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Actualités du Plateau Mont-Royal


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Dans le cas du Mile-End, c'est les loyers le problème avant tout. On parle de cas où le loyer passe de 2000-3000$ par mois à 6000-7000$. Les taxes ne font pas un tel saut!

D'ailleurs la plupart des commerçants ont eu une diminution de taxes dernièrement en réduisant de 10% le taux de taxation sur le premier 500 000$ d'évaluation, au même moment ou des propriétaires comme Shiller-Lavy imposait une hausse du loyer de 200 ou 300% sur plusieurs locataires.

La ville a aussi pris un engagement de réduire la part des taxes commerciales dans le budget de la ville. Les hausses commerciales seront systématiquement une fraction de celles résidentielles. 

Finalement, ce n'est pas un système comme tel qui charge les taxes aux commerçants locataires, ce sont les propriétaires des édifices qui le font parce qu'ils ont le droit et le pouvoir de le faire, tout simplement. Ça tient purement du domaine privé, et si l'état ne réglemente pas les loyers commerciaux¸ ça va rester comme ça. 

Ceci étant dit, c'est évident qu'il faut aussi continuer de faire des efforts fiscaux pour faire respirer nos petits commerçants, 100% d'accord de soutenir les efforts sur cette question, et faire plus à long terme.

(à titre indicatif, un commerce qui vaut 1 million dans le Plateau va se faire charger environ 35 000$ en taxes, et pour un local au prix "normal" de Shiller Lavy dans le Mile-End, environ le double en loyer).

PS: je viens de passer par Bernard, il y a 3 pancartes à louer en ce moment entre Saint-Laurent et Parc. Par contre quelques locaux vacants en plus de cela, difficile de savoir quand un nouveau projet s'en vient.

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  • Administrateur

Si le proprio est assez cave pour perdre de la business alors tant pis. Tu montes le loyer quand tu sais que tes locataires peuvent payer ou bien quelqu’un d’autre... mais la des locaux vides pendants des mois c’est abusif. Taxe à la friche ça serais pas fou. 

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Lorsqu'il y a un roulement au niveau des commerçants qui occupent des locaux on peut se dire que les affaires vont bien et que la rue ou le quartier en question reste très attrayant. Par contre, au niveau de l'attachement du quartier, il me semble qu'on perd beaucoup. 

On s'imagine le club de hockey du Canadiens ou les joueurs changent constamment, bien sur que notre loyauté et/ou notre attachement à ce club en sera diminué. C'est la même chose au niveau commercial d'une rue de quartier. Il faut absolument garder l'essentiel des petits commerces pour avoir un lien continue et d'attachement avec le quartier. 

Dans ce sens, la ville est en faute. Car si les proprios ont le pouvoir et la possibilité de faire ce qu'ils font, alors c'est la ville qui ne fait pas ce qu'il faut pour maintenir l'équilibre nécessaire.  Pour un jeune de 20 ou 25 ans qui s'installe dans le quartier, cela peut paraitre dérisoire, mais pour un habitué de la place, si tout ses repères disparaissent un par un, alors non seulement il perd sont attachement au quartier mais il perd aussi sa confiance en la ville. 

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Je ne comprends pas les dépôts sauvages de déchets. Ces gens ne sont pas capables d'attendre à la journée de collecte des ordures? Il faut dire que les AirBnB n'aident pas 

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201907/09/01-5233344-des-cameras-et-des-fleurs-contre-linsalubrite-dune-ruelle-du-plateau.php

Publié le 10 juillet 2019 à 00h00 | Mis à jour à 00h06

Des caméras et des fleurs contre l'insalubrité d'une ruelle du Plateau

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Pour dissuader les pollueurs, la famille Sandhu, propriétaire de l'India Rosa, a installé samedi un bac à fleurs sous l'oeuvre murale rose que l'établissement avait fait peindre pour éviter les graffitis.
PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

MORGANE GELLY
La Presse

Entre les sacs à ordures et les cartons éventrés qui s'accumulent derrière les restaurants de l'avenue du Mont-Royal, un large bac à fleurs surmonté d'un avertissement en caractères rouges : « Défense de jeter ses déchets ». À quelques pas de là, des caméras sont braquées sur les poubelles. Les restaurants du secteur ont pris ces initiatives pour lutter contre l'insalubrité de leur ruelle.

Ces derniers mois, la ruelle Généreux, qui longe l'avenue du Mont-Royal sur le Plateau, est plus sale que jamais, selon ses habitants, particulièrement entre De Lanaudière et Brébeuf. La sciure répandue sur le sol noirci par les huiles de cuisson ne suffit pas à absorber l'odeur nauséabonde qui s'en dégage. « Je trouve ça déplorable. Je trouve ça triste », commente Nathalie Roy, qui habite le quartier depuis trois ans.

La semaine dernière, Mme Roy a envoyé une plainte à la Ville de Montréal après avoir observé un important déversement d'huile dans la ruelle. C'était la deuxième fois en trois mois que cela arrivait. Le premier déversement a eu lieu en avril. Zoé, la chienne du voisin, trempait ses pattes dans l'huile lors de ses promenades quotidiennes.

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Ces derniers mois, la ruelle Généreux, qui longe l'avenue du Mont-Royal sur le Plateau, est plus sale que jamais, selon ses habitants, particulièrement entre De Lanaudière et Brébeuf.
PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Pour ne rien arranger, les habitants ont constaté un nombre élevé de logements loués sur Airbnb dans le secteur. Les déchets ménagers sont ramassés le vendredi ; or les vacanciers quittent généralement les appartements le dimanche. Luc Martineau, qui vit ici depuis cinq ans, constate que des déchets attendent dehors pendant toute la semaine.

La journée des déménagements n'a fait qu'amplifier le problème, selon lui.

« Cette période, c'est pire parce que les gens arrivent le 1er juillet et c'est normal. Mais c'est régulier. Il y a toujours un surplus de déchets qui appartient à je ne sais qui. »

- Luc Martineau

Ce problème exaspère tout autant les restaurateurs.

Ari Goudsouzian est chef copropriétaire du Bungalow, l'un des restaurants donnant sur la ruelle. C'est son bac de récupération des huiles qui a provoqué la colère du voisinage.

La première fois, quelqu'un l'aurait renversé et il se serait déversé sur le sol. Les propriétaires ont reçu une amende. Pourtant, eux aussi déplorent l'incident. « Je recycle l'huile parce que [les entreprises qui la récupèrent] me donnent de l'argent, explique M. Goudsouzian. Ce n'est pas dans mon intérêt de jeter l'huile à terre, de jeter l'argent à terre. »

« On est très propres »

La semaine dernière, quelqu'un aurait placé un sac à ordures dans son bac de récupération des huiles et l'aurait fait déborder. « Tout de suite, je suis allé chercher le tuyau d'arrosage et j'ai commencé à nettoyer, raconte le chef cuisinier. J'ai fait mon possible pour sortir le sac de l'huile pour que ça ne déborde pas encore plus. » Depuis, son équipe récure le sol à coup de savon et de dégraissant pour faire partir les résidus.

Face au manque de civisme de ceux qui déposent sauvagement leurs ordures, les restaurateurs semblent pédaler dans l'huile. « C'est des montagnes ! », s'exclame Hugo Laramée, gérant de l'India Rosa.

« On nettoie... une journée après, les gens ont remis [des déchets]. »

- Hugo Laramée

Malgré leur bonne volonté, ils se disent dépassés par la situation. « On a fait des plaintes à la Ville pour faire bouger les choses, explique M. Laramée. On est tannés d'être toujours en train de nettoyer, de se faire taper sur les doigts. Ce n'est pas de notre faute parce qu'on est très propres et très soucieux du voisinage. »

Mais les plaintes n'ont rien changé, et la responsabilité est souvent attribuée aux commerçants. « Le règlement sur la propreté exige de nettoyer en avant et en arrière de chez soi. Donc ce n'est pas vrai que c'est la Ville qui est forcément responsable si c'est derrière chez eux, explique Catherine Piazzon, chargée de communication de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal. C'est normal que ce soit eux qui ramassent. » Pour les dépôts sauvages, elle les invite à appeler le 311.

Dissuader les pollueurs

Pour dissuader les pollueurs, la famille Sandhu, propriétaire de l'India Rosa, a installé samedi un bac à fleurs sous l'oeuvre murale rose que l'établissement avait fait peindre pour éviter les graffitis. « Ça donne un beau look, et depuis qu'on a fait ça, du jour au lendemain, il n'y a plus aucun déchet qui a été mis là, ni en dessous, ni par-devant », rapporte le gérant.

L'initiative a été acclamée par les voisins. « Ça fait du bien. C'est comme une bouffée de fraîcheur dans un coin de ruelle qui est vraiment mal en point », souligne Mme Roy. Le coin rose et fleuri flatte l'oeil et le nez des passants, mais le problème n'est que repoussé. Les déchets s'accumulent désormais derrière le restaurant voisin.

De leur côté, les propriétaires du Bungalow comptent démasquer les pollueurs. Ils ont installé des caméras de surveillance au-dessus de leurs bacs. « Là, on va vraiment avoir des preuves quand on voit que quelque chose a été mis et que ce n'est pas nous autres. Et surtout, juste en mettant les caméras, ça va sûrement être dissuasif », espère Ari Goudsouzian.

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D'autres articles sur les loyers dans le Mile-End:

https://montrealgazette.com/news/local-news/pastry-shop-chez-de-gaulle-latest-victim-of-mile-end-rent-hikes

Quote

 

Helou was protected by a lease for the first few years under his new landlord, but with that lease coming to an end, he said his rent was increased from $1,950 per month, before taxes, to $6,500. And then there were the new conditions.

“They were demanding I invest $50,000 towards renovations that would enhance the rental value of the space,” he said. “And they wanted five months rent in advance. Who’s going to pay that?”

 

333.33% d'augmentation de loyer, exigence de payer 5 mois d'avance, et demande au locataire d'entretenir et d'améliorer l'édifice. Bref 80 000$ exigé pour rester dans le local.

https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/high-rents-are-driving-businesses-out-of-montreal-s-neighbourhoods-what-can-be-done-1.5208019

Quote

The trendiest neighbourhood in the city is now lined with boarded-up commercial buildings defaced by graffiti, their windows covered in tattered posters for bygone events.

CBC exagère ici pour l'effet dramatique, il y a plus de commerces dans le Mile-End en ce moment que jamais, et la plupart des rues n'ont pratiquement aucune vacance. Depuis 6 ans, il y a eu un nouveau local non loué dans ce genre d'état lamentable, mais d'autres sont arrivés sur le marché. Le problème est surtout le départ des commerces originaux ou historiques, de certains commerces avec un rendement moins élevé (comme une pâtisserie avec des croissants à un prix normal), le haut taux de roulement, et le temps entre deux locations par les gros propriétaires qui préfèrent attendre longtemps, endommageant la vitalité de la rue, que de louer à un prix raisonnable. La majorité des locaux carrément abandonnés le sont depuis très longtemps et ce n'est pas nouveau, comme celui qui illustre cet article.

Par contre je suis certain que la rue Bernard n'aura pas la même force de résilience que Saint-Viateur (forte de milliers de travailleurs juste à côté) si la même spéculation frappe la rue.

AJOUT BONUS: l'avis de Ponto sur la question:

 

 

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Spéculation et cupidité ont raison des commerçants du Mile End

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1221088/montreal-mile-end-fermeture-commerce-loyer-hausse-avenue-bernard

Publié le vendredi 12 juillet 2019 à 19 h 04

L'avenue Bernard, artère commerciale du Mile End à Montréal, enregistre une baisse d'achalandage en raison de ses devantures laissées à l'abandon, selon des commerçants.

Radio-Canada

Quartier animé s'il en est un, le Mile End est pourtant déserté par un nombre croissant de commerçants, chassés par la hausse indue des loyers et la spéculation foncière. La Ville de Montréal se dit prête à intervenir, mais pas n'importe comment.

Le Mile End est mort, dit une affiche qui a été placardée sur les portes de certains commerces désaffectés de l'avenue Bernard.

Dans ce secteur, le nombre de restaurants familiaux, de cafés chics et de boutiques de vêtements en disparition s'accroît.

Et leur départ laisse place à des façades dégarnies, couvertes de graffitis ou d'affiches annonçant des événements passés.

Il n'y a pas que sur l'avenue Bernard que l'on constate une dégradation; par exemple sur la rue Saint-Viateur, un pâtissier a mis la clé sous la porte après que le propriétaire de l'immeuble eut plus que triplé le coût du loyer. L'an dernier, une hausse exorbitante de loyer avait eu raison du commerce voisin, un resto végétarien qui a dû déménager.

En fait, partout à Montréal des commerces connaissent le même sort, et ce, même si leurs affaires marchent rondement.

Ce phénomène désole et inquiète un nombre grandissant de Montréalais qui réclament des mesures pour juguler la hausse des loyers et, ainsi, protéger les commerçants des propriétaires cupides. Certains croient que les autorités municipales devraient adopter, pour les commerces, des mesures de protection semblables à celles qui existent pour les locataires dans le domaine résidentiel.

Aucun règlement ne protège les locataires d'espaces commerciaux des abus, affirme Glenn Castanheira, un consultant dans le domaine commercial qui croit que le statu quo entraînera la perte de nombre de petits commerces.

Glenn Castanheira craint que de nombreux commerces de Montréal ne soient étouffés par l'augmentation indue des loyers et la spéculation à laquelle s'adonnent des propriétaires d'espaces commerciaux.

Glenn Castanheira dit constater que des propriétés passent aux mains d'acheteurs qui ne veulent rien d'autre que spéculer. À cette fin, ils n'hésitent pas à laisser vacants les locaux ayant pignon sur rue, attendant que la valeur de leur immeuble grimpe.

Et s'ils augmentent le loyer démesurément, c'est dans l'espoir qu'un commerçant sera prêt à payer le prix. Mais que les espaces commerciaux soient vides ou occupés, les propriétaires voient la valeur de leur immeuble s'accroître.

On voit de plus en plus de ces commerces laissés vacants de manière volontaire, affirme Glenn Castanheira.

Conseillère d'arrondissement du district Mile End, Marie Plourde affirme que la Ville entend s'occuper du problème. Le comité de développement économique de Montréal cherche des solutions au problème d'espaces commerciaux laissés vacants.

Cependant, Marie Plourde dit qu'il ne faut pas pénaliser tous les petits propriétaires d'immeubles. Il faut trouver un équilibre, dit-elle. Parfois, il peut être long pour un propriétaire de trouver des locataires appropriés.

Moisissures, rouille et ruines...

Il n'est pas illégal de laisser un immeuble vide. Mais avec le délabrement viennent moisissures, rouille et ruines. Et, dans le processus, des commerçants sont chassés d'un quartier où ils offraient leurs services parfois depuis des générations.

Nick Kirschner, commerçant, plaide pour que la Ville de Montréal impose un contrôle afin de limiter l'augmentation des loyers des baux commerciaux.

De plus, cette décrépitude fait fuir les passants. Neil Kirschner, propriétaire de magasins de vélos à Montréal et d'un magasin de disques sur l'avenue Bernard, remarque une baisse d'achalandage significative.

La situation s'est dégradée extrêmement rapidement, dit-il. J'ai l'impression que ce n'est même plus d'année en année, mais quasiment de jour en jour.

Neil Kirschner s'estime chanceux que ses propriétaires n'aient pas haussé les loyers au-dessus de ses moyens. Mais il est conscient qu'ils pourraient le faire.

Les petits commerçants travaillent jour et nuit pour survivre. Qu'ils courent le risque de devoir complètement changer leur modèle d'affaires pour des motifs aussi imprévisibles et arbitraires est insensé.

Neil Kirschner, commerçant à Montréal

Pour remédier au problème, M. Kirschner suggère de contrôler les hausses de loyer que peuvent imposer les propriétaires d'espaces commerciaux, en limitant par exemple le taux des augmentations annuelles.

Mais cette approche musclée est risquée, de l'avis de Glenn Castanheira. Le consultant craint qu'elle ne fasse stagner le marché, empêchant de nouveaux commerces de s'implanter dans des secteurs en pleine croissance.

Chicago, un modèle

M. Castanheira préconise plutôt l'approche adoptée par Chicago. Les autorités municipales de cette ville poussent les propriétaires à louer leurs espaces commerciaux, faute de quoi ils sont mis à l'amende. Chicago inspecte aussi les immeubles régulièrement et exige des propriétaires qu'ils les entretiennent.

Dans cette veine, Glenn Castanheira souhaite que le gouvernement du Québec fixe des obligations aux propriétaires relativement à ce qu'ils peuvent, et ne peuvent pas, inclure dans leur bail.

Traduction et adaptation d'un texte de Kate McKenna de CBC

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Il y a 15 heures, acpnc a dit :

Neil Kirschner, commerçant à Montréal

Pour remédier au problème, M. Kirschner suggère de contrôler les hausses de loyer que peuvent imposer les propriétaires d'espaces commerciaux, en limitant par exemple le taux des augmentations annuelles.

Mais cette approche musclée est risquée, de l'avis de Glenn Castanheira. Le consultant craint qu'elle ne fasse stagner le marché, empêchant de nouveaux commerces de s'implanter dans des secteurs en pleine croissance.

Je ne vois pas en quoi le taux des augmentations annuelles pourrait empêcher de nouveaux commerces de s'implanter dans un secteur en pleine croissance ?

 

Il y a 15 heures, acpnc a dit :

Chicago, un modèle

M. Castanheira préconise plutôt l'approche adoptée par Chicago. Les autorités municipales de cette ville poussent les propriétaires à louer leurs espaces commerciaux, faute de quoi ils sont mis à l'amende. Chicago inspecte aussi les immeubles régulièrement et exige des propriétaires qu'ils les entretiennent.

Dans cette veine, Glenn Castanheira souhaite que le gouvernement du Québec fixe des obligations aux propriétaires relativement à ce qu'ils peuvent, et ne peuvent pas, inclure dans leur bail.

Nous sommes en plain dans les plates bandes de Projet Montréal qui veut protéger les petits alors il est temps d'agir pour eux et je suis tout à fait pour ce genre de mesure. La ville doit trouver un moyen de ''pénaliser'' les proprios qui laissent leur locaux vides pendant des années et aussi ceux qui négligent la devanture des commerces.  

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