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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le lien que j'ai partagé ci-haut ne semble pas fonctionné ici et pour une raison que je ne comprends pas le site de MTLurb ne me laisse pas le poster correctement. Je n'ai même pas pu supprimer la mise en forme. J'ai également eu beaucoup de difficulté à uploader les images. Compte tenu de ces difficultés, et pour ceux qui ne pourraient pas accéder au document PDF en question, il s'agit d'une demande de modification qui a été soumise à la ville. Le document est daté du 26 septembre 2018. On y trouve également quelques dates importantes concernant les échéanciers que vous trouverez ci-après.
  2. Je voulais préparer un petit montage avant de l'afficher. Voici le montage en question, précédé du lien. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_VMA_FR/MEDIA/DOCUMENTS/ASSEMBL%C9EPUBLIQUE_800%20STJACQUES_MODIF%20PP.PDF
  3. Je ne sais pas si les évocations suivantes ont déjà été partagées ici mais j'ai remonté le fil au moins 25 pages en arrière et je ne les ai pas vues, du moins pas exactement les mêmes.
  4. Oui mais temporairement et a aussitôt remonté. Sur l'ensemble du mois d'octobre c'est quelque chose comme 6% seulement. Il ne s'agit même pas d'une correction mais plutôt d'un signe de nervosité des marchés envers la hausse des taux d'intérêt et les midterms.
  5. Amazon in 'advanced talks' to pick Northern Virginia for second headquarters Hannah Boland - The Telegraph Amazon is reportedly in advanced talks about opening its second headquarters in Northern Virginia, in a signal the retail giant may have narrowed down its shortlist of possible locations for the new offices. According to The Washington Post, Amazon is looking specifically at Crystal City, with talks including which buildings it would take and how quickly it could move employees there. The newspaper said the talks were so far advanced that one of the neighbourhood's biggest real estate developers, JBG Smith, had already pulled some of its properties off the market, and officials were considering announcing the move later this month. People close to the process told The Post the talks were more in-depth than they had been with other locations. Amazon declined to comment on the report. The company has said it plans to reveal where it will base its second headquarters by the end of the year, and says it is currently assessing around 20 locations. Speaking on Thursday, at an event in New York, Amazon chief executive Jeff Bezos said the decision would ultimately "be made with intuition after gathering and studying a lot of data". "The best way to make it is you collect as much data as you can, you immerse yourself in that data, but then you make that decision with your heart," he said. Recent reports in the US press have suggested Amazon is also looking closely at sites in New York City and Chicago. It is currently operating out of just one corporate headquarters in North America, in Seattle. The latest speculation comes just over eight months after Northern Virginia was first flagged as a potential front-runner for the new site. Amazon has kept tight-lipped about its plans, but in February a local news website in Arlington, Virginia said a two-month-old article about the county had received a huge amount of traffic from an internal webpage at Amazon.com. It said more than 6,000 people had viewed the page in just one week, and "the vast majority of the traffic to the page over the past week that can be tracked came from what appears to be an internal Amazon.com page devoted to its HQ2 search". Crystal City is a neighbourhood in Arlington county. https://www.telegraph.co.uk/technology/2018/11/03/amazon-advanced-talks-pick-northern-virginia-second-headquarters/
  6. Je ne suis pas certain que la baisse pressentie soit déjà passée. Personnellement je crois plutôt qu'on a rien vu encore. C'est que toutes les conditions sont réunies pour une assez grave crise économique. Reste à voir quelle en sera l'ampleur et quand elle surviendra. C'est d'autant plus difficile à prédire qu'on ne sait pas ce qui la déclenchera. En attendant on est au sommet de la crête et on ne peut plus continuer de monter bien longtemps. Mais il se pourrait que je me Trump.
  7. Au mois de septembre dernier IVADO et AI MTL ont présenté pour la première fois une réunion dans le cadre des AI Problem Solving Sessions. Cette réunion avait lieu dans les bureaux de Dentons au 39e étage de la Place Ville-Marie. La vue est vraiment spectaculaire! Ils ont tellement aimé l'expérience qu'une deuxième réunion est prévue pour le 22 novembre prochain. Voici quelques photos (gracieuseté de AI MTL) de la réunion du 5 septembre.
  8. Trois mois selon le reportage de Radio-Canada: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1133688/guy-laliberte-lune-rouge-entertainement-pyramide-divertissement-quai-horloge-montreal
  9. Je suis bien contant que @nephersir7 ait répondu avant moi à ta question car si j'avais écouté l'entrevue que Éric Girard a accordée à Gérald Fillion je n'avais cependant pas lu l'article que ce dernier a écrit après l'entrevue. Un excellent article d'ailleurs. Cela dit, je partage ton avis concernant le coût de la dette versus le rendement. Je crois que Girard est trop prudent et selon moi cela pourrait nous faire perdre beaucoup d'argent. C'est d'ailleurs l'une des raisons pourquoi j'ai voté libéral! ?
  10. Le nouveau ministre des Finances me paraît encore plus conservateur que son prédécesseur Carlos Leitão. Une différence importante est qu'il désire rembourser la dette beaucoup plus rapidement, quitte à vider le Fonds des générations. Et il le fait par prudence semble-t-il, anticipant une hausse des taux d'intérêts et une possible récession qui serait suivie d'un effondrement des titres cotés en bourse. Quoi qu'il en soit, on doit s'attendre à une mise à jour économique avant Noël. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1130642/eric-girard-ministre-finances-quebec-mise-a-jour-economique-avant-noel
  11. Laliberté avait alors dit à l'époque qu'une chance comme celle-là ne reviendrait jamais car le Cirque avait plusieurs autres endroits en option dans le monde.
  12. Fortnite atterrit à Montréal KARIM BENESSAIEH - La Presse Montréal mettra son grain de sel dans le jeu le plus populaire sur la planète depuis plus d'un an, Fortnite. C'est la métropole québécoise qui a été choisie par Epic Games, développeur américain derrière ce phénomène, pour y établir son premier studio complet hors des États-Unis, a appris La Presse. Le studio, qu'on a inauguré la semaine dernière au sixième étage d'une tour de bureaux avenue McGill College, au centre-ville de Montréal, dispose d'espaces totalisant 1700 m2. Alain Tascan, un vétéran de l'industrie qui a contribué à la création des studios montréalais d'Ubisoft en 1997 et d'Electronic Arts en 2003, a été embauché à titre de directeur général. « Ce qu'on va faire dans ce studio, c'est le monde entier qui va y jouer, dit M. Tascan, rencontré dans ses nouveaux locaux. Fortnite, c'est une plateforme qui évolue constamment, qui s'étend. Personnellement, je n'ai jamais vu ça dans l'histoire du jeu vidéo. » MONTRÉAL, « PREMIER AU MONDE » Le studio Epic Montréal, précise-t-il en utilisant le jargon de l'informatique, sera full stack, c'est-à-dire qu'il touchera aux trois spécialités de l'entreprise. Seul le siège social d'Epic à Cary, en Caroline du Nord, en fait autant. On y travaillera sur Fortnite, mais également sur le moteur de jeu très populaire Unreal Engine. Ce moteur est en outre utilisé par des entreprises qui ne sont pas liées au jeu vidéo, notamment pour la conception d'animations et de simulateurs. Un petit studio d'Epic se consacrant à ce troisième volet avait été ouvert à Montréal l'an dernier. Ses 25 employés ont emménagé dans les nouveaux bureaux la semaine dernière. Le choix de Montréal semble une évidence pour Greg Gobbi, vice-président au développement de produit chez Epic Games. « La raison objective, c'est le bassin de talent qui est le premier au monde, dit-il au bout du fil. Le déclencheur, c'est Alain [Tascan] : quand j'ai parlé de lui chez Epic, trois personnes autour de la table le connaissaient. » - Greg Gobbi « On veut construire un groupe à Montréal qui ne sera pas le plus gros, mais qui sera extrêmement talentueux. » M. Gobbi, Français d'origine tout comme M. Tascan, connaît bien Montréal : il a travaillé de 1999 à 2005 chez Ubisoft Montréal sur les franchises Splinter Cell et Prince of Persia. UN JEU, UN UNIVERS Combien d'employés comptera à terme le nouveau studio « complet » ? Greg Gobbi et Alain Tascan refusent de s'avancer, et ce dernier explique avoir « un mandat de qualité plutôt que de quantité ». Chose certaine, une quinzaine d'offres d'emploi liées à la création de jeux vidéo seront affichées sous peu. De toute évidence, à voir la taille des locaux, il ne s'agit que d'une première vague d'embauches. « On a des moyens incroyables », note, sourire en coin, M. Tascan. Pourra-t-on attirer des créateurs et des développeurs avec la perspective de travailler sur un seul jeu, aussi populaire soit-il ? Le directeur général n'en doute pas une seconde. « Un artiste veut travailler sur le meilleur avec les meilleurs ; il n'y a rien de plus gratifiant que de travailler sur le plus gros jeu au monde. Le niveau de créativité que le jeu offre, la fantaisie, c'est incroyable. Ce qui m'intéresse, c'est de regrouper les meilleurs talents pour qu'ils y mettent le meilleur d'eux-mêmes. » Fortnite est un exemple particulièrement abouti, et certainement le plus populaire, de ces « univers persistants » que les studios cherchent à établir. Ce n'est pas un hasard qu'Epic y soit arrivé, estime Greg Gobbi. « Nous avons bâti sur nos échecs, sur des connaissances acquises en plus de cinq ans. » Avec ses mises à jour hebdomadaires et ses « saisons », qui introduisent de nouvelles mécaniques environ tous les deux mois, « Fortnite est plus proche d'un show télé que d'un jeu classique », explique-t-il. L'autre avantage qu'on compte faire miroiter pour attirer les talents, c'est la nature même d'Epic Games, qui demeure relativement petit malgré des revenus colossaux, avec quelque 700 employés dans le monde. « C'est une entreprise à échelle humaine, dirigée par son fondateur Tim Sweeney, un codeur qui continue de coder tous les jours, dit M. Tascan. C'est un visionnaire, qui a constamment fait des choix courageux, sans avoir l'oeil fixé sur les rendements trimestriels. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201811/03/01-5202830-fortnite-atterrit-a-montreal.php
  13. Un concentré d’expertise qui attire les regards du monde entier Pour voir la vidéo en anglais (avec sous-titres) cliquer sur le lien suivant: https://www.ledevoir.com/contenu-commandite/540043/un-concentre-d-expertise-qui-attire-les-regards-du-monde-entier Montréal, chef de file mondiale en intelligence artificielle : si la métropole a su se positionner ainsi au cours des dernières années, c’est en bonne partie grâce à son vaste réseau de scientifiques et de chercheurs. Ce scientifique d’origine italienne de renommée internationale fait partie des grands talents que Montréal a su attirer. En 2015, on le désigne titulaire d’une nouvelle chaire de recherche en big data : la Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la science des données pour la prise de décision en temps réel. L’un des domaines de recherche les plus actifs et prometteurs en intelligence artificielle. Créée par Polytechnique Montréal et ses partenaires du campus, la chaire qu’il dirige a permis de fusionner différentes expertises en mathématiques appliquées et en informatique. « Un pas visionnaire » qui permet de pousser encore plus loin les recherches, croit M. Lodi, alors que ces universités sont déjà renommées pour leur expertise dans les domaines de la recherche opérationnelle et l’apprentissage automatique. C’est IVADO qui fédère les institutions de recherche et les chercheurs universitaires dans le domaine de la science des données, de la recherche opérationnelle et de l’intelligence artificielle. Comptant plus de 1000 scientifiques affiliés, IVADO fait le pont entre l’expertise académique et les besoins de l’industrie. Cet institut est aussi le maître d’œuvre des ressources importantes accordées par le gouvernement fédéral ces dernières années. En 2016, le Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada a attribué plus de 93 millions de dollars à l’Université de Montréal et à Campus Montréal, la plus importante subvention jamais reçue en IA par Campus Montréal. Le plan : embaucher 25 nouveaux professeurs dans le domaine de la science des données. « C’est du jamais vu, d’avoir autant de professeurs en cinq ans qui travailleront sur un même sujet », s’enthousiasme Andrea Lodi. Plus récemment, le gouvernement fédéral a aussi accordé 950 millions de dollars sur cinq ans aux cinq supergrappes d’innovation dont fait partie le projet SCALE.AI — la supergrappe sur les chaînes d’approvisionnement propulsées par l’intelligence artificielle — soutenu par IVADO. Montréal, bolle des algorithmes Qui dit intelligence artificielle dit technologie et robotique. Mais selon Andréa Lodi, Montréal excelle surtout du côté algorithmique. « Les algorithmes que nous concevons commencent la plupart du temps écrits à la craie, sur le tableau noir... Ce n’est vraiment pas un processus qui relève de la science- fiction ! » dit-il en rigolant. C’est plutôt de la science fondamentale comme nous le faisions par le passé. La grande différence aujourd’hui, c’est d’avoir la possibilité d’acquérir des quantités extrêmement importantes de données. » Ses équipes travaillent donc à développer de nouveaux algorithmes plus complexes et à utiliser l’apprentissage automatique pour faire des choses que le cerveau humain ne peut pas, comme donner un sens au grand nombre d’indicateurs différents provenant des données massives. L’objectif : aider à prendre les décisions en temps réel et transformer une prédiction en action. Ces champs d’études sont par ailleurs encore à l’étape préliminaire et comportent énormément de défis pour les chercheurs. L’un de ceux-ci est d’exploiter de façon responsable les données massives, un grand engagement de Campus Montréal. « Notre objectif est d’améliorer la vie des gens », insiste Andrea Lodi. Bien que son expertise soit très pointue, les applications du travail du chercheur sont très vastes. « Je travaille régulièrement dans les domaines de la santé, du transport, de la cybersécurité, de l’énergie, et même dans l’humanitaire, par exemple, en aidant les services de secours durant un tremblement de terre en assurant la bonne prise de L’expertise de sa Chaire de recherche est très courue, continue-t-il. «On joue un double rôle: d’une part, on fait la recherche motivée par les questions posées par les compagnies et, d’autre part, on effectue le transfert de technologie de ce qu’on connaît déjà vers les compagnies pour les aider à être compétitives sur le marché mondial. » La demande est si grande, continue-t-il, que les talents sont activement recherchés dans tout l’écosystème québécois, où il y a encore un grand manque à combler. Les besoins, surtout du côté du transfert de technologie, sont énormes. Quoi qu’il en soit, participer à cette « nouvelle révolution » est exceptionnel pour les scientifiques, conclut M. Lodi. « Cela arrive à une très petite minorité de scientifiques d’être aussi pertinents dans le présent comme nous le sommes actuellement, dit-il. C’est très excitant d’être à Montréal. C’était un bon choix de venir ici. »
  14. Normally when a new party comes into power they find a big hole in the finances. This time they found a mountain of cash bigger than anyone had expected. Québec would find itself in a good place if the world economy were to falter, as many are expecting anytime now.
  15. Lavage des vitres de la tour, avec quelques photos des nouveaux bureaux à l'intérieur. https://twitter.com/jsebcloutier/status/1056933661914923009
  16. https://twitter.com/jsebcloutier/status/1055849280118968322
  17. Une entreprise montréalaise spécialisée en intelligence artificielle signe un partenariat avec Cray AGENCE QMI MONTRÉAL – L’entreprise montréalaise spécialisée en intelligence artificielle Stradigi AI a annoncé lundi la conclusion d’un «partenariat stratégique» avec la compagnie américaine Cray Inc., chef de file mondial en superordinateurs. «Dans le cadre de ce partenariat, Cray se joindra au domaine d’expertise de Stradigi AI avec sa trousse de départ “Cray Accel AI” afin de livrer des solutions personnalisées», ont expliqué les deux entités dans un communiqué conjoint publié lundi. «Pour les deux entreprises, ce partenariat offrira un potentiel de croissance significatif dans une grande gamme d’industries. Ensemble, nous donnerons aux clients la possibilité de résoudre les cas les plus exigeants et exploiter le plein potentiel de l’intelligence artificielle pour leurs affaires», a expliqué le président-directeur général et fondateur de Stradigi AI, Basil Bouraropoulos. «Nous sommes heureux d’élargir notre empreinte avec Cray et d’aider les clients à accélérer leur transformation numérique», a-t-il poursuivi. «Nous avons hâte de collaborer avec Stradigi AI pour amener un avantage indéniable aux entreprises qui se lancent vers l’IA. Nous savons que le processus, de la planification à la mise en place réussie d’IA, demande à une entreprise de briser la redondance du flux de travail, de résoudre les lacunes de compétences et de gérer une puissance de calcul significative», a pour sa part affirmé Per Nyberg, vice-président au développement marketing, intelligence artificielle et infonuagique à Cray. Basée à Montréal, l’équipe de Stradigi AI est spécialisée dans le développement de solutions paramétrables, flexibles et sécuritaires pour résoudre les problèmes d’affaires en utilisant l’intelligence artificielle. Les clients mondiaux de Stradigi AI comprennent des entreprises œuvrant dans un vaste éventail d’industries. «Nous savons que le processus, de la planification à la mise en place réussie d’IA, demande à une entreprise de briser la redondance du flux de travail, de résoudre les lacunes de compétences et de gérer une puissance de calcul significative. Le partenariat Cray et Stradigi AI est parfait pour apporter ces compétences et ces bénéfices concurrentiels à nos clients», a-t-il ajouté. https://www.journaldemontreal.com/2018/10/22/une-entreprise-montrealaise-specialisee-en-intelligence-artificielle-signe-un-partenariat-avec-cray
  18. Legault hérite d'un surplus de trois milliards TOMMY CHOINARD - La Presse (QUÉBEC) Le premier ministre François Legault hérite d'un surplus qui dépasse les prévisions : trois milliards de dollars depuis le début de l'année financière. Il a de toute évidence les moyens de « retourner de l'argent dans le portefeuille des contribuables » dès sa mise à jour économique attendue dans les prochaines semaines, comme il l'a annoncé peu de temps après sa victoire électorale. En conférence de presse téléphonique vendredi après-midi, le ministre des Finances, Éric Girard, a dit avoir « certainement l'intention, si possible, d'utiliser une certaine marge de manoeuvre pour redonner de l'argent aux Québécois » dans le cadre de cette mise à jour. Il n'est pas allé plus loin. Son ministère a diffusé le rapport mensuel des opérations financières, qui met à jour les résultats du gouvernement du 1er avril jusqu'au 31 août dernier. On y mesure donc la performance de l'administration libérale en toute fin de règne. Pour le seul mois d'août, le surplus s'est élevé à près de 1,6 milliard de dollars. Le coussin accumulé jusqu'ici, en cinq mois, s'élève à trois milliards. L'excédent est presque deux fois plus élevé que celui que le gouvernement enregistrait à pareille date l'an dernier. Éric Girard a déclaré qu'il serait « inapproprié d'extrapoler » les résultats des cinq premiers mois. « Je n'anticipe pas qu'on aura les trois milliards sur un horizon de 12 mois, a-t-il soutenu. Nous anticipons que l'évolution des revenus et des dépenses sera de telle sorte que ce surplus va disparaître. » Or le passé a plutôt démontré une situation inverse. Le surplus atteignait 1,7 milliard au 31 août 2017. La tendance s'était maintenue par la suite tant et si bien que Québec avait terminé cette année financière 2017-18 avec un surplus de 2,3 milliards, largement supérieur à ses prévisions. Le ministre a fait valoir que « l'économie a été plus forte en début d'année » par rapport à ce qui était anticipé. Il s'attend à « une croissance plus modérée » pour les prochains mois et une création d'emplois « plus modeste ». Il y aura « un certain ralentissement » selon lui en raison du « resserrement de la politique monétaire de la Banque du Canada ». Mais dans l'ensemble, « l'économie va très bien pour 2018-2019 » selon lui. Le surplus de trois milliards enregistré jusqu'ici tient compte des paiements au Fonds des générations, qui sert à réduire le poids de la dette. Si l'on exclut ces paiements, l'excédent atteint 4,1 milliards. Le rapport préélectoral du ministère des Finances, présenté avant la campagne électorale et approuvé par le Vérificateur général, laissait entrevoir des coffres bien garnis pour le prochain gouvernement, avec des surplus annuels plus élevés par rapport aux prévisions. Or l'état actuel des finances paraît encore plus positif que le portait qu'on y présentait. Par exemple, le rapport préélectoral prévoyait un surplus avant versement au Fonds des générations de 1,8 milliard pour 2018-19. Il précisait qu'en tenant compte des paiements au Fonds, il n'y aurait plus aucun surplus. On concluait que le solde budgétaire serait à zéro à la condition que l'on pige 600 millions dans la réserve de stabilisation, qui emmagasine les surplus passés. Sous réserve de ce qui pourrait survenir d'ici la fin de l'année financière le 31 mars, le gouvernement Legault ne devrait manifestement pas avoir à puiser dans cette réserve, qui dépasse les six milliards de dollars selon le rapport préélectoral. Revenus en hausse C'est dans la colonne des revenus que les résultats dépassent largement les attentes, du moins pour les cinq premiers mois de l'année financière. Les revenus autonomes du gouvernement ont bondi de 7,2 % du 1er avril au 31 août par rapport à l'année dernière. Dans son dernier budget présenté en mars dernier, le gouvernement Couillard s'attendait à une croissance de 2,3 % - une prévision qui s'applique à toute l'année 2018-19, précisons-le. L'impôt des sociétés connaît le boom le plus important : une hausse de 18,1 %, ce qui représente 378 millions. Toutes les autres sources de revenus sont en croissance : les revenus provenant des entreprises du gouvernement comme les sociétés d'État (+9 % ou 129 millions), les cotisations pour les services de santé (+7,2 % ou 214 millions), les taxes à la consommation (+6,4 % ou 522 millions) et l'impôt sur le revenu des particuliers (+5 % ou 439 millions). Les transferts fédéraux augmentent un peu plus que prévu : 4,9 % par rapport à la même période en 2017 - le budget prévoyait 3,9 % pour toute l'année 2018-19. Dépenses sous contrôle La croissance des dépenses est maîtrisée. À 5,2 %, les dépenses de programmes des ministères augmentent jusqu'ici de façon un peu moindre que les prévisions (5,9 %). Étonnamment, d'avril à août, ce sont les débours dans le secteur « Économie et environnement » qui ont connu la plus forte hausse jusqu'ici (22,6 %). On parle d'une croissance de 6,2 % pour « Éducation et culture » et de 3,9 % pour la Santé et aux Services sociaux - le dernier budget prévoyait 7,5 % et 4,6 % respectivement. Le « Soutien aux personnes et aux familles » a cru de 4,5 %. Le secteur « Gouverne et justice » affiche quant à lui une baisse de dépenses par rapport à l'an dernier de 5,4 %. Le coût du service de la dette diminue : il s'agit d'un recul de 3,9 %, alors que l'on s'attendait à une baisse limitée à 1 %. Ce boulet paraît donc bien géré. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201811/02/01-5202798-legault-herite-dun-surplus-de-trois-milliards.php
  19. Le nouveau bâtiment pour la F1 prend forme au circuit Gilles-Villeneuve Le circuit Gilles-Villeneuve change de visage avec la construction, déjà bien avancée, du nouveau complexe garages/paddock pour le Grand Prix du Canada. La date de livraison est toujours prévue pour le 31 mai 2019. Radio-Canada Sports fait le point sur le chantier avec les intervenants en place. Un texte de Philippe Crépeau Pour voir la vidéo qui accompagne le texte: https://ici.radio-canada.ca/sports/1132576/f1-circuit-gilles-villeneuve-nouveau-batiment-parc-jean-drapeau?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter Le bois est à l’honneur dans le nouveau bâtiment qui sera désormais la signature de l'événement. La structure en bois du toit des nouvelles installations du circuit Gilles-Villeneuve Photo : Société Radio-Canada « Vraiment, je trouve que les architectes ont fait un excellent travail, dit François Dumontier, président du Grand Prix du Canada. Ils ont fait un gros travail de recherche, et les matériaux qui sont utilisés, ce sont des matériaux du Québec, qui représentent le Québec, le bois particulièrement. » La nostalgie est aussi à l'honneur avec les structures métalliques en V techniquement complexes à monter, qui rappellent l’emblème de l’Exposition universelle de 1967 et les pavillons de Terre des hommes. Les structures métalliques rappellent l'emblème de l'Exposition universelle de 1967. Photo : Société Radio-Canada « Ça a nécessité beaucoup de travail en amont de la part de nos professionnels, ingénieurs et architectes pour concevoir ces structures au complet, explique Bertrand Houriez, chef des grands projets de la Société du parc Jean-Drapeau. « Par son design, la structure rappelle l’Expo, mais par sa complexité, elle est moderne », précise M. Houriez. Bertrand Houriez, chef des grands projets, Société du parc Jean-Drapeau Photo : Société Radio-Canada La démolition a commencé le 3 juillet par une chaleur accablante. Pendant des semaines, les ouvriers ont travaillé en sous-sol, avant que les premiers morceaux de la structure métallique apparaissent. La nouvelle enveloppe est beaucoup plus imposante que la précédente. L'entrée des puits du nouveau complexe du circuit Gilles-Villeneuve Photo : Société du parc Jean-Drapeau Elle pourra accueillir trois fois plus de monde et regroupera tous les services sous un même toit. Les garages, la salle de presse, les loges et les bureaux administratifs se retrouvent sous la grande terrasse du Paddock Club. L’objectif est de fermer la structure avant les grands froids, soit le 3 décembre au plus tard. Les ouvriers travailleront à l’intérieur tout l’hiver, avant de ressortir au printemps pour finir le bâtiment. L’enveloppe budgétaire prévue pour ce chantier est de 59,9 millions de dollars. Le ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire (MAMOT) donne une subvention de 18 millions. La Ville de Montréal paie les 41,9 millions qui restent. La Société du parc Jean-Drapeau précise être en train de finaliser les paiements des 16,5 millions pour les contrats des travaux d’amélioration pour l'hospitalité et pour la piste. Les ouvriers au travail sur le chantier du circuit Gilles-Villeneuve Photo : Société Radio-Canada « Avec les travaux qu’on fait actuellement, et l’absence de problèmes majeurs qu’on a eus jusqu’à maintenant, nous sommes très confiants à l’idée de respecter l’enveloppe budgétaire », affirme Bertrand Houriez. Et la date de livraison prévue n’a pas bougé. « Le 30 avril, c’est la date qui est visée, dit François Dumontier. Une fois que les garages seront terminés à cette date-là, nous, comme organisation, on a certains travaux à faire par la suite pour préparer l'accueil des équipes. On est confiant que cette date-là va être respectée. » François Dumontier, président du Grand Prix du Canada Photo : Société Radio-Canada La Société du parc Jean-Drapeau offre sur son site web la possibilité de suivre l'évolution de la construction grâce à des caméras qui filment le chantier en direct, avec une ligne du temps qui permet de revenir au premier jour des travaux. Le chantier du circuit Gilles-Villeneuve filmé en continu (image du 30 octobre 2018) Photo : Société du parc Jean-Drapeau Comme le Grand Prix du Canada aura lieu le 9 juin, les équipes arriveront dès le 1er. Ça laisse un mois à l'équipe de François Dumontier pour tout préparer. Une vraie course contre la montre. Les structures des gradins sont d'ores et déjà en cours de montage. Elles passeront donc l'hiver au froid en bord de piste. Vue aérienne du complexe du circuit Gilles-Villeneuve Photo : Société du parc Jean-Drapeau
  20. REM: 300 millions pour couvrir les voies à Mont-Royal, selon le bureau de projet La mise en tranchée de la voie ferrée du Réseau express métropolitain (REM), dans la ville de Mont-Royal, pourrait coûter 300 millions, et repousser d'« au moins un an » la mise en service de ce futur réseau de transports en commun de 6,3 milliards. BRUNO BISSON - La Presse Dans un communiqué émis ce matin, le bureau de projet chargé de la mise en oeuvre du REM affirme que cette demande présentée la semaine dernière par la municipalité de Mont-Royal « entraînerait l'excavation de deux kilomètres de voie ferrée » et d'une quantité de sols estimée à 90 000 mètres cubes. La Caisse de dépôt et placement du Québec, promoteur du REM, s'engage aussi dans ce communiqué à construire une passerelle avec accès universel au-dessus de la voie ferrée, à hauteur des rues Lazard et Jasper et à aménager une place publique qui couvrira en partie les voies, à hauteur de la future station du REM, au coeur de la municipalité. La semaine dernière, le conseil municipal de la Ville de Mont-Royal a adopté à l'unanimité une résolution demandant des modifications substantielles à l'implantation du REM. Selon le conseil municipal, dans sa forme actuelle, « l'acceptabilité sociale de cet ambitieux projet ne semble pas exister à Mont-Royal ». La municipalité, qui s'était toujours montrée favorable au REM jusqu'à récemment, réagissait ainsi aux pressions et revendications de plus en plus pressantes de citoyens qui anticipent que le passage quotidien de plus de 500 trains, en comparaison des 60 trains de banlieue actuels, perturbe leur milieu et leur qualité de vie. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201810/31/01-5202432-rem-300-millions-pour-couvrir-les-voies-a-mont-royal-selon-le-bureau-de-projet.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_grand-montreal_4233637_section_POS2
  21. Ce sont les meilleures photos de Griffintown que j'ai jamais vues! Merci!
  22. Le parc La Fontaine subira une cure de jouvence accélérée L'administration montréalaise de Valérie Plante presse le pas pour redonner au parc La Fontaine son lustre d'antan. Son plan directeur ne s'étalera pas sur 15 ans, mais bien sur un horizon d'une décennie seulement. Un texte de Jérôme Labbé Le document de 172 pages sera officiellement adopté mercredi matin par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Il a été rédigé sous la supervision du maire de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal et responsable des grands parcs, des espaces verts des grands projets au comité exécutif, Luc Ferrandez. La version finale du plan directeur inclut un plan d'action dont l'échéancier est plus court que celui proposé dans sa version préliminaire, dévoilée le printemps dernier. Ainsi, la Ville de Montréal entend réaliser pas moins de 24 projets au cours des 10 prochaines années. Le sommaire décisionnel énumère trois projets phares : la reconstruction du théâtre de Verdure et l'aménagement du pôle Famille (2017-2021); le réaménagement du domaine public limitrophe du parc La Fontaine, le réaménagement des axes Calixa-Lavallée et Émile-Duployé en promenade intérieure du parc et la réhabilitation du square Papineau (2021-2025); la réhabilitation des bassins (2025-2029). L'échéancier de ces projets a été raccourci à la demande des citoyens consultés en amont de l'adoption du plan directeur, explique l'administration. M. Ferrandez disait par ailleurs la semaine dernière, sur Facebook, qu'il travaillait ces jours-ci sur un « plan stratégique des grands parcs pour les 10 prochaines années ». Un peu de concret Le premier geste à être posé sera la rénovation du chalet-restaurant. Les travaux devraient normalement commencer dès 2019. Quant à ceux du théâtre de Verdure, fort attendus eux aussi, il faudra attendre à l'année suivante, en 2020, pour voir les ouvriers s'activer. L'administration Plante n'a toutefois pas attendu avant de procéder à certains travaux dans le but d'améliorer la sécurité des usagers du parc. L'une des deux voies de l'avenue du Parc-La Fontaine en direction nord, par exemple, a été retranchée cet été afin d'aménager une nouvelle piste cyclable. Ainsi, l'ancienne piste cyclable a pu être rendue aux piétons, qui devaient autrefois utiliser un étroit sentier situé à moins d'un mètre de l'ancienne piste cyclable, l'une des plus passantes en Amérique du Nord. Enfin, la Ville de Montréal n'a pas encore pris de décision ferme concernant les avenues Calixa-Lavallée et Émile-Duployé, que plusieurs automobilistes craignent de voir interdites à la circulation. Car, si l'administration Plante souhaite toujours les réaménager « en promenades intérieures », elle se contente maintenant de vouloir « évaluer des scénarios de piétonnisation ». Le problème, explique l'administration, ne réside pas tant dans l'opposition des automobilistes que dans le fait que la piétonnisation de l'avenue Émile-Duployé – la seule à traverser le parc La Fontaine du nord au sud, et vice-versa – impliquerait de modifier le tracé du bus 45, l'une des lignes les plus achalandées de la Société de transport de Montréal. Dans tous les cas, une décision devra être prise d'ici les cinq prochaines années, puisque le plan d'action prévoit que le réaménagement de la promenade Émile-Duployé débutera en 2023. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1132945/plan-directeur-parc-lafontaine-plateau-mont-royal-luc-ferrandez
  23. C'est d'ailleurs pourquoi l'opposition à ce projet est si forte. Ils ont d'abord laissé miroiter un projet hallucinant, d'une ambition rarement vue à Montréal ces dernières années, pour finalement lui substituer un projet de beaucoup moindre envergure et sans audace. Cela a eu pour effet de causer une énorme déception qui pourrait empêcher certains observateurs d'apprécier les mérites de ce projet.
  24. C'est le temps d'être un peu nostalgique.
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