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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Wow! J'aime beaucoup le concept même si 6 étages ce serait beaucoup pour un musée. Mais d'une façon ou d'une autre l'administration du McCord devra se résigner à faire des compromis, soit sur la localisation ou la dimension du terrain. Il y a une question de coût aussi et comme le gouvernement est appelé à fournir la plus grosse partie des fonds nécessaires il est permis de penser qu'il aura le dernier mot concernant l'emplacement, comme ce fut le cas pour le CHUM notamment (selon la volonté du ministre de la santé de l'époque, Philippe Couillard). Et j'ajouterai ceci: en diagonale avec le MAC. Il y aurait alors une synergie naturelle entre les deux institutions. Le McCord se doit d'être le plus près possible de la rue, de préférence un coin de rue. Sainte-Catherine et Jeanne-Mance est d'ailleurs le plus beau coin de rue de tout le Quartier des spectacles. C'est ce qui explique pourquoi il n'est pas à vendre. À moins bien évidemment qu'il n'obtienne le prix qu'il désire et que le McCord ne peut vraisemblablement pas s'offrir... La Ville vient de payer 18 M$ pour la partie sud de l'îlot Voyageur! C'est pourquoi je préférerais qu'ils achètent le coin de rue et laisse le spectrou pour le projet QDS. Je ne vois pas le McCord dépendre d'un autre projet dont la vocation serait totalement différente de la sienne. Aux dernières nouvelles on disait que la Ville avait offert trois emplacements pour construire le Musée de Montréal, dont l'un n'intéresse pas du tout l'administration actuelle du McCord. Il en reste donc deux. Devinez lesquels!
  2. Cela avait déjà été annoncé il y a un an environ (voir capture d'écran ci-jointe).
  3. Même si cela ne semble pas correspondre à la volonté de l'administration du McCord, qui préférerait plutôt s'installer au coeur des Quartier des spectacles, cela demeure aujourd'hui mon site préféré pour le Musée McCord car même si il serait un peu loin du centre artistique il offrirait au Musée tout l'espace dont il a besoin dans un milieu urbain qui gagnerait énormément de prestige en hébergeant une telle institution juste en face de la Grande Bibliothèque dont la vocation est d'ailleurs complémentaire. C'est tout ce qui manquerait à ce coin là pour en faire un endroit incontournable. Non il reste encore des espaces à louer et l'objectif est d'accueillir des entreprises oeuvrant dans le milieu de l'animation visuelle. J'en profite pour dire que j'aime bien la perspective que l'ONF soit dorénavant située tout près de la Société des arts technologiques (SAT) sur Saint-Laurent. Pour accueillir le musée à cet endroit il faudrait sans doute procéder à des expropriations afin de réduire le nombre d'étages du nouveau bâtiment, ce qui serait fortement souhaitable. Personnellement j'aurais beaucoup aimé voir le nouveau musée au coin de Sainte-Catherine et Jeanne-Mance à la place des vieilles maisons en rangée. Mais je ne sais pas si cela est envisageable car le propriétaire ne semble pas pressé de vendre. Reste à voir aussi ce que le projet QDS nous réserve et si les promoteurs seraient prêts à intégrer le McCord à leur projet déjà fort ambitieux d'après ce que l'on a pu voir sur les dernières esquisses. De toute façon le changement de gouvernement pourrait retarder le projet, comme cela fut le cas pour la Maison symphonique qui devait initialement être construite sur le terrain de ce qui est aujourd'hui la Place Émilie-Gamelin. Ce serait donc un juste retour des choses si le nouveau McCord devait s'installer juste en face.?
  4. Je crois que le 11 de Maisonneuve appartient à Mondev et sera probablement utilisé pour construire des condos. Pour ce qui est du métro Saint-Laurent plusieurs ici sont d'avis que le terrain serait peut-être trop petit pour le McCord.
  5. La Piscine: 1er accélérateur québécois d'entreprises culturelles Diane Bérard - les affaires La stratégie de développement économique de la Ville de Montréal 2018-2020 cible cinq secteurs stratégiques pour renforcer l’innovation et le virage numérique de la métropole. Parmi ceux-ci: les industries culturelles et créatives. À Montréal, ce secteur génère 92 000 emplois et des retombées économiques de 8,6G de dollars. Il inclut notamment l’architecture, le design, la mode, les multimédias, les jeux vidéo, les arts numériques et les arts traditionnels vivants et visuels. À partir de l'été 2019, les entrepreneurs culturels québécois auront leur accélérateur. Il logera dans l’un des plus beaux édifices de la ville, Le Rodier, dans Griffintown. Le Rodier est un immeuble de type flatiron. On en trouve une cinquantaine au monde, dont une dizaine au Canada, et un seul au Québec. Construit en 1875, Le Rodier est vacant depuis 20 ans. Son dernier occupant était Baron Sports. Le Rodier a été sauvé de justesse des pics de démolisseurs, on voulait qu’il cède sa place au passage des autobus… Il y a deux semaines, j’ai visité le chantier Rodier - coiffée de l’incontournable casque de construction - en compagnie du duo qui lui ressuscite: George Coulombe et David Moss. Le premier est promoteur immobilier. Le second, codirecteur général et responsable du développement stratégique de La Piscine. La Piscine c’est l’OBNL responsable d’animer Le Rodier, en fournissant les programmes d’accélération d'entreprises culturelles et la gestion de la communauté. George Coulombe n’a rien du promoteur immobilier typique. Depuis 40 ans, son truc ce sont les édifices patrimoniaux. Il est aussi président de la société Montréal en histoire. «La Piscine est très chanceuse d’avoir un partenaire qui aime autant la culture», dit David Moss. Le promoteur qui aime les vieilles pierres et l'accélérateur qui aime la culture En 2016, lorsque la Ville de Montréal a mis Le Rodier en vente, George Colombe a allongé 930 000$ pour l’acquérir. Il était parfaitement à l’aise avec la condition imposée par le vendeur : en faire un lieu dédié à la culture. Les membres de La Piscine convoitaient aussi cet édifice. C’est un endroit béni pour abriter leur mission. Ils ont donc approché George Coulombe. Le mariage était évident», lance le promoteur. Pour l’instant, La Piscine est propriétaire minoritaire du lieu. «À terme, leur actionnariat augmentera jusqu’à devenir majoritaire, poursuit l’homme d’affaires. Et, quand ils seront prêts, je leur remettrai les clefs. » En attendant, sa société est responsable de la mise à niveau de l’édifice. En visitant le chantier, je n’ai eu aucun mal à imaginer les cinq étages habillés et animés. M. Coulombe et un formidable conteur, sous ses mots les vieilles pierres prennent vie. Je l’avoue, j’étais un peu sceptique devant la nature particulière de ce partenariat. Le promoteur immobilier allait-il prendre à sa charge toutes les rénovations pour ensuite remettre tranquillement les clefs à La Piscine? Il l’a déjà fait. George Coulombe a accueilli le siège social de l’Ordre des architectes du Québec, au 420 McGill, pour ensuite leur permettre d’acquérir 25% puis, à mesure que leur budget le permettait, 50%, 75% et 100% de leur espace. Aujourd’hui, le promoteur se contente d’administrer ce siège social. Lire la suite sur le site du journal les affaires: http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/la-piscine-1er-accelerateur-quebecois-d-entreprises-culturelles---clone/605701
  6. On approche de la jonction finale. https://twitter.com/Eve_Christian/status/1051925027673784320
  7. Les fontaines et les arbres contribuent à donner de l'âme à une ville. De plus une fontaine est généralement un point d'attraction et de rassemblement pour les badauds. Non car la fontaine peut elle-même être une oeuvre d'art. J'espère d'ailleurs que l'on pensera à en installer une sur la future Place McGill.
  8. Je dirais plutôt amplifier le boum existant plutôt que l'initier. Je vois le parc Robert-Bourassa comme le lien, pour ne pas dire le liant, entre le Faubourg des Récollets et Griffintown. Si le parc Robert-Bourassa est la "nouvelle entrée" de Montréal on peut dire que la sculpture Source, de Jaume Plensa (un Espagnol dont le fils a vécu à Montréal) marque admirablement bien cette entrée. Cette sculpture de forme humaine regarde en direction de Montréal comme pour indiquer aux visiteurs où se trouve le centre-ville.
  9. Vue à partir de la caméra de chantier, en date d'aujourd'hui, le 16 octobre. On est déjà un étage plus haut que les arbres sur Viger.
  10. En particulier la rue Jean-d'Estrées qui sépare le parc Ville-Marie de la futur plaza du 750 Peel, tout comme la rue Saint-Antoine qui sépare la Place des Montréalaises du Champ-de-Mars et pour laquelle on a trouvé une solution.
  11. Le nouveau pont de L'Île-des-Soeurs sur le tablier Sud. Voici une photo au coucher du soleil après son asphaltage. https://www.facebook.com/nouveauchamplain/photos/a.962468370495880/1840473259362049/?type=3&theater
  12. Le projet Bonaventure remporte le Prix de réalisation en transports urbains durables 2018 de l'Association des transports du Canada.
  13. À partir de la caméra de chantier on peut maintenant voir le rouge dans le bas de la façade avant de l'édifice jusqu'au niveau de la rue.
  14. Comment attirer plus de tournages à Montréal? Le cinéma et la télévision représentent environ 34 000 emplois à Montréal. Sous l'administration Coderre, la Ville avait commandé une importante étude pour se doter d'une stratégie afin de mieux développer l'industrie cinématographique. L'étude a bien été réalisée, mais avec le changement de garde à l'hôtel de ville en 2017, elle est restée lettre morte. Notre journaliste Louis-Philippe Ouimet a mis la main sur ce plan d'action qui révèle quels sont les principaux obstacles que rencontrent les tournages étrangers à Montréal. Voir la vidéo de Radio-Canada: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1129940/cinema-tournages-etrangers-montreal
  15. Plus ou trop de tournages à Montréal? La Ville de Montréal et le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec veulent attirer plus de tournages étrangers. Or, dans certains quartiers comme le Vieux-Montréal et le Mile End, des gens trouvent qu'il y en a déjà trop. Bonne nouvelle: il y a des solutions, plaident des directeurs de lieux de tournage. Émilie Côté - La Presse En novembre, la mairesse Valérie Plante prendra part à une mission économique à Los Angeles avec le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ). Son but: attirer plus de tournages hollywoodiens à Montréal. «J'aimerais que Valérie Plante voie tout cela avant d'aller à Los Angeles. Elle verrait que c'est une véritable industrie et qu'il faut un appui politique.» Michèle St-Arnaud est directrice de lieux de tournage (location manager, dit-on en anglais). Mercredi, elle nous a fait visiter le plateau du film américain Midway, qui occupe en grand les studios Mels avec près de 400 artisans québécois. Réalisé par Roland Emmerich, le drame de guerre met en vedette Mandy Moore et Woody Harrelson. Depuis deux ans, le Québec est près d'atteindre un record en matière de films étrangers tournés à Montréal. L'an dernier, les dépenses totales ont atteint 383 millions. Or, le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec voudrait atteindre des dépenses de tournages étrangers de l'ordre de 500 à 700 millions, a indiqué à La Presse la commissaire Chanelle Routhier. Son équipe courtise notamment les producteurs chinois. Chaque année, le BCTQ tient plusieurs «tournées de familiarisation». «On fait venir des producteurs étrangers et on leur fait un portrait du territoire, des lieux de tournage et des infrastructures.» Or, des commerçants, des résidants et des artisans considèrent qu'il y a déjà trop d'équipes internationales et québécoises qui tournent à Montréal. Surtout dans le Vieux-Montréal et le Mile End. «Je ne peux que me réjouir de la venue de plus de tournages. Le seul problème est que la ville est très petite. S'il fallait que la demande double, ce serait laborieux dans le Vieux», indique Pierre Blondin, directeur de lieux de tournage. «L'empreinte d'une production est très large. Il faut des terrains pour stationner les camions», précise-t-il. «Le Vieux n'est plus ce qu'il était, souligne par ailleurs Mario Lafrance, de la Société de développement commercial du Vieux-Montréal. Il y a entre 500 et 600 commerçants. Il y a 7500 résidants et 40 000 travailleurs. Et le tourisme a beaucoup augmenté. Il faut s'adapter à cette nouvelle réalité.» La demande dépasse-t-elle déjà l'offre? On compte aujourd'hui deux studios de grande envergure à Montréal. Les studios Mels et MTL Grandé, qui a ouvert en 2017. Or, ils «sont pas mal pleins», souligne Chanelle Routhier du BCTQ. Environ 85 % des tournages réalisés au Québec se font dans le grand Montréal. Le BCTQ voudrait mieux répartir les tournages dans la province. De nouveaux bureaux régionaux ont par ailleurs ouvert récemment à Longueuil, dans Chaudière-Appalaches et dans les Cantons-de-l'Est. «Il y a tellement à offrir, dit Mme Routhier. On cherche à obtenir des crédits d'impôt régionaux.» Actuellement, il faut que la boîte de production soit située dans la région choisie pour qu'il y ait un avantage fiscal. Ainsi, tourner à l'extérieur de Montréal est coûteux, car les équipes proviennent du 514. Des moratoires sur les tournages Aux tournages étrangers s'ajoutent ceux des séries et des films québécois. Dans certains quartiers de Montréal, dont le Mile End, des résidants et des commerçants n'en peuvent plus. En 2016, un nombre trop élevé de plaintes a forcé le Bureau du cinéma et de la télévision de Montréal (BCTM) à interdire les tournages dans un certain quadrilatère. Le Mile End fait toujours «l'objet d'un moratoire», confirme Thomas Ramoisy, directeur Cinéma, festivals et événements à la Ville de Montréal. «L'un des problèmes est que c'est souvent à la dernière minute, note Jimmy Zoubris de l'Association des gens d'affaires du Mile End. On prend beaucoup d'espace pour trop de temps. La rue est fermée deux jours, mais on n'y tourne que six heures. Chaque fois qu'on appelle la Ville ou le Bureau du cinéma, il n'y a personne pour régler cela et venir sur place», déplore-t-il. Dans le cas des séries québécoises, les tournages se confirment souvent à la dernière minute, car les épisodes ne sont pas toujours écrits d'avance. Résultat: les équipes de tournage retournent plusieurs fois à un même endroit au lieu de s'y installer pour un moment. À la SDC du Vieux-Montréal, Mario Lafrance comprend que les tournages cinématographiques sont un outil de développement économique. «Or, cela va devoir être géré avec un niveau d'efficacité amélioré.» Le BCTQ bâtit justement «un chantier de live action pour assurer un suivi de service à la clientèle, annonce Chanelle Routhier. On tient à ce que les citoyens soient derrière notre industrie». De son côté, la Ville de Montréal veut multiplier les rencontres existantes pour les grands tournages qui nécessitent des fermetures de rues ou des cascades. Sont alors réunis autour d'une même table des représentants de différents services municipaux. «La production Midway, par exemple, a exigé des rencontres de coordination pour le tournage à l'hôtel de ville», indique M. Ramoisy. C'est après l'une de ces rencontres que l'équipe de la série Jack Ryan a fermé le boulevard René-Lévesque le mardi soir 2 mai plutôt que la veille, comme prévu. «Les policiers nous ont dit qu'il y avait la manifestation de la fête des Travailleurs», raconte Michèle St-Arnaud. «Plus on fait du travail en amont, moins les tournages ont des répercussions négatives, fait valoir la directrice des lieux de tournage. J'ai déjà organisé des valet parkings pour aller stationner l'auto des gens», explique Michèle St-Arnaud, directrice de lieux de tournage. Comme directrice de lieux de tournage, Michèle St-Arnaud dit avoir un rôle de «diplomate». «Notre métier se développe. On a beau être engagés par des producteurs, nous sommes là pour faire respecter des ententes qu'on prend avec des gens et la Ville. Le lien de confiance se fait avec moi [...]. Je dis souvent aux producteurs que je prépare leur prochain film.» Michèle St-Arnaud a une équipe d'assistants qui protègent les lieux d'origine où ont lieu les tournages. «C'est notre ressource et il faut la protéger. Quand je pars, c'est pareil ou mieux que c'était.» Plus d'ouverture Son collègue Pierre Blondin plaide pour une plus grande accessibilité des lieux. À Westmount et à Outremont, par exemple, l'obtention d'un permis de tournage est très difficile. «Quand j'essuie un refus, je ne comprends pas, car on ne coûte rien. On paie pour tout et c'est une opération à coût nul. La ville de Montréal est petite, donc tout ce que l'on a devrait être plus accessible.» Quand Pierre Blondin a vu la scène d'ouverture du film de la série James Bond 007 Spectre, tournée en Italie, il s'est dit: «Je ne sais pas si je pourrais faire une scène de cette envergure à Montréal.» «J'étais incrédule. Ce n'est pas juste une question d'argent et de négociation. Cela prend une volonté politique [...]. Quand un film vient ici, il fait travailler des centaines de personnes.» https://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201810/15/01-5200331-plus-ou-trop-de-tournages-a-montreal.php
  16. Je croyais que l'ONF serait le seul occupant de l'édifice mais je suis ravis d'apprendre que l'Îlot Balmoral pourrait à terme regrouper plusieurs organismes , institutions et entreprises oeuvrant dans le secteur des arts visuels, à l'instar du Wilder qui accueille déjà plusieurs organismes oeuvrant dans le secteur de la danse. Je crois beaucoup au concept de regroupement; soit dans un même secteur, comme autrefois la Cité du multimédia, ou dans un même édifice, comme le O Mile-Ex en ce qui concerne l'intelligence artificielle. Le Quartier des spectacles lui-même est né sous ce principe et on voit aujourd'hui le résultat: l'administration du Musée McCord est prête à faire d'importants compromis pour pouvoir s'y installer.
  17. I have already posted that article here:
  18. Montreal soaring to new economic heights, but headwinds still buffet the summit Christopher Reynolds - The Canadian Press MONTREAL — In a sun-lit lecture space at Ecole Polytechnique, Joelle Pineau explained how a machine can create a recipe from a photo of a tourtiere. It’s not easy as pie, but rather the fruit of 12 months of experimentation at Facebook’s new artificial intelligence lab, which she heads up in Montreal. “I would like the robot that goes with it and then makes the recipe,” joked Pineau, an associate professor at McGill University. Facebook’s lab has already expanded to 20 specialists from four since its launch in September 2017, with plans to move to a bigger facility come January. Microsoft Corp. and Google parent Alphabet Inc. have both launched Montreal-based AI labs in the past two years, and aim to hire scores more researchers in the next year or so. It’s not just Montreal’s AI sector that’s booming. A mix of cutting-edge tech clusters, real estate growth and old mainstays like tourism and shipping are transforming the city into an economic hot spot after decades of battling a frosty business image. Regional gross domestic product grew 3.5 per cent in 2017, according to Statistics Canada, outpacing Toronto and Vancouver as Montreal enjoyed its biggest growth spurt in more than 10 years. Unemployment has hovered at around six per cent for the past 12 months, remaining near all-time lows. Meanwhile, foreign direct investment surpassed $2 billion in 2017, a new record that marks a 50 per cent increase over 2016 and a 100 per cent jump from 2015. “There’s definitely a buzz around Montreal, especially the high-tech sectors,” said Christian Bernard, chief economist with Montreal International, an economic development agency. Up to 75 per cent of foreign direct investment last year went toward high-tech sectors such as gaming, visual effects and aerospace as well as life sciences and health technology, he said. “The technology is very broad, and the talent can move around from one area to another, one niche application to another,” said Universite de Montreal computer scientist and deep-learning pioneer Yoshua Bengio, who serves as scientific director of the new Montreal Institute for Learning Algorithms. Bengio cited as a key catalyst French gaming company Ubisoft Entertainment SA, which opened a small office in Montreal in 1997 that now employs 3,500 workers. Cash has been pouring into Montreal from public and private institutions, including more than $300 million over the next five years from the federal and provincial governments to bankroll big data research at Montreal universities and foster a regional AI “super-cluster”. Brad Henderson, chief executive of Sotheby’s International Realty Canada, said mortgage stress tests and higher interest rates haven’t dampened Montreal’s real estate market, which he called the healthiest in Canada. The city’s $1 million-plus real estate sales increased 19 per cent year over year in July and August, and they’re poised “to set new records to the end of 2018,” according to a Sotheby’s report in September. Quebec’ political situation has calmed investor fears, he added. “Montreal’s always kind of had a bit of a political overhang,” Henderson said, “but the concerns about separatism have largely dissipated, and that in our opinion has contributed to the steady growth that we’ve seen in Montreal.” Montreal’s port continues to underpin the regional economy, as the year-old free-trade deal between Canada and the European Union boosts container shipping and prompts a hiring spree at the docks, according to port officials. Container imports increased 7.8 per cent to nearly 4.33 million tonnes in the first seven months of this year compared with the same period in 2017, with the bulk of that traffic coming from Europe. Tourism is also on the rise, with Trudeau International Airport welcoming more than 11 million foreign passengers in the first eight months of 2018 for a 6.9 per cent year-over-year gain, according to Tourisme Montreal. However, the same features Montrealers cite as strengths can detract from the city’s sheen as well. In 2016, median household incomes in Montreal climbed more quickly than in many metropolitan areas, but they remained among the lowest of any major city in Canada at $61,790, according to StatCan figures. High employment points to a severe thirst for a bigger talent pool, said Montreal Board of Trade president Michel Leblanc. Many parts of the province are now “beyond full employment,” with a demand for more qualified workers in sectors ranging from hospitality to transportation to the tech scene, Leblanc said. “We need to have more immigrants,” he said, one day before Quebeckers voted the Coalition Avenir Quebec to power on Oct. 1, whose leader Francois Legault has pledged to reduce immigration by 20 per cent. One-third of Quebec’s workforce will have to be replaced in the next 10 years as the population ages, said Mia Homsy, director of the Institut du Quebec, a public policy think tank. “It’s already starting to affect investments and production, with a direct impact on GDP,” she said. Population growth in the Montreal census metropolitan area has been relatively slow, rising 11 per cent to 4.1 million residents between 2007 and 2017, according to StatCan. The rate lags well behind Canada’s five other biggest urban areas. Despite its rapid growth, Montreal’s affordability is better than many of the other 10 biggest cities on the continent, said Loic Jegousse, head of cyber and IT risk with a BNP Paribas team that launched in Montreal last May. “I myself have two teenage daughters. I used to live in Toronto, and I thought it would be wise to come to Montreal so they can actually afford a home when they grow up,” he said. “Montreal was very sleepy for a long, long time, but now it is going through a renaissance.” https://nationalpost.com/pmn/news-pmn/canada-news-pmn/montreal-soaring-to-new-economic-heights-but-headwinds-still-buffet-the-summit
  19. One of the largest tech-company launchers in the country is a relatively unknown entity Montreal's Centech is home to technopreneurs from 26 universities in 11 countries across varied disciplines Denise Deveau - National Post Richard Chénier is sometimes taken aback by the number of applicants at Centech. “I don’t know why they choose us because we don’t do promotions,” says the director-general of the Montreal-based incubator and accelerator. The fact that word of mouth is enough to fill their ranks is a clear testament to Centech’s success. Established in 1996, it is in fact one of the oldest incubator/accelerators in the country. Over those 20-plus years it has grown to become one of the largest tech company launchers in the country and has been ranked among the top 10 accelerators in the world according to University Business Incubator. Up to 2015, applicants were exclusively students from its founding partner, the École de technologie supérieure engineering school. At that point it opened its doors to any applicants, and is now home to technopreneurs from 26 universities in 11 countries. Projects range from smart lighting and 3D modelling for industrial applications to medical cannabis and monitoring tools for turtle nests. Centech’s main focus is on hardware and deep tech. According to Chénier, 100 per cent of solutions developed there have software and 85 per cent of those have software embedded in an object. “We don’t create startups,” he says. “We launch businesses. That’s a different mindset from other accelerators. Even when a company has significant seed round financing, they still need to know how to spend that money and build their business in terms of legal, cash flow and pipeline building.” Locketgo, a provider of temporary lockers for transporting to and from large events, is a member of the Centech two-year Propulsion Program. Since starting the company, Gabrielle La Rue has become a fixture on the startup scene. Despite being a native of Montreal, La Rue says when someone recommended she apply to Centech, “My first question was, what is Centech? I had never heard of it.” La Rue, who has extensive connections with the entertainment and event industry, realized Centech was the perfect place to build up expertise in the technology needed for her product. While the concept resonated well with customers, she says, “We were far from knowing what we were doing and weren’t even close to understanding the technology we needed to build our systems properly. I talked to Centech on a Friday and joined their Acceleration Program on the Monday.” After completing that program Locketgo was accepted into the Propulsion Program. “The first stage taught me everything about running a business – how to pitch, future planning, etc. The next stage really gave us the strength and knowledge we needed to build the company.” Now, she says, they have a much bigger team and a new and improved product that is ready to launch. One advantage of her time at Centech is that she can tap into a wide range of engineering talent. “Everyone here has their strengths. That helps a young company like ours shape where we want to go.” Isabel Galiana, CEO and co-founder of Saccade Analytics, was equally surprised to hear about Centech during her business’ formative years. “When someone told me to apply to Centech, I had no idea what it was.” Saccade was founded with the intent of commercializing 30 years of medical research into the neurophysiology of eye movement done by Dr. Mimi Galiana at McGill University’s Department of Medical Engineering; she is also a co-founder and chief science officer of Saccade. Unlike Locketgo, engineering technology was not as much of an issue as expanding its network of connections beyond academic circles, Isabel Galiana says. In simple terms, the software, which can be embedded in off-the-shelf virtual reality goggles, evaluates brain functions based on eye and head movement. It’s a technology that can be used to diagnose abnormalities from concussion, neurological disorders or other causes. Typically patients have to wait months for an assessment, which can take up to two hours and requires heavy, expensive equipment. Saccade’s software can complete a test within seven minutes and generate a report in about 30 seconds. Galiana says Centech has pushed the team to build a company while growing a network with key contacts including medtech companies, healthcare organizations and sports associations. “Here we are not treated as a startup but as a company. The key is the security and support Centech provides. That’s very rare in every other aspect of an entrepreneur’s existence.” The security means a great deal in terms of keeping innovation in Canada, Chénier believes. “When they leave Centech, they are autonomous and ready to grow. In our minds that’s the best way to create a future for our economy.” https://calgaryherald.com/entrepreneur/fp-startups/one-of-the-largest-tech-company-launchers-in-the-country-is-a-relatively-unknown-entity/wcm/92e82406-36be-4c01-aa4a-5be515191afe
  20. Greater Montréal crowned for its foreign direct investment strategy in the digital sector Greater Montréal clinched the honours from FDI Magazine (Financial Times) by winning the award for best foreign direct investment strategy in the Digital Economies of the Future ranking. Québec’s metropolis stood out from New York City (United States), Toronto (Canada) and Hamburg (Germany). “We are proud of this honour, especially considering the increased competition between major cities, as it represents global recognition for our work attracting and retaining high value-added foreign investment,” said Hubert Bolduc, President and CEO of Montréal International. “Our strategy relies mainly on promoting our leading-edge sectors, in which there is a critical mass of highly skilled talent, a high concentration of global players, a booming startup community and many specialized R&D centres.” $2B foreign investment in Greater Montréal Leveraging this strategy, MI helped 48 foreign companies locate or expand in the Greater Montréal, facilitating a record $2.025 billion in foreign direct investment, an increase of over 50% compared to 2016. Nearly 40% of these investments were in the digital sector with the arrival of global giants such as Facebook, Google, DeepMind, Thales (CortAIx) and DNEG. The buzz in these leading-edge sectors continued for Greater Montréal in 2018 as seen from projects announced by Reel FX, Havas Group, Scanline VFX and Jumio, to mention just a few. The Mayor of Montréal and President of the Communauté métropolitaine de Montréal, Valérie Plante, was also quite pleased with the results of the ranking. “Montréal’s vibrant and creative culture, its world-class universities, and exceptional quality of life make it one of North America’s best cities to live and work in. By strategically promoting these strengths we were able to attract and retain an incredibly talented workforce and a record number of foreign direct investments, especially in high-tech, fast-growing industries.” Greater Montréal indisputably stands out as a world leader in AI, video games, visual effects, fintech, software development, IT services and data centres. For more details about the ranking, go to the fDi Magazine website, then “rankings” section. http://www.montrealinternational.com/en/news/2018/10/greater-montreal-crowned-for-its-foreign-direct-investment-strategy-in-the-digital-sector/?utm_source=twitter.com&utm_medium=socialmedia&utm_campaign=fdirankings
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