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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


mtlurb

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Un reportage qui commençe de façon négative et qui laisse croire que le boom est une illusion mais au moins il termine sur une note très positive et c'est encourageant. Bien qu'il faut encore de la patience !

 

http://tvanouvelles.ca/video/1430236546001/un-signe-de-prosperite-reportage/

 

En effet, ça commence mal pour se terminer sur du positif. Curieux. Mais tant mieux dans le fond.

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considering they've sold 85% of their condos it wouldn't surprise me (not likely)if they convert the 10 office floors to condos as well

 

Si les étages sont prévus pour du corporate, ils sont plus haut que les autres. Comment vont-ils les transformer, à moins de faire du luxe ou de les vendre plus cher? Et aux premiers étages, ce n'est pas là que se situent les éléments les plus class d'habitude. Acheter plus cher pour être au 2e, ce n'est pas très winner, non? À moins qu'ils ne changent la vocation des 10 premiers étages immédiatement avant que la construction ne débute? Alors la tour serait moins haute en fin de compte..... Me trompe-je?

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JE serai énormément surpris si ils convertissaient les espaces des 10 premiers étages en condos...très surpris. Comme l'a mentionné mtlrdp, ils ont un bon 24-30 mois pour louer 10 étages (environs 225,000p²).

 

Cette situation confirme un peu ce que je disais plus tôt. Les compagnies Montréalaises sont frileuses de payer les gros loyers d'une nouvelle construction ($50.00 le p² et plus). Ça explique pourquoi ils n'ont toujours rien louer...mais le marché ne fait que se resserer et d'ici 12-18, (quand le taux d'innocupation passera sous la barre des 5%) certaines compagnies n'auront plus le choix d'envisager une nouvelle construction.

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  • 1 mois plus tard...

Cité du multimédia: les locataires sont de retour

 

Publié le 13 mars 2012

 

(Montréal) Le taux d'inoccupation a chuté en flèche dans les six immeubles originaux de la Cité du multimédia. Il est passé de 31% au début de l'an dernier à 7,7% aujourd'hui, a appris La Presse Affaires.

 

Le quartier, situé dans l'ouest du Vieux-Montréal, a souffert de la fin des crédits d'impôt du gouvernement québécois à partir de 2009. Plusieurs entreprises qui s'y étaient installées pour bénéficier de ce programme ont alors plié bagage, faisant exploser le nombre de bureaux inoccupés.

 

La saignée a été particulièrement intense vers la fin de 2010, alors que d'importants locataires comme CGI sont partis. Puis, le vent a commencé à tourner au printemps 2011, quand la société papetière AbitibiBowater (Produits forestiers Resolu) a annoncé le déménagement de son siège social dans la Cité. Desjardins y a loué un important bloc de bureaux quelques mois plus tard, confirmant l'intérêt d'entreprises sans lien avec le multimédia pour le quartier.

 

«On a arrêté d'être snobés», résume André Plourde, président du Groupe immobilier de Montréal, mandataire de location du propriétaire Allied. «Il n'y a pas si longtemps, Desjardins et AbitibiBowater ne se seraient pas installés ici.»

 

Un autre important locataire non technologique - la firme d'ingénierie CIMA+ - vient de signer un bail pour louer environ 40 000 pieds carrés dans la Cité. Le groupe y déménagera «quelques centaines» d'employés pour concentrer les activités de sa division minière, en pleine effervescence grâce au Plan Nord du gouvernement québécois, a confirmé hier le vice-président directeur de CIMA+, François Plourde.

 

Le taux d'inoccupation de deux immeubles en particulier a fortement régressé depuis janvier 2011. Celui du 87, rue Prince, est passé de 37,6% à 0%, tandis que celui du 111, rue Duke, a glissé de 52,4% à 6,5%. C'est dans ce dernier immeuble que se sont installés AbitibiBowater et Desjardins.

 

Selon André Plourde, la faiblesse globale du taux d'inoccupation des bureaux à Montréal - et la rareté des gros ensembles de locaux contigus - renforce l'attrait de la Cité du multimédia. Au premier trimestre de 2012, le taux d'inoccupation se situe à 7,4% dans les quartiers centraux de la métropole, et à 10,1% dans le Vieux-Montréal, indique la firme CBRE.

 

Sept phases

 

La Cité a été érigée en sept phases entre 1999 et 2003. Québec a offert de généreuses subventions aux entreprises qui s'y sont installées en vue de stimuler l'émergence d'une industrie locale du multimédia. Le programme a permis de remplir les immeubles à pleine capacité, même si leurs loyers étaient plus chers qu'ailleurs en ville.

 

Le fonds de placement immobilier torontois Allied Properties a racheté en 2007 les sept phases de la Cité, qui totalisent 956 000 pieds carrés répartis dans six immeubles. Allied a payé 242 millions de dollars pour le complexe.

 

Ce groupe d'immeubles, répartis entre les rues Queen, Prince, Wellington et Duke, constitue le coeur de la Cité du multimédia. Le secteur plus vaste du Faubourg de récollets, délimité par les rues McGill à l'est, Duke à l'ouest, de la Commune au sud et Notre-Dame Ouest au nord, connaît encore un taux d'inoccupation global élevé.

 

Selon les données fournies par la firme Devencore, le taux d'inoccupation des bureaux atteignait 23,1% dans le quartier au quatrième trimestre de 2011. Il s'agit malgré tout d'une baisse marquée par rapport aux 36,6% enregistrés un an plus tôt.

 

André Plourde, du Groupe immobilier de Montréal, estime que tout ce secteur «s'est amélioré et va continuer à s'améliorer beaucoup plus dans les prochaines années». En effet, plusieurs projets de condos sont prévus ou en construction dans le quartier, et des bars, restaurants et boutiques branchés y ouvrent régulièrement.

 

«On est près d'où les jeunes sortent, d'où les employés habitent, fait-il valoir. Les gens veulent pouvoir sortir proche de leur lieu de travail.»

 

Le démantèlement prévu de l'autoroute Bonaventure, qui délimite l'est de la Cité du multimédia, devrait par ailleurs améliorer l'attrait du quartier d'ici quelques années.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201203/12/01-4504895-cite-du-multimedia-les-locataires-sont-de-retour.php

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Un autre important locataire non technologique - la firme d'ingénierie CIMA+ - vient de signer un bail pour louer environ 40 000 pieds carrés dans la Cité. Le groupe y déménagera «quelques centaines» d'employés pour concentrer les activités de sa division minière, en pleine effervescence grâce au Plan Nord du gouvernement québécois, a confirmé hier le vice-président directeur de CIMA+, François Plourde.

 

Je ne connais pas l'entreprise CIMA + donc je ne sais pas ou la maison mère est situé ni si les quelques centaines d'employés seront des nouveaux employés, des employés de l'extérieur de Montréal qui déménageront dans ce nouvel espace ou une relocalisation d'employés déjà en poste ailleurs à Montréal.

 

Bref, est-ce une bonne nouvelle ou une très bonne nouvelle ?

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Cité du multimédia: les locataires sont de retour

 

 

(Montréal) Le taux d'inoccupation a chuté en flèche dans les six immeubles originaux de la Cité du multimédia. Il est passé de 31% au début de l'an dernier à 7,7% aujourd'hui, a appris La Presse Affaires.

 

> Suivez Maxime Bergeron sur Twitter

 

Le quartier, situé dans l'ouest du Vieux-Montréal, a souffert de la fin des crédits d'impôt du gouvernement québécois à partir de 2009. Plusieurs entreprises qui s'y étaient installées pour bénéficier de ce programme ont alors plié bagage, faisant exploser le nombre de bureaux inoccupés.

 

La saignée a été particulièrement intense vers la fin de 2010, alors que d'importants locataires comme CGI sont partis. Puis, le vent a commencé à tourner au printemps 2011, quand la société papetière AbitibiBowater (Produits forestiers Resolu) a annoncé le déménagement de son siège social dans la Cité. Desjardins y a loué un important bloc de bureaux quelques mois plus tard, confirmant l'intérêt d'entreprises sans lien avec le multimédia pour le quartier.

 

 

«On a arrêté d'être snobés», résume André Plourde, président du Groupe immobilier de Montréal, mandataire de location du propriétaire Allied. «Il n'y a pas si longtemps, Desjardins et AbitibiBowater ne se seraient pas installés ici.»

 

Un autre important locataire non technologique - la firme d'ingénierie CIMA+ - vient de signer un bail pour louer environ 40 000 pieds carrés dans la Cité. Le groupe y déménagera «quelques centaines» d'employés pour concentrer les activités de sa division minière, en pleine effervescence grâce au Plan Nord du gouvernement québécois, a confirmé hier le vice-président directeur de CIMA+, François Plourde.

 

Le taux d'inoccupation de deux immeubles en particulier a fortement régressé depuis janvier 2011. Celui du 87, rue Prince, est passé de 37,6% à 0%, tandis que celui du 111, rue Duke, a glissé de 52,4% à 6,5%. C'est dans ce dernier immeuble que se sont installés AbitibiBowater et Desjardins.

 

Selon André Plourde, la faiblesse globale du taux d'inoccupation des bureaux à Montréal - et la rareté des gros ensembles de locaux contigus - renforce l'attrait de la Cité du multimédia. Au premier trimestre de 2012, le taux d'inoccupation se situe à 7,4% dans les quartiers centraux de la métropole, et à 10,1% dans le Vieux-Montréal, indique la firme CBRE.

 

Sept phases

 

La Cité a été érigée en sept phases entre 1999 et 2003. Québec a offert de généreuses subventions aux entreprises qui s'y sont installées en vue de stimuler l'émergence d'une industrie locale du multimédia. Le programme a permis de remplir les immeubles à pleine capacité, même si leurs loyers étaient plus chers qu'ailleurs en ville.

 

Le fonds de placement immobilier torontois Allied Properties a racheté en 2007 les sept phases de la Cité, qui totalisent 956 000 pieds carrés répartis dans six immeubles. Allied a payé 242 millions de dollars pour le complexe.

 

Ce groupe d'immeubles, répartis entre les rues Queen, Prince, Wellington et Duke, constitue le coeur de la Cité du multimédia. Le secteur plus vaste du Faubourg de récollets, délimité par les rues McGill à l'est, Duke à l'ouest, de la Commune au sud et Notre-Dame Ouest au nord, connaît encore un taux d'inoccupation global élevé.

 

Selon les données fournies par la firme Devencore, le taux d'inoccupation des bureaux atteignait 23,1% dans le quartier au quatrième trimestre de 2011. Il s'agit malgré tout d'une baisse marquée par rapport aux 36,6% enregistrés un an plus tôt.

 

André Plourde, du Groupe immobilier de Montréal, estime que tout ce secteur «s'est amélioré et va continuer à s'améliorer beaucoup plus dans les prochaines années». En effet, plusieurs projets de condos sont prévus ou en construction dans le quartier, et des bars, restaurants et boutiques branchés y ouvrent régulièrement.

 

«On est près d'où les jeunes sortent, d'où les employés habitent, fait-il valoir. Les gens veulent pouvoir sortir proche de leur lieu de travail.»

 

Le démantèlement prévu de l'autoroute Bonaventure, qui délimite l'est de la Cité du multimédia, devrait par ailleurs améliorer l'attrait du quartier d'ici quelques années.

 

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201203/12/01-4504895-cite-du-multimedia-les-locataires-sont-de-retour.php

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