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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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Quand même surprenant de voir à quel point la demande de bureaux est si anémique à Montréal vs les autres métropoles canadiennes (Toronto, Calgary, Vancouver, même Ottawa et Québec!!!!)

 

Sommes-nous si rendu un centre régional que ça ??? :(

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Quand même surprenant de voir à quel point la demande de bureaux est si anémique à Montréal vs les autres métropoles canadiennes (Toronto, Calgary, Vancouver, même Ottawa et Québec!!!!)

 

Sommes-nous si rendu un centre régional que ça ??? :(

 

Monctezuma, d'apres ce que je comprends d'Habsfan, la demande pour des bureaux a montréal est loin d'être anémique, elle est au contraire tres élevée par rapport aux années précédentes. En revanche il y a a Montréal des substitus (reconversion d'immeubles industriels périphériques) qui viennent faire concurrence a la construction de tour a bureau au CV. De plus, ca ne semble pas être une particularité montréalaise, a Vancouver et Toronto, c'est surtout des tours a condos qui poussent au CV...

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Monctezuma, d'apres ce que je comprends d'Habsfan, la demande pour des bureaux a montréal est loin d'être anémique, elle est au contraire tres élevée par rapport aux années précédentes. En revanche il y a a Montréal des substitus (reconversion d'immeubles industriels périphériques) qui viennent faire concurrence a la construction de tour a bureau au CV. De plus, ca ne semble pas être une particularité montréalaise, a Vancouver et Toronto, c'est surtout des tours a condos qui poussent au CV...

 

C'est vrai, tu as raison. En fait, c'est plutôt les locataires prestigieux qui manquent. Et d'un autre côté, nos locataires prestigieux semblent prendre de plus en plus d'espaces et consolider leurs bureaux. On en est peut-être à un point tournant.

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C'est quand même bien qu'ils remplissent les tourettes en dehors du centre ville, ça va aider a dynamiser les autres secteurs de la ville.

Une ville vivantes, c'est pas juste au centre-ville. Ça va pousser des petits projets de condo ici et là, et c'est très bien!

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Dans les circonstances notre planche de salut, comme on l'a déjà dit, devient naturellement les projets mixtes, ainsi on fournit une demande limitée en bureaux au cv sans trop prendre de risque de se retrouver avec des planchers vides. C'est sûr que si SNC, notamment, va de l'avant avec son projet de deuxième tour, elle libérera d'autres surfaces ailleurs qui concurrenceront elles aussi les nouveaux projets. Il semble bien que la grande croissance dans ce domaine en Amérique du Nord ait atteint de toute façon sa maturité, c'est le secteur des services (et des sièges sociaux ) qui nourrit ce marché et on semble avoir fait le plein dans la plupart des grandes villes.

 

Bien sûr il y a encore des exceptions, dont Calgary, dopée par son industrie pétrolière en pleine croissance, qui attire plusieurs investisseurs étrangers qui ont besoin de bureaux pour faire affaires. On pourrait dire que le taux de croissance d'une économie donnée peut servir de baromètre pour mesurer l'activité et le développement des services, donc en conséquence des besoins en bureaux. Ici au Québec le taux de croissance varie autour des 2%, ce qui parait insuffisant pour générer une véritable hausse de la demande.

 

Et il y a finalement les capitales: Ottawa, Toronto et Québec (qui sont de grandes utilisatrices de bureaux bon an mal an), qui viennent faire la différence. Quant à Toronto particulièrement , son énorme disparité avec Montréal s'explique par ses deux statuts de capitale provinciale et métropole canadienne, où se concentrent justement une bonne part des sièges sociaux.

 

Dommage pour les amateurs de hautes tours de verre, ce n'est pas demain qu'un de ces édifices viendra rivaliser avec la montagne. Et bien que je me considère comme un de ces fans de belles tours, je préfère davantage le développement harmonieux d'une ville où l'aménagement urbain a priorité. La qualité de vie et l'ambiance sont à mon avis les caractéristiques premières d'une ville réussie. Une saine économie bien diversifiée viendra compléter le tableau en créant de la richesse. Et finalement une vie culturelle animée et des événements à caractère social (festivals et autres) qui feront vibrer la ville en en faisant un endroit idéal pour vivre et se divertir.

 

Montréal est tout ça et bien plus encore...

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Coudonc, est-ce que le monde immobilier est maniaco-dépressif? Il y a quelques semaines on anonnçait que plusieurs projets majeurs allaient voir le jour car il n'y a plus de gros blocs d'espaces contigus au centre-ville et le taux d'innocupation est à 5%, et là, ce même monde là broient du noir et annonce que rien ne sera construit sous prétexte que les locataires veulent pas payer plus cher pour du neuf! Ridicule.

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Le marché des bureaux est chaud, chaud, chaud en Bourse.

 

Les fonds de placement immobiliers (FPI) s’arrachent les immeubles à bureaux et locatifs dans les grandes villes canadiennes.

 

Leur appétit semble insatiable depuis plusieurs trimestres… et les rendements sont au rendez-vous. L’indice S&P/TSX Capped REIT, qui regroupe les FPI canadiens, vient d’atteindre un sommet de cinq ans, rapporte ce matin l’agence Bloomberg.

 

Les investisseurs sont rassurés par la baisse soutenue du taux d’inoccupation dans les immeubles à bureaux. Celui-ci a reculé de 9,3% à 8,2% au Canada depuis un an.

 

Les bureaux vacants se font encore plus à Montréal. Le taux d’inoccupation est aujourd’hui à 5,9% dans les immeubles de catégorie A et B du centre-ville, contre 7,7% à pareille date l’an dernier, indique Newmark Knight Frank Devencore.

 

Cette bonne tenue explique sans doute l’appétit des investisseurs pour l’immobilier commercial montréalais.

 

Les transactions ont totalisé 3,4 milliards de dollars l’an dernier à Montréal, en hausse de 13,5 % sur un an, selon CBRE.

 

Les FPI canadiens qui ont affiché la meilleure performance cette année sont:

 

- Artis Real Estate Investment Trust (+17% depuis le début de 2012)

 

- Boardwalk Real Estate Investment Trust (+16%)

 

- Dundee Real Estate Investment Trust (+13%)

 

L’indice S&P/TSX Capped REIT vient pour sa part d’atteindre son plus haut niveau depuis juillet 2007. Il a progressé de 6,3% depuis le début de 2012.

 

http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/2012/04/24/le-marche-des-bureaux-est-chaud-chaud-chaud-en-bourse/

 

 

D'autre part sur RC,un des organisateurs de l'expo parlait de 4 à 5 projets de tours de bureaux qui seraient prochainement annoncés,tant l'espace manquera

si on prend en plus en compte le temps de les construire on sera proche des 2 pct de taux d'inoccupation en cat A et B lors d'une éventuelle livraison en 2014/2015.

 

Faudrait savoir qui dit vrai finalement?

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Coudonc, est-ce que le monde immobilier est maniaco-dépressif? Il y a quelques semaines on anonnçait que plusieurs projets majeurs allaient voir le jour car il n'y a plus de gros blocs d'espaces contigus au centre-ville et le taux d'innocupation est à 5%, et là, ce même monde là broient du noir et annonce que rien ne sera construit sous prétexte que les locataires veulent pas payer plus cher pour du neuf! Ridicule.

 

Comme j'expliquais plus tôt, il est vrai qu'en général quand les taux d'innocupation approche le 5%, on devrait voir des tours grimper dans le ciel, mais ce n'est pas le cas à Montréal, car les compagnies ne sont pas prêts à payer 60$ le p² pour une nouvelle construction, surtout quand ils pourront trouver de l'espace à la Place Ville Marie (140,000p² seront remis sur le marché par R.B.C.) à 42 ou 44$ le p².

 

une exception a ce que je viens de vous dire est SNC Lavalin. Ce n'est pas un secret qu'ils se chercehnt des espaces et le terrain à côté de leurs S.S. est parfait. Reste à savoir si SNC est prêt à investir dans une nouvelle tour??

 

D'autre part sur RC,un des organisateurs de l'expo parlait de 4 à 5 projets de tours de bureaux qui seraient prochainement annoncés,tant l'espace manquera

si on prend en plus en compte le temps de les construire on sera proche des 2 pct de taux d'inoccupation en cat A et B lors d'une éventuelle livraison en 2014/2015.

 

Faudrait savoir qui dit vrai finalement?

 

Les promotteurs peuvent annoncer 100 tours, mais si ils ne sont pas capable de trouver un Locataire majeur qui occupera un minimum de 50% de son immeuble, le promotteur ne partira pas son projet. Je n'ai jamais nié le fait qu'il y a quelques projets en attente à Montréal...nous les connaissons tous (Altoria, Place University, Tour Windsor, Place de la Cité International, 900 de Maisonneuve, etc...) mais plus qu'un projet est gros, moins qu'il a de chances de voir le Jour, pcq ce sera plus difficile trouver un gros locataire de 400,000-500,000p² vs un locataire de 125,000 - 175,000p².

 

Le Projet au Square Philips était supposé avoir jusqu'à 900,000p²...il est cancellé. La tour à la Place University était supposé avoir 750,000p² et on viens d'annoncer que cette tour serait remplacé par deux plus petites tours de 250,000 et 400,000p². Bien sûr l'Altoria est un cas différent car le promotteur peut être un peu moins conservateur, car il a déjà vendu la grande majorité de ses unités de condos. Même si ça lui prend un peu plus de temps à louer les espaces commerciaux, ce n'est pas grave, et en plus, il n'a que 200,000p² à louer.

Modifié par Habsfan
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Comme j'expliquais plus tôt, il est vrai qu'en général quand les taux d'innocupation approche le 5%, on devrait voir des tours grimper dans le ciel, mais ce n'est pas le cas à Montréal, car les compagnies ne sont pas prêts à payer 60$ le p² pour une nouvelle construction, surtout quand ils pourront trouver de l'espace à la Place Ville Marie (140,000p² seront remis sur le marché par R.B.C.) à 42 ou 44$ le p².

 

Je crois que ce que Rocco veut souligner, et franchement il n'a pas tort, c'est que les gens de l'industrie n'accordent pas leur histoire. D'un côté, on n'arrête pas de lire que selon tel ou tel spécialiste du marché, on devrait voir pousser de nouvelles tours pour suffire à la demande des prochaines années, et puis là tu nous dis que finalement non, parce que ça coûte trop cher. Pourquoi tous les spécialistes qui nous prédisent de nouvelles tours depuis des mois ne sont pas au courant de ce facteur "prix". Bottom line: il semble que personne ne peut prédire l'avenir.

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