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L'Économie du Québec


Habsfan

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Couillard et les Libéraux = 250 000 jobs. Inquiétez vous pas les boys ça regarde bin...

 

 

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250 000 ce n'est pas beaucoup,

 

''Selon les prévisions d’Emploi-Québec, sur les 640 000 emplois disponibles entre 2002 et 2006, un fort pourcentage exigera une formation professionnelle ou technique.''

http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/actualites/communiques/2003/octobre/2003-10-10.asp

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Guys stop looking at monthly stats...

 

You are quite right but hey, they do it all over the world, and therefore you have politicians having to react with apparently substantive comments, however stupid that might be to do so. And don't we have as well the DAILY changes in stock exchange indices, with "financial analysts" pouring tons of explanations, without any remorse over having said just the opposite the day before. You know, in the end, discussing the hockey playoffs results might be a more serious undertaking.

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C'est évident, les Desmarais sont heureux que les Libéraux ont gagné les élections. Mais je trouve ça un peu étrange qu'ils blâment la mauvaise réputation du Québec sur la commission Charbonneau et la crise étudiante.... pourtant, c'est bien l'ancien gouvernement Charest qui est responsable de ces deux évènements!

 

 

Les Desmarais optimistes quant à la situation économique de la province

 

Le résultat de la dernière élection est la preuve que le Québec a évacué la question référendaire, selon le codirigeant de Power Corporation, André Desmarais, qui se dit maintenant optimiste quant à la situation économique de la province.

 

«Je crois que le fait que le Québec ait répondu "non" au référendum, parce que c'était vraiment, à mon avis, une élection référendaire, ça a envoyé un signal assez fort que les gens ont peut-être décidé que c'était terminé ces discussions», a dit M. Desmarais, jeudi.

 

En marge de l'assemblée annuelle du conglomérat, M. Desmarais - fédéraliste avoué - a laissé entendre que le signal envoyé par les électeurs le 7 avril devrait rassurer les investisseurs.

 

«Je pense que pour la première fois le Québec est sur une avenue qui lui permettra de croître, surtout s'il reste sur la route qu'il a décidé de prendre récemment», a-t-il expliqué aux journalistes en point de presse.

 

Le codirigeant de Power Corporation (T.POW) a néanmoins prévenu que la partie était loin d'être gagnée et que le nouveau gouvernement libéral de Philippe Couillard aura fort à faire pour redorer le blason de la province dans le reste du Canada et dans le monde.

 

«Si le gouvernement peut prendre les bonnes décisions (...) (pour) redorer une image ternie par les carrés rouges, la charte et la Commission Charbonneau, qui ont donné une mauvaise impression, a dit M. Desmarais. Il faudra que le gouvernement attire les investissements.»

 

M. Desmarais a également prévenu que la situation économique de la province ne changera pas du jour au lendemain, affirmant que «détruire une réputation, ça se fait rapidement, mais (que) la (re)construire (prenait) du temps».

 

Il est également inacceptable, selon lui, que le Québec, qui représente 23,8 % de la population canadienne, ne contribue qu'à seulement quelque 20 % du produit national brut.

 

«Il n'y a pas de raisons, quand on regarde la créativité, l'intelligence et l'éducation que nous avons (...) (qu'on ne puisse) aller vers l'avenir économique qui peut nous permettre de s'offrir les soins que l'on veut», a observé M. Desmarais.

 

À ses côtés, son frère Paul Desmarais fils, également codirigeant de Power Corporation, a quant à lui indiqué qu'il s'attendait à une augmentation des investissements puisqu'un «voile» avait été levé sur «l'incertitude» le 7 avril dernier.

 

À la défense de Marc Bibeau

 

Paul Desmarais fils s'est également porté à la présence de Marc Bibeau au conseil d'administration de la Corporation Financière Power (T.PWF), même s'il est sous le radar de l'Unité permanente anticorruption (UPAC).

 

M. Bibeau, de l'entreprise Schokbéton, a souvent été identifié comme le grand argentier du Parti libéral du Québec sous le règne de l'ex-premier ministre Jean Charest.

 

Questionné lors de l'assemblée des actionnaires par un représentant du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires, le codirigeant de Power Corporation a rappelé que M. Bibeau n'était pas visé par des accusations.

 

«C'est un monsieur qui a fait beaucoup pour la société, qui a essayé d'aider à lever des fonds pour les partis, a-t-il dit. Il l'a fait de bonne foi.»

 

Plus tard, en point de presse, Paul Desmarais fils s'est dit «irrité» de voir qu'il y avait de plus en plus de «chasses aux sorcières», ce qu'il déplorait, ajoutant que M. Bibeau s'était déjà exprimé sur le sujet.

 

«Je me dis: quelle personne va vouloir travailler pour quelque parti que ce soit?» a-t-il demandé.

 

Paul Desmarais fils a rappelé que M. Bibeau avait été réélu au sein du conseil de la Corporation Financière Power avec une majorité de plus de 99 %.

 

«Nous sommes très heureux de l'avoir», a-t-il dit.

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201405/15/01-4767091-les-desmarais-optimistes-quant-a-la-situation-economique-de-la-province.php

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  • 3 semaines plus tard...

Le gouvernement Couillard a un gigantesque défi devant lui. C'est celui de redresser les finances publiques du Québec, qui sont dans un état lamentable, et créer des conditions favorables à la création de richesse. Voici un constat un peu sombre, mais réaliste dans lequel ce gouvernement évoluera.

 

1. La dette

 

Au 31 mars 2014, la dette brute du Québec (dettes du gouvernement, dettes des municipalités et des sociétés d'état) atteignait 266 milliards et la dette nette (dette brute-actifs du gouvernement) était de 198 milliards. Avec un PIB de 360 milliards, notre ratio PIB/dette brute est de 74%, le plus haut au Canada.

 

2. La démographie

 

Nous savons que le vieillissement de la population affectera le Québec d'une façon plus importante que dans le reste du pays. La croissance démographique prévue est relativement faible, soit de 1% à 2% annuellement. Le taux de natalité augmente, mais pas suffisamment. Les migrations interprovinciales, malgré une amélioration au cours des années 2000, demeurent défavorables au Québec. Du côté des immigrants qualifiés, le Québec n'en accueille pas assez et a de la difficulté à reconnaître les compétences de ceux qu'elle accueille.

 

3. La croissance économique

 

La croissance économique prévue s'avère également trop faible, soit de 1,5% à 2,5% annuellement. Notre lourde fiscalité et nos cadres réglementaires étouffants, notre bas taux d'entrepreneuriat et notre démographie désavantageuse expliquent en grande partie notre perspective de faible croissance.

 

4. La gestion gouvernementale

 

Les différents gouvernements nous ont prouvé qu'ils sont de très mauvais gestionnaires de finances publiques. De très nombreux exemples soutiennent cet état de fait. La lourde bureaucratie, l'explosion de la dette publique, le manque de productivité, le gaspillage, la corruption et la collusion en constituent quelques uns. Par ailleurs, la croissance des dépenses publiques ne diminue pas et le nombre d'employés de l'État augmente plus vite que la croissance démographique.

 

5. Conclusion

 

Le gouvernement libéral devra faire preuve de beaucoup de courage et agir tôt dans le mandat pour relancer le Québec économique. Beaucoup de pédagogie et un message clair et constant seront de mise. Nous sommes entièrement capables de réussir collectivement à renverser la tendance et changer le destin du Québec.

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Bref on fait faillite et on recommence?

 

Non, mais nous allons devoir changer la façon de faire les choses au Québec. Ça fait 40 ans que nous avons essayer cette façcon de faire, et regarde où ça nous a mené!

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Un Qc renouveau car la fin des babyboomers. Ce n'est que passager. Le Qc de demain passe par Mtl et Qc, pas par les petites villes. Nous verrons surement un retour vers la métropole, justement, ces 2 villes demandent un statut particulier, on est rendu là. Avec les Libéraux on devrait voir une augmentation de l'immigration, on peut espérer 50k à Mtl en moyenne. Annexer St-Jean à la région métropolitaine et par le fait même, agrandir la zone du Grand Montréal. Il y a réellement 4.5M dans le Greater Montréal en 2014.

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Invité Olivier2160

Ouin ben y'a définitivement quelque chose qui ne va pas au Québec et même dans le reste du pays. Quand seulement 2 provinces sur 10 voit une augmentation de l'emploi (et on s'entend que l'Alberta est une classe à part) on a un méchant problème. On ne semble pas profiter de la reprise américaine ou européenne, si petite soit elle. Il faut absolument trouver des nouveaux revenus, des nouvelles expertises et je ne peux m'empêcher de penser à l'exploitation des hydrocarbures ASAP. Bref, rien de bien encourageant voire même déprimant

 

 

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