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Industrie québécoise de l'aérospatiale et de l'aéronautique : actualités


ErickMontreal

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CAE décroche une série de contrats d'une valeur totale de 100 millions $

La Presse Canadienne 18 janvier 2012 à 09:08

 

MONTRÉAL - Le fabricant montréalais de simulateurs de vol CAE (TSX:CAE) a annoncé mercredi qu'il a remporté une série de contrats militaires d'une valeur de plus de 100 millions $, notamment de la part du ministère de la Défense nationale du Canada.

 

http://www.ledevoir.com/en-continu#16326127

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(Montréal) La petite grappe aéronautique de Bromont s'agrandit avec l'implantation d'un fournisseur du motoriste GE Aviation, Ellison Surface Technologies.

 

Au cours d'une conférence de presse qui aura lieu ce matin à Bromont, Ellison, une entreprise américaine qui se spécialise dans le traitement de surface de pièces aéronautiques, signera un contrat avec GE Aviation et annoncera l'implantation d'une usine. Cette implantation entraînera la création d'une quarantaine d'emplois à Bromont d'ici la fin de 2012.

 

Ellison bénéficiera d'une aide financière du gouvernement québécois.

 

Le conseiller industriel du centre local de développement de Brome-Missisquoi, Michel Brisson, a expliqué qu'Ellison Surface Technologies effectuait déjà du traitement de surface d'aubes et d'ailettes de moteurs pour GE Bromont, mais à partir de ses installations de North Clarendon, au Vermont. Or, cette façon de faire nécessite le transport de pièces entre Bromont et North Clarendon sur une base quotidienne. GE a donc demandé à Ellison de se rapprocher de son usine de Bromont dans un rayon de 50 kilomètres.

 

«Ellison a choisi d'aller à Bromont, a noté M. Brisson. Une fois installée sur place, l'entreprise pourra accéder à un marché plus vaste, comme Pratt & Whitney Canada et Rolls-Royce.»

 

Le conseiller a indiqué qu'Ellison entendait également effectuer de la recherche et développement à Bromont afin de mettre au point d'autres technologies de traitement thermique de surface.

 

«C'est un apport de technologie intéressante pour la région», a déclaré M. Brisson.

 

Ellison ne manque pas d'ambition. Sur son site internet, l'entreprise exprime sa vision: «Ellison Group aspire à être la meilleure et à avoir un impact sur les gens pour l'éternité.»

 

Elle explique qu'elle veut être reconnue pour son intégrité sans compromis, qu'elle veut être une source de bienfaits pour ses employés et qu'elle agit comme si, ultimement, elle était responsable de ses actes devant Dieu.

 

La petite grappe aéronautique de Bromont est centrée autour de GE. L'usine du motoriste, qui emploie environ 800 personnes, fabrique notamment des aubes et des ailettes pour le moteur qui propulse le Boeing 737. GE est sur le point d'annoncer d'autres mandats.

 

Quelques sous-traitants de GE sont installés à Bromont, comme le Groupe Meloche, qui fait de l'usinage de petites pièces dans l'ancienne usine de Hyundai.

 

M. Brisson a cependant mentionné que la principale industrie de Bromont demeurait la micro-électronique, avec des entreprises comme IBM, Teledyne-Dalsa et le Centre de collaboration Miqro Innovation (C2 mI). Ce secteur emploie environ 4000 personnes à Bromont.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/201201/19/01-4487327-aeronautique-une-nouvelle-usine-pour-bromont.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3

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Mirabel: croissance à l'horizon pour Bell Helicoptere.

 

L'usine de Bell Helicopter à Mirabel bourdonnera d'activité en 2012, avec une augmentation significative des livraisons.

 

«Nous nous attendons à ce que le niveau d'activités de la division commerciale de Bell Helicopter soit particulièrement robuste cette année, alors que nos investissements dans le développement de nouveaux produits entraînent un afflux de commandes», a déclaré hier le président et chef de la direction de Textron, Scott Donnelly, dans le cadre de la divulgation des résultats de l'exercice financier de l'entreprise.

 

«Étant donné notre carnet de commandes et les discussions avec les clients potentiels, nous prévoyons une augmentation significative des livraisons par rapport aux 125 appareils livrés en 2011, a-t-il indiqué au cours d'une téléconférence destinée aux analystes. Nous nous attendons à ce que les revenus de Bell croissent de près de 20%, avec des marges robustes.»

 

Bémol

 

Il s'agit d'une consolation pour l'usine de Mirabel, qui a vu l'assemblage d'un nouveau modèle d'hélicoptère commercial lui échapper au profit de l'usine de Bell Helicopter à Amarillo, au Texas. À venir jusqu'à maintenant, Bell Helicopter faisait construire tous ses appareils commerciaux à Mirabel.

 

«Nous voyons déjà que nous sommes presque à capacité dans nos installations canadiennes et que la possibilité d'expansion est mince, alors que nous savons que nous pouvons avoir un certain ralentissement du côté militaire, a déclaré M. Donnelly. Nous allons donc assembler ce nouveau produit à Amarillo pour ainsi absorber une partie de la croissance du volume commercial.»

 

Bell Helicopter lancera ce nouveau produit, le Magellan, à Heli-Expo 2012, important salon de l'hélicoptère qui se tiendra à la mi-février à Dallas. À l'heure actuelle, l'usine de Mirabel compte environ 1900 employés. Il y a un peu plus d'un mois, le président de Bell Helicopter Textron Canada, Garry Kohler, avait indiqué à La Presse Affaires qu'il chercherait d'abord à augmenter la productivité de l'usine pour faire face à une éventuelle augmentation de la production. Mais il faudrait aussi augmenter les effectifs.

 

Optimisme chez Cessna

 

M. Donnelly s'est également montré optimiste hier au sujet d'une autre importante division de Textron, Cessna, manufacturier d'avions d'affaires. Il a dit s'attendre à ce que les revenus de Cessna connaissent une croissance «dans les deux chiffres» en 2012.

 

«Nous croyons que la demande augmentera tout au long de l'année, a-t-il déclaré. À plus long terme, nous nous attendons à une accélération de la demande pour des biréacteurs au fur et à mesure que l'économie mondiale se stabilisera, que les marchés émergents se développeront davantage et que nos nouveaux produits entreront sur le marché.»

 

Textron a enregistré des profits de 242 millions US en 2011, soit 79 cents US par action, comparativement à 86 millions US l'année précécente, soit 28 cents US par action. Le marché a particulièrement bien réagi aux perspectives encourageantes de l'entreprise: son titre a bondi de 14,6% pour clôturer à 24,76$US à la Bourse de New York hier.

 

United Technologies Corporation (UTC), société mère de Pratt&Whitney Canada, a également connu une bonne année avec des profits de 5 milliards US, soit 5,49 cents US par action sur une base diluée. Il s'agit d'une augmentation de 14% par rapport au bénéfice net de 4,4 milliards US enregistré en 2010.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201201/26/01-4489573-mirabel-croissance-a-lhorizon-pour-bell-helicoptere.php

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Plus de 3600 postes à pourvoir en aérospatiale.

 

En dépit des turbulences de l'économie, l'industrie québécoise de l'aérospatiale est en plein essor et devra pourvoir plus de 3600 postes en 2012.

 

C'est le message qu'a lancé hier le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale au Québec, le CAMAQ, à partir des résultats d'un sondage réalisé l'automne dernier auprès de plus de 200 entreprises du secteur.

 

Selon ce sondage, l'industrie prévoyait employer 47 279 employés au 1er janvier 2012 et 49 594 au 1er janvier 2013. Il s'agit d'une augmentation des effectifs de 2315 personnes. Il faut y ajouter les postes qu'il faudra pourvoir pour remplacer des personnes qui partent à la retraite, qui quittent l'industrie ou qui accèdent à de nouvelles fonctions. Ce taux de roulement tourne autour de 3%, soit 1327 postes additionnels, pour un total de 3642 postes à pourvoir en 2012

 

«Non seulement le ralentissement économique semble derrière nous, mais les entreprises aérospatiales au Québec peinent déjà à recruter pour certains postes qualifiés, a déclaré le directeur du CAMAQ, Serge Tremblay, dans un communiqué publié hier. Nous pouvons envisager des défis constants de recrutement dans un futur proche si les jeunes et les employés d'expérience n'envisagent pas de venir grossir les rangs des travailleurs de notre industrie.»

 

La finition en pleine croissance

 

Il a notamment indiqué que le secteur de la finition intérieure et extérieure des appareils était en pleine croissance. Les effectifs ont augmenté de 48% depuis 2008. Si on ne tient pas compte du remplacement des personnes qui partent à la retraite ou qui quittent l'industrie, ce sont 266 postes qu'il faudra pourvoir cette année. Ces emplois se retrouvent dans des PME, mais aussi dans de plus grandes entreprises comme Bombardier, Bell Helicopter et Innotech-Execaire.

 

La Comission scolaire de Montréal (CSDM) a d'ailleurs fait savoir qu'elle avait déposé une demande auprès du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport pour agrandir les locaux de l'École des métiers de l'aérospatiale de Montréal afin d'offrir six nouveaux programmes en finition d'appareils, comme l'ébénisterie, le rembourrage.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201201/26/01-4489578-plus-de-3600-postes-a-pourvoir-en-aerospatiale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22

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Les retombées de l'acquisition de 15hélicoptères militaires Chinook vont se faire ressentir à Mirabel.

 

 

 

Boeing, constructeur du Chinook, a attribué à L-3 MAS un contrat pour la préparation de documents techniques pour le soutien en service des appareils.

 

Ce succès arrive cependant au moment où la direction de l'entreprise de Mirabel est en plein bouleversement. Il y a deux semaines, la société mère, l'entreprise américaine L-3 Communications, a remercié le président de L-3 MAS, Sylvain Bédard, ainsi que son vice-président au développement des affaires, Richard Bastien.

 

L-3 Communications a nommé le vice-président aux finances de L-3 MAS, Michel Boulay, président par intérim. La nomination d'un président définitif est imminente.

 

Cette incertitude a eu un effet sur les négociations entre l'entreprise et les syndiqués membres de la section locale 712 de l'Association internationale des machinistes et des travailleurs de l'aérospatiale (AIMTA-FTQ). Environ 180 des 800 employés de l'usine de L-3 MAS à Mirabel sont membres de ce syndicat et sont sans contrat de travail depuis un an.

 

«Les négociations ont été mises un peu de côté à cause de cela, a déclaré le président de la section locale 712, Yvon Paiement, dans une entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. Le comité de négociation était en attente.»

 

L-3 Communications, entreprise de New York, se spécialise dans les systèmes militaires de surveillance, de reconnaissance et de communications. Sa filiale L-3 MAS (Military Aviation Services), ancienne filiale de Bombardier, se concentre notamment sur la maintenance et la modernisation d'avions militaires.

 

Ni Boeing ni L-3 MAS n'ont révélé hier la valeur du contrat lié aux appareils Chinook.

 

Boeing a annoncé hier deux autres contrats liés au soutien en service de ces appareils: l'un d'eux porte sur l'analyse du soutien logistique des appareils, un contrat attribué à une autre filiale de L-3 Communications, L-3 Electronic Systems, située en Nouvelle-Écosse. Le troisième contrat a été accordé à Raytheon Canda, à Calgary, pour le soutien de la chaîne d'approvisionnement.

 

D'autres contrats à venir

 

Boeing a fait savoir qu'elle attribuera d'autres contrats à des firmes canadiennes d'ici à la fin de l'année.

 

C'est en août 2009 que le gouvernement canadien a annoncé l'acquisition de 15hélicoptères CH-47 Chinook. En vertu du programme de retombées industrielles régionales, Boeing doit susciter au Canada des retombées de 2 milliards US au cours des 20 prochaines années pour le soutien en service des appareils.

 

Boeing devrait livrer le premier Chinook en 2013.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201201/31/01-4491015-contrat-militaire-pour-l-3-mas.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7

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  • 2 semaines plus tard...

Expansion majeure chez Messier-Dowty à Mirabel

 

Le fabricant de trains d'atterrissage Messier-Dowty a entrepris un agrandissement majeur de son usine de Mirabel, a-t-on appris cette semaine.

 

L'entreprise, filiale de la multinationale française Groupe Safran, n'a pas donné de détail sur ce projet d'envergure. Le directeur des installations mirabelloises, Stéphane Salvignol, a précisé que des informations seront rendues publiques d'ici un mois ou deux.

 

«L'Écho du Nord/Le Mirabel» a tout de même appris que la superficie de l'usine, située en bordure de l'autoroute 15, passera de 178 000 pieds carrés (environ 16 500 mètres carrés) à 285 000 pieds carrés (environ 26 500 mètres carrés), ce qui représente une augmentation de 60 % de la surface. L'investissement déclaré pour ce projet de construction s'élève à 8 M$.

 

Le Centre local de développement (CLD) de Mirabel n'a pas donné plus d'informations. Tout au plus le directeur Jean-Luc Riopel a-t-il précisé que son organisme travaillait sur le dossier depuis plus d'un an, afin que cette expansion se réalise à Mirabel et non dans une des nombreuses autres filiales de l'entreprise dans le monde.

 

L'usine de Mirabel est dédiée à la fabrication de trains d'atterrissage pour les avions gros porteurs, comme l'Airbus 380 et le Boeing 787. Vraisemblablement, la cadence de production à la hausse de ces appareils explique la nécessité pour Messier-Dowty d'accroître son propre niveau d'activité.

 

Environ 250 personnes travaillent actuellement à Mirabel, mais l'augmentation de la capacité de production nécessitera l'embauche de personnel supplémentaire, comme en témoignent les offres d'embauche publiées sur le site internet de la compagnie.

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/02/expansion-majeure-chez-messier-dowty-mirabel.html

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  • 1 mois plus tard...

Aérospatiale: en orbite pour les 25 prochaines années.

 

À l'instar de plusieurs autres villes occidentales, le secteur manufacturier est mis à mal à Montréal. Mais ce ne sont pas tous les domaines d'activités qui écopent. L'aérospatiale fait partie des happy few qui ne souffrent pas encore des rationalisations et autres délocalisations. Au contraire. La métropole québécoise a une longueur d'avance sur le reste de la planète. Et elle entend le demeurer, affirme Suzanne Benoit, PDG d'Aero Montréal.

 

La production imminente de la C-Series par Bombardier (qui sera l'un des avions les plus écologiques au monde) et l'ouverture récente, au coût de 350 millions, d'un centre d'excellence pour les moteurs d'avions par Pratt&Whitney devraient assurer beaucoup de dynamisme dans le secteur de l'aérospatiale montréalais pour les 25 prochaines années. Bien sûr, ces deux avènements se feront à Mirabel, au nord de Montréal. Mais leur rayonnement ne s'en fera pas moins sentir à Montréal.

 

Près de 98% de l'industrie aérospatiale québécoise est concentrée dans la grande région de Montréal. C'est près d'un emploi sur 95. Sur l'île seulement, on compte près de 140 entreprises oeuvrant dans le domaine. Il s'agit du secteur industriel le mieux payé au Québec (le salaire moyen y est d'environ 67 000$) et où il se fait le plus d'exportation, indique Suzanne Benoit.

 

À elle seule, l'entreprise Bombardier Aéronautique compte 15 650 employés au Québec, dont 14 125 travaillent sur l'île de Montréal. Forte de ses 3000 employés, CAE, à Saint-Laurent, est un chef de file mondial en simulation, en modélisation et en formation pour les secteurs de l'aviation civile et militaire. La liste des autres acteurs faisant partie de la grappe en aérospatiale est longue et très variée.

 

Avant la crise financière de 2008, le secteur tournait à plein régime à Montréal, explique la PDG d'Aero Montréal. L'École des métiers de l'aérospatiale de Montéal, près du stade olympique, fonctionnait sur deux quarts de travail. Autrement dit, cette école-usine où l'on forme des machinistes et autres techniciens en finition fonctionnait 24 heures par jour. L'École, qui tourne un peu plus au ralenti, compte actuellement 600 étudiants.

 

Des emplois à valeur ajoutée

 

Seule ombre au tableau ces temps-ci: la fermeture d'Aveos et la mise à pied de 2000 travailleurs. «Ce que ça envoie comme message aux jeunes, c'est que le secteur de l'aérospatiale ne va pas bien à Montréal. Ce n'est pas vrai. Ce sont des emplois en entretien qui ont été abolis et non pas dans le secteur de la fabrication», explique Mme Benoit.

 

La bonne nouvelle pour notre économie, c'est que le Québec va continuer à se démarquer dans les emplois à grande valeur ajoutée. Car rien n'est laissé au hasard, explique Suzanne Benoit d'Aero Montréal, la grappe aérospatiale qui réunit tous les acteurs de l'industrie.

 

«Nous avons les meilleurs ingénieurs au monde. Nos universités travaillent en temps réel avec les entreprises. Nous sommes conscients que la fabrication se fait à bas coûts dans les pays émergents. C'est pour cela que nous misons sur le développement et l'innovation de façon à être toujours en avant de la parade», dit-elle.

 

L'entreprise AVR vision et robotique s'inscrit dans cette vision. Cette PME de 60 employés située dans le Vieux-Montréal, est une firme d'ingénierie qui fait le design et l'assemblage de cellules robotiques servant à faire l'inspection visuelle et la finition des composantes rotatives critiques entrant dans la fabrication de turbines à gaz. Autrement dit, elle fabrique des robots vendus entre 200 000$ et 500 000$ qui trouvent preneurs aux quatre coins de la planète tellement ils sont performants.

 

«Les Allemands n'ont pas l'habitude d'acheter des robots qui ne sont pas fabriqués chez eux. Dans notre cas, ils font une exception et ne manquent pas de nous le dire. Si notre technologie n'était pas aussi avancée, ils ne se donneraient pas la peine de venir au Québec», explique non sans fierté, Éric Beauregard, président-directeur général de AVR vision et robotique.

 

La PME à capital fermé a déclaré un chiffre d'affaires de 8 millions l'an dernier. Elle consacre plus de 15% de ses revenus à la R-D. Selon Éric Beauregard, l'entreprise fera vraisemblablement une acquisition en sol québécois en 2012 afin d'augmenter sa capacité de production. Elle souhaite ainsi doubler ses effectifs, de même que ses revenus. Et d'ici trois ans, elle veut faire une acquisition en Europe.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional-2012/portrait-2012-montreal/201203/29/01-4510584-aerospatiale-en-orbite-pour-les-25-prochaines-annees.php

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CAE décroche des contrats d'une valeur de 90 millions.

 

La firme montréalaise CAE (T.CAE) a annoncé lundi avoir décroché des contrats d'une valeur de 90 millions $, portant sur la vente de simulateurs de vol et de dispositifs intégrés d'entraînement aux procédures à différents transporteurs aériens du monde.

 

CAE a vendu sept simulateurs de vol, portant son total pour l'année à 37, soit près du tiers de plus que l'an dernier.

 

Près de 60 pour cent des commandes reçues au cours de cet exercice proviennent de l'Asie et de l'Australie, 16% du Moyen-Orient et de l'Afrique, 16% de l'Amérique et 8% de l'Europe, a expliqué par voie de communiqué Jeff Roberts, de CAE.

 

CAE fournira un simulateur de vol ATR72-500 à Air Algérie; un simulateur Boeing 737NG à Emirates-CAE Flight Training à Dubaï, aux Émirats arabes unis; deux simulateurs Airbus A320 pour le nouveau centre de formation de la coentreprise Interglobe-CAE à Delhi, en Inde; un simulateur Embraer ERJ-190 à Zhuhai Flight Training Centre à Zhuhai, en Chine); et deux simulateurs à des clients dont l'identité demeure confidentielle.

 

CAE est un chef de file mondial en modélisation, simulation et formation pour les secteurs de l'aviation civile et de la défense. La société compte plus de 7500 employés dans plus de 100 sites et centres de formation répartis dans plus de 25 pays.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/technologie/201204/02/01-4511722-cae-decroche-des-contrats-dune-valeur-de-90-millions.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7

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