Aller au contenu

Montréal 7ième au classement 'World's best nightlife cities' de CNN Travel


DENIJS

Messages recommendés

Dans le classement, on parle bien de "nightlife", un genre d'activités qui se pratique essentiellement à l'intérieur, et la nuit..., pas d'activités familiales ou sportives. Ce qui compte, ce sont les restaurants, les performances artistiques (chant, musique, danse, spectacles) et surtout l'atmosphère, un concept peut-être difficile à circonscrire mais dont on sait qu'il dépend largement du style (un autre composite) de la faune locale, qui de ce fait attire la faune étrangère pour un résultat unique. En d'autres mots, ça ne ne planifie pas. Tout ce qu'il faut, c'est de s'assurer que ce mix magique ne soit pas compromis (par exemple par un sentiment d'insécurité, des taxes prohibitives, des prix excessifs ou des restrictions tatillonnes). A l'heure actuelle, il semble que Montréal s'en tire bien sous ces rapports. C'est pourquoi j'ai tendance à inciter à la prudence avant "d'étudier scientifiquement" le phénomène en vue de proposer des mesures (bureaucratiques?) qui viseraient à "améliorer" la performance, car c'est fragile!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est vrai qu'on parle de ''nightlife'' dans ce classement. Et il est vrai que le ''nightlife'' de Montréal est très intéressant, même en hiver. Par contre, je ne crois pas que c'est assez pour attirer des touristes en hiver. Ca prend un peu plus que cela. Le "nightlife" de Montréal arrive en ''plus value'' mais ce n'est pas la première raison pour venir ici, surtout pas en hiver.

 

Par contre, si on peut attirer l'attention des touristes avec quelque chose d'original ou d'assez unique, alors c'est à ce moment que le ''nightlife'' viendra seconder de façon très positive n'importe quel attrait hivernal.

Modifié par steve_36
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le "nightlife" de Montréal arrive en ''plus value'' mais ce n'est pas la première raison pour venir ici, surtout pas en hiver.

 

Par contre, si on peut attirer l'attention des touristes avec quelque chose d'original ou d'assez unique, alors c'est à ce moment que le ''nightlife'' viendra seconder de façon très positive n'importe quelle attrait hivernal.

 

Parfaitement d'accord! Mais on est alors rendu à parler d'autre chose--la promotion de l'industrie touristique.

Modifié par Né entre les rapides
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est vrai qu'on parle de ''nightlife'' dans ce classement. Et il est vrai que le ''nightlife'' de Montréal est très intéressant, même en hiver. Par contre, je ne crois pas que c'est assez pour attirer des touristes en hiver. Ca prend un peu plus que cela. Le "nightlife" de Montréal arrive en ''plus value'' mais ce n'est pas la première raison pour venir ici, surtout pas en hiver.

 

Par contre, si on peut attirer l'attention des touristes avec quelque chose d'original ou d'assez unique, alors c'est à ce moment que le ''nightlife'' viendra seconder de façon très positive n'importe quel attrait hivernal.

 

Igloofest fait une bonne job. Mtl en Lumière aussi. Il en faut plus dans le genre. Et faudrait qu'on relance le Village de glace, avec une offre bonifiée et améliorée. Ce serait un départ.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Nous sommes tous d'accord que Montréal offre un nightlife intéressant, original et apprécié d'une bonne majorité de résidents et de visiteurs. L'auteur de cette liste semblait toutefois se refroidir et supposer que l'ambiance montréalaise différait en hiver. Il n'a pas tout à fait tort parce qu'effectivement l'activité migre à l'intérieur et se réduit en comparaison des nuits chaudes d'été. Mais la joie de vivre de Montréal continue à sévir comme pour faire contrepoids aux rigueurs du climat. C'est notre côté bien latin et l'effervescence qui en découle qui est responsable de notre réputation, puisque nous demeurons les mêmes excités en toutes saisons.

 

En effet nous créons et consommons beau temps mauvais temps. Montréal demeure une ville musicale qui grâce à sa culture originale dont la production est déjà très fertile, s'ajoutent à toutes les autres tendances qui viennent cohabiter et bouillonner dans nos salles de spectacles et autres lieux de diffusion. Nous sommes aussi le passage obligé de l'élite des DJ qui trouvent ici un public complice qui en redemande constamment. Et ici le phénomène n'est pas nouveau, puisqu'il prend racine à l'époque des cabarets et des nuits folles de Montréal. On pourrait dire littéralement qu'on n'y peut rien parce qu'on est en fait tombé dedans quand on était petit.

 

Dans ce domaine pas de doute, notre société distincte prend toute la place et s'exprime haut et fort parce qu'ici s'amuser c'est du sérieux. Autant on pourrait nous blâmer d'être moins productifs, le travail n'étant pas nécessairement au centre de toutes nos préoccupations, on tente cependant d'équilibrer le tout entre plaisirs et responsabilités. Admettons qu'on réussit peut-être mieux dans le premier, parce qu'on essaie de conjuguer économie et loisirs, sans toutefois y perdre notre âme, et c'est tant mieux.

 

Notre nature ouverte et chaleureuse est naturellement invitante, elle séduit même les plus fortunés de la Terre qui se donnent rendez-vous au GP, un des plus courus dans le monde. Nos festivals sont un autre exemple de cette exubérance, qui fait de Montréal une scène permanente dans une sorte d'hyperactivité qui en étonne plus d'un. Et on ne veut pas s'arrêter là à cause d'un hiver maussade qui joue trop souvent les rabats-joie. On voudrait étendre cette douce folie à 12 mois par année. Pas facile cependant quand on jouit d'un des hivers parmi les plus rigoureux de la planète et que peu de gens trouve sexy, on en conviendra.

 

Or c'est sans compter sur notre tempérament résilient qui nous a permis de survivre et prospérer dans l'adversité. Notre esprit inventif et notre enthousiasme n'ont pas non plus dit leur dernier mot. Nous avons déjà des événements d'importance qui défient la saison froide. Ne suffit que de trouver l'énergie nécessaire, pour que d'autres endroits et manifestations viennent combler le vide saisonnier. On pourra alors dire fièrement que Montréal est devenue enfin la ville la plus chaude de l'hiver.

 

En terminant je tente ici une idée: pourquoi ne pas construire une place des festivals intérieure dans le Vieux-Port? Un endroit qui pourrait ressembler à un centre de foires, qui serait polyvalent et qui pourrait réunir une foule importante. Ici on pourrait véritablement foirer en hiver dans un endroit spécialement conçu pour des spectacles interactifs et toutes sorte d'événements de nature diverses. Encore là l'imagination est la seule limite. De toute façon le rêve n'est-il pas associé à la nuit, surtout qu'ici on parle justement de nightlife.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On parle de nightlife ou de jouer à ringuette la nuit?

 

Les jupes sortent pas à -20c, alors la pente est raide pour avoir des party à l'année longue.

 

(les pires mois sont janvier et février de l'année)

 

 

Sent from my iPhone using Tapatalk

 

Pour être sorti sur le boulevard Saint-Laurent pendant une certaine période de ma vie, je confirme que les mini-jupes sont de sortie par -20°! :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour être sorti sur le boulevard Saint-Laurent pendant une certaine période de ma vie, je confirme que les mini-jupes sont de sortie par -20°! :)

 

 

Oh y en as c'est sûr quelques âmes chaudes qu'un -20c n'arrête pas.

 

Mais ayant été impliqué dans ce secteur pendant 10+ ans, je fais ce commentaire par cumul d'observation ;-)

 

 

Sent from my iPhone using Tapatalk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je ne sais pas ce que ça vaut, mais Montréal est la 3e ville la plus amicale selon les utilisateurs du site RoughGuides.com, après Dublin (Irelande) et Glasgow (Écosse) [Mes prochaines destinations vacances :)]

 

http://www.roughguides.com/gallery/the-worlds-friendliest-cities-as-voted-by-you/#/13

 

Au moins, ce classement des villes les plus amicales a l'avantage de la consistance, considérant l'importance des apports irlandais et écossais à Montréal, surtout au 19e siècle, période qui justement vit Montréal s'élever au rang de métropole, bien avant l'ère Drapeau.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



×
×
  • Créer...