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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Effets spéciaux : ce qui rend Montréal si spéciale Cinesite, Framestore et MPC font le bilan de leurs cinq premières années dans la métropole En avril dernier, l’américain Reel FX annonçait l’ouverture d’un studio d’effets visuels à Montréal. Objectif : embaucher 400 personnes en deux ans. En juin, c’était au tour de l’allemande Scanline VFX de s’installer en sol québécois, avec 300 emplois à la clé. Et ces annonces ne sont pas isolées. En 2017, 13,6 % des 2, 025 G$ d’investissements directs étrangers facilités par Montréal International étaient concentrés dans ce seul secteur. « Le Grand Montréal s’est positionné parmi les principaux pôles mondiaux du secteur des effets visuels et de l’animation au cours des 10 dernières années avec une croissance annuelle estimée de 27 % », souligne Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International. Qu’est-ce qui attire ces nouveaux joueurs de l’industrie cinématographique? Comment le marché va-t-il réagir? Cet engouement sera-t-il durable? Réponses avec Cinesite, Framestore et MPC, trois piliers d’origine britannique qui fêtent leur cinquième anniversaire à Montréal. « Ici, toutes les conditions gagnantes sont réunies. » – François Sansregret, chef de l’exploitation, Cinesite Montréal C’est en octobre 2013 que Cinesite a installé ses premiers écrans à Montréal, avec une poignée d’employés, un carnet de commandes alimenté par la maison mère et une ambition : faire du nouveau studio une plaque tournante de son réseau mondial de production. En plus des effets visuels, Cinesite Montréal ouvre rapidement une division animation, qui va produire quatre films en quatre ans, parmi lesquels The Star pour Sony, un projet bouclé en 11 mois seulement, un exploit. Aujourd’hui, avec 400 employés, le studio de Montréal est le plus important du groupe en termes d’effectifs, et le seul qui abrite à la fois les effets spéciaux et l’animation. Tout en collaborant avec Londres (Avengers, The Commuter), Montréal travaille de façon autonome sur des projets d’envergure (Mary Poppins Returns, American Gods). Certaines créatures du nouveau Marvel, Ant-Man and the Wasp, ont été façonnées ici. Et cela sera aussi le cas pour Extinct que dirige David Silverman (Monsters inc., Les Simpsons), prévu pour 2020. « Le succès de Cinesite Montréal a dépassé toutes nos attentes », explique François Sansregret, chef de l’exploitation. « Et cinq ans plus tard, les attraits de Montréal demeurent les mêmes : le bassin de talents, la créativité de la région, la culture techno, les coûts d’exploitation compétitifs et le support constant de Montréal International façonnent un écosystème idéal pour les entreprises innovantes comme la nôtre ». Le studio planche déjà sur trois nouveaux films d’animation, dont une première production originale, Riverdance. Il abrite également une équipe de création de propriétés intellectuelles, qui élabore des concepts d’animation et de nouvelles idées de films amenées à alimenter tout le réseau Cinesite. « En cinq ans, Cinesite Montréal a fait ses preuves et sa marque. Nous tablons sur une croissance tout aussi soutenue pour les prochaines années et visons 300 nouvelles embauches d’ici 2021. » « L’arrivée de nouveaux studios contribue à faire de Montréal un chef de file mondial. Cela bénéficie à toute la communauté VFX. » – Chloë Grysole, directrice générale, Framestore Même son de cloche du côté de Framestore, le tout premier des studios britanniques à avoir élu domicile à Montréal il y a cinq ans. Il compte aujourd’hui 500 employés et vient de doubler la superficie de ses bureaux dans le Mile End pour pouvoir poursuivre son développement. « Si je devais résumer ces cinq dernières années en un mot, ça serait croissance; une croissance folle, une croissance exigeante, une croissance passionnante », sourit la directrice générale, Chloë Grysole. Car il y a de quoi sourire et être fier. En février dernier, le studio a reçu l’Oscar des meilleurs effets visuels pour Blade Runner 2049, dont les effets spéciaux ont été conçus presque exclusivement par Framestore, à son studio de Montréal. « Cette victoire, c’est vraiment celle de notre équipe. Elle récompense des mois de travail et nous positionne comme un joueur de première catégorie dans l’industrie. » Dans les prochains mois, le travail de Framestore sera sur tous les écrans : Christopher Robin, Deadpool 2, Mary Poppins Returns, Women of Marwen, Fantastic Beasts 2, Dumbo,. Pas de doute, l’avenir sourit au studio, qui, grâce à ses liens avec Marvel, Disney et Warner Bros., grâce aussi à sa division VR pour les expériences immersives, entend continuer de grandir au même rythme effréné. Les nouveaux concurrents qui s’installent régulièrement à Montréal joueront-ils les trouble-fête? « Nous voyons plutôt cela comme une opportunité. C’est la forte concentration d’entreprises et de professionnels qui fait de Montréal un hub mondial des effets spéciaux. Les nouveaux studios renforcent la communauté VFX et contribuent à bâtir la réputation mondiale de la région. » « Être dans une ville classée parmi les plus agréables à vivre dans le monde facilite le recrutement. » – Émilie Dussault, directrice du studio, Moving Picture Company On doit aux héros de X-Men l’implantation à Montréal du studio anglais Moving Picture Company (MPC), division VFX de Technicolor. En 2013, la métropole accueille l’équipe de tournage de Days of Future Past. Chargé des effets spéciaux, MPC choisit de s’y installer aussi. Cinq ans plus tard, il est toujours là, en tête avec plus de 850 employés, et planifie une fois de plus une nouvelle croissance. MPC Montréal s’ajoute aux quatre autres studios de la société dans le monde, soit Londres, Bangalore, Vancouver et Los Angeles. « La montée en puissance a été fulgurante. De cinq personnes à l’ouverture en juillet, nous étions déjà 136 à peine 6 mois plus tard», se souvient Émilie Dussault, directrice du studio et présidente de Technicolor Québec. La nomination de X-Men aux Oscars et aux British Academy Film Awards pour les meilleurs effets spéciaux a fait le reste. Depuis, MPC a travaillé sur A Monster Calls, The Revenant, Pirates of the Caribbean: Dead Man Tell No Tales, Ghost in the Shell, Suicide Squad et… Blade Runner 2049. Avec son réseau mondial de studios, il est courant pour MPC de décrocher le contrat pour la totalité du projet. Pour MPC comme pour les autres joueurs implantés à Montréal, la croissance éclair est tout un défi; notamment ce qui a trait au recrutement. Mais un heureux défi tout de même, comme souligne Émilie : « Ç’a permis de créer l’Académie de formation Technicolor, qui fait le pont entre l’université et l’entreprise. À ce jour, c’est plus de 300 jeunes diplômés y ont fait leurs classes. Nous avons aussi mis sur pieds des programmes de formation continue à l’interne et nous organisons toute une variété d’activités favorisant une intégration rapide. Alimenté par des universités de haut niveau et des écoles spécialisées – comme l’École NAD – le bassin local permet de pourvoir environ 40 % des postes. Les autres professionnels proviennent de partout ailleurs sur la planète. « La cote d’amour de Montréal est un atout lorsqu’on recrute à l’étranger. C’est une ville accueillante, créative et facile à vivre, qui suscite beaucoup d’intérêt auprès des artistes et professionnels du monde entier. Au début, ils sont un peu craintifs à cause de l’hiver, mais au bout de quelques mois, ils veulent rester et demandent leur résidence permanente. Et ce ne sont pas les projets qui manquent. » L’équipe de MPC est à l’œuvre notamment sur Shazam!, Dumbo, Underwater, The Voyage of Doctor Dolittle et Godzilla: King of the Monsters. On peut dire que Montréal en met vraiment plein la vue! http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/effets-speciaux-ce-qui-rend-montreal-si-speciale/?utm_source=twitter.com&utm_medium=socialmedia&utm_campaign=bilaneffetsspeciaux
  2. Montreal has reinvented itself as the world's AI startup powerhouse Affordable office space and a community feel have helped Canada’s second-largest city develop into a thriving AI hotspot James Temperton - WIRED Montreal is one of the world’s leading centres for artificial intelligence research – and that reputation is now having a big impact on its startup community. According to PwC Canada, the city raised more venture capital money than any other in the country in 2017, with US$800 million (£616m) invested across 63 major deals. That’s still small fry compared to rival startup cities in the US and across Europe, but Montreal is growing fast. Attracted by its reputation for ground breaking AI research, Google, Facebook and Microsoft have invested heavily in the city’s academic and entrepreneurial communities in recent years. The Canadian government has also pledged more than $200 million (£118m) of funding to further boost Montreal’s AI research. According to Université de Montréal professor Yoshua Bengio, widely regarded as one of the world’s leading authorities on deep learning, the city is well on its way to becoming “a mini Silicon Valley”. And with AI now at the centre of so much technological development, Montreal has found itself in an enviable position. “The private sector is here, the academic sector is here and so is the government,” says Damien Silès, executive director of the Quartier de l’innovation, an experimental city laboratory that operates in downtown Montreal. “We share the responsibility and that’s why it’s working; that’s why it’s a strength.” As Quebec’s biggest city and with 59 per cent of its population fluent in both French and English, Montreal stands out among its North American rivals. “We’re speaking French with joie de vivre but we’re acting North American,” says Silès. “But it’s also the food, the Latin way of life, the Latin way to approach people – it’s totally different.” The low cost of real estate in Montreal has also created a more close-knit community in which locals can afford to live, work and socialise downtown. That’s good news for the city’s 2,500 startups, which occupy the same city blocks as major corporate headquarters and fellow residents. “Montreal is one of those great cities that’s large enough to be a metropolis but small enough that it’s not cut-throat,” says Philippe Telio, founder of Montreal Startupfest, a summer festival that has grown from a few hundred attendees in 2011 to more than 7,000 in July 2018. “There’s now a serious critical mass of innovators and thinkers,” he adds. The only thing holding Montreal back, according to Telio, is a breakout success story. “Like any community we’re starting to see some great successes, but like any great ecosystem we need a couple of billion-dollar companies to showcase.” If its AI scene continues to flourish, Montreal surely won’t be waiting much longer. https://www.wired.co.uk/article/best-startups-montreal
  3. Plantons des arbres Pierre Thibault - La Presse Une fois par mois, l'architecte Pierre Thibault fait partager ses réflexions sur nos lieux de vie. J'aime les arbres et j'adore en planter. Au moment d'en mettre un en terre, j'ai une relation particulière avec l'environnement qui m'entoure. Je ne pense à rien, je suis entièrement dévoué à l'arbre. Cela me procure un état de grande sérénité. C'est sûrement une des raisons pour lesquelles j'ai planté des milliers d'arbres dans ma vie. Ce n'est rien si l'on me compare à mon oncle Herman, qui en a planté plus de 100 000. À 89 ans, il est encore en grande forme, bien droit comme un beau chêne. C'est impressionnant! Les arbres me font du bien, mais surtout, les arbres nous font du bien. Une étude a démontré1 que vivre à proximité des arbres fait gagner sept ans de vie. La présence des arbres aurait donc un impact positif sur nos vies. Les enfants qui habitent à proximité d'un parc réussiraient, en moyenne, mieux à l'école. C'est pourquoi en Suède, il doit y avoir, près de chaque école, au minimum un mètre carré de nature par élève. C'est bien différent de la grande majorité des cours de nos écoles. Cette année, je suis retourné voir mon école primaire. Je n'y ai remarqué aucun changement à l'intérieur, ni même à l'extérieur. La directrice me racontait que les classes orientées vers l'ouest présentaient un important problème de surchauffe en après-midi. Si nous avions planté des arbres pendant mon enfance, nous ne ferions pas face à ce problème aujourd'hui. Les arbres créent un écran idéal contre la lumière trop ardente, en plus d'une présence apaisante en classe pour les élèves. Cette situation est récurrente dans de nombreuses écoles. Il suffirait de commencer dès le prochain printemps une campagne de plantation d'arbres autour de nos écoles pour créer de beaux écrans de verdure et ainsi réduire les îlots de chaleur. Les élèves pourraient évidemment être mis à contribution. Comme il y a plus de 2000 écoles au Québec, nous pourrions facilement planter 100 000 arbres en fonction de l'espace disponible. Le coût serait minime par rapport aux bienfaits. À la campagne, j'ai planté près de 1000 arbres autour de ma maison en un peu plus de 10 ans. Ça semble énorme, mais c'est environ une centaine par année. La majorité des arbres sont transplantés depuis les boisés environnants. Il n'y avait aucun arbre avoisinant la résidence au départ, alors qu'on y retrouve maintenant une véritable forêt. La croissance a été phénoménale. Par exemple, j'ai laissé une ouverture dans la terrasse à l'entrée de la maison pour y planter un bouleau de ma taille. Douze ans plus tard, il fait six fois ma hauteur. Je suis accueilli par un arbre élégant qui me salue. Maintenant, je fais ce que je nomme ma «marche d'arbres». J'aime bien, le samedi matin après mon café, aller les visiter. C'est tellement apaisant. Tous les printemps nous offrent des moments magiques: la croissance des bourgeons et l'éclosion des feuilles. Chaque arbre a ses propres particularités. On peut penser à la feuille dentelée du chêne ou encore aux aiguilles fines du mélèze. Et bien sûr, à l'automne, on assiste à un festival de couleurs qui changent tranquillement. Au fil des ans, je remarque ceux qui jaunissent plus rapidement. Parfois, même deux arbres d'une même variété poussent différemment. Depuis que j'ai lu La vie secrète des arbres de Peter Wohlleben, j'essaie de comprendre pourquoi, comme on le sait maintenant, les arbres échangent et communiquent par leurs racines. Cette entraide pour faire face aux difficultés a une répercussion impressionnante sur leur vie. C'est un bel exemple de collaboration. Pour cette raison, je plante mes arbres en groupe. Je ne veux pas en laisser un vivre seul. D'ailleurs, c'est fascinant comme ceux que j'ai regroupés en équipe poussent réellement plus rapidement. Devant ces bienfaits, c'est à se demander pourquoi on ne plante pas plus d'arbres autour de nos écoles, bien sûr, mais aussi dans nos villes en général. Les arbres absorbent les gaz à effet de serre et réduisent l'émission de protoxyde d'azote, ce qui aide à réduire les changements climatiques. Ils améliorent la biodiversité de l'air et des sols. Les arbres aident à assainir lacs et rivières et participent à la rétention d'eau. Les arbres diminuent les coûts de climatisation et peuvent même parfois la remplacer. D'ailleurs, la ville de Copenhague va planter 100 000 arbres d'ici 2025 pour son plan de neutralité carbone. Il y a tellement de beaux moments vécus à côtoyer des arbres. Cet été, en arrivant dans le village de New Carlisle par une chaude journée, j'ai été tellement impressionné de voir un village avec autant d'arbres par rapport aux autres que je venais de traverser. C'était plus frais, il y avait toute cette verdure autour de nous et le bruit du vent dans les feuilles. Notre environnement était complètement transformé pour le mieux. Je pourrais aussi vous parler de Buenos Aires avec ses arbres immenses, des arbres tout le long de La Rambla à Barcelone, et tant d'autres encore. Et pourquoi se priver des bienfaits? Je suis prêt à épauler ceux qui souhaitent voir notre canopée prendre de l'ampleur pour notre plus grand bien collectif. Le temps de la plantation approche. Faisons-nous plaisir pour le bien-être de notre planète. https://www.lapresse.ca/maison/architecture/201810/11/01-5199878-plantons-des-arbres.php
  4. REM : du bois et du verre pour la future station Technoparc Francis Pilon - Le Journal de Montréal L'intérieur de la station Technoparc du Réseau express métropolitain (REM) sera composé de bois au plafond et de verre pour les murs, afin d’apporter une lumière naturelle à cette station souterraine. Le REM a dévoilé dimanche les plans de cette future station montréalaise, un mois après avoir entamé les travaux qui ont fait l’objet de vives critiques de la part de groupes environnementaux. Cette gare souterraine, aux allures du métro de Montréal, sera située à l'angle du boulevard Alfred-Nobel et de la rue Alexander-Fleming. Il s’agira du dernier arrêt de cette ligne avant d’atteindre l’aéroport Montréal-Trudeau. « Comme le métro, l’accès se fera via un édicule en surface puis des escaliers mécaniques et des ascenseurs permettront d’accéder aux quais situés sous terre », peut-on lire sur le site du REM. Un parc aux alentours de la station sera aménagé pour créer une harmonie avec la verdure qui entoure l’édicule. « Cette petite place devrait ressembler à ce qu’on peut voir aujourd’hui aux stations de métro Verdun ou Laurier (sortie sur l’avenue Laurier) », précise-t-on. Une œuvre numérique, dont les détails ne sont toujours pas révélés, pourrait aussi être installée à l’entrée de la station. Près de 115 entreprises comptant plus de 7000 employés seront desservies par la future station Technoparc, selon le REM. Il faudra toutefois s’armer de patience avant d’apercevoir le résultat final de cette gare qui sera construite uniquement d’ici 2023. Travaux dénoncés Des écologistes s’inquiètent pour les milieux humides et la faune, qui se trouvent sur le chantier de construction du Technoparc de Montréal, depuis le début des travaux entamés en septembre dernier par la Caisse de dépôt et placement du Québec Infra (CDPQ Infra). Des citoyens se sont même adressés aux tribunaux en plaidant que le projet doit être mis sur la glace. Selon eux, les consultations menées par la Caisse sont insuffisantes. En décidant de ne pas tenir de Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), «le gouvernement du Québec et CDPQ Infra ont abrégé les droits fondamentaux des Québécois(es) à un environnement sain». Ces citoyens doivent se faire entendre le 2 novembre devant la Cour d'appel du Québec. La Coalition verte, Technoparc Oiseaux et la Coalition Climat Montréal ont tous dénoncé les travaux amorcés, malgré la procédure judiciaire en cours. https://www.journaldemontreal.com/2018/10/07/rem--du-bois-et-du-verre-pour-la-future-station-technoparc
  5. « Quartier des lumières » : les projets du groupe Mach pour la tour de Radio-Canada Le groupe Mach a dévoilé cette semaine ses projets pour la tour et la partie ouest du terrain de la Maison de Radio-Canada à Montréal, qu'il a acquis en juillet 2017 pour 42 millions de dollars. Le développeur immobilier veut faire du site, situé dans le quartier Centre-Sud, un « village urbain ». Baptisé « Quartier des lumières », le projet prévoit l'aménagement d'un hôtel dans les étages supérieurs de la tour, qui offrira également des espaces de bureaux. Il comprend également un volet résidentiel, avec des logements qui devraient convenir à une « clientèle élargie : étudiants, jeunes couples, familles, personnes seules et retraitées », promet le promoteur. Il y aura aussi une galerie marchande, une clinique médicale et un centre communautaire et culturel. Le groupe Mach prévoit que les travaux seront terminés en 2020. Radio-Canada doit aménager en janvier 2020 dans de nouveaux locaux dont il sera locataire. Ces bâtiments sont actuellement en construction sur la partie est du terrain, cédée pour un dollar en 2017 au groupe Broccolini, dans le cadre d'une entente globale portant sur la construction et la location de la nouvelle Maison de Radio-Canada. « Le diffuseur public se dégage ainsi des risques liés à la gestion immobilière », avait indiqué Radio-Canada dans un communiqué au moment de l'annonce des ententes avec Broccolini et Mach. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1128120/quartier-lumieres-groupe-mach-maison-radio-canada
  6. Une Coupe du monde de ski sur le mont Royal? Une compétition de slalom parallèle pourrait être tenue sur le mont Royal à l’automne 2020 Alain Bergeron - Le Journal de Montréal La double championne olympique Mikaela Shiffrin et les spécialistes mondiaux du slalom pourraient dévaler le mont Royal jusqu’aux pieds de l’Université de Montréal lors d’une Coupe du monde de ski alpin à l’automne 2020. Ce projet qui se veut aussi inusité que spectaculaire est suffisamment avancé, selon ce que Le Journal a appris, alors que la Ville de Montréal et des répondants canadiens du ski alpin y sont initiés depuis un an. Le sujet a de nouveau été exploré par le promoteur – Gestev – et des décideurs de la Fédération internationale de ski (FIS), la semaine dernière à Zurich, au cours du congrès automnal servant à fixer les événements et orientations des prochaines saisons. Intérêt pour Montréal Comme elle l’a fait pour Oslo et Stockholm, qui présenteront l’hiver prochain une telle épreuve de slalom en parallèle, la FIS voit Montréal comme une opportunité d’accroître sur le territoire nord-américain sa vision d’implanter des événements au cœur de grandes villes. La proximité géographique avec la station de Killington, au Vermont, où se tiendront des épreuves féminines de slalom et slalom géant pour la troisième année de suite les 24 et 25 novembre prochains, fait de Montréal une occasion d’optimiser la venue du Cirque blanc en Amérique. L’objectif avoué de la mairesse Valérie Plante de positionner sa ville dans des événements sportifs internationaux nourrit l’intérêt des différents acteurs dans ce projet. Une rencontre a eu lieu cette semaine entre Gestev et le conseiller en matière de sports au comité exécutif de la Ville, Hadrien Parizeau. «Il y a eu effectivement une rencontre entre M. Parizeau et le promoteur, mais c’était une rencontre d’information. Il n’y a aucune décision qui a été prise jusqu’à maintenant. Ce qu’on peut dire, par contre, c’est qu’on est toujours intéressé à faire la promotion des sports d’hiver. Ça fait partie des choses qu’on avait dites en campagne électorale, mais en ce moment, c’est une démarche embryonnaire», nous dit Laurence Houde-Roy, attachée de presse du comité exécutif. «Montréal serait un endroit très attrayant pour tenir un événement et nous savons que la ville de Québec en organise déjà d’excellents en ski de fond et dans d’autres disciplines. Il reste encore beaucoup de travail à faire et de discussions à avoir», nous a précisé par courriel Dave Pym, directeur général de la Canadian Snowsports Association, la voix de Canada Alpin et des fédérations de sports de glisse du pays auprès de la FIS. Durant quatre ans Si les conditions techniques et de financement s’attachent, cette Coupe du monde, déclinée en un volet féminin le samedi et un masculin le lendemain, se tiendrait «au plus tôt» en novembre ou décembre 2020, selon les projections du président de Gestev, Patrice Drouin, laconique lorsqu’appelé à commenter nos informations. Dans le cas d’un délai plus long, l’événement aurait lieu à la même période, mais en 2021. Un objectif de pérennité se cache également derrière ce projet. Le promoteur souhaiterait asseoir cette Coupe du monde sur le mont Royal durant au moins quatre années de suite. Elle se grefferait alors au réseau de courses existant en Amérique du Nord à la fin de novembre et au début de décembre, qui comprend des épreuves techniques et de vitesse à Lake Louise, Beaver Creek et Killington. La finalité favorisant Montréal pourrait aussi dépendre de possibles tractations avec des rendez-vous traditionnels qui se déroulent en Europe à compter de la mi-décembre. «Les démarches pour réaliser ce projet vont se faire dans le plus grand respect de tous les partenaires. On va emprunter la bonne manière», assure Drouin. Le mont Royal, un site naturel comme héritage Si la piste désaffectée du mont Royal reprend vie avec une Coupe du monde, la population de Montréal héritera d’une station de ski au centre-ville. La pente naturelle qui plonge à l’arrière de l’Université de Montréal est devenue le terrain de jeu tout désigné par le promoteur d’une Coupe du monde, Patrice Drouin. Le souci d’éviter de lancer le projet dans de lourdes dépenses d’infrastructures le guide depuis le début, mais il y voit aussi la volonté de redonner en héritage une piste et son remonte-pente qui ont fait le plaisir des skieurs entre 1944 et 1979. «On ne veut pas bûcher effrontément dans la montagne. On veut seulement lui redonner vie dans cette partie. Une Coupe du monde, c’est l’élément déclencheur pour redonner une piste au public. Ça donne encore plus de valeur à notre projet», estime le président de Gestev. Piste homologable Les habitués repèrent depuis longtemps des traces de l’ancienne piste, qui servait à l’époque de centre d’entraînement de l’équipe de ski alpin de l’Université de Montréal. Des pylônes du remonte-pente y côtoient aujourd’hui arbres et broussailles. Au sommet, des dalles de béton encore présentes serviraient de base de lancement pour les skieurs à la compétition. Des délégués de la Fédération internationale de ski doivent arpenter le parcours de quelque 80 mètres durant les prochaines semaines afin de l’homologuer. Guay : «Ça attirerait» Se disant contraint à la discrétion durant ses démarches avec la Ville de Montréal et les autorités internationales du ski, Drouin prévoit maintenant travailler avec Les amis de la montagne, l’organisme à but non lucratif chargé de protéger et valoriser le mont Royal. Entre-temps, il peut déjà compter sur l’appui de l’ambassadeur le plus en vue du ski québécois en Erik Guay. «Le point de départ pour redonner une popularité au ski alpin au Canada serait d’attirer une Coupe du monde au Québec. Je dis spécifiquement au Québec parce qu’il y a plus d’intérêt au Québec qu’ailleurs au Canada. Si on regarde les commanditaires affichés sur nos vêtements, ce sont des entreprises de l’est du pays. Ce serait une belle occasion pour nous [Canada Alpin] d’aller chercher de nouvelles commandites», affirme le champion du monde en titre du super-G. «S’il y avait un arrêt à Montréal, je pense que ça attirerait beaucoup de monde. Il y a plus de 30 000 spectateurs qui assistent au total des deux jours à Killington. Je ne peux pas croire que c’est plus populaire à Killington qu’à Montréal, Mont-Tremblant ou Québec.» https://www.journaldemontreal.com/2018/10/04/une-coupe-du-monde-a-montreal
  7. J'apprécierais beaucoup qu'un modérateur intervienne afin de déplacer cette discussion ailleurs car le sujet du présent fil est Amazon HQ2. En passant, au départ l'atout principal de Montréal par rapport aux autres villes était que c'est ici, et de loin, que l'on retrouve le plus grand nombre de personnes trilingues en Amérique du Nord. Et comme HQ2 est prévu pour être le centre des activités internationales d'Amazon il s'agissait d'un avantage certain pour Montréal.
  8. For me it's a great loss. I would have liked to see it renovated. It has a rétro charm that makes me feel good for some reason. Perhaps it's just nostalgia.
  9. À l'hôtel Laurentien Été 1972 Le temps ne remplace pas tout et on reconnaît facilement le carrefour des rues Peel et René-Lévesque, à l’époque où le grand boulevard s’appelait encore « Dorchester ». La gare Windsor n’accueille sans doute plus le trafic ferroviaire de ses beaux jours du tournant du XXe siècle, alors que même la rue (qui porte le nom de Peel depuis les années 1960) s’appelait aussi Windsor ! Pourtant, on fréquente encore ses couloirs et sa salle des pas perdus, aujourd’hui reliés au métro Bonaventure. Secteur névralgique des transports montréalais depuis la fin du XIXe siècle, il est normal que les environs de la gare soient piqués d’hôtels dont certains font encore partie du paysage. C’est le cas du Château Champlain, surnommé la « râpe à fromage », du Reine Elizabeth ou de l’ancien hôtel Windsor, face au square Dorchester, dont on peut encore aujourd’hui fréquenter les luxueuses salles de réception. Le bâtiment qu’on aperçoit à droite, sur la rue Peel, lui, ne fait plus partie du décor. Il s’agit de l’hôtel Laurentien, le plus vaste hôtel en ville, à l’époque, avec environ 1000 chambres. Il est inauguré en 1948 et représente alors fièrement le style appelé « streamline », un mouvement dans l’architecture et le design issu de l’art déco et qui caractérise la période des années 1930 à 1950, avec des lignes droites et des reliefs métalliques. Son architecte, Charles Davis Goodman, est aussi le concepteur de l’Hôpital général juif de Montréal. Le maire Camillien Houde souligne, le jour de l’ouverture, que le bâtiment représente les relations amicales entre les deux communautés linguistiques puisque ses bâtisseurs, anglophones, ont laissé l’orthographe francophone du mot « Laurentien ». L’hôtel est pourtant détruit en 1978, trente ans à peine après sa construction, pour faire place à l’actuelle tour Laurentienne. https://www.journaldemontreal.com/2018/09/29/a-lhotel-laurentien
  10. Une superbe photo datant des environs du 19 juillet qui nous donne une vue d'ensemble absolument remarquable. @mydroneandme on IG
  11. Une photo intéressante qui date des environs du 2 septembre. @imleewis on IG
  12. https://twitter.com/nouv_champlain/status/1045448050137804800
  13. C'est d'ailleurs ce que je voulais dire par faire la morale, car profession de foi = prêcher = faire la morale.? Je blague. Plus sérieusement, ce que je voulais entendre (et que tu as dit à la fin) c'est ceci: Je crois que finalement on en aura fait une véritable attraction scientifique, en y ajoutant un complexe des sciences de la nature dont le Biodôme fait partie intégrante. Ça c'est de la musique à mes oreilles car j'apprécie énormément le fait que les environs du stade olympique soient devenus, avec le jardin botanique, quelque chose de semblable à la Cité des sciences dans le parc de la Villette à Paris (quoique à Montréal une partie importante se trouve toujours dans le Vieux Port). Avant même l'ouverture du Planétarium Dow (1966) j'avais déjà suivi des cours d'astronomie au Jardin botanique et lorsque l'on a créé l'insectarium et le biodôme je me disais qu'il ne manquerait plus que l'on déménage le planétarium sur le même site pour en faire un véritable complexe des sciences. Mon voeux aura finalement été exaucé.
  14. Je ne me faisais que l'avocat du diâble, c'est à dire de Rocco, qui disait la même chose que Taillibert. Mais cela ne veut pas dire que je partage leur opinion. Cependant je reconnais à Taillibert (et à Rocco) le droit de donner leur opinion. Mais en tout respect, toi ici tu n'es pas en train de donner ton opinion mais plutôt en train de faire la morale. Personnellement j'étais très déçu initialement que l'on retire au biodôme sa vocation initiale. Mais lorsque que j'ai constaté ce que l'on avait réalisé par la suite j'étais tout simplement stupéfait. Pour mener à succès une telle entreprise cela prenait non seulement des gens ultra qualifiés mais également dotés d'une vision hors du commun. En tant que montréalais je suis extrêmement fier de ces installations et le serai sans doute encore davantage lorsque le biodôme ouvrira ses portes en septembre 2019.
  15. La Ville de Longueuil a inauguré jeudi une nouvelle passerelle permettant aux citoyens se déplaçant à pied ou à vélo de franchir la route 132 et d'accéder au parc Marie-Victorin au fleuve Saint-Laurent. Un projet ambitieux, passé de 9 millions à de près de 15 millions de dollars, qui contraste avec les autres structures enjambant la même route sur le territoire de Longueuil, et dont la gestation n'a pas été facile. Un texte de Bernard Barbeau Les quelques cyclistes croisés sur place jeudi matin étaient ravis de pouvoir enfin circuler sur l’ouvrage qu’il pouvait voir grandir depuis des mois. « Il était temps! » s’est exclamé l’un d’eux. La passerelle Normandie aurait effectivement dû être accessible il y a un an. « Pas sûr qu’on avait besoin de quelque chose d’aussi gros et d’aussi beau, mais ce que ça a donné est l’fun », a lancé une passante. « Ils auraient certainement pu en faire une qu’on pourrait qualifier "de base", mais d’avoir un point de vue comme celui-là, notamment avec le belvédère et les passages qui sont assez larges pour pouvoir avoir des rencontres entre les vélos, c’est beaucoup plus intéressant et c’est vraiment un plus », a ajouté M. Grenier La nouvelle passerelle est dotée d’un belvédère de 19 mètres de haut offrant une vue sur les alentours, notamment sur les eaux du fleuve Saint-Laurent. La réouverture du passage facilitera assurément la vie de bien des piétons et cyclistes, qui devaient faire un détour depuis près de trois ans. La nouvelle passerelle étant deux fois plus large que l'ancienne, les personnes à mobilité réduite peuvent aussi y accéder facilement. Elle s'intègre désormais au tracé du Sentier cyclable et pédestre entre Oka et Mont-Saint-Hilaire, un parcours de 143 kilomètres. Un chemin semé d'embûches La Ville avait dû détruire la passerelle Normandie après qu’un camion circulant sur la route 132 avec la benne relevée l’eut gravement endommagée, en février 2015. L'accident n'avait toutefois pas fait aucun blessé grave. Le chauffeur, qui s'en était tiré sans accusations criminelles, était employé par l’entreprise Arguy, un sous-traitant d'Environnement routier NRJ qui avait obtenu de la Ville un contrat de déneigement. Grâce à sa police d'assurance, Arguy a rapidement remis à la Ville de Longueuil près de 775 000 dollars, soit la valeur résiduelle de l'ouvrage datant de 1979, mais rénové quelques mois avant l'accident. Le hic, c'est que la passerelle Normandie a coûté beaucoup plus cher à reconstruire, notamment en raison de nouvelles normes. Un litige persistait donc au sujet d'une somme de 1,5 million de dollars réclamée par la Ville de Longueuil aux deux entreprises. En juillet dernier, la Cour supérieure du Québec leur avait ordonné de payer à la municipalité un peu plus de 1,4 million de dollars. Le juge Stéphane Sansfaçon avait souligné que, bien que les deux compagnies se devaient être légalement solidaires dans cette affaire, la « part de responsabilité solidaire » incombant à Arguy était de 100 %. La construction de la nouvelle passerelle a pris un an de plus que prévu, notamment parce que le projet a fait l’objet de deux appels d’offres. Le premier a été annulé parce que les prix proposés excédaient de 5 millions de dollars l’évaluation municipale. Le second n’a permis de réduire la facture que d’environ 1 million de dollars. Après analyse, la Ville a conclu que la complexité du projet et son caractère unique avaient été sous-évalués. L’opposition avait justement déploré l’ampleur des travaux prévus. « On aurait été capable de construire trois ou quatre passerelles » pour le même prix, a déclaré en février 2017 le chef de l’opposition officielle d’alors, Robert Myles. La mairesse Sylvie Parent, qui était sur place jeudi après-midi pour l'inauguration officielle de la structure, a reconnu que « cette magnifique passerelle qui était grandement attendue par nos citoyens » avait coûté cher. La Ville a pu payer une partie des travaux grâce à des subventions totalisant près de 3 millions de dollars qu'elle a obtenues des autres paliers gouvernementaux et grâce à un dédommagement reçu de son assureur, a souligné Mme Parent. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1126503/la-nouvelle-passerelle-de-la-132-est-maintenant-accessible?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  16. J'ai moi-même entendu Taillibert dire exactement la même chose que Rocco. Ce qu'il faut savoir c'est que Roger Taillibert est un grand sportif. Il a aujourd'hui 92 ans et est encore en pleine forme. Pour lui un stade (ou un vélodrome) ce n'est pas seulement une oeuvre architecturale mais c'est d'abord et avant tout une installation sportive. Et il a été très déçu de voir son vélodrome transformé en biodôme. Il l'a encore dit dernièrement. C'est ce que je pense aussi. De ce que j'ai compris il entrera davantage de lumière dans le nouveau biodôme; ce qui sera bon non seulement pour les visiteurs mais également pour les animaux qui vivent à l'intérieur de ces écosystèmes artificiels.
  17. Superbes photos! Je commence à réaliser que le REM n'est plus seulement un projet mais est en train de devenir réalité très rapidement. C'est d'ailleurs ce que souhaitait Michael Sabia.
  18. Des consultations pour l’avenir du restaurant Hélène-de-Champlain Des consultations publiques organisées par la Ville de Montréal sont en cours pour discuter de l'avenir du parc Jean-Drapeau, situé sur les îles Sainte-Hélène et Notre-Dame. Les citoyens ont également la possibilité de se prononcer sur la vocation de l'immeuble Hélène-de-Champlain, rénové à grands frais et laissé à l'abandon. L’immeuble, construit à la fin des années 1930, a été transformé en restaurant en 1955. Il a connu son heure de gloire pendant l'Expo 67 alors qu’il a servi de pavillon d’honneur. Plusieurs chefs d'État et de dignitaires y ont alors été accueillis. En 2009, le restaurant a fermé ses portes afin de subir une cure de rajeunissement. Seize millions de dollars ont été investis par la Ville pour enlever l'amiante, refaire la plomberie, l'électricité et le chauffage ainsi que pour changer les portes et les fenêtres. L'intérieur de la bâtisse est toutefois toujours en chantier. Les murs, les planchers et les plafonds sont à refaire et la décoration intérieure doit être revue. Le jardin et la roseraie devront également être redessinés par des architectes paysagers. La Ville estime qu’il faudrait encore investir au moins 10 millions de dollars pour remettre les lieux en état. En février, le responsable des grands parcs au comité exécutif, Luc Ferrandez, avait donné l'assurance que la résurrection du restaurant Hélène-de-Champlain était toujours dans les cartons. L'ancien maire Denis Coderre avait souhaité transformer l'immeuble en salles de réception et d'événements haut de gamme. Mais l'administration Plante-Dorais pense autrement. « On a investi énormément d’argent pour ce joyau architectural, rappelle la mairesse Valérie Plante. Le restaurant Hélène-de-Champlain, il faut lui trouver une fonction, ou des fonctions, parce que c’est quand même assez grand. Alors, si on peut s’en servir. » Les citoyens peuvent participer à la consultation publique en se rendant sur le site Internet de l’Office de consultation publique de Montréal. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1126392/consultations-avenir-restaurant-helene-de-champlain-parc-jean-drapeau?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
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