronto Dominion), présentateur du Festival international de jazz de Montréal depuis 2009.

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  • 6 mois plus tard...

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