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Industrie québécoise de l'aérospatiale et de l'aéronautique : actualités


ErickMontreal

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Près de 100 emplois en aéronautique pour Montréal.

 

Le ministre des Finances et de l'Économie du Québec, Nicolas Marceau, a profité du salon aéronautique du Bourget, en banlieue de Paris, pour annoncer différents projets dans ce secteur d'activité qui créeront une centaine d'emplois.

 

L'entreprise française Sogeclair, spécialisée dans la simulation et la réalité virtuelle, ouvrira une filiale canadienne dans la région de Montréal. Elle prévoit embaucher une cinquantaine de personnes d'ici trois ans, surtout dans le secteur de l'ingénierie. Sogeclair explique que sa venue au Québec lui permettra de se rapprocher de ses clients, tout en ayant « un point d'accès vers les États-Unis ».

 

AHE, un distributeur français de pièces, compte aussi ouvrir une division dans la région de Montréal pour desservir le marché nord-américain. Il devrait embaucher une vingtaine de personnes d'ici 2016.

 

« Le Grand Montréal est un des principaux pôles aéronautiques mondiaux et sa communauté d'affaires est vaste et dynamique, a expliqué le président d'AHE, Gérard Ranzato, dans un communiqué. Nous avons accès à un important bassin de main-d'œuvre qualifiée, et sa situation géographique est hautement stratégique pour desservir les marchés canadien et américain ».

 

Le concepteur et fabricant de pièces et de moules Loiretech prévoit aussi s'établir au Québec en créant une coentreprise avec Composites VCI de Saint-Lin-Laurentides. D'ici trois ans, Loiretech Canada souhaite avoir son usine à Mirabel, qui emploiera une vingtaine de personnes.

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/06/18/003-quebec-projets-aeronautique-bourget.shtml

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  • 3 semaines plus tard...

Bilan positif au Salon Paris-Le Bourget.

 

Le ministre des Finances et de l’Économie, M. Nicolas Marceau, et la ministre déléguée à la Politiqueindustrielle et à la Banquede développement économique du Québec, Mme Élaine Zakaïb, rentrent au Québec satisfaits des retombées du Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget. Ils ont vu se créer des partenariats prometteurs, et leur présence a favorisé la concrétisation d’ententes qui auront un impact significatif sur le secteur de l’aérospatiale au Québec. Des investissements privés de l’ordre de 81 millions de dollars, créateurs d’emplois structurants, ont aussi été confirmés.

 

Le Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget en était à sa 50e édition cette année. En tout, 1 300 exposants et environ 130 000 visiteurs et professionnels de l’industrie étaient présents à ce rendez-vous, dont une cinquantaine d’industriels et d’organisations québécoises en aérospatiale. Parmi ceux-ci figuraient Bombardier Aéronautique, Pratt & Whitney Canada, Bell Hélicoptère Textron Canada, CAE ainsi que Montréal International et Aéro Montréal, la grappe aérospatiale du Québec.

 

Les ministres étaient aussi accompagnés de représentants du ministère des Finances et de l’Économie, du ministère des Relations internationales, dela Francophonieet du Commerce extérieur, du ministère de l’Enseignement supérieur, dela Recherche, dela Scienceet dela Technologieet d’Investissement Québec.

 

« La forte participation de la délégation québécoise a eu pour effet de confirmer notre leadership dans un marché de haute technologie très innovant. Notre présence à cet évènement prestigieux est essentielle et vient appuyer notre industrie aérospatiale. Elle permet au Québec de profiter pleinement de nombreuses occasions d’affaires dans le domaine de l’aérospatiale. Les investissements privés qui s’y sont concrétisés démontrent la vigueur et l’excellence de notre industrie », a déclaré Nicolas Marceau.

 

« Au cours des derniers jours, nous avons pu faire valoir notre savoir-faire et l’expertise de l’industrie aérospatiale québécoise. Nos entreprises sont dynamiques et constituent des partenaires à privilégier. Avec sa capacité d’innovation, son réseau d’éducation performant et l’excellence de ses centres de recherche, le Québec possède, plus que jamais, un solide pouvoir d’attraction pour les sociétés étrangères », a ajouté Élaine Zakaïb.

 

Des investissements et des emplois

 

Lors de cette mission commerciale, les ministres Nicolas Marceau et Élaine Zakaïb ont annoncé l’implantation au Québec de l’entreprise française ATEM, une entreprise de conception et de fabrication de câbles coaxiaux et d’assemblage RF (radiofréquence) destinés à l’industrie aérospatiale. ATEM Canada rendra disponible au Québec une expertise encore inexistante et permettra la création d’une dizaine d’emplois.

 

Les dirigeants d’AV&R Vision & Robotique, qui se spécialise dans la création de systèmes automatisés d’inspection visuelle et de finition de pièces de turbines à gaz pour les secteurs de l’aéronautique et de l’énergie, ont confirmé la fusion de leurs services avec ceux de la firme d’ingénierie québécoise IMAC Automatisation afin de former le Groupe AV&R. Cette fusion permettra de doubler les effectifs et de faire d’AV&R l’une des plus importantes entreprises spécialisées en robotique dans le monde.

 

De son côté, Aerolia, le numéro un français des aérostructures et important fabricant d’éléments de fuselages d’avions, établira une première usine nord-américaine dans le parc industriel de l’Aéroport international de Montréal-Mirabel. Une entente de principe d’une durée initiale de quinze ans conclue avec Aéroports de Montréal (ADM) prévoit un investissement de 9,5 millions de dollars d’ADM et la création de quelque 150 emplois. Pour accueillir le siège social et les ateliers de fabrication d’Aerolia, ADM construira un bâtiment sur mesure d’une superficie de7 300 mètrescarrésqui sera opérationnel dès janvier 2014.

 

Une entente de collaboration a aussi été annoncée entre l’École nationale d’aéronautique (ENA) du collège Édouard-Montpetit et Aerolia. Elle prévoit, entre autres, qu’Aerolia offrira des stages et embauchera des étudiants diplômés du collège et de l’ENA.

 

Sogeclair, chef de file international de l’ingénierie, a pour sa part rendu publique l’ouverture d’une filiale canadienne dans la région de Montréal qui créera une cinquantaine d’emplois d’ici trois ans.

 

Aéro Montréal lancera un appel de candidatures pour la troisième cohorte de l’initiative MACH, qui optimisera la performance de la chaîne d’approvisionnement aérospatiale québécoise. Elle a également conclu une entente avec le Pôle de compétitivité aéronautique et spatial Skywin pour l’implantation de l’initiative MACH en Wallonie.

 

De plus, Aéro Montréal a signé une entente de collaboration avec Aerospace Cluster in Rhône-Alpes, un regroupement d’entreprises, de laboratoires de recherche et de centres de formation français.

 

AHE, distributeur de pièces en aéronautique, s’implantera dans la région de Montréal et créera quinze emplois en trois ans.

 

Loiretech, qui conçoit et réalise des moules et des outillages pour la mise en forme de matériaux composites, notamment pour le secteur de l’aérospatiale, s’installera au Québec en s’associant avec l’entreprise québécoise Composites VCI. La nouvelle entité, Loiretech Canada, sera établie à Mirabel et créera une dizaine d’emplois dès la première année.

 

Enfin, Sinters America, qui se spécialise notamment dans la conception et la fabrication de systèmes de maintenance et d’outillages pour l’entretien des avions, a mis au point des cartes électroniques pour capteurs manométriques qui seront utilisées par la société française Thales Avionique. En apportant un soutien technique et financier à Sinters America, le gouvernement du Québec a aidé l’entreprise à s’imposer auprès de ce chef de file mondial de l’industrie.

 

« Ces annonces démontrent clairement que le Québec possède un pouvoir attractif important qui incite les investisseurs à s’implanter chez nous. À la lumière des affaires qui ont été conclues ces derniers jours, nous repartons avec la conviction que la mission que nous avons effectuée a été extrêmement profitable. C’est véritablement le reflet du dynamisme des intervenants qui contribuent chaque jour à la force du secteur aérospatial québécois. Il ne fait aucun doute que tous ces projets contribueront à la croissance et à la vitalité de notre industrie », a conclu Nicolas Marceau.

 

http://www.montrealinternational.com/bilan-positif-au-salon-paris-le-bourget/

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Le groupe Sogeclair ouvre une filiale dans le Grand Montréal.

 

Le groupe Sogeclair, chef de file international de l'ingénierie de haute technologie, annonce l’ouverture de sa filiale canadienne dans le Grand Montréal. M. Philippe Robardey, président-directeur général de Sogeclair et M. Yves Sagot, président de sa filiale québécoise, en ont fait l’annonce dans le cadre du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Paris Le Bourget, en présence de M. Nicolas Marceau, ministre des Finances et de l'Économie du Québec.

 

« Cette nouvelle filiale au Canada nous permettra de nous rapprocher de nos clients et de leur apporter l’ensemble des expertises développées par les entités du groupe. Sur place, nous pourrons écouter nos clients et adapter notre offre en fonction de leurs attentes : mise à disposition d’experts, réalisation d’une étude complète avec engagement de résultat, ou même conception et réalisation d’un sous-ensemble complet. Le Grand Montréal est aussi un point d'accès vers les États-Unis, intéressant dans une perspective de développement de marché auprès des grands joueurs américains », a déclaré M. Philippe Robardey.

 

« Le Québec attire un nombre croissant d’entreprises innovantes, qui se greffent à notre grappe du secteur de l’aérospatiale et la dynamisent. Et très souvent, ces entreprises sont d’origine française », a affirmé le ministre Marceau. « Les nouvelles venues peuvent compter sur un ensemble d’avantages concurrentiels des plus attrayants, à commencer par une main-d’œuvre qualifiée, issue des meilleures écoles, qui soutient les nombreuses innovations proposées dans ce secteur de pointe. Les entreprises peuvent aussi miser sur le soutien du gouvernement du Québec », a-t-il ajouté.

 

« Investissement Québec, avec ses visiteurs internationaux, a pu nous aider dans la construction de notre projet depuis sa genèse. Nous avons obtenu un soutien indéfectible de la part de Montréal International et d’Investissement Québec, qui nous ont activement organisé des rencontres avec les clients, les partenaires et les fournisseurs éventuels pendant notre phase active de prospection. Cette aide a facilité notre installation et continuera de nous accompagner dans le développement de notre filiale », a déclaré M. Yves Sagot.

 

Lors de l’annonce, le ministre Marceau a souligné que « l’entreprise prévoyait recruter une cinquantaine de personnes d’ici trois ans, majoritairement en ingénierie. Ce sont de bons emplois dans un secteur porteur où le Québec continue d’aller de l’avant ».

 

En 2012, l’industrie québécoise de l’aérospatiale se classait au 6e rang mondial quant au volume des ventes, derrière les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, et le Japon. Avec plus de 42 000 emplois et des ventes dépassant 12 milliards de dollars, le secteur aérospatial regroupe une concentration de maîtres d’œuvre, des équipementiers de premier ordre et un réseau de près de 200 PME. « Près de 60 % de la production aérospatiale canadienne est réalisée dans le Grand Montréal. Cette importante présence de l’industrie a permis à la région de devenir un des trois grands centres aérospatiaux du monde, aux côtés de Seattle et Toulouse », a précisé M. Elie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal à Montréal International.

 

 

À propos de Sogeclair (http://www.sogeclair.com)

 

Établi à Toulouse, le groupe Sogeclair est présent partout dans le monde et compte plus d’un millier d’employés. L’entreprise assure des projets d’envergure d’études et de co-développement pour de grands comptes industriels et elle développe des solutions innovantes de simulation et de réalité virtuelle. Les activités du groupe à l'international représentent aujourd'hui 40 % du chiffre d’affaires.

 

Sa division pour l’aérospatiale est un acteur majeur de ce secteur et elle représente 85 % des activités du groupe Sogeclair. Regroupant plus de 900 collaborateurs, elle compte parmi ses principaux clients les filiales d’EADS, en particulier Airbus, Eurocopter, Aerolia, Premium Aerotec, et d’autres entreprises majeures, dont CAE, Dassault, Safran, Thales et Spirit Aerosystems. Elle est déjà implantée en France, en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni, et en Tunisie.

 

http://www.montrealinternational.com/le-groupe-sogeclair-ouvre-une-filiale-dans-le-grand-montreal/

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Aéronautique: GE inaugure un nouveau centre de R-D à Bromont.

 

- GE Aviation a procédé à l’inauguration de son centre de recherche et développement en robotique, automatisation et instrumentation à Bromont, ce qui entraînera la création de 60 emplois.

 

Il s’agit d’un investissement total de 61,4 millions de dollars (M$), dont 8,4 M$ proviennent d’Investissement Québec et du ministère de l’Économie et des Finances du Québec.

 

Le nouveau centre de R-D de GE Aviation mettra au point «des processus avancés de robotique, des applications logicielles et des éléments de propriété intellectuelle» qui seront exportés vers les installations et les fournisseurs de l’entreprise à travers le monde.

 

«Tout commence avec le désir de prendre des risques et d’innover, de même que par la confiance que nous avons envers nos équipes. L’inauguration d’aujourd’hui porte sur l’accélération de la cadence à laquelle nous innovons, et sur la remise en perspective de la manière dont les produits sont conçus, fabriqués et entretenus au Canada et dans les marchés mondiaux. Grâce au centre de R-D, nous allons concevoir plus de nouveaux moteurs d’ici la fin de la décennie qu’au cours des 30 dernières années. De plus, les moteurs conçus auront une durée de vie utile de 40 à 50 ans», a déclaré le président du conseil et chef de la direction de GE, Jeff Immelt, en conférence de presse dans les locaux de GE Aviation à Bromont.

 

Ce dernier a tenu à souligner l’importance de l’investissement du gouvernement provincial dans la décision de l’entreprise d’implanter son centre de R-D à Bromont: «Quand nous prenons la décision de bâtir une usine, nous nous engageons à long terme. Nous investissons constamment à notre rythme. Toutefois, lorsqu’un gouvernement montre sa volonté d’appuyer l’un de nos projets, c’est un symbole très fort. Ce n’est pas l’aspect le plus important, mais c’est un aspect important», a ajouté M. Immelt.

 

«Grâce à cet investissement, nous allons pouvoir amener l’expertise que nous avons développée depuis une quinzaine d’années dans la fabrication de composantes de moteurs d’avions à un autre niveau. Cela va nous permettre d’exporter notre expertise dans les 80 autres usines de GE Aviation à travers le monde», explique le chef d’usine de Bromont, Philippe Simonato.

 

«De plus en plus, on tente de donner des yeux aux robots, on veut qu’ils possèdent des sens. Tout cela fera partie de nos travaux. Nous possédons déjà des robots ayant un système de vision très performant sans lesquels il aurait été impossible de construire des aubes [des pièces entrant dans la composition des moteurs d’avions]. Nous allons aussi travailler avec de nouveaux matériaux», précise-t-il.

 

M. Simonato affirme que l’usine de Bromont était en concurrence avec d’autres établissements de GE Aviation pour l’obtention du centre de R-D. «Nous avons développé une expertise en robotique au cours des 15 dernières années. Nous possédons déjà plus de 120 robots. C’est ce qui nous a démarqués lorsque le projet est arrivé sur la table», croit-il.

 

Selon lui, GE Aviation compte environ 28 000 employés dans 14 pays.

 

Bonne nouvelle pour l’industrie de l’aérospatiale

 

La nouvelle de la venue du centre de R-D à Bromont a réjoui la présidente-directrice générale d’Aéro Montréal, Suzanne Benoît: «C’est une très bonne nouvelle pour les jeunes qui veulent s’en aller en aérospatiale, car l’entreprise va créer des emplois de très haut niveau. La beauté de ça, c’est que les PME québécoises qui sont des fournisseurs de GE Aviation en robotique et en automatisation vont également rayonner à l’international. C’est une carte de visite extraordinaire pour le développement des affaires et pour nos cerveaux ici, au Québec», dit-elle.

 

La mairesse de Bromont, Pauline Quinlan, était aussi très satisfaite de l’annonce: «L’ouverture du centre vient confirmer la vocation du parc scientifique Bromont, reconnu autant pour la microélectronique que pour la fabrication de produits de pointe. Je suis aussi présidente de la Société de développement économique de Bromont et nous voulons à présent attirer des entreprises satellites pour entourer nos grands donneurs d’ordres», dit-elle.

 

GE possède une usine à Bromont depuis 1982 et y compte un peu moins de 800 employés en incluant ceux du centre de R-D en robotique automatisation et instrumentation. L'usine de Bromont fabrique des composantes de moteurs d’avion, dont les moteurs CFM56 conçus pour le Boeing 737 et l’Airbus 320, et les moteurs GEnx conçus pour le Boeing 787 et le Boeing 747-8.

 

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/aeronautique-ge-inaugure-un-nouveau-centre-de-r-d-a-bromont/559494#.Ud1nh6zOuCg

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CAE signe des contrats totalisant plus de 230 millions de dollars.

 

CAE (TSX:CAE) a annoncé jeudi avoir signé des contrats totalisant plus de 230 millions de dollars avec des transporteurs des Émirats arabes unis et de la Chine.

 

Ces contrats portent sur la fourniture de neuf simulateurs de vol et de neuf dispositifs de formation avec Etihad Airways, le transporteur national des Émirats arabes unis, et avec China Eastern Airlines, l'un des plus importants transporteurs chinois.

 

Les contrats, signés au premier trimestre de l'exercice financier de la société montréalaise, portent à 15 le nombre de simulateurs de vol dont CAE a annoncé la vente depuis le début de l'exercice 2014.

 

Nick Leontidis, président de groupe, Produits de simulation, formation et services associés - Civil de CAE, s'est dit heureux de continuer à développer les relations avec Etihad Airways et China Eastern.

 

James Hogan, président et chef de la direction d'Etihad, a fait valoir que les exigences en matière de formation des pilotes continuent de croître, ajoutant que ces nouveaux simulateurs de vol permettront à la compagnie d'être en bonne position pour la prochaine phase de son expansion.

 

Le contrat avec Etihad porte sur la fourniture de sept simulateurs de vol, de sept dispositifs de formation, de services de mise à niveau et d'un accord exclusif de 10 ans pour des services et de l'équipement de formation.

 

La compagnie aérienne est cliente de CAE depuis 2003.

 

Le contrat avec China Eastern porte sur la fourniture de deux simulateurs de vol de Série CAE 7000. Le contrat inclut également deux dispositifs intégrés d'entraînement aux procédures CAE Simfinity.

 

China Eastern exploite déjà 16 simulateurs construits par CAE.

 

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/07/11/003-cae-contrats-230m-chine-emirats.shtml

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  • 2 mois plus tard...

Aérospatial: Une reprise palpable.

 

La Presse, 12 septembre 2013

 

Une nouvelle qui rafraichit, mais qui risque cependant de passer inaperçue, devant le tumulte que crée la charte des valeurs, qui occupe présentement une place démesurée dans l'actualité.

 

 

 

http://affaires.lapresse.ca/portfolio/aerospatiale/201309/12/01-4688543-aerospatiale-une-reprise-palpable.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS5

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Aérospatial: Une reprise palpable.

 

La Presse, 12 septembre 2013

 

Une nouvelle qui rafraichit, mais qui risque cependant de passer inaperçue, devant le tumulte que crée la charte des valeurs, qui occupe présentement une place démesurée dans l'actualité.

 

 

 

http://affaires.lapresse.ca/portfolio/aerospatiale/201309/12/01-4688543-aerospatiale-une-reprise-palpable.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS5

 

Ça vaut la peine de la remettre dans ce cas:

 

 

Aérospatiale: Une reprise palpable

 

L'industrie québécoise de l'aérospatiale est sur une lancée. Chiffre d'affaires en hausse, création d'emplois, investissements privés et publics, lancement imminent de la nouvelle CSeries de Bombardier: les bonnes nouvelles se succèdent. De quoi faire oublier la crise financière de 2008 et la récession qui a suivi.

 

Selon Amélie Hudon, directrice, communications et stratégie, à Aéro Montréal, tous les indicateurs pointent vers le haut. «Les moins bonnes années sont derrière nous. On est carrément devant la reprise. Les ventes, qui étaient de 11 milliards en 2010, ont atteint 12,1 milliards en 2012, soit une hausse de plus de 10%", dit la porte-parole de la grappe aérospatiale du Québec.

 

En fait d'emplois, l'industrie donnait du travail à 40 000 personnes en 2010. Ce chiffre a grimpé à 42 500 travailleurs en 2012. «Et selon le recensement publié en mars 2013 par le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale du Québec (CAMAQ), plus de 2300 emplois devraient avoir été créés d'ici la fin de l'année», explique Mme Hudon.

 

Selon Jacques Roy, de HEC Montréal, tous les regards sont tournés vers la CSeries de Bombardier. «C'est LE gros projet en ce moment au Québec. Le lancement de nouveaux appareils, on ne voit pas ça souvent. C'est un moment historique», dit le professeur titulaire et directeur du service de l'enseignement de la gestion des opérations et de la logistique.

 

C'est donc toute l'industrie québécoise qui, par ricochet, devrait en profiter si les carnets de commandes de Bombardier se remplissent. À commencer par le fabricant de moteurs Pratt&Whitney (2500 employés à Longueuil), qui a conçu le nouveau moteur (le PurePower) qui propulsera les avions (respectivement d'environ 100 et 130 places) de la CSeries.

 

Aide à l'innovation

 

M. Roy, membre du conseil consultatif de l'Examen de l'aérospatiale, dont le rapport a été publié en novembre 2012, se félicite par ailleurs de l'engagement pris par le gouvernement fédéral, il y a quelques semaines, d'investir dans le Programme de démonstration de technologies. Cette enveloppe budgétaire (jusqu'à 54 millions annuellement) servira à «valider des concepts prometteurs et des prototypes dans des environnements fonctionnels, plus près de leur application potentielle», selon Aéro Montréal. Bref, à aider les entreprises à innover.

 

«L'Examen de l'aérospatiale servait, entre autres, à démontrer combien le secteur aérospatial joue un rôle important dans notre économie. Et aussi que le gouvernement canadien n'y investissait pas assez comme le font des pays tels la France et les États-Unis. Avec cette annonce, je crois que nous avons en partie atteint notre but», dit le professeur à HEC Montréal.

 

Il n'y a pas que le secteur public qui investit en aérospatiale par les temps qui courent. Pratt&Whitney continue à injecter annuellement plusieurs dizaines de millions de dollars en recherche et développement. De plus, grâce à un investissement de 64 millions (mais également une grande expertise acquise au fil des ans), l'usine GE Aviation de Bromont est désormais un centre mondial de R-D en robotique, automatisation et instrumentation.

 

Des initiatives comme le SA2GE (Systèmes Aéronautiques d'Avant-Garde pour l'Environnement) pour la construction d'avions encore plus écologiques de même que l'initiative MACH (optimiser la chaîne d'approvisionnement aérospatiale québécoise) font également en sorte que plusieurs entreprises travaillent désormais en étroite collaboration, et non plus en vase clos.

 

Autre signe qui ne ment pas sur le sort qui attend l'industrie aérospatiale au cours des prochaines décennies: selon l'Association internationale du transport aérien (IATA), le trafic aérien devrait augmenter de 5% dans le monde. "Ça devrait se traduire par l'arrivée de 33 500 nouveaux appareils sur le marché d'ici 2030, ce qui doublera la flotte mondiale d'avions», dit Amélie Hudon, d'Aéro Montréal.

 

Quant à une éventuelle délocalisation des entreprises dans le secteur de l'aérospatiale, Jacques Roy se fait rassurant. «La grande valeur ajoutée, c'est le design, le développement, bref les choses qui font la force du Québec et qui ne se délocalisent pas si facilement», dit-il.

 

Un savoir-faire de calibre mondial

 

Le secteur de l'aérospatiale au Québec est composé de grands donneurs d'ordres comme Bombardier, Pratt&Whitney, CAE et Héroux-Devtek. Mais il ne faudrait pas oublier les PME, de même que les maisons d'enseignement, les centres de recherche et, bien sûr, les sièges sociaux d'organisations internationales.

 

Le taux d'activité en aérospatiale au Québec est concentré à 98% dans le Grand Montréal. Pas étonnant que la métropole soit parmi les plus grands centres aérospatiaux du monde, au même titre que Seattle et Toulouse.

 

Les chiffres colligés par Aéro Montréal, la grappe aérospatiale du Québec, sont là pour le prouver: la grande région de Montréal est la deuxième capitale mondiale en fait de densité d'emplois en aérospatiale. Alors que 1 Québécois sur 189 travaille dans l'industrie aérospatiale, à Montréal, c'est 1 personne sur 96 dont l'emploi est relié à ce secteur.

 

Par conséquent, comme le souligne Aéro Montréal, une telle concentration de joueurs dans les secteurs industriel, éducatif, scientifique et associatif ne peut que se traduire par une capacité de production et de recherche exceptionnelle.

 

Le secteur de l'aérospatiale du Québec, c'est:

 

Quelque 215 entreprises

 

Plus de 42 500 travailleurs

 

Montréal, deuxième capitale mondiale en termes de densité des emplois en aérospatiale avec 1 personne sur 96 dont le travail est relié au secteur

 

Un chiffre d'affaires de 12,1 milliards, dont 80% proviennent de l'exportation

 

Le 6e rang mondial en aérospatiale, derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et le Japon

 

L'industrie aérospatiale québécoise représente:

 

55% des ventes aérospatiales canadiennes;

 

50% des effectifs canadiens du secteur;

 

70% des dépenses totales en recherche et développement au Canada.

 

Sources: Aéro Montréal, Montréal International, MDEIE

 

http://affaires.lapresse.ca/portfolio/aerospatiale/201309/12/01-4688543-aerospatiale-une-reprise-palpable.php

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  • 2 mois plus tard...

Eurocopter veut investir au Québec

 

(Montréal) Le nouveau grand patron d'Eurocopter Canada ne veut pas donner de détails, mais il travaille sur des projets d'investissement au Canada, notamment au Québec.

 

« Le Canada est un pays clé dans notre stratégie d'investissement, a déclaré Romain Trapp, hier, dans une entrevue avec La Presse Affaires. On trouve au Québec le fleuron de l'industrie aéronautique canadienne. Le Québec a plus que toute sa place dans ces projets. »

 

Eurocopter compte 240 employés au Canada, surtout à ses installations de Fort Erie, en Ontario. À cet endroit, il effectue de la finition d'appareils ainsi que de la fabrication de composantes pour des appareils partout dans le monde.

 

L'entreprise exploite également un centre de vente et de soutien à Montréal et un entrepôt à Vancouver.

 

« Nous avons un certain nombre de projets d'expansion à Fort Erie et ailleurs, a indiqué M. Trapp. J'espère en annoncer d'ici quelques mois. Il y aura de la place pour plus d'activités à Montréal. »

 

Le Canada est un marché important pour Eurocopter puisqu'on y retrouve la deuxième flotte civile du monde. Eurocopter en est le chef de file incontesté, avec 50 % du marché.

 

Croissance possible

 

M. Trapp voit encore de la croissance à l'horizon.

 

« La flotte au Canada et au Québec est assez âgée, a-t-il expliqué. La moyenne d'âge des hélicoptères est de 27 ans. Et 35 % de la flotte a plus de 35 ans. »

 

Il a ajouté qu'il y avait deux marchés qui étaient relativement peu développés, soit les missions policières et les services ambulanciers.

 

« Seulement 3 % des hélicoptères au Canada sont des ambulances, a-t-il noté. C'est très faible par rapport aux autres pays occidentaux. »

 

Alors que le gouvernement ontarien compte sur une flotte de 15 hélicoptères, exploitée par la société privée Ornge, le gouvernement québécois ne possède aucun hélicoptère.

 

« J'ai de la difficulté à croire que l'Ontario voit une grande utilité à l'hélicoptère, alors que le Québec n'en voit aucune», a laissé tomber M. Trapp.

 

Il a affirmé que l'hélicoptère permettait de gagner du temps et qu'il était plus flexible que l'avion. « Dans certains cas, chaque minute compte », a-t-il rappelé.

 

Contrat militaire dans le collimateur

 

Eurocopter garde également l'oeil ouvert sur le marché canadien de la défense. Il y a une dizaine d'années, après maintes péripéties, le gouvernement canadien a choisi des hélicoptères de Sikorsky pour remplacer ses appareils Sea King vieillissants.

 

Or, Sikorsky peine à livrer des appareils pleinement opérationnels. En octobre dernier, le gouvernement a entrepris des consultations avec Eurocopter et AgustaWestland pour voir ce qu'ils pourraient offrir si Ottawa décidait d'annuler le contrat avec Sikorsky.

 

Eurocopter entend proposer le NH90, le même appareil que l'entreprise avait suggéré lors du dernier appel d'offres.

 

« À l'époque, c'était un produit qui finissait sa phase de développement, a indiqué M. Trapp. Dix ans plus tard, c'est un produit mature en service dans 14 pays. Le contexte est différent. »

 

Le contrat serait soumis à la politique gouvernementale de retombées industrielles régionales. « Nous ferons ce qu'il faudra, a déclaré M. Trapp. Mais nous n'attendrons pas des obligations du gouvernement pour investir au Canada. »

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201311/20/01-4712574-eurocopter-veut-investir-au-quebec.php

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