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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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Ça ne vise pas Montréal, mais c'est quand même intéressant :

 

Affaires

Des édifices fédéraux à moitié vide ont coûté 11,5M$

18 mai 2012 | 07h50

Agence QMI

Des immeubles fédéraux à moitié vides coûtent 11,5 millions $ par année aux contribuables, selon des documents obtenus par l'Agence QMI en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.

 

Michael Aubry

Agence QMI

 

Des immeubles fédéraux à moitié vides coûtent 11,5 millions $ par année aux contribuables, selon des documents obtenus par l'Agence QMI en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.

 

Il y a près d’un million de pieds carrés de bureaux fédéraux vides à Ottawa. (Photo: Reuters)

 

Il y a près d'un million de pieds carrés de bureaux fédéraux vides à Ottawa. Selon les documents, il y a 18 édifices de Travaux publics et Services gouvernementaux qui ont un taux d'inoccupation de plus de 50 % dans la région d'Ottawa-Gatineau, et plusieurs d'entre eux sont vacants depuis des années et mêmes des décennies, ce qui coûte aux contribuables des millions $ pour le chauffage, l'eau et l'éclairage, la sécurité ou les taxes foncières.

 

En raison de la mise à pied de 4 800 employés fédéraux d'ici 2015, l'espace vacant devrait doubler. En outre, quatre nouveaux édifices fédéraux présentement en construction à Gatineau accueilleront des fonctionnaires fédéraux en 2013.

 

« Je pense que toute personne raisonnable pourrait se demander pourquoi le gouvernement jette par la fenêtre des millions $ pour l'entretien de bâtiments vacants », a déclaré le directeur pour l'Ontario de la Fédération canadienne des contribuables, Gregory Thomas. Je pense que

 

Travaux publics doit une explication aux contribuables. » Selon l'analyste du marché Barry Nabatian, qui travaille pour Shore-Tanner and Associates, il existe un réel problème de gestion.

 

« Ils n'administrent cela vraiment pas correctement. Aucune société immobilière, aucune entreprise de gestion du secteur privé ne permettrait que cela se produise ».

 

« Des espaces vacants pendant quelques mois, cela est parfois inévitable, mais année après année, c'est incroyable », a ajouté M. Nabatian.

 

Selon lui, la seule solution viable consiste en un partenariat public-privé pour louer les espaces gouvernementaux vacants.

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  • 1 mois plus tard...

Un autre article qui nous dit que le marché est de plus en plus favorable à la construction d'une ou quelques tours à bureaux. Je crois que ça fait près de 2 ans qu'on en parle alors j'imagine que bientôt il va y avoir quelque chose qui va se passer à ce niveau. De plus, elle mentionne ''a handful of major tenants'' donc cela peut supposer facilement 2 ou 3 entreprises à la recherche d'espace au centre-Ville. On connait tous Rio Tinto Alcan mais j'aimerais bien savoir qui d'autre est sur la liste. Je ne compte pas SNC Lavalin car eux ne sont pas à la recherche, ils seront plutôt propriétaire si je ne me trompe pas.

 

Market hot for office towers

 

By Allison Lampert, The Gazette June 18, 2012

 

MONTREAL - Canada’s hot condo market might generate the most headlines, but it isn’t the country’s only booming real estate sector.

 

A decline in downtown office vacancy rates in major Canadian cities is fuelling demand for “building activity not seen since the early 1990s,” a report published Monday by Cushman & Wakefield Canada said.

 

“It’s not just this quarter but it’s starting to add up,” said Scott Chandler, Cushman’s executive managing director, valuation and advisory services. “A lot of projects are starting to be announced.”

 

Close to 10 million square feet of new office space has been announced and is under construction in Calgary, Toronto and Vancouver alone to meet demand generated by economic growth, along with tenants’ desire for modern buildings with Leadership in Energy and Environmental Design certification, Cushman & Wakefield said.

 

Calgary remains the tightest downtown office market in the country with a 3.1 per cent downtown vacancy rate, and plans for the construction of 3.7 million square feet of new space.

 

Nationally, between the first and second quarters of 2012, the central market office vacancy rate fell from 5.4 per cent to five per cent – a low hit only once since 1985. Between the first and second quarters of 2012, Montreal’s downtown vacancy rate dipped from 6.4 per cent to 6.1 per cent.

 

In Montreal, where the first privately-backed downtown office space in two decades is now under construction in a mixed-use project, developers are coming under pressure for new buildings from a handful of major tenants, the Cushman report said.

We expect this pressure will have developers considering the development of some new office towers,” said Bernie Marcotte, the new senior managing director of C&W Montreal.

 

Unlike in the United States, where a number of developers – including Quebec pension fund manager Ivanhoe Cambridge Group – are financing the building of new towers on a speculative basis, most new Canadian construction will have signed anchor tenants.

 

Canadian lenders and developers are simply more prudent, Chandler said.

 

“Today they are very solid. They are all pre-leased.”

 

But while development in Calgary is fuelled by economic demand stemming from the oil boom, the frenzy in some markets might be short lived if development is not backed by genuine growth, said Brett Miller, president of real estate services firm Jones Lang LaSalle’s Canadian operations.

 

“We can be cautiously optimistic about the state of the office market,” Miller said. “In the short term, we’re straying to the positive versus economic development.

 

“If we don’t see strong economic growth some of this development will slow down.”

 

alampert@montrealgazette.com

 

http://www.canada.com/business/Market+office+towers/6802521/story.html

Modifié par steve_36
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C'est probablement le 20e article qui mentionne que le marché de bureau est ''hot'' à Montréal et pourtant aucun locataire majeur ne signe quoi que ce soit... Ce ne sont plus les promoteurs qui font de la spéculation de nos jours, ce sont les journalistes! Ça en dit long.

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C'est probablement le 20e article qui mentionne que le marché de bureau est ''hot'' à Montréal et pourtant aucun locataire majeur ne signe quoi que ce soit... Ce ne sont plus les promoteurs qui font de la spéculation de nos jours, ce sont les journalistes! Ça en dit long.

 

C'est vrai que les journalistes pourraient presque récupérer tel quel leur article d'il y a un, eux, trois ans et simplement changer la date.

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C'est probablement le 20e article qui mentionne que le marché de bureau est ''hot'' à Montréal et pourtant aucun locataire majeur ne signe quoi que ce soit... Ce ne sont plus les promoteurs qui font de la spéculation de nos jours, ce sont les journalistes! Ça en dit long.

 

Considérant la complexité des négociations avec un nouveau locataire et toute la logistique qui accompagne l'installation de nouveaux bureaux dans un immeuble neuf, on peut comprendre que tout le monde prenne son temps, et notre impatience n'y changera rien. Avant de s'engager dans un projet de plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de millions, il faut convaincre les investisseurs que le geste sera rentable à long terme. D'autant plus que l'économie mondiale flirte avec un ralentissement et peut-être même une nouvelle récession pour certains pays.

 

Hier, justement dans La Presse, des organismes économiques montréalais affirmaient que l'économie de la ville était en panne à cause des énormes travaux routiers et de la congestion qu'ils causent dans plusieurs secteurs de l'ile de Montréal. Le prolongement de l'autoroute de la rue Notre-Dame est aussi mentionné comme un obstacle de plus dans le tableau, en privant le centre-ville d'un accès rapide vers l'est. Cette situation n'est pas non plus étrangère à la pression qui pèse sur les décisions de développer à Montréal ou en banlieue. Bien sûr on ne construit pas pour quelques années, mais les locataires éventuels doivent y trouver leur compte (ce sont eux qui remplissent les tours) et ce "chaos routier" en fait certainement hésiter plusieurs.

 

Cela dit, je demeure tout de même optimiste, car l'important développement des condos urbains au cv, ramène une population qui voudra se rapprocher des centaines de milliers d'emplois concentrés dans ce secteur névralgique. Un bassin de travailleurs potentiels et de consommateurs qui croit actuellement plus rapidement que les autres quartiers de la ville. C'est définitivement un pas dans la bonne direction et c'est toute l'économie du centre-ville qui en profitera, en projetant une image plus dynamique de la ville et une sorte de renaissance du coeur du quartier des affaires.

 

En terminant, Montréal n'est pas Calgary avec son boum pétrolier qui attire de nombreux investisseurs étrangers. Ni Toronto et son important marché de siège sociaux, qui bon an mal an crée de nouveaux besoins de surfaces de bureaux. Ni même Ottawa et ses multiples services gouvernementaux. Nous ne pouvons compter que sur notre propre dynamisme et notre propre force de conviction, face à une Amérique hautement compétitive, qui certainement ne nous fera pas de cadeau.

 

Ainsi les journaux ne se font que présenter la situation telle qu'elle est, en mettant en évidence les difficultés qui font obstacle au développement immobilier de Montréal. Ils ont au moins le mérite d'en parler, et à force de revenir sur le sujet, ils contribueront peut-être à participer à la recherche de solutions permanentes.

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C'est probablement le 20e article qui mentionne que le marché de bureau est ''hot'' à Montréal et pourtant aucun locataire majeur ne signe quoi que ce soit... Ce ne sont plus les promoteurs qui font de la spéculation de nos jours, ce sont les journalistes! Ça en dit long.

 

AIMIA (ex-Aeroplan) a signé pour plus de 100000/pc il y a moins de 2 semaines!

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...notre impatience n'y changera rien...

 

 

Tu nous traite d'impatients quand cela fait 20 ans que Montréal n'a pas eu de tour à bureau financée par le privé? Quand même, un peu de retenue. Je crois à l'opposé que nous avons été très patient jusqu'à maintenant.

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  • 3 mois plus tard...

Un article dans la version papier du Journal Les affaires fait mention des besoins actuels et futur de plusieures entreprises Montrealaises.

600 000 pc SNC lavalin

300 000 pc Visa Desjardins

250 000 pc Deloitte

Il a en 3 ou 4 autres aussi qui recherche entre 100 000 et 150 000 pc

Selon Collier international on devraient voir apparaître d'autres tour dans un avenir rapproché en plus de l'Altoria- Aimia et La tour Deloitte

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À 300 000 pc, Visa Desjardins remplit facilement 65% des 467 500 pc de la première phase du projet de Canderel au coin Bleury.

 

Pas mal du tout!

Et on ne parle pas du 600 000 de SNC Lavalin! On sait qu'ils veulent exploiter leur propre terrain, donc une tour qu'on ne connait peut-être pas encore! Quoique la seconde phase de Canderel (787,500 pc) pourrait faire l'affaire sans être très loin non plus de la tour principale.

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