Aller au contenu
publicité

Chuck-A

Membre
  • Compteur de contenus

    1 807
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    22

Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Un secteur à éviter, si vous êtes un automobiliste... Piétons: des citoyens en colère menacent de bloquer une artère de la ville Photo: Getty Images/iStockphoto Montréal | 16:40 | 9 septembre 2019 | Par: Claire Aboudarham | Métro Un groupe de citoyens du quartier Centre-Sud organise une action coup de poing ce vendredi. Le groupe a décidé d’occuper le carrefour des rues D’Iberville et Hochelaga de 15h30 à 18h. Regroupés au sein de Centre-Sud Debout, ils sont mécontents de la réponse de l’arrondissement au décès d’un cycliste. L’action a pour but de dénoncer le «laxisme des autorités et leur bla-bla» habituel, explique le collectif dans un communiqué diffusé lundi. Leur mécontentement fait suite au décès de Roger-Michel Roulx, heurté par une voiture sur la rue Hochelaga, dans l’arrondissent de Ville Marie. Dans son communiqué, le groupe estime que les rues D’Iberville et Frontenac sont utilisées comme des «bretelles d’autoroute» pour la rue Notre-Dame. Il souligne que les voitures et les camions «traversent à toute vitesse». «Nous n’en pouvons plus de risquer chaque jour notre vie et notre santé dans notre milieu de vie. Notre quartier doit être sécurisé.» – Collectif Centre-Sud Debout Le groupe ajoute que la SPVM leur a «assuré de sa collaboration pour la sécurité des adultes et enfants qui participeront à cette action». La mairesse interpellée Le groupe de vigilance citoyenne Centre-Sud Debout ajoute dans une affichette que la mairesse de la Ville, Valérie Plante, ainsi que la conseillère municipale Sophie Mauzerolle, ont également été conviées pour «entendre les citoyens et prendre la parole» sur le sujet. La conjointe de monsieur Proulx, Nathalie Cronier, devrait être présente. Des prestations artistiques sont également prévues lors de cette action. Le nombre de décès de piétons est en augmentation à Montréal. Depuis janvier seulement, neuf piétons ont déjà perdu la vie sur les routes de la métropole. Le 26 août dernier encore, une piétonne perdait la vie après avoir été percutée par un autobus de la STM. L’accident avait eu lieu dans le nord de la métropole. L’arrondissement Ville-Marie, comme d’autres arrondissements dirigés par Projet Montréal, mise sur l’installation de saillies de trottoirs. Une centaine d’entre elles ont d’ores et déjà été installées dans le quartier en question. L’objectif derrière ces installations est de «limiter la vitesse et accroître la sécurité». https://journalmetro.com/actualites/montreal/2374284/pietons-des-citoyens-en-colere-menacent-de-bloquer-une-artere-de-la-ville/
  2. Mobilité durable: Québec ignore l’avancement de sa propre politique La politique de mobilité durable du gouvernement du Québec se donne entre autres comme cible de réduire de 20% les dépenses des ménages en transport d'ici 2030. Montréal | 20:00 | 9 septembre 2019 | Par: Zacharie Goudreault Le gouvernement Legault ignore l’état de l’avancement de sa politique de mobilité durable, dévoilée l’an dernier, déplore un comité d’experts. Le comité de suivi de la politique de mobilité durable, composé d’une vingtaine d’experts et de représentants d’organismes, a publié lundi un bilan peu reluisant de la première année de la mise en place de cette stratégie. Cette politique se donne des cibles ambitieuses à l’horizon de 2030. Celles-ci comprennent notamment une réduction de 20% du nombre déplacements en auto-solo. Une diminution de 40% de la consommation de pétrole dans le secteur des transports par rapport à l’année 2013 est également prévue. Or, les experts ont constaté que le gouvernement n’a pas mis en place un système de collecte de données qui permettrait de réaliser un suivi de l’atteinte de ces objectifs. «Il n’y a pas d’indicateurs pour suivre les différentes cibles qui sont dans la politique», a soulevé à Métro le président de l’organisme Trajectoire Québec, François Pepin. Selon ce dernier, «il faut absolument» que Québec se penche sur cet enjeu afin qu’il puisse connaître «le niveau d’avancement» de la politique de mobilité durable. 37,5 % - La politique prévoit une réduction de 37,5 % des émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports d’ici 2030. Manque de financement Le comité de suivi constate également que le gouvernement Legault continue de sous-financer le transport en commun au profit du réseau routier. Le troisième lien à Québec et les prolongements d’autoroutes comptent parmi les projets qui font en sorte que seulement 27% des investissements prévus dans les infrastructures de transport concernent le transport collectif dans le premier budget de la Coalition avenir Québec, présenté en mars. Le réseau routier accapare les 73% restants. «On a demandé au gouvernement de respecter sa parole d’avoir une répartition de 50/50 [du financement] pour le transport en commun», a expliqué M. Pepin. «Le gouvernement devrait faire preuve année après année [dans ses budgets] qu’il se rapproche de cette cible», a renchéri à Métro la professeure au département d’études urbaines et touristiques à l’Université du Québec à Montréal et experte en mobilité, Florence Junca-Adenot. Le comité de suivi demande d’ailleurs qu’un «rattrapage important» dans les investissements dans les transports collectif et actif soit effectué «dès le prochain exercice budgétaire». Cela pourrait entre autres passer par une plus grande aide financière de Québec pour l’acquisition et l’entretien de bus électriques par des sociétés de transport de la province, estime M. Pepin. Réduire le fardeau des villes L’Union des municipalités du Québec (UMQ) presse quant à elle le gouvernement Legault de diversifier les sources de financement du transport collectif, comme il s’y est engagé en début d’année. Actuellement, 30% des coûts d’exploitation du transport en commun sont assumées par les villes. Une facture qui est en constante augmentation en raison de la multiplication du nombre de projets de transport en commun. «Les villes du Québec ont un manque à gagner annuel de 400 millions de dollars dans le financement des coûts d’exploitation du transport en commun», a évoqué le porte-parole de l’UMQ, Patrick Lemieux. Il est d’autant plus «urgent» de trouver de nouvelles sources de financement du transport collectif que les revenus provenant de la taxe sur l’essence pourraient s’effriter dans les prochaines années en raison de la popularité grandissante des véhicules électriques, a souligné Mme Junca-Adenot. Le gouvernement devrait d’ailleurs compléter d’ici la fin de l’année un rapport sur les sources de financement alternatives du transport en commun. En mars dernier, la Communauté métropolitaine de Montréal a notamment proposé la mise en place de péages routiers à cette fin. Au moment de mettre en ligne, le ministère des Transports du Québec n’avait pas répondu à Métro. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2374306/mobilite-durable-quebec-ignore-lavancement-de-sa-propre-politique/
  3. Chuck-A

    REM de l'Est

    Va-t-on les revoir un jour sur nos routes ? Permettez-moi d'en douter un peu... Et ce ne seront certainement pas ceux-là... Mon préféré, le 2e pour son côté utilitaire (et son look quelque peu militaire). Difficile à croire qu'ils ont déjà circulé à Montréal. Comme quoi cela était une toute autre époque !
  4. L’accessibilité se poursuit sur la ligne verte du réseau du métro Nouvelle | 10 septembre 2019 La Société de transport de Montréal (STM) rendra universellement accessibles deux autres stations de la ligne verte. En effet, les travaux pour l’ajout d’ascenseurs débuteront en octobre aux stations Angrignon et Jolicoeur. Un contrat de 27,8 M$ a été octroyé à cet égard à la compagnie Céleb Construction Ltée qui pilotera ces deux chantiers. Station Angrignon Début des travaux le 9 octobre 2019 pour une durée de 24 mois Ajout de deux ascenseurs et remplacement des murs-rideaux Édicule ouvert en tout temps durant les travaux Certains arrêts de bus déplacés à compter d’avril 2020 Coût de 13,9 M$ 5 044 756 d’entrants en 2018 ou 17 697 par jour moyen de semaine Au début du mois d'octobre 2019, des travaux visant l’installation de deux ascenseurs vont débuter, afin de rendre la station Angrignon universellement accessible. La fin des travaux et la mise en service des ascenseurs sont prévues à l’automne 2021. Plusieurs étapes sont nécessaires pour intégrer des ascenseurs dans une station de métro. Étant donnée l’architecture propre à la station Angrignon, nous devrons agrandir la station à certains endroits pour y installer des ascenseurs sous les dômes de verre. De plus, nous remplacerons tous les murs extérieurs vitrés (murs-rideaux) de la station, afin d’améliorer l’étanchéité de la station. Un des deux ascenseurs menant du niveau de la rue au quai. La station, une fois agrandie pour installer l'ascenseur, vue du côté de la boucle de bus. Pour plus de détails sur le projet Station Jolicoeur Début des travaux le 9 octobre pour une durée de 24 mois Ajout de deux ascenseurs Édicule ouvert en tout temps durant les travaux Arrêts des lignes 37 et 112 déplacés Coût de 13,9 M$ 2 305 041 d’entrants en 2018 ou 8 372 par jour moyen de semaine Au début du mois d'octobre 2019, des travaux visant l’installation de deux ascenseurs vont débuter, afin de rendre la station Jolicoeur universellement accessible. La fin des travaux et la mise en service des ascenseurs sont prévues à l’automne 2021 Plusieurs étapes sont nécessaires pour intégrer des ascenseurs dans une station de métro. Étant donné l’architecture et la configuration actuelles de la station Jolicoeur, nous allons agrandir l’édicule de part et d’autre, pour pouvoir intégrer les deux nouveaux ascenseurs. Ceux-ci seront donc situés vers la rue de Sève et seront reliés à la mezzanine par des corridors intérieurs, en prolongeant la marquise rouge existante. Un nouveau mur-rideau, c’est-à-dire un mur entièrement vitré, sera construit, tout en respectant l’architecture unique de la station. Les deux puits de ventilation naturelle existants seront agrandis, puisque qu’une portion de leur surface sera utilisée pour l’intégration des ascenseurs et deux autres puits de ventilation seront ajoutés sur la rue Jolicoeur. L’extérieur de la station vu à partir de la rue De Sève. Les deux ascenseurs sont situés à l’extérieur de la station existante et seront reliés par un deux corridors intérieurs. La marquise rouge sera prolongée vers l’arrière. L’ascenseur qui mènera vers le quai Honoré-Beaugrand, vu de l’intérieur. Un corridor intérieur permettra d’y accéder. L’ascenseur qui mènera au quai Honoré-Beaugrand. Les deux côtés de la station seront symétriques. Pour plus de détails sur le projet Accessibilité dans le réseau du métro À l’heure actuelle, 14 stations du réseau du métro sont universellement accessibles. Des travaux d’accessibilité sont également en cours aux stations Jean-Talon (ligne bleue), Jean-Drapeau, Berri-UQAM (ligne verte), Mont-Royal, Viau, Vendôme, Place-des-Arts, Préfontaine, Villa-Maria et Bonaventure (par notre partenaire exo). Ces efforts permettent à la STM de se rapprocher de son objectif d’offrir 41 stations accessibles d’ici 2025, selon son Plan stratégique organisationnel. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2019/l-accessibilite-se-poursuit-sur-la-ligne-verte-du-reseau-du-metro
  5. Et, comme par hasard, leur soirée de "discussions" a lieu la veille de la rencontre d'information du REM à Deux-Montagnes (la première depuis un petit moment sur la Rive-Nord), prévue le 26 septembre. 🙄 https://rem.info/fr/evenements/rencontre-dinformation-deux-montagnes
  6. Tes photos sont superbes, @Megafolie ! C'est vraiment génial et très apprécié. Un grand merci de nous partager ce que vous avez la chance de voir tous les jours à partir du train... 😄
  7. Très belle initiative, en mémoire de cet ancien joueur de football, professeur, journaliste, animateur et journaliste montréalais, décédé en 2010 de la maladie S.L.A. . Début des travaux au parc Tony-Proudfoot Photo: François Lemieux/Cités Nouvelles Journal Métro | 10:51 | 9 septembre 2019 | Par: Francois Lemieux Les aménagements du nouveau parc Tony-Proudfoot, dans le développement Quartier Greenwich, à Pointe-Claire, ont débuté il y a quelques semaines. Les travaux de 932 000$ devraient être complétés au printemps. «Ce parc sera à l’image de M. Proudfoot et offrira à tous des occasions de bouger, souligne le maire John Belvedere. Le parc sera accessible et inclusif pour permettre aux jeunes ayant des besoins particuliers de toutes sortes de s’amuser. Il s’agit d’un des premiers parcs sur l’île de Montréal à offrir une grande diversité d’installations pour petits et grands». Un module destiné aux enfants de 6 à 12 ans sera accessible en fauteuil roulant grâce à une rampe d’accès. Cette zone de jeux sera aussi dotée d’une balançoire adaptée. Plusieurs glissades seront installées, dont une double et une tactile à rouleaux compatibles avec les appareils auditifs. Plusieurs installations interactives sont aussi prévues, incluant des panneaux musicaux et illustrant le langage des signes. On retrouvera également des tables à pique-nique accessible en fauteuil roulant et aux poussettes, un banc en retrait pour favoriser le calme et un dôme pour grimpeur offrant un espace intérieur propice pour ceux souffrant de troubles sensoriels. Une zone dédiée aux enfants de 2 à 5 ans sera entièrement clôturée afin de créer un environnement protégé. Toute la surface de jeu sera en caoutchouc coulé recouverte d’un gazon synthétique. https://journalmetro.com/local/2374092/debut-des-travaux-au-parc-tony-proudfoot/
  8. Un parc écologique verra le jour près de Montréal-Trudeau Photo: Nouvelles Saint-Laurent News – Laurent Lavoie | L’aménagement du parc écologique, qui aura l’équivalence de la moitié du parc La Fontaine, devrait se concrétiser à la fin de l’hiver pour être accessible au mois de mai. Journal Métro | Saint-Laurent | 16:52 | 4 septembre 2019 | Par: Laurent Lavoie Un nouveau parc écologique prendra place au nord du site aéroportuaire de l’Aéroport Montréal-Trudeau, à l’ouest de l’éco-campus Hubert Reeves, couvrant un espace de 19 hectares. Cette initiative s’inscrit dans les efforts d’Aéroports de Montréal (ADM) de préserver la biodiversité avoisinant son site. «C’est un secteur qu’on a jamais développé», dit la porte-parole pour ADM, Anne-Sophie Hamel. L’organisation espère donner un plus grand accès aux amateurs d’observation d’oiseaux notamment. «C’est sûr qu’on est content de l’annonce, souligne le spécialiste en comportement aviaire et membre du groupe citoyen TechnoparcOiseaux, Joël Coutu. On essaie d’avoir une rencontre avec la direction [d’ADM] pour avoir plus d’informations sur le sujet.» Aménagement Les plans d’aménagement sont toujours en cours de finalisation. Le coût du projet est donc inconnu. Il est prévu que des sentiers piétonniers et des bancs soient installés. Pour l’instant, l’ajout de piste cyclable n’est pas prévu. L’engagement d’ADM «est de garder [ce secteur] le plus vert possible», précise Mme Hamel. Cela va dans le même sens que les attentes des citoyens, qui souhaitent laisser la place à la biodiversité. «Avoir un parc urbain, qui comporte des pistes cyclables et un terrain de soccer, c’est la dernière chose qu’on veut», indique Joël Coutu. De nouvelles poubelles feront aussi leur apparition, s’agissant d’un espace «qui a été malheureusement contaminé de déchets au cours des dernières années», souligne Mme Hamel. Après la période de migration, ADM, en collaboration avec l’organisme Jour de la Terre, procédera à une corvée de nettoyage. Recensement Avant de se lancer dans le développement du projet du parc écologique, ADM espérait faire un portrait de la biodiversité se trouvant sur le site. Un recensement mené par l’organisation a dénombré environ 150 espèces. Du nombre, on compte le petit blongios, une espèce d’oiseaux en péril. Les 19 hectares demeurent peu pour cet oiseau, selon le spécialiste Joël Coutu. «Il a besoin de 34 hectares sur son territoire» pour avoir un milieu de vie optimal, souligne-t-il. Des mammifères, comme des chauves-souris, des mouffettes et des lapins font aussi partie de la liste. https://journalmetro.com/local/saint-laurent/2371954/parc-ecologique-montreal-trudeau/
  9. On indique bien sur le site du REM: Début 2022 : mise en service du REM à Du Ruisseau Fin 2023 : mise en service du REM à Deux-Montagnes (et non 2024, tel que rapporté ailleurs...) Construction du REM - Fermeture du tunnel Mont-Royal - Déploiement du réseau transitoire de transport collectif MONTRÉAL, le 9 sept. 2019 /CNW Telbec/ - La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, le directeur général de l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), M. Paul Côté, et le directeur exécutif, Affaires corporatives et développement de CDPQ Infra, M. Harout Chitilian, ont présenté les mesures d'atténuation détaillées pour pallier les travaux du Réseau express métropolitain (REM). Cet important chantier, qui mènera à la fermeture du tunnel Mont-Royal en janvier 2020, aura des répercussions majeures sur l'itinéraire des usagers des lignes de train de Deux-Montagnes et de Mascouche, puisqu'il rallongera le temps de parcours et ajoutera des correspondances entre les différents modes de transport. Au cours des derniers mois, le ministère des Transports, l'ARTM, les sociétés de transport, exo, CDPQ Infra, en plus des municipalités et arrondissements concernés, ont travaillé de concert pour élaborer des mesures d'atténuation détaillées pour chaque secteur touché. L'objectif était de mettre en oeuvre des solutions efficaces et compétitives par rapport à l'auto solo, en plus de proposer plusieurs options d'itinéraires aux usagers du transport en commun. Ce réseau transitoire comptera : une navette ferroviaire entre Deux-Montagnes et Bois-Franc; un contournement du mont Royal, avec trois départs en heures de pointe du matin et du soir sur la ligne Mascouche pour conserver un accès direct à la gare Centrale; des navettes d'autobus vers les lignes orange, verte et bleue du métro de Montréal et une navette hors pointe et de fin de semaine entre Deux-Montagnes et le centre-ville; de nouveaux aménagements de quais et terminus; des mesures préférentielles pour bus (feux prioritaires, voies réservées, utilisation des accotements d'autoroutes) jumelées à des horaires et des parcours repensés; la bonification du service d'autobus sur certaines lignes de la Société de transport de Montréal (STM), de la Société de transport de Laval (STL) et d'exo; des places de stationnement incitatif additionnelles à la gare Bois-de-Boulogne de la ligne de train de Saint-Jérôme. Le tout est assorti de mesures tarifaires pour les usagers des lignes touchées. Les usagers de la ligne Deux-Montagnes bénéficieront de la gratuité à bord de la navette ferroviaire entre Deux-Montagnes et Bois-Franc de même que dans les navettes d'autobus entre la gare Bois-Franc et la station de métro Côte-Vertu. De plus, les usagers actuels de la ligne Deux-Montagnes pourront profiter, dès janvier 2020, des quatre premiers mois gratuits sur l'abonnement annuel aux services de transport collectif sur l'île de Montréal et, par la suite, d'un tarif mensuel de 86,50 $. Pour les usagers de la ligne Mascouche, un rabais pouvant aller jusqu'à 30 % sur les titres de transport sera effectif. Citations « Depuis 12 mois, le travail assidu d'une vingtaine d'organisations, incluant les acteurs municipaux de la région métropolitaine, nous permet de présenter une offre de transport variée qui, bien que représentant des temps de parcours allongés, demeurera compétitive par rapport à l'auto solo. J'ai demandé que nous accordions une importance toute particulière à la communication auprès des usagers afin qu'ils puissent être accompagnés dans leurs choix de trajets et de modes de transport tout au long des différentes phases de construction du Réseau express métropolitain. Nous devons garder à l'esprit qu'au terme de cet important chantier, le REM offrira à la population de la région métropolitaine un service de grande qualité, équivalant à celui d'un métro. » Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal « Appelée à coordonner la planification des mesures et à accompagner les nombreux partenaires impliqués, l'ARTM a été au coeur d'une mobilisation continue permettant une collaboration métropolitaine sans précédent. L'implication et le dévouement de tous sont au rendez-vous. Avec la fermeture du tunnel sous le mont Royal, une période d'ajustement s'amorce pour les usagers qui sont touchés par cet important chantier métropolitain. Nous pouvons leur assurer que les partenaires vont tout mettre en oeuvre pour les accompagner et qu'ils vont continuer à travailler sans relâche pour eux, et ce, chaque jour, jusqu'à la livraison du plus grand projet de transport collectif des 50 dernières années dans la région métropolitaine. » Paul Côté, directeur général de l'Autorité régionale de transport métropolitain « Dans quelques mois, nous procéderons à la fermeture du tunnel Mont-Royal pour permettre la modernisation de cette infrastructure centenaire et la poursuite de la construction du Réseau express métropolitain. Aucun effort n'a été ménagé pour optimiser les méthodes de construction et l'échéancier. Néanmoins, nous sommes conscients que des travaux de cette ampleur entraînent des conséquences pour les usagers des lignes Deux-Montagnes et Mascouche. À terme, nous avons confiance que le REM aura un effet positif dans le quotidien des usagers, avec une réduction significative des temps de déplacement, une offre de service accrue et de nouvelles destinations. » Harout Chitilian, directeur exécutif, Affaires corporatives et développement de CDPQ Infra Faits saillants Le réseau transitoire de transport collectif représente un investissement du gouvernement du Québec et de CDPQ Infra d'un montant de 192 M$. Tarification qui tient compte des répercussions sur les usagers : Ligne exo6 Deux-Montagnes : gratuité de la navette ferroviaire et de la navette 964 - Trainbus Bois-Franc/Côte-Vertu de la STM; pour les usagers actuels : quatre premiers mois gratuits de l'abonnement annuel aux services de transport collectif sur l'île de Montréal dès janvier 2020. Par la suite, tarif mensuel à 86,50 $. Ligne exo5 Mascouche : rabais jusqu'à 30 % sur les titres mensuels TRAIN et TRAM avec un prix plancher de 86,50 $. Création de navettes pour faciliter les déplacements vers le centre-ville : Navette ferroviaire exo entre Deux-Montagnes et Bois-Franc; Navette exo 404 - Deux-Montagnes/terminus Mansfield (centre-ville) en dehors des heures de pointe et durant les fins de semaine; Navette 964 - Trainbus Bois-Franc/Côte-Vertu de la STM, entre la gare Bois-Franc et le métro Côte-Vertu : synchronisée avec les arrivées et départs du train; Navette 968 - Trainbus Roxboro/Côte-Vertu de la STM, entre les gares de Roxboro-Pierrefonds et Sunnybrooke et le métro Côte-Vertu; Navette 919 - Trainbus Acadie/Mont-Royal/Namur de la STM. Contournement du mont Royal sur les voies du CN pour trois trains de la ligne Mascouche pour maintenir l'accès à la gare Centrale en heures de pointe du matin et du soir : début du service au courant de l'année 2020. Bonification de service sur des lignes d'autobus de la STM, de la STL et d'exo : STM : 92, 121, 165 et 470; STL : 26, 144, 151, 902 et 903; Exo : Secteur Laurentides : 8, 9 et 59; Secteur Terrebonne-Mascouche : 30 et 140; Secteur L'Assomption : 100, 300 et 400. Construction de nouveaux quais temporaires au terminus Radisson pour les usagers de la ligne Mascouche et à la gare Bois-Franc pour les usagers de la ligne Deux-Montagnes. Ajout d'un stationnement incitatif à la gare Bois-de-Boulogne de la ligne exo2 Saint-Jérôme. Mise en place d'une escouade terrain pour informer et guider les usagers du transport collectif dans les gares, métros et terminus d'autobus. Nouvelle plateforme d'information sur les mesures d'atténuation à quebec.ca/mobilitemontreal et Chrono comme outil de planification de trajet. La première phase du Mouvement orange de la STM, en vigueur depuis le 26 août dernier, vise à désengorger la ligne orange entre les stations Beaubien et Berri-UQAM. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une mesure d'atténuation du REM, cela aura une répercussion positive sur cet axe stratégique du réseau de métro. Cette initiative comprend notamment : La création de la ligne 445 - Express Papineau circulant sur une voie réservée; La création de la ligne 480 - Express du Parc, dont le parcours est sur voies réservées avec des départs à la gare Parc synchronisés avec le train de Saint-Jérôme; La bonification de service sur la ligne orange du métro avec l'ajout de deux rames de métro en heure de pointe du matin à partir de la station Henri-Bourassa. Données d'achalandage en semaine : Ligne exo6 Deux-Montagnes : moyenne de 30 000 déplacements quotidiens; Ligne exo5 Mascouche : moyenne de 8 000 déplacements quotidiens. Liens connexes et documents Mobilité Montréal : quebec.ca/mobilitemontreal   Ministère des Transports : transports.gouv.qc.ca Autorité régionale de transport métropolitain : artm.quebec Réseau express métropolitain : rem.info Faits saillants par secteur SOURCE Cabinet de la ministre déléguée aux transports https://www.lelezard.com/communique-18919777.html Autres articles: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1292152/transports-collectifs-rem-tunnel-mont-royal https://www.journaldemontreal.com/2019/09/09/chantier-du-rem-train-gratuit-pour-les-clients-de-la-ligne-deux-montagnes --> (dans lequel on affirme, de façon erronée (voire trompeuse, il me semble...), que les clients de Deux-Montagnes pourront prendre le train gratuitement. Il aurait fallu mentionner que "les quatre premiers mois [seront] gratuits [à l'achat] de l'abonnement annuel aux services de transport collectif sur l'île de Montréal dès janvier 2020. Par la suite, [le] tarif mensuel [est] à 86,50 $", tel qu'indiqué dans le communiqué ci-dessus. Rigueur... Rigueur...).
  10. J'imagine qu'on va en conclure que l'air que l'on respire dans le métro n'est pas adéquat... et doit être "remplacé" ! On a beau vouloir faire des études au Québec, ....mais, un moment donné, il faut plutôt apporter des solutions à un problème. On le sait déjà que la qualité de l'air est loin d'être parfait dans le métro, mais je crois, qu'en se comparant avec d'autres villes nord-américaine, voire ailleurs dans le monde, cela ne serait pas nécessairement mieux. "Le gazon n'est pas toujours plus vert chez le voisin", comme on dit. Et malheureusement, Montréal est une ville nordique ayant développée son métro en souterrain. Cela a beaucoup de bons côtés, mais cela apporte également son lot d'inconvénients (comme l'entretien de son réseau piétonnier...). J'ai grandement hâte de voir l'arrivée du REM, puisque je ne crois pas qu'on vivra le même problème que le métro au niveau de la qualité de l'air. Il y aura peu de stations souterraines (5 seulement) et les autres stations du réseau devraient en principe facilement être ventilées, étant toutes climatisées et à proximité de l'extérieur. Ensemble Montréal demande que la STM mesure en continu la qualité de l'air dans le métro MONTRÉAL, le 6 sept. 2019 /CNW Telbec/ - La leader de l'Opposition officielle, Mme Karine Boivin Roy, et le conseiller de la Ville du district de Saint-Léonard-Ouest, M. Dominic Perri, ont dévoilé ce matin une motion demandant que la Société de transport de Montréal (STM) mesure la qualité de l'air à l'intérieur du réseau de métro. Les élus d'Ensemble Montréal se basent sur l'exemple de nombreuses grandes villes à travers le monde, comme Barcelone, Paris ou Tokyo, qui mesurent régulièrement la qualité de l'air dans leur réseau de métro. « À Montréal, il n'existe aucun dispositif de mesure de la qualité de l'air dans le métro. En fait, les seules données disponibles sur les polluants de l'air intérieur datent de l'été 2010 et de l'hiver 2011 et sont compilées dans une étude de Santé Canada dévoilée en 2017. Nous voulons que les usagers du métro, de même que les employés de la STM, puissent être mieux renseignés sur l'air qu'ils respirent », a déclaré Mme Boivin Roy. Pour Ensemble Montréal, la STM devrait mener des campagnes ponctuelles et régulières de mesure de la qualité de l'air dans le métro. À terme, elle devrait également installer des stations de mesure dans les cinq stations de métro les plus achalandées et rendre disponibles sur le Web, en temps réel, les données récoltées. « À Montréal, les usagers passent en moyenne une heure de leur journée dans le métro. Mais cette heure compte pour 11,3 % de leur exposition quotidienne moyenne aux particules fines PM 2,5, selon l'étude de Santé Canada. Sans être alarmiste, il ne faut pas négliger les risques que représentent les particules PM 2,5 pour la santé des gens. L'idée est donc de suivre l'évolution des polluants, de connaître les sources d'émissions de ces polluants et d'agir en conséquence pour les diminuer, voire les neutraliser. Mais à date, on ne dispose que des données de 2010-2011 », a ajouté M. Perri. La proposition d'Ensemble Montréal est d'autant plus pertinente que la Ville de Montréal effectue déjà un suivi de la qualité de l'air extérieur via le Réseau de surveillance de la qualité de l'air (RSQA) et exploite 15 stations de mesure sur son territoire. « De notre point de vue, il est donc tout à fait logique que la Ville s'intéresse aussi à la qualité de l'air intérieur, sachant que l'an dernier, on a recensé plus de 271 millions d'entrées dans le métro montréalais. Ces usagers ont le droit de connaître la composition de l'air qu'ils respirent », a conclu Mme Boivin Roy. La motion sera débattue lors du conseil municipal du 16 septembre prochain. SOURCE Ville de Montréal - Opposition officielle à l'Hôtel de Ville de Montréal https://www.lelezard.com/communique-18917826.html
  11. Enfin ! Malheureusement, on devra attendre 2020 avant d'aller visiter... 😞 Le déménagement de l’ONF s’amorce PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE | Le célèbre logo de l’Office national du film du Canada (ONF) avait été décroché du bâtiment du chemin de la Côte-de-Liesse en avril dernier. Cinq ans après l’annonce officielle et avec deux ans de retard sur le plan initial, le déménagement des employés de l’Office national du film (ONF) du siège social du chemin de la Côte-de-Liesse vers le nouvel édifice du Quartier des spectacles s’amorcera le lundi 9 septembre, vient d’annoncer l’organisme fédéral. Publié le 04 septembre 2019 à 11h00 | ANDRÉ DUCHESNE | LA PRESSE Pendant plusieurs semaines, jusqu’à la fin octobre, quelque 400 employés déménageront ainsi leurs pénates et des tonnes de matériel. Le précieux contenu de la voûte prendra quant à lui le chemin d’un nouvel édifice dans l’arrondissement de Saint-Laurent. L’ONF annonce par ailleurs le report de l’inauguration officielle et d’une journée portes ouvertes pour le public. D’abord prévus les 7 et 9 novembre prochains, ces deux événements auront lieu en 2020 à une date qui reste à déterminer. « Initialement prévue en novembre 2019, l’inauguration officielle du nouveau siège social se fera en 2020 afin que les travaux d’aménagement de l’espace public et de la salle de projection, toujours en cours, puissent être achevés, indiquent les dirigeants dans un communiqué. L’ONF tient en effet à ce que le public ait aussi accès à son espace lorsque l’inauguration aura lieu. » Facile à identifier avec sa forme non conventionnelle et sa partie rouge, l’édifice de l’Îlot Balmoral dans lequel l’ONF sera installé est érigé à deux pas de la place des Festivals. Cet édifice appartient à la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM). L’ONF, qui a signé un bail de location de 20 ans, occupera les six premiers étages de l’édifice qui en compte treize. Toujours selon le communiqué de presse émis par l’ONF, l’édifice comptera aussi une « salle de projection, un espace public ouvert aux auditoires, aux artistes et aux artisans, où seront programmés des activités et des événements spéciaux ». https://www.lapresse.ca/cinema/201909/04/01-5239757-le-demenagement-de-lonf-samorce.php
  12. On ne pourra pas voir grand chose de cette visite... Aucune image n'est permise. Convocation - Séance d'information technique et visite des tunnels Ville-Marie et Viger MONTRÉAL, le 3 sept. 2019 /CNW Telbec/ - Le ministère des Transports invite les représentants des médias à une séance d'information technique, suivi d'une visite des tunnels afin d'en apprendre davantage sur la solution retenue du projet de réfection majeure des tunnels Ville-Marie et Viger. À cette occasion, la ministre déléguée aux Transports, Mme Chantal Rouleau, se joindra aux représentants des médias pour une mêlée de presse à la fin de la visite, soit vers 10 h. Les bottes à embouts d'acier ne sont pas obligatoires, mais le port d'un soulier fermé et plat est requis. Un casque et un dossard seront prêtés sur place. Cet événement aura lieu : DATE : Le 5 septembre 2019 HEURE : 8 h 30 - Séance d'information technique* 9 h - Visite des tunnels 10 h - Mêlée de presse LIEU : Centre intégré de gestion de la circulation (CIGC) 640 avenue Viger Ouest Montréal (Québec) H3C 3S8 *Aucune image ne pourra être prise lors de la séance d'information technique. La confirmation de votre présence est obligatoire pour la visite des tunnels. Vous pouvez le faire via la ligne médias du Ministère au 514 873-5600. Prendre note que les retardataires ne pourront prendre part à la visite. SOURCE Cabinet de la ministre déléguée aux transports https://www.lelezard.com/communique-18911646.html
  13. Petite invitation envoyée aux médias (sur Le Lézard) pour le colloque, préalablement annoncé par @ScarletCoral. Invitation aux médias - Colloque de la consultation publique sur l'avenir du secteur Bridge-Bonaventure MONTRÉAL, le 3 sept. 2019 /CNW Telbec/ - L'Office de consultation publique de Montréal invite les représentants des médias à assister au colloque « Renouveler un territoire urbain morcelé : conférences inspirantes pour le secteur Bridge-Bonaventure », qui aura lieu le jeudi 5 septembre 2019 au Plaza Centre-Ville. La journée débutera par la conférence d'ouverture de Julien Lahaie, directeur de la Mission Vallée de la Chimie pour le Grand Lyon, intitulée Lyon Vallée de la Chimie, vers des cohabitations heureuses. Elle sera suivie de cinq panels : Mettre en valeur le patrimoine de manière cohérente, Mettre en scène des entrées de ville harmonieuses, Renforcer les connexions en transports actif et collectif, Soutenir la mise en réseau d'espaces publics par une trame verte et finalement Renouveler des activités économiques et urbaines. Pour consulter le programme détaillé : ocpm.qc.ca/bridge-bonaventure/colloque. Le colloque, qui a suscité un grand intérêt, affiche complet depuis déjà quelques semaines. Pour ceux qui n'auraient pu se procurer un billet (gratuit), il sera possible de suivre les conférences à distance puisque tout l'événement sera diffusé en direct sur le site de l'OCPM au ocpm.qc.ca/en-direct. Colloque Renouveler un territoire urbain morcelé : conférences inspirantes pour le secteur Bridge-Bonaventure jeudi le 5 septembre de 9 h à 17 h au Plaza Centre-Ville, 777 boulevard Robert-Bourassa (Evo) Toute l'information sur cette consultation, la description des prochaines étapes, la documentation est disponible sur le site Internet de l'Office au ocpm.qc.ca/bridge-bonaventure et peut aussi se trouver au bureau de l'Office situé au 1550, rue Metcalfe, bureau 1414. L'OCPM est un organisme indépendant qui réalise les mandats de consultation publique qui lui sont confiés par le conseil municipal ou le comité exécutif de la Ville de Montréal. Ces consultations publiques servent à recueillir l'opinion des citoyens, surtout sur des projets qui relèvent des compétences municipales en urbanisme et en aménagement du territoire, mais elles peuvent aussi s'étendre à tout projet soumis par le comité exécutif ou le conseil municipal. L'OCPM a été créé tout spécialement pour que certaines consultations publiques soient menées par une entité neutre. Les rapports de consultation de l'OCPM incluent toujours une analyse des préoccupations citoyennes ainsi que des recommandations spécifiques pour guider les décisions publiques. L'Office a aussi le mandat de proposer des règles afin d'assurer la mise en place de mécanismes de consultation crédibles, transparents et efficaces à Montréal. SOURCE Office de consultation publique de Montréal https://www.lelezard.com/communique-18912035.html
  14. « Bris de confiance » entre les résidents et les promoteurs du secteur Assomption-Sud–Longue-Pointe Le secteur Assomption-Sud–Longue-Pointe est situé dans l'est de Montréal. | PHOTO : OCPM Jérôme Labbé | Radio-Canada | 4 h 09 | Mis à jour à 8 h 04 Observant une « rupture de confiance » entre la population locale et les acteurs économiques du secteur Assomption-Sud–Longue-Pointe, l'Office de consultation publique de la Ville de Montréal (OCPM) recommande à l'administration Plante d'agir sans plus tarder pour réduire les nuisances associées aux activités industrielles, comme le bruit, la pollution atmosphérique et les îlots de chaleur. Appelé à se pencher sur l'avenir du secteur, l'OCPM n'a pu que constater « l’existence d’une crise de confiance chez plusieurs citoyens qui se sont exprimés lors de la consultation », à laquelle ont participé plus de 1000 personnes le printemps dernier. Dans une lettre accompagnant le rapport, la présidente de l'organisme, Dominique Ollivier, écrit à la mairesse de Montréal, Valérie Plante, « qu’il y a un bris de confiance entre les porteurs de projets et les populations locales qui disent avoir vu se multiplier les nuisances et se détériorer leurs conditions de vie dans les dernières années, et ce, malgré la mobilisation citoyenne et les nombreux processus de consultation où les participants se sont engagés de bonne foi ». Mme Olivier fait référence aux consultations qui se sont succédé depuis le dévoilement du projet de Cité de la logistique, dévoilé en 2015, que Projet Montréal a rebaptisé « Écoparc industriel de la Grande Prairie » après son arrivée au pouvoir. Elle note d'ailleurs que la « crise de confiance semble perdurer malgré le changement de projet proposé par la nouvelle administration montréalaise ». « Afin d’améliorer la qualité de vie des résidents et riverains du secteur et de regagner leur confiance », l'OCPM conseille donc « d’agir dès maintenant pour réduire les nuisances actuelles, avant même la mise en place du projet d’Écoparc industriel ». Il en fait même sa recommandation #1. Pour corriger cette situation, l'Office suggère notamment de corriger la chaussée de la rue Notre Dame, qui décuple le bruit des camions; de procéder à de fréquents nettoyages des voies de circulation pour diminuer la présence de poussière; et d'interdire le camionnage sur la rue Haig. Un projet à peaufiner En ce qui a trait au projet de l'administration actuelle de transformer le secteur pour en faire un écoparc industriel, la commission « accueille favorablement la vision de développement économique et les aménagements proposés, mais elle recommande également plusieurs actions pour les bonifier ». En matière de transport collectif, par exemple, l'OCPM propose d’aller de l’avant avec le projet de desserte structurante longeant la rue Notre-Dame – autrement dit, le tramway tant attendu dans l'est de Montréal. Les commissaires préconisent en outre d'implanter « un service de minibus électriques télépilotés » afin de relier les secteurs résidentiels et les principales entreprises du futur écoparc. La Ville de Montréal, l'Administration portuaire et le ministère des Transports veulent prolonger le boulevard de l'Assomption et l'avenue Souligny pour faciliter l'accès des camions au port. Une boucle de ce tracé passerait dans le boisé Steinberg. | PHOTO : VILLE DE MONTRÉAL En ce qui concerne le prolongement vers le sud du boulevard de l'Assomption, l'Office suggère de revoir le concept d'échangeur en forme de boucle qui permettrait aux automobilistes et aux camionneurs de se rendre sur l'avenue Souligny, et vice-versa. Il propose un tunnel en courbe plutôt qu’une boucle en surface, ce qui permettrait notamment « d'étouffer le bruit des camions ». L'OCPM recommande aussi à la Ville et à l’Administration portuaire de procéder avec l’avant-projet du viaduc qui enjambe la rue Notre-Dame – une structure qui permettrait aux camions de sortir beaucoup plus facilement du port de Montréal –, à la condition que ce projet soit jumelé à la fermeture de l’accès Viau. Un secteur boisé aussi rare que vulnérable Enfin, l'Office suggère la possibilité de former un corridor écologique le long de l'ancien ruisseau Molson – une proposition largement détaillée dans un mémoire déposé par les AmiEs du parc-nature Ruisseau-de-la-Grande-Prairie. Ce corridor passerait notamment par le boisé Steinberg, menacé par le projet de prolongement du boulevard de l’Assomption et par la boucle qui permettrait de le relier à l'avenue Souligny. Hydro-Québec souhaiterait également y installer un poste de transformation. « Il serait souhaitable d’en préserver au moins une partie », écrit l'OCPM, qui évoque aussi dans son rapport la possibilité que la Ville de Montréal puisse acquérir des terrains pour réaliser des aménagements publics ou pour créer des sentiers végétalisés. À lire aussi : La consultation sur le secteur Assomption Sud – Longue-Pointe lancée avec cinq mois de retard Un absent de taille à la consultation publique sur l’Assomption Sud – Longue-Pointe https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1284214/montreal-consultation-publique-ocpm-ecoparc-industriel-grande-prairie
  15. Sur Google (vue Satelitte... et qui n'est pas nécessairement la plus à jour), on voit bien qu'une route y a été construite. Je mis suis rendu en mai dernier pour voir ce qui se passait de ce côté, mais il n'y avait rien de développer. Probablement que c'est en prévision du début de la construction de l'Éco-campus Hubert-Reeves... qui se fait attendre. Création d'un parc écologique à YUL Aéroport international Montréal-Trudeau MONTRÉAL, le 30 août 2019 /CNW Telbec/ - ADM Aéroports de Montréal est heureuse d'annoncer la création d'un parc écologique situé au nord du site aéroportuaire de YUL dans l'arrondissement Saint-Laurent. Cette annonce fait suite à des échanges avec le ministre des Transports, l'honorable Marc Garneau. Le ministre soutient le changement de vocation de ce terrain pour en faire un parc écologique. Le terrain d'une superficie de plus de 2 millions de pieds carrés sera préservé et aménagé pour le bénéfice de toute la communauté. « Dans le cadre de sa politique environnementale, ADM s'est engagée à protéger les milieux à valeur écologique élevée sur ses sites. La préservation de ce secteur illustre cet engagement », a déclaré le président-directeur général d'ADM, M. Philippe Rainville. ADM a procédé à un inventaire écologique du site et s'assurera de sa mise en valeur. Soulignons la présence de marais et de marécages sur une bonne partie du site; d'un boisé mature et de la présence d'oiseaux et de mammifères. « Cette démarche s'inscrit dans notre volonté d'offrir à la communauté un lieu pour connecter avec la nature et la proximité avec la station du REM au Technoparc le rendra accessible à un plus grand nombre. Au cours des prochaines semaines, une corvée de nettoyage sera organisée avec Jour de la Terre et le plan d'aménagement sera complété par nos experts », a précisé M. Rainville. Soulignons que ce terrain jouxte le site aéroportuaire et; conformément aux exigences du TP 1247F « Utilisation des terrains au voisinage des aérodromes », ADM poursuivra la gestion constante de la faune et un contrôle du péril aviaire. À propos d'Aéroports de Montréal ADM Aéroports de Montréal est l'autorité aéroportuaire du Grand Montréal responsable de la gestion, de l'exploitation et du développement de YUL Aéroport international Montréal-Trudeau et de YMX Aérocité internationale de Mirabel. SOURCE Aéroports de Montréal https://www.lelezard.com/communique-18908808.html
  16. Bilan estival de l'administration de la mairesse Valérie Plante - Faire avancer d'importants dossiers pour Montréal : le Grand parc de l'Ouest MONTRÉAL, le 30 août 2019 /CNW Telbec/ - L'administration de la mairesse Valérie Plante a profité de la période estivale pour faire avancer de nombreux dossiers d'importance qui promettent d'améliorer le quotidien de la population montréalaise. Plusieurs jalons de la transformation de Montréal ont été posés en cette première moitié de mandat, ce qui a permis à la mairesse et à son équipe de réitérer leurs priorités pour l'avenir de Montréal. C'est ainsi que des actions concrètes ont été menées en matière de mobilité, d'environnement et d'habitation. Voici le dernier de cinq dossiers majeurs qui ont progressé au cours des derniers mois : le Grand parc de l'Ouest. Résumé Le 8 août 2019, la mairesse Valérie Plante a annoncé la création d'un grand parc urbain de 3 000 hectares afin de protéger des espaces naturels de l'ouest de l'île de Montréal. Ce territoire regroupe les parcs-nature de l'Anse-à-l'Orme, du Bois-de-L'Île-Bizard, du Bois-de-la-Roche, du Cap-Saint-Jacques et des Rapides-du-Cheval-Blanc, en plus d'inclure différents secteurs d'intérêt à des fins de grands parcs. Il sera accessible à la population en transport en commun grâce à deux stations du Réseau express métropolitain (REM). À terme, le Grand parc de l'Ouest sera 8 fois grand comme Central Park et 15 fois grand comme le parc du mont Royal. La création du Grand parc de l'Ouest s'inscrit dans la volonté de la Ville de Montréal de protéger 10 % de la superficie du territoire de Montréal et de protéger et de mettre en valeur les aires naturelles de l'ouest de l'île. Il permettra de protéger des espaces naturels et des milieux humides de l'ouest de l'île de Montréal qui présentent une biodiversité aussi riche qu'unique. La protection des milieux humides du Grand parc de l'Ouest permettra à la Ville de Montréal d'être mieux adaptée et plus résiliente face aux changements climatiques et à la crue des eaux. La création du Grand parc de l'Ouest résulte d'un changement de paradigme au sein de la Ville de Montréal. L'administration de Valérie Plante a choisi de repenser entièrement le développement du territoire montréalais et de donner à la protection des aires naturelles l'importance qui lui revient, plutôt que de l'opposer au développement économique. Rappelons que le gouvernement fédéral a appuyé ce projet à hauteur de 50 M$. Citations « Avec plus de 3 000 hectares de superficie, le Grand parc de l'Ouest deviendra le plus grand parc urbain du Canada. Il s'agit d'un tournant majeur en matière de protection des milieux humides et de mise en valeur des espaces naturels. Cette démarche s'inscrit dans notre volonté de protéger 10 % de la superficie du territoire de Montréal et vise à conserver et à protéger à perpétuité les aires naturelles de l'ouest de l'île de Montréal. Ce changement de paradigme profitera à toutes les Montréalaises et à tous les Montréalais. » - Valérie Plante, mairesse de Montréal « Nous n'avons pas chômé pendant la première moitié de notre mandat. Nous avons établi des priorités claires visant à améliorer la qualité de vie de la population montréalaise et nous avons travaillé sans relâche pour atteindre nos objectifs. Je suis convaincue que le meilleur est encore à venir! » - Valérie Plante, mairesse de Montréal SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif https://www.lelezard.com/communique-18908250.html
  17. Les rails reposent patiemment, en attendant d'être posés... (photos 4-5-6) 30-08-2019
  18. Je sais que c'est un fait divers... mais cela traite également de l'entente liant le Vieux-Port et l'attraction de La Grande Roue... La Société du Vieux-Port réévalue sa relation avec La Grande Roue PHOTO SIMON GIROUX, ARCHIVES LA PRESSE | Jeff Jorgensen, président-directeur général et propriétaire de la Grande Roue de Montréal Les ennuis judiciaires du président-directeur général et propriétaire de la Grande Roue de Montréal, Jeff Jorgensen, ne passent pas inaperçus à la Société du Vieux-Port, qui réévalue actuellement sa relation d’affaires avec l’entreprise touristique. Publié à 5h00 SIMON-OLIVIER LORANGE | LA PRESSE LOUIS-SAMUEL PERRON | LA PRESSE La Grande Roue de Montréal inc., qui possède et exploite l’imposante structure située près du quai Jacques-Cartier, est liée par un bail à la Société du Vieux-Port de Montréal (SVPM), une entité fédérale. Une entente de cinq ans, censée arriver à échéance en avril 2022, lie les deux parties, si bien que l’entreprise peut exercer ses activités au parc du Bassin-Bonsecours. Jeff Jorgensen fait actuellement face à des accusations d’extorsion et de publication non consensuelle d’une image intime. Il a été libéré sous caution hier matin au palais de justice de Montréal et reviendra devant les tribunaux en novembre prochain. Ayant pris connaissance de ces accusations, la SVPM dit prendre la situation « très au sérieux ». « Nous sommes actuellement à vérifier les mesures à prendre et nos recours possibles, et ce, dans le cadre d’une relation d’affaires gérée par des lois », a commenté Sophie Morin, porte-parole de la Société, en entrevue avec La Presse. Cette « évaluation », a repris Mme Morin, s’effectue en vertu « du bail en vigueur et des conditions » qui y sont inscrites. La porte-parole n’a pas voulu fournir plus de détails sur ce « dossier complexe », pour lequel « aucune décision ne sera prise à court terme ». Vers une résiliation ? Il est évident qu’une résiliation de bail serait lourde de conséquences vu la nature des installations — à savoir la Grande Roue elle-même. Les 75 locataires du Vieux-Port sont soumis à l’obligation de laisser les lieux dans le même état qu’ils l’ont trouvé en s’y installant. Sophie Morin n’a toutefois pas voulu commenter la situation « hypothétique » d’une résiliation. La Presse a tenté d’obtenir des commentaires auprès de La Grande Roue de Montréal inc., mais personne n’a donné suite à notre appel. Les accusations déposées cette semaine contre Jeff Jorgensen se sont ajoutées à une année au cours de laquelle la Grande Roue s’est retrouvée plus d’une fois dans l’actualité. Le printemps dernier, la Régie des alcools, des courses et des jeux a refusé à l’entreprise un permis d’alcool pour ses restaurants, en raison des liens avec le crime organisé qu’a entretenus un collaborateur de M. Jorgensen et fournisseur de la Grande Roue, Steve Vogl. Celui-ci avait notamment purgé une peine de sept ans et demi aux États-Unis dans les années 90 pour avoir importé 2000 livres de haschich. L’entreprise est également la cible d’une poursuite du ministère québécois de la Culture et des Communications pour avoir construit la structure sans avoir obtenu au préalable les autorisations nécessaires et pour avoir enfreint la Loi sur le patrimoine culturel. Quant à M. Jorgensen, il s’est engagé hier à déposer 5000 $ en caution pour obtenir sa liberté pendant la durée du processus judiciaire relativement aux accusations d’extorsion et de publication non consensuelle d’une image intime qui pèsent sur lui. Parmi ses autres conditions, il lui sera interdit d’utiliser les médias sociaux et de posséder plus d’un téléphone cellulaire. La cause a été remise au 18 novembre prochain à la demande de son avocat, Me Joseph La Leggia. On ignore le lien qui unit Jeff Jorgensen et la victime. Les deux chefs d’accusation portent sur une période de plus de deux mois allant du 12 juin au 28 août 2019 à Montréal. https://www.lapresse.ca/actualites/201908/30/01-5239343-la-societe-du-vieux-port-reevalue-sa-relation-avec-la-grande-roue.php
  19. J'pense que ton observation a été notée dans cet article, @ScarletCoral. À moins que ce soit épidémique, comme phénomène. Ce que j'ai bien peur... Débuts chaotiques pour Lime et JUMP PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE Trottinettes abandonnées dans des lieux incongrus. Vélos électriques roulant sur des trottoirs. Cyclistes sans casque. Espaces réservés aux trottinettes occupés par des voitures. Les trottinettes et vélos électriques en libre-service sont à peine arrivés à Montréal que déjà, pour de nombreux utilisateurs, les règles n’existent plus. Publié à 5h00 MAYSSA FERAH | LA PRESSE ÉMILIE BILODEAU | LA PRESSE Mal garé, et puis ? PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE Qu’arrive-t-il aux utilisateurs qui garent mal leur vélo JUMP ou leur trottinette Lime ? Rien ! Du moins, c’est ce que nous avons pu constater lorsque nous avons abandonné un vélo et une trottinette en libre-service en plein cœur de la place d’Armes, devant la basilique Notre-Dame. JUMP affirme pourtant que les contrevenants peuvent recevoir une amende et voir leur compte suspendu. À la suite de notre comportement répréhensible, l’entreprise américaine s’est défendu en disant qu’un autre usager avait dû emprunter le vélo avant même qu’un citoyen n’ait le temps de porter plainte. Lime est quant à elle restée plus vague sur les conséquences pour les utilisateurs qui stationnent incorrectement leur trottinette, affirmant que ceux-ci reçoivent des instructions avant chaque location. Ils doivent également envoyer une photo de leur engin une fois celui-ci garé. Notre journaliste s’est pourtant contentée de prendre un cliché un peu flou qui ne montrait ni le joli paysage ni les touristes entourant sa trottinette. Véhicules pratiques ou danger public ? PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT Ils flottent dans le canal de Lachine, trônent au beau milieu du trottoir ou traînent dans le hall d’une tour de condos… Quelques semaines après l’inauguration des projets pilotes de JUMP, lancé par Uber, et de Lime, filiale de Google, on retrouve des trottinettes vert et noir et des vélos rouges dans des endroits surprenants. Ces véhicules garés illégalement représentent un danger potentiel en obstruant la circulation. Un internaute, Pascal Robichaud, a recensé sur sa page Flickr plus d’une soixantaine de cas de véhicules laissés en dehors des zones autorisées par la Ville de Montréal. C’est l’exploitant qui doit s’assurer de la bonne utilisation de son parc de véhicules non immatriculés en libre-service sans ancrage. Lime dispose d’un permis permettant à 500 trottinettes de rouler dans les rues de Montréal. Environ 250 aires de stationnement pouvant accueillir plusieurs trottinettes existent pour le moment. Sans casque Les utilisateurs de trottinettes et de vélos électriques en libre-service sont peu nombreux à porter un casque. Et pourtant, ils y sont obligés en vertu du Code de la sécurité routière. Dans le centre-ville de Montréal, dans le Vieux-Montréal et près de l’UQAM, nous avons recensé 40 personnes se déplaçant avec l’un de ces moyens de transport ; seulement sept portaient un casque. « Je ne peux pas transporter un casque avec moi au quotidien, alors que je n’utilise une trottinette que quelques minutes, quelques fois par semaine », s’est défendu Nadir Fatnassi alors qu’il s’apprêtait à partir avec un bolide sur deux roues. Constats d’infraction PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE Depuis que les vélos électriques JUMP sont arrivés dans la métropole, le 26 juin dernier, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a remis 75 constats d’infraction à des cyclistes qui ne portaient pas de casque, qui n’avaient pas 18 ans ou qui utilisaient une bicyclette en mauvais état. À titre comparatif, entre le 1er janvier et le 26 juin 2019, les policiers en avaient remis 80. Le SPVM ne fait toutefois pas de distinction entre les contraventions remises à des cyclistes qui se déplaçaient avec un vélo personnel et ceux qui utilisaient un service comme celui de JUMP. Du côté des trottinettes Lime, en service depuis le 13 août dernier, aucun constat d’infraction n’a été remis aux utilisateurs. La Ville mécontente Montréal a insisté dès l’arrivée de JUMP et de Lime : elle serait très sévère envers les opérateurs. Ils ont l’entière responsabilité, selon la Ville, de faire respecter les réglementations. Pour le moment, les deux entreprises n’ont reçu qu’une note d’avertissement. Les points visés étaient liés aux stationnements illégaux obstruant la circulation. « Si les entreprises ne se conforment pas, ils recevront des amendes. La Ville a fait part de son mécontentement », a indiqué à La Presse Karla Duval, relationniste à la Ville de Montréal. Le tout pourrait se solder par le retrait du permis de l’entreprise si la situation ne s’améliore pas. Un bilan du projet pilote est prévu pour début décembre, indique Mme Duval. Cohabitation difficile PHOTO FOURNIE PAR LIME | Légende Les automobilistes doivent aussi s’habituer aux nouveaux moyens de transport en circulation à Montréal. Par exemple, certains conducteurs ne voient pas les espaces réservés au stationnement des trottinettes. Ces zones, dans la rue, sont marquées avec de la peinture au sol. « Nous avons été confrontés à un problème hors de notre contrôle, explique Lime dans un courriel. Les voitures garées dans les espaces de stationnement réservés aux e-scooters obligent les conducteurs de scooter à se garer au mauvais endroit. » En effet, à l’intersection des rues Sainte-Catherine et Saint-Denis, un automobiliste a demandé à Jonathan Aguercia de déplacer sa trottinette pour qu’il puisse reculer sa voiture. « Vous êtes dans un stationnement de trottinettes », lui a lancé M. Aguercia. Économique ? Nous avons effectué le trajet entre le square Victoria, dans le quartier des affaires, et la place Émilie-Gamelin, près de l’UQAM. À noter que pour un trajet plus long que 29 minutes, la facture avec Lime et JUMP aurait respectivement atteint 9,70 $ et 10 $, respectivement. En Bixi, les prix sont fixes lors d’un déplacement de 30 minutes et moins. Moyen de déplacement / Temps de déplacement / Coût / Explication du coût À pied : 23 minutes / 0 $ Métro : 12 minutes / 3,50 $ BIXI : 13 minutes / 2,95 $ (2,95 $ pour un trajet de moins de 30 minutes) BIXI électrique : 12 minutes / 3,95 $ (3,95 $ pour un trajet de moins de 30 minutes) JUMP : 12 minutes / 4,14 $ (0,30 $/minute + taxes) Trottinette Lime : 12 minutes / 4,90 $ (1 $ pour le déverrouillage + 0,30 $/minute) https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201908/30/01-5239345-debuts-chaotiques-pour-lime-et-jump.php
  20. Tant qu'à construire le SRB jusqu'à Pierre-de-Coubertin, ça serait bien et plutôt sensé de le poursuivre jusqu'à Notre-Dame (à 1.5 km de là). Je croirais revoir l'opportunité ratée de prolonger la ligne Orange (Ouest) jusqu'à Bois-Franc, en même temps que la construction du garage Côte-Vertu... ou celle (possible) de prolonger l'Antenne de l'Aéroport du REM jusqu'à la gare STM/EXO/VIA de Dorval. Service rapide par bus sur le boulevard Pie-IX - Le SRB doit desservir Hochelaga-Maisonneuve, plaide Alexandre Leduc MONTRÉAL, le 30 août 2019 /CNW Telbec/ - Le député solidaire d'Hochelaga-Maisonneuve, Alexandre Leduc, lance une campagne de mobilisation pour promouvoir le prolongement du service rapide par bus (SRB) sur le boulevard Pie-IX jusqu'à la rue Notre-Dame afin de desservir adéquatement la population du quartier. « Je veux que les gens d'Hochelaga-Maisonneuve bénéficient aussi des améliorations apportées au réseau de transport en commun de Montréal. Avec une fréquence de passage similaire à une ligne de métro, le SRB améliorera grandement la circulation des gens de Laval et du nord de Montréal vers le métro Pie-IX, alors qu'aucun arrêt n'est prévu au sud! Pourtant, notre population aussi se déplace vers le métro Pie-IX, mais elle ne pourra pas bénéficier de ce service rapide », déplore M. Leduc. Le député Alexandre Leduc a ainsi lancé vendredi matin une campagne d'affichage sur le boulevard Pie-IX à proximité du métro, une campagne de lettres adressées à l'ARTM et son équipe distribuera des tracts pour inviter la population à se mobiliser. « Avec cette campagne je veux faire un coup d'éclat pour que les gens du quartier voient l'ampleur de l'absurdité qui nous attend. Je souhaite que l'ARTM étudie dès maintenant le prolongement du SRB au sud du métro Pie-IX plutôt que d'attendre après sa mise en fonction en 2022. J'invite les citoyennes et citoyens à écrire à l'ARTM afin de lui faire part de la nécessité de prolonger le SRB dans le quartier d'Hochelaga-Maisonneuve », de dire M. Leduc. Le député solidaire s'inquiète aussi que la ligne de bus actuelle qui se rend au métro Pie-IX, la 139, voit sa fréquence de passage révisée à la baisse à cause de l'existence du SRB plus au nord. « Si non seulement on n'a pas accès au service rapide, mais qu'en plus, la fréquence de notre ligne d'autobus sur Pie-IX vient à être diminuée, ce sera une situation doublement problématique pour les gens du quartier », estime-t-il. SOURCE Aile parlementaire de Québec solidaire https://www.lelezard.com/communique-18908192.html
  21. Petit topo intéressant sur l'état du chantier et sur l'événement d'aujourd'hui, auquel je n'ai pas pu participer. (Malheureusement, j'ai encore une fois manqué une occasion de me procurer mon exemplaire de Mme REM... ). https://montreal.citynews.ca/video/2019/08/29/rem-train-project-update/
×
×
  • Créer...