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Oui ça avance tranquillement. Un article dans La Presse d'aujourd'hui :

 

 

Mercredi 16 mai 2012 | Mise en ligne à 9h38 | Un commentaire

 

Quartier de l’innovation: “l’autre” Griffintown

 

Le "Quartier de l'innovation", qui rayonne à partir de l'ETS dans Griffintown (image tirée de http://www.quartierinnovationmontreal.com)

 

Griffintown fait beaucoup jaser en raison des milliers de condos qui y pousseront ces prochaines années.

 

Au-delà de la frénésie immobilière, ce secteur pourrait aussi se trouver à l’aube d’un nouveau développement institutionnel. En effet, Griffintown se situe au coeur du Quartier de l’innovation, une idée mise de l’avant par l’Université McGill et L’École de technologie supérieure (ÉTS).

 

Le concept demeure pour le moment un peu flou. Il “vise à favoriser la synergie entre institutions et entreprises afin d’accroître le potentiel de créativité et d’innovation et ses applications dans ce qui se voudra un laboratoire vivant”, indique un communiqué diffusé hier.

 

Quoi qu’il en soit, le projet de Quartier de l’innovation (dont on voit les limites sur l’image ci-dessus) progresse.

 

Ses promoteurs ont reçu cette semaine une aide financière de 1,05 million de dollars, versée à parts égales par Québec, Ottawa et la Ville de Montréal. Cette somme servira à assurer le “pré-démarrage” du projet.

 

Plusieurs éléments restent à établir: l’offre de service du futur quartier, le modèle d’affaires et de financement et le “branding”, notamment.

 

« Le projet de Quartier de l’innovation que nous privilégions sera un lieu où travail et milieu de vie se confondent. Un endroit qui intègrera les quatre volets essentiels à une communauté créative : industriel, formation et innovation, urbain ainsi que social et culturel, permettant ainsi d’y vivre, apprendre, travailler et de s’y divertir”, a indiqué Yves Beauchamp, directeur général de l’ÉTS.

 

Beaucoup de chemin reste à parcourir, donc, mais un petit pas supplémentaire a été franchi vers la possible réalisation de ce nouveau quartier.

 

Griffintown commence pour sa part à prendre forme, au fur et à mesure que les ouvriers y bâtissent des milliers d’appartements en copropriété. Un développement qui soulève autant d’enthousiasme que de critiques.

 

http://blogues.lapresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/2012/05/16/quartier-de-linnovation-lautre-griffintown/

Modifié par jerry
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Membres prolifiques

Nouvelles infos sur ce projet tirées de La Presse aujourd'hui :

 

 

Quatre volets

 

 

Yves Beauchamp, directeur général de l'ÉTS, a pour sa part expliqué que le projet de Quartier de l'innovation, tel qu'il s'élabore par ailleurs à Barcelone et à Helsinki, comprend quatre volets: industriel, formation et innovation, urbain, social et culturel.»C'est l'interconnexion entre ces quatre volets qui crée l'état d'esprit typique d'un quartier de l'innovation. Cette tendance novatrice mondiale nous apparaît le meilleur moyen de procéder au redéveloppement urbain de Griffintown», où l'ÉTS constitue un moteur de renouveau depuis son établissement, en 1998.

 

Il a rappelé que l'ÉTS (6500 étudiants) a déjà commencé à accueillir de jeunes entreprises au Centre d'innovation INGO, installé rue McGill, dans l'ancienne tour de brassage de la Brasserie Dow, pilier historique de Griffintown. Ce quartier de l'arrondissement Le Sud-Ouest est délimité par la rue Notre-Dame, le canal de Lachine, la rue Guy et la rue McGill. «Quartier d'innovation urbanistique», Griffintown est le premier endroit en Amérique du Nord où l'on a adopté un plan de rues quadrillé. Comme lieu d'innovation sociale, Griffintown - ainsi nommé à cause des nombreux immigrés irlandais qui s'y sont installés - a vu s'ériger les premiers logements sociaux, les premiers triplex et les premières garderies de Montréal.

 

Notons enfin que les nombreux chantiers de construction résidentielle dans le secteur - District Griffin, Les Bassins du Nouveau Havre, etc. - créeront à moyen terme quelque 7000 logements.

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  • 3 semaines plus tard...

Publié le 31 mai 2012 à 08h01 | Mis à jour le 31 mai 2012 à 08h01

 

McGill aura son centre de recherche sur les biocarburants

 

Charles Côté

La Presse

 

 

Le rêve de remplacer le pétrole par des carburants renouvelables animera un tout nouveau centre de recherche de l'Université McGill, qui sera créé grâce à une subvention fédérale de 24,9 millions sur cinq ans.

 

Le nouveau centre, appelé BioFuelNet Canada, s'établira dans le nouveau Quartier de l'innovation, un projet commun de McGill et de l'École de technologie supérieure.

 

La recherche sera consacrée aux biocarburants dits de deuxième génération, qui n'entrent pas en concurrence avec les denrées agricoles, contrairement à l'éthanol produit avec le maïs. «Notre objectif est de développer les connaissances, les outils et les programmes afin que, d'ici 10 à 20 ans, 25% du carburant utilisé au Canada soit composé de biocarburants de deuxième génération», affirme le professeur Don Smith, professeur à la faculté des sciences de l'agriculture et de l'environnement de l'Université McGill et directeur scientifique de BioFuelNet Canada.

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  • 6 mois plus tard...

Ambassadors named to innovation project for Griffintown

 

 

By The GAZETTE, Montreal GazetteDecember 10, 2012

 

 

McGill University and the École de technologie supérieure (ÉTS) now have an impressive group of ambassadors to champion their Quartier de l’innovation, which aims to create an urban district bringing together innovators.

 

The QI, which will be located south of downtown Montreal in the Griffintown area, is expected to be a leader in innovation, cutting-edge research, education and the creation of partnerships. The collaboration between two universities in a project of this scope is a first in Canada.

 

“We are delighted that individuals who are as convinced of the need to work together to optimize the economic and cultural development and influence of Montreal have agreed to champion the Quartier de l’innovation project,” said McGill principal Heather Munroe-Blum as the ambassadors were presented on Monday. “They will be the key players in this initiative.”

 

Included among the 14 ambassadors are Madeleine Careau, CEO of the Orchestre symphonique de Montréal; Marcel Côté, founding partner of KPMG/Secor; Daniel Lamarre, president and CEO of Cirque du Soleil; Andy Nulman, president and CEO of Just for Laughs; and Danny Ritter, partner of RSM Richter.

 

The ambassadors will help promote the QI and raise awareness of the project and its potential spinoffs, while sharing their knowledge with the various partners.

 

“I am confident that, thanks to this team of leaders from the business, educational, social and cultural communities in Montreal, the QI will heighten Montrealers’ pride in their city and become a key player ... in Quebec and Canada,” said Yves Beauchamp, director general of ÉTS.

 

© Copyright © The Montreal Gazette

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  • 5 mois plus tard...

 

Quartier de l'innovation: le Silicon Valley de Montréal est né

 

 

Le petit Silicon Valley de Montréal est né! Le Quartier de l’innovation de Montréal, calqué sur des endroits comme la Silicon Valley, en Californie et sur le 22@Barcelona, en Espagne, sera officiellement lancé aujourd’hui à 11h.

 

 

Le Quartier de l’innovation est situé à quelques pas du centre-ville de Montréal, sur un territoire englobant principalement Griffintown, Pointe-Saint-Charles et Saint-Henri/Petite Bourgogne.

 

 

L’École de technologie supérieure (ÉTS) et l’Université McGill lancent le Quartier, en présence de représentants de la Ville de Montréal, des gouvernements du Québec et du Canada, ainsi que de nombreuses personnalités des milieux académique, artistique, culturel et des affaires à un événement qui se déroule à 11h à la Fonderie Darling.

 

 

Le QI mise sur les forces complémentaires de l'Université McGill et de l'ÉTS. Il vise à favoriser la synergie entre institutions, chercheurs, étudiants, résidents et entreprises afin d'accroître le potentiel de créativité et d'innovation et ses applications dans ce qui se voudra un « laboratoire vivant ».

 

http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/quartier-de-l-innovation-le-silicon-valley-de-montreal-est-ne/557398#.UZEVgxeZZI4

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  • 1 année plus tard...

via Le Devoir :

 

Peut-on fabriquer un «quartier de l’innovation»?

 

Les coûts de tels projets sont considérables, les bénéfices sont beaucoup plus incertains

 

1 août 2014

Raphaël Suire - Professeur, Université de Rennes 1, Chercheur associé à MOSAIC / HEC Montréal

Montréal

 

Le quartier de l’innovation de Montréal prend forme. Avec l’École de technologie supérieure et l’Université McGill en son épicentre, c’est tout un ensemble d’activités et d’acteurs liés à l’innovation, au transfert de connaissances à l’industrie, à la créativité et à l’entrepreneuriat qui prendront ou ont déjà pris leurs quartiers dans le secteur Griffintown. Montréal n’échappe pas à cette tendance observée dans de nombreuses villes et qui consiste à agglomérer à marche forcée les acteurs concernés. Mais au fond, cela a-t-il du sens ? Peut-on « fabriquer » un quartier consacré à l’innovation ?

 

Derrière cette initiative, il y a deux croyances.

 

La première concerne la proximité géographique, qui est perçue comme favorisant les interactions sociales puis l’innovation collective.

 

La seconde concerne la « sérendipité » (« Découverte par chance, ou sagacité, de résultats que l’on ne cherchait pas ») que l’on souhaite provoquer. Il s’agit de dire que les meilleures idées et par conséquent des innovations naissent des rencontres fortuites et des croisements audacieux. Ainsi, les promoteurs d’un « quartier de l’innovation » misent sur le principe voulant que, lorsque tous les acteurs d’une chaîne de valeur (universitaires, accélérateurs, entrepreneurs, laboratoires, fablabs, investisseurs, usagers, citoyens, etc.) seront co-localisés, il sera plus facile de faire des rencontres et de collaborer pour fabriquer de la nouveauté. Mieux, on s’attend à ce que la performance de ce collectif aggloméré soit bien supérieure à la somme des compétences individuelles et dispersées. En un mot, être dans le quartier de l’innovation permettra de décupler ses capacités individuelles d’innovation.

 

Tendance mondiale

Montréal n’est pas la seule à provoquer ces aménagements urbains. Un projet presque identique dans l’ambition et les moyens se développe outre-Atlantique, à Nantes, en France. Là-bas, c’est plus précisément un « quartier de la création » que l’on aménage. Cependant, les acteurs concernés sont les mêmes et le procédé est identique. […] Les retombées que l’on peut attendre d’un tel écosystème sont-elles à la hauteur des millions investis ?

 

Au dire des économistes, le succès, ici et de l’autre côté de l’Atlantique, n’est aucunement garanti. Trois raisons expliquent ce scepticisme. Premièrement, les meilleures innovations sont souvent le fruit du hasard, certes, mais proviennent surtout d’une recomposition de l’existant. C’est pour cela que l’histoire d’un territoire compte. Elle est presque essentielle à la multiplicité des recombinaisons possibles. En Europe, Berlin ou encore Londres sont des endroits très puissants du secteur Internet. Pouvait-il en être différemment tant l’innovation dans le secteur numérique est un mélange et un réagencement d’une multiplicité de compétences, de regards et d’inspirations ?

 

San Francisco, place forte de la contestation sociale et de la contre-culture américaine, a toujours eu ce profil, et cette attitude collective a toujours irrigué le comportement entrepreneurial. Mais la ville est aujourd’hui le lieu de la plus forte gentrification jamais observée. Ce qui l’a rendue puissante hier l’abîme aujourd’hui, et l’on fait presque table rase de quartiers anciens pour loger dans de luxueux condos les jeunes et riches talents de la Silicon Valley. Ce faisant, on détruit aussi la diversité si utile aux recombinaisons d’idées originales. Ainsi, le prix du foncier est une barrière à l’entrée, il attire une certaine catégorie de talent mais conduit souvent à de l’uniformité sociale et à un cosmopolitisme aseptisé.

 

Deuxièmement, les acteurs concernés par l’innovation, étudiants, artistes, ingénieurs, chercheurs, utilisateurs, vivent déjà quelque part. S’agissant de Montréal, cette géographique existe : c’est le territoire vécu par de jeunes compagnies artistiques ou technologiques qui peuvent trouver confortable d’évoluer dans le Mile-End, le Vieux-Montréal, etc. Souvent, face à l’injonction, elles n’ont d’autre choix que de se délocaliser dans le périmètre du nouveau « quartier ». Ces acteurs y seront-ils plus productifs, plus créatifs, plus innovants, alors que souvent ils n’y habiteront pas ? Nantes fonctionne de la sorte avec ses écoles d’architecture, des beaux-arts, une partie de son université, ses salles de concert, mais aussi avec son accélérateur, son fablab, etc. Le fablab de Montréal souhaitait-il vraiment quitter la proximité du parc Jarry pour aller dans Griffintown ?

 

Enfin, c’est souvent le politique qui est aux manettes. À Nantes ou à Montréal, c’est la même chose : un quartier de l’innovation ou de la création, cela se voit et cela peut se montrer. C’est une très bonne chose tant la communication compte dans la compétition des villes intelligentes. Mais trop souvent on pense avant tout à faire savoir que l’on existe plutôt que d’exister avant de le faire savoir. Alors, on commence par se fabriquer une histoire en convoquant le passé d’un ancien quartier ouvrier au passé glorieux — la Navale pour Nantes, la construction pour Montréal — et ensuite on construit du nouveau sur d’anciennes friches industrielles. Toutefois, note-t-on que les rues sont assez vides le soir venu ? Évidemment, il faut du temps, mais de façon fondamentale, la « sérendipité » ne se canalise pas.

 

Les coûts de tels projets sont considérables, les bénéfices sont beaucoup plus incertains. Les récentes avancées en économie géographique et de l’innovation montrent que le maillage fin et judicieux des acteurs dispersés est souvent plus efficace. Mais s’engager sur cette voie est beaucoup moins visible pour les électeurs à impressionner, beaucoup moins effrayant pour les villes concurrentes. C’est aussi beaucoup moins attrayant pour les promoteurs immobiliers.

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Dans le Devoir aujourd'hui

 

QUARTIER DE L’INNOVATION

La créativité et l’audace avant la brique et le mortier

 

11 août 2014 | Damien Silès - Directeur général du Quartier de l’Innovation | Montréal

 

image.jpg

Photo: Jacques Nadeau Archives Le Devoir

Notre objectif est de garder le savoir-faire montréalais en lui donnant des outils pertinents pour rester à Montréal et faire rayonner notre ville.

 

Peut-on fabriquer un quartier de l’innovation ? C’est une question légitime que posait récemment dans Le Devoir le professeur Raphaël Suire, de l’Université de Rennes 1, et qui interpelle tous ceux et celles qui s’intéressent au développement économique et social des collectivités.

 

L’innovation ne connaît pas de frontières et ne saurait être contrainte par quelque limite géographique que ce soit. Il y a à Montréal des entrepreneurs et des entreprises innovantes dans Saint-Laurent, dans Anjou, dans le Mile-End, dans Lachine et dans beaucoup d’autres secteurs de l’île.

 

Aucun d’entre eux, toutefois, ne s’appuie sur une masse critique de chercheurs, d’ingénieurs, de techniciens de laboratoires, d’experts en transfert de technologie et en commercialisation d’innovation que peuvent rassembler autour d’elles des institutions universitaires comme l’École de technologie supérieure (ETS) et l’Université McGill.

La genèse

 

En 2013, sous le leadership de l’ETS et de McGill naissait officiellement le Quartier de l’innovation (QI) de Montréal. Son mandat consiste à rassembler les talents, à stimuler l’audace et à accompagner les créateurs dans un quartier de grande qualité urbaine avec et pour la communauté environnante de Griffintown, de l’arrondissement du Sud-Ouest, de l’agglomération de Montréal et du Québec tout entier.

 

Émulation et stimulation

 

Le QI est d’abord et avant tout un projet d’émulation et de stimulation de la créativité et de l’innovation sous toutes ses formes, économique, sociale, culturelle, scientifique, communautaire, etc. C’est un écosystème dynamique et flexible qui, pour livrer tous ses fruits, doit s’appuyer sur une infrastructure physique propice à la synergie et à pollinisation d’idées et de projets.

 

Dans la philosophie du QI de Montréal, la brique et le mortier suivent la créativité, le génie et l’audace et non l’inverse. Ainsi, à l’intérieur du QI, il y a plusieurs formules de collaboration possible pour les entreprises, qu’elles soient des start-up technologiques, des PME manufacturières ou de plus grandes firmes du domaine des télécommunications. Dans le QI, le coût du loyer n’est pas un frein pour le développement de l’entrepreneuriat.

 

Le QI se trouve dans le berceau de la révolution industrielle du Canada au XIXe siècle (quadrilatère Bonaventure–Atwater–Canal Lachine–Saint-Antoine), mais son influence rejoint tout le secteur central du centre-ville, du secteur Bonaventure au campus de McGill, en passant par le Quartier international, le Quartier du multimédia et le Quartier du commerce électronique.

 

On y trouve la plus grande concentration en technologies de l’information et des communications au Canada (20 000 emplois dans quelque 350 entreprises), un bouillonnement culturel et artistique peu connu, un développement immobilier imposant et des défis de taille illustrés dans le Programme particulier d’urbanisme de la Ville de Montréal ainsi qu’une disponibilité d’espaces à deux pas du centre-ville.

 

Nous donnons un accès privilégié et unique au capital humain disponible, grâce à McGill et à l’ETS. Ainsi, nous comptons déjà de nombreux projets, existants ou en développement, comme le « QI numérique », la Capitale du 3D au Canada, des accélérateurs/incubateurs, le Salon 1861 et le Laboratoire de culture urbaine, des formations continues adaptées aux besoins de l’industrie, l’École de l’innovation citoyenne, des réseaux de recherche en lien avec l’industrie […]

 

Le QI veut tirer parti des ressources déjà existantes, et non dédoubler ce qui se fait déjà. Notre objectif est de garder le savoir-faire montréalais en lui donnant des outils pertinents pour rester à Montréal et faire rayonner notre ville.

 

Rayonnement

 

Par ces actions concrètes, les retombées escomptées seront quantifiables. On parle ici de création d’emplois et d’entreprises (technologiques, sociales et culturelles), d’augmentation des collaborations avec le milieu universitaire et du transfert technologique vers l’industrie. De plus, le QI aidera à l’attraction des talents à Montréal, au développement de projets multidisciplinaires et multi-universitaires, à la revitalisation du quartier Griffintown et de l’arrondissement du Sud-Ouest, au rayonnement local et international et la hausse de la notoriété de Montréal, du Québec et du Canada en matière d’innovation et d’entrepreneuriat.

 

Le QI possède tous les atouts pour devenir un acteur important du développement économique et social de Montréal et du Québec au cours des prochaines années. Cette perspective s’appuie sur des atouts bien tangibles et réels, qui n’ont rien de fabriqué ou d’artificiel.

Modifié par ScarletCoral
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