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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Déneigement impossible pour la piste cyclable du canal de Lachine Photo: Voix-Pop-Annie BourqueEnviron un million de personnes empruntent la piste du canal de Lachine. Journal Métro | Actualités | 15:17 25 septembre 2019 | Par: Annie Bourque Le déneigement de la piste cyclable du canal de Lachine qui permettrait son utilisation en hiver s’avère impossible en raison des impacts sur l’intégrité historique du site. C’est la conclusion à laquelle en arrive une étude de faisabilité réalisée conjointement avec la Ville de Montréal et Parcs Canada. «L’analyse révèle que les caractéristiques actuelles de la piste du canal de Lachine ne conviennent pas au déneigement», indique la porte-parole chez Parcs Canada, Marie-Ève Francoeur. La machinerie et l’utilisation de sel ou d’abrasifs auraient des effets nuisibles sur le terrain. «Le déneigement, ajoute-t-elle, amènerait la détérioration prématurée de la piste.» Dévoilée début septembre, l’étude fait aussi état qu’il serait nécessaire de modifier plusieurs infrastructures le long du canal pour permettre le déneigement dont les ponts et tunnels. Le manque de système de drainage a aussi été soulevé comme une préoccupation par rapport à la sécurité du public. Deux jours après notre appel, la porte-parole de Parcs Canada précise que son organisme évaluera les options concernant le déneigement de la piste du canal de Lachine. Une décision finale devrait être communiquée prochainement. Écologiques Depuis une dizaine d’années, le Sud-Ouest et des associations de cyclistes revendiquent le déneigement de cette voie de 14,5 kilomètres qui mène de Lachine au centre-ville de Montréal. L’arrondissement a réalisé un projet-pilote durant trois hivers en déblayant un tronçon d’un kilomètre. Un projet pilote concernant le déneigement d’un tronçon d’un kilomètre a été réalisé. Photo: Gracieuseté «Parcs Canada prétend que ce projet n’est pas concluant», déplore le conseiller de Saint-Paul-Émard-Saint-Henri-Ouest, Alain Vaillancourt qui réfute les arguments de l’organisme fédéral. «Nous nous engageons à utiliser des abrasifs écologiques et des équipements qui n’abimeraient pas la chaussée. Parcs Canada est frileux à tout changement. Ce sont des obstacles que l’on peut surmonter», soutient-il. Le conseiller dit que l’arrondissement est même prêt à payer pour le déneigement qui coûterait environ 200 000$. «Nous sommes en 2019, poursuit-il, et il est temps que Parcs Canada s’arrime avec la réalité d’aujourd’hui. Il est facile de déneiger cette piste qui est un lien important pour les cyclistes qui se rendent de Lachine au centre-ville.» Cruciale L’arrondissement compte sur l’appui de Vélo Québec qui qualifie de cruciale la question du déneigement de la piste cyclable. «Ce lien à vélo entre le Sud-Ouest et le centre-ville est névralgique. Nous sommes convaincus que s’il était déneigé, les gens l’emprunteraient en grand nombre», chargé de projets à l’organisme, Magali Bebronne. Les élus du conseil d’arrondissement ont l’intention de plaider leur cause auprès du député fédéral de LaSalle-Émard-Verdun, David Lametti, et du député libéral de Ville-Marie-Sud-Ouest et Île-des-Sœurs, Marc Miller. Ils souhaitent aussi rencontrer Ron Hallman, le nouveau directeur de l’Agence Parcs Canada qui est entré en fonction à la fin août. En décembre, la mairesse Valérie Plante avait interpellé le ministre des Finances, Bill Morneau, dans une lettre, lui faisant valoir qu’il s’agit d’une façon de contribuer à la diminution des gaz à effet de serre et de la dépendance de l’automobile. 180 000 Au Québec, 180 000 personnes font du cyclisme l’hiver au Québec. 159 % La fréquentation sur les pistes cyclables du Plateau Mont-Royal a bondi de 159% entre 2015 et 2017, selon la firme Éco compteur qui collige les données. Source: Vélo Québec https://journalmetro.com/uncategorized/2381504/deneigement-impossible-pour-la-piste-cyclable-du-canal-de-lachine/
  2. Des idées pour améliorer la navette fluviale Photo: Elena Broch/Avenir de l’est | La ministre déléguée aux Transports Chantal Rouleau a effectué le dernier trajet de l’année de la navette fluviale. Journal Métro | Pointe-Aux-Trembles & Montréal-Est | 18:09 29 septembre 2019 | Par: Elena Broch Avec ses presque 60 000 passagers cette saison, la navette fluviale mise en place en juin dernier pour relier Pointe-aux-Trembles au vieux port de Montréal a été un succès indéniable. Alors que la navette a effectué son dernier trajet le 29 septembre, des usagers ont confié leurs idées pour bonifier ce type de transport que la ministre déléguée aux Transports. Chantal Rouleau, qui qualifie la navette de « vecteur économique, social et environnemental », leur répond. Plus de communication À quai, à 14h30, Hélène Gauthier regarde l’une des dernières navettes de l’année s’en aller vers le vieux port de Montréal. « J’aurais aimé la prendre cet été, mais je n’étais pas au courant ! Il faut dire que je ne lis pas vraiment les informations. » Plus de communication, peut-être dans le quartier, sur des panneaux, aurait pu permettre à Hélène de profiter de la navette. Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports souhaite elle aussi plus de communication. Surtout à destination des travailleurs : « Nous avons remarqué que la navette était surtout utilisée par des touristes, peu par des travailleurs. Alors il faudrait communiquer avec eux. » Plus d’accessibilité Installé sur un banc, sous le soleil d’automne, Yves Lafleur contemple le Saint-Laurent. La navette, il l’a prise plusieurs fois. Mais souhaite un système plus pratique en termes d’accessibilité à l’embarcadère. « Il est vrai que le parking mis en place spécialement pour la navette est assez éloigné de l’embarcadère. On peut penser que les personnes à mobilité réduite pourraient avoir du mal à accéder facilement à la navette. Alors pourquoi ne pas mettre en place un bus depuis le parking et au vieux port de Montréal ? » C’est justement dans les tuyaux. Chantal Rouleau souhaite « un stationnement incitatif et un transport collectif » pour la navette. Mais aussi « un aménagement et un accès plus convivial ». Selon une étude, le niveau d’accessibilité de la navette est jugé « acceptable ». La ministre le souhaite « parfait ». Il y a trois mois, le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec s’était d’ailleurs rassemblé pour protester contre le manque d’accessibilité à la navette. Une navette plus verte « Et pourquoi on mettrait pas des navettes hybrides ? » demande Hélène Gauthier. Alors que 500 000 personnes ont manifesté à Montréal contre le réchauffement climatique, la question environnementale se pose. En dehors du coût que pourrait représenter des navettes hybrides, Chantal Rouleau insiste sur le fait que « ce sont des discussions que l’on a au gouvernement, il est certain que l’on veut aller vers quelque chose de meilleur pour l’environnement ». Elle précise : « Ce sont quand même 60 000 personnes qui ont pris la navette. Autant de personnes qui auraient pu prendre leur voiture [pour faire le trajet] ». D’autres arrêts sur le trajet Yves Lafleur propose de nouveaux arrêts sur le trajet de la navette, « au quai Bellerive, des connexions avec le bus 410 ou même la possibilité d’aller à Longueuil ! » Une idée partagée par Hélène Gauthier, « il faudrait qu’il y ait plus de spots d’arrêt autour de l’île de Montréal pour ouvrir le fleuve à tout le monde ». Chantal Rouleau souhaite étendre les navettes fluviales, « pour repenser l’utilisation du fleuve, pour qu’il transporte aussi des personnes ». Intégrer la navette au réseau de transports Utiliser sa carte Opus pour faire le trajet de Pointe-aux-Trembles au centre-ville ? « Complexe, mais pas impossible », selon la ministre qui souhaite mettre en place ce fonctionnement l’année prochaine, mais rien est sûr. Chose que demandent de nombreux usagers comme Yves Lafleur. Les espérances concernant la navette fluviale sont nombreuses, les projets également. Chantal Rouleau a d’ailleurs annoncé souhaiter un service au moins 10 mois dans l’année. « C’est faisable, mais il faut que les quais soient aménagés, notamment à cause de l’amoncellement de glace l’hiver. Techniquement, ça se corrige ». La navette en chiffres 7M$ : C’est le montant du contrat sur trois ans octroyé par la Société des traversiers du Québec (STQ) à la compagnie Navark, en charge de transporter les passagers. 59 700 : Au 28 septembre, 59 700 passagers, soit 650 personnes en moyenne par jour ont pris la navette, avec des pics à 1250 en une journée. 4000 : C’est le nombre de vélos embarqués à bord de la navette. https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2383496/des-idees-pour-ameliorer-la-navette-fluviale/
  3. L'ajout de cette station (Iberville/Masson) me semble faire bien du sens. Évidemment, si la diagonale de la ligne rose se faisait un jour. Et encore (et toujours) là, ce ne sont que des promesses électorales. Ligne rose: le NPD «embarque» et suggère une station au coin d’Iberville-Masson Photo: Josie Desmarais/Métro | Alexandre Boulerice estime que la mairesse Valérie Plante a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU. Journal Métro | ÉLECTIONS - ROSEMONT- LA PETITE-PATRIE | 11:26 25 septembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina «On embarque dans la ligne rose». C’est le message qu’a lancé mercredi le chef adjoint du Nouveau parti démocratique (NPD), Alexandre Boulerice. Son parti propose qu’une nouvelle station de métro s’intègre au tracé entre Lachine et Montréal-Nord, au coin des rues D’Iberville et Masson. «L’ajout de stations sur la ligne orange est une bonne idée et ça aide les gens de Laval, mais ça l’engorge également, analyse le député de Rosemont-La-Petite-Patrie. Un axe transversal comme la ligne rose ferait en sorte de désengorger nos routes et, potentiellement, tout le réseau de métro.» S’il est trop tôt pour évaluer les coûts associés à ce chantier, le parti entend «s’asseoir avec la Ville de Montréal» prochainement pour évaluer les options sur la table. La nouvelle station «Masson» coûterait à elle seule «plusieurs millions de dollars» selon le député. Celui-ci promet que son gouvernement financera l’ensemble du projet cher à l’administration de Valérie Plante. Le NPD entend aussi soutenir les municipalités dans leurs efforts en mobilité par un fonds de 6,5 G$ dédié au transport collectif. Cette réserve exclusive aux villes permettrait «financer de manière plus stable et permanente les projets de transport structurant», de Montréal à Québec en passant par la Gaspésie, où il manque cruellement d’autobus selon le parti. Les priorités de ce fonds seront déterminées «en fonction de la démographie» de chaque secteur, sans «abandonner» les banlieues et les régions. L’essentiel serait de «réduire les GES» et de minimiser «l’empreinte carbone» de nos déplacements. Un engagement bien reçu Au cabinet de la mairesse de Montréal, l’appui du NPD est bien reçu et salué. La porte-parole du comité exécutif, Laurence Houde-Roy, rappelle que Valérie Plante a déjà demandé aux partis fédéraux, le 16 septembre dernier, de soutenir son projet de ligne rose et d’investir dans la lutte aux changements climatiques. «Les besoins [en mobilité] sont énormes à Montréal. La ligne orange est saturée, les pistes cyclables sont plus utilisées que jamais et les routes sont congestionnées. Il faut sortir de la logique de l’auto-solo», avait alors déclaré la mairesse. Cette dernière a très «bien représenté Montréal» lundi devant l’ONU quand elle a soutenu que les municipalités doivent être au cœur de l’effort planétaire contre les changements climatiques, d’après Alexandre Boulerice. La Ville a notamment révélé qu’elle visait à diminuer sa production de gaz à effet de serre (GES) de 55% d’ici 2030. «Les villes ont besoin d’aide et d’appui. Le fédéral doit en faire beaucoup plus.» -Alexandre Boulerice, chef adjoint du NPD De son côté, l’ancienne journaliste et candidate du NPD dans Honoré-Mercier, Chu Anh Pham, a souligné qu’il ne faut pas attendre la réalisation de projets de transport déjà en cours pour en lancer d’autres. «Le prolongement de la ligne bleue, on nous le promet depuis 30 ans. Je vais vraiment le croire quand je le voir. On ne crachera pas dessus, mais il faut beaucoup plus», avance-t-elle. Le prolongement de la ligne bleue «n’ira pas plus loin qu’Honoré-Beaugrand en termes d’est-ouest», se désole aussi la candidate. «Toute la partie de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, la Pointe de l’île, c’est complètement isolé, parce qu’il n’y a pas de transport en commun», ajoute-t-elle. https://journalmetro.com/elections-federales-2019/2382227/ligne-rose-le-npd-embarque-et-suggere-une-station-au-coin-diberville-masson/
  4. BULLETIN TURCOT SEPTEMBRE 2019 La ministre déléguée aux Transports en visite sur le chantier De passage sur le chantier Turcot le 22 août dernier, la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, a pu constater l'avancement de ce gigantesque projet. Arrivée de la ministre déléguée aux Transports sur la nouvelle bretelle de l'autoroute 15 en direction nord vers l'autoroute 20 en direction ouest en présence de représentants du Ministère. C'est après une montée de 20 mètres dans un échafaud qu'une vue imprenable sur tout le chantier s'est offerte à la ministre. Les représentants du Ministère et de KPH Turcot en ont profité pour faire le point sur les travaux en cours et ceux à venir. La ministre a terminé sa visite du chantier entourée d'une vingtaine de personnes représentant les médias. « Ce chantier est plus grand que nature. Je suis impressionnée par tout le travail accompli et le dévouement des équipes à faire aboutir cet énorme projet », a souligné Mme Rouleau. Elle a profité d'un arrêt sur la nouvelle bretelle menant de l'autoroute 15 en direction nord à l'autoroute 20 en direction ouest afin d'annoncer son ouverture à la circulation (ouverture faite le 26 août). « J'ai pu constater aujourd'hui que le projet avance bien et que tous les efforts sont déployés pour le livrer comme prévu en 2020. L'ouverture de cette nouvelle bretelle donne le coup d'envoi à une série d'ouvertures de voies et de bretelles qui aura lieu cet automne. Il s'agit d'une bonne nouvelle pour les usagers de la route et, bien entendu, les citoyennes et citoyens du secteur », a déclaré la ministre. Avancement du projet en chiffres : Plus de 83 % du projet terminé. Près de 900 travailleurs sur le chantier. 504 poutres installées sur un total de 567. 99 % des anciennes infrastructures démantelées. 93 kilomètres de voies permanentes auront été ouverts d'ici la fin 2019. 30 000 végétaux (arbres, arbustes, graminées) sur plus de 60 000 auront été plantés d'ici la fin 2019. ----------------------------------------------------------------------- Un projet tout en couleur Vous avez probablement remarqué les éléments de couleur qui apparaissent graduellement sur les nouvelles structures du projet Turcot. Ces couleurs font partie de son concept architectural dont l'objectif est d'offrir à la population des infrastructures mieux intégrées au milieu et qui mettent en valeur le paysage montréalais. Apprenez-en davantage. Les poutres colorées de l'autoroute 15 en direction sud au-dessus du boulevard De La Vérendrye. Photo : Édith Martin Les différentes structures du projet sont réparties en quatre groupes pour lesquels une signature visuelle a été développée en tenant compte de leurs particularités. Dans le secteur au sud du canal de Lachine jusqu'au boulevard De La Vérendrye, les poutres des ponts d'étagement sont de couleurs vives (jaune, orange et rouge) afin de marquer de façon dynamique les passages de ce secteur. Il y a aussi des insertions dans le béton des ponts d'étagement. Le long de la route 136, une couleur naturelle a été privilégiée afin de mettre en valeur la nature et la présence de la falaise Saint-Jacques. C'est pourquoi les poutres des ponts d'étagement des rues Saint-Rémi et Saint-Jacques ainsi que du chemin Glen et de l'avenue Greene sont d'un vert tourbière. Cet angle coloré à l'est de l'avenue Greene marque le point de jonction des nouvelles infrastructures de la route 136 avec les anciennes. Photo : Édith Martin Au centre, afin d'uniformiser les structures des bretelles et les voies d'autoroutes élevées de l'échangeur Turcot, toutes les poutres-caissons seront en acier gris anthracite, et ce, jusqu'à la limite ouest du projet, soit le pont d'étagement du boulevard de Sainte-Anne-de-Bellevue. Des garde-fous en acier rouge ornent les bretelles situées au cœur de l'échangeur. Les poutres-caissons de l'échangeur seront en acier gris anthracite avec des garde-fous en acier rouge. Photo : Édith Martin Trois ouvrages signatures ont aussi été identifiés comme porte d'entrée sur la ville et font l'objet d'un concept particulier. Le pont d'étagement du boulevard de Sainte-Anne-de-Bellevue au-dessus de l'autoroute 20 est composé de quatre petits mâts de béton dotés d'un éclairage particulier. Il marquera l'entrée de ville en provenance de l'ouest. Les ponts au-dessus du canal de Lachine et de la rue Saint-Jacques sont haubanés et à pylône unique, et leur qualité architecturale et la modernité symboliseront le nouvel échangeur. Les haubans du canal de Lachine et son pylône blanc rappelleront aussi l'histoire du secteur alors qu'à une époque, les bateaux à mâts naviguaient sur le canal de Lachine. Le pont d'étagement du boulevard de Sainte-Anne-de-Bellevue, actuellement en construction, marquera l'entrée de ville en provenance de l'ouest. Photo : Édith Martin Afin de voir des simulations du projet, veuillez consulter la section Galerie multimédia du site Web Turcot. ----------------------------------------------------------------------- Le premier vol périlleux d'Augustin Le dernier né du célèbre couple de faucons pèlerins de l'échangeur, Polly et Algo, a créé tout un émoi lors de son premier vol le 10 juillet dernier alors qu'il a chuté dans le parc Notre-Dame-de-Grâce. La présence d'un couple de faucons pèlerins a été remarquée sur le site de l'échangeur Turcot en 2011. En raison de la reconstruction des infrastructures autoroutières dans le secteur, un suivi environnemental du couple est effectué par des experts. Malgré tous les nichoirs qui leur ont été construits, Polly et Algo ont choisi en 2018 un emplacement pour leur nidification dans l'un des clochers de l'église River's Edge, située dans Notre-Dame-de-Grâce. Augustin à la Clinique des oiseaux de proie de de l'Union québécoise de réhabilitation des oiseaux de proie (UQROP) pour un bilan santé et un baguage, 10 juillet 2019. Photo : Marcel Pérez C'est en quittant son nid que le fauconneau d'une vingtaine de jours est tombé au milieu du parc près de l'église. Le faucon pèlerin étant une espèce protégée, Augustin a été transporté à la Clinique des oiseaux de proie de l'Union québécoise de réhabilitation des oiseaux de proie (UQROP), à Saint-Hyacinthe, pour un bilan de santé. L'équipe de la clinique en a profité pour baguer le jeune faucon afin de pouvoir suivre ses déplacements et documenter ses habitudes. Comme il y a eu plus de peur que de mal pour Augustin, il a été réintroduit dans son milieu le lendemain par deux observateurs assidus et bénévoles pour l'Union québécoise de réhabilitation des oiseaux de proie (UQROP), Marcel Pérez et Christian Fritschi. C'est avec le soutien d'ornithologues amateurs et de citoyens du secteur que l'opération a été effectuée. Polly en train de nourrir Augustin, deux jours après son premier vol, 12 juillet 2019. Photo : Christian Fritschi Tout porte à croire qu'Augustin se porte toujours bien puisqu'il continue d'être vu dans le secteur de l'échangeur. Vous pouvez suivre les péripéties de Polly, Algo et Augustin sur Facebook, où un groupe d'ornithologues amateurs partage des observations et photos. Augustin au sommet de la tour Girouard, située à l'intersection de l'avenue Girouard et de la rue Sherbrooke, le 17 juillet 2019. Photo : Christophe Meyer ----------------------------------------------------------------------- Prévenir les coups de chaleur L'été a été particulièrement chaud cette année au bonheur de plusieurs. Soleil de plomb, humidité et canicule étaient au rendez-vous. Mais qui dit température élevée dit possibilité de coup de chaleur pour les travailleurs. Deux travailleurs membres du comité la Voix des travailleurs en santé et sécurité de KPH Turcot à la tente d'hydratation. Cet été, des tentes d'hydratation, facilement repérables à leur couleur vert fluo, ont été installées un peu partout sur le chantier par KPH Turcot. L'objectif : offrir aux travailleurs des moyens de se rafraîchir et de s'hydrater afin d'éviter les coups de chaleur. Des serviettes et des vestes de refroidissement, qui procurent de la fraîcheur après avoir été trempées dans l'eau, des boissons avec électrolytes, de l'eau ainsi que des couvre-nuques à installer sur les casques étaient disponibles. Sébastien, cimentier-applicateur, porte le couvre-nuque sur son casque pour se protéger du soleil. Sans aucun doute, l'arrivée des températures fraîches est la bienvenue pour plusieurs sur le chantier. ----------------------------------------------------------------------- Opération « Angles morts » Saviez-vous que les camions lourds possèdent des angles morts beaucoup plus grands qu'une automobile ? Venez le constater de vous-même en prenant place à bord d'un camion le 2 octobre prochain. Dans le cadre de la Journée internationale des aînés, les postes de quartier 11 et 15 du Service de police de la Ville de Montréal, en collaboration avec KPH Turcot et Contrôle routier Québec, invitent les citoyens à des activités de prévention visant à sensibiliser les piétons à l'importance de garder une distance sécuritaire avec les véhicules lourds. De 9 h 30 à 11 h 30 au 6600, rue Saint-Jacques (stationnement du Provigo Le Marché) De 10 h à 14 h au 147, avenue Atwater (stationnement du Super C) Les participants pourront monter à bord d'un camion lourd pour découvrir l'étendue des angles morts de ce type de véhicule. De plus, ils pourront se familiariser avec les comportements sécuritaires à adopter en matière de sécurité des piétons en passant au kiosque d'information. ----------------------------------------------------------------------- Prochains comités de bon voisinage Participez aux prochains comités de bon voisinage pour être au fait de l'avancement des travaux, poser vos questions et faire part de vos préoccupations. Les rencontres sont ouvertes à tous! Prochaine rencontre du comité NDG–Westmount–Montréal-Ouest Le 16 octobre 2019, de 19 h à 20 h 30, à l'hôtel de ville de Westmount (4333, rue Sherbrooke Ouest). * En raison des travaux, veuillez utiliser l'entrée située à l'arrière du bâtiment, sur la rue Stanton. Prochaine rencontre du comité du Sud-Ouest Le 23 octobre 2019, de 19 h à 21 h, au Centre récréatif, culturel et sportif Saint-Zotique (75, rue du Square-Sir-George-Étienne-Cartier). Voir les dernières présentations dans la section Comités de bon voisinage du site Web. https://www.turcot.transports.gouv.qc.ca/fr/nouvelles-multimedia/bulletin-articles/Pages/septembre-2019.aspx
  5. Le compte-rendu vidéo de la Rencontre publique de Deux-Montagnes, tenu le 26 septembre, est maintenant disponible sur le site du REM. Prendre note que l'enregistrement dure... 2 heures 45 minutes.
  6. Lien entre le 1000 de la Gauchetière et la station Bonaventure - Amélioration de l'accessibilité grâce à la mise en service de trois ascenseurs au terminus Centre-ville NOUVELLES FOURNIES PAR Autorité régionale de transport métropolitain | Sept 27, 2019, 12:05 ET MONTRÉAL, le 27 sept. 2019 /CNW Telbec/ - L'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), exo et la Société de transport de Montréal (STM) annoncent aujourd'hui la mise en service de trois ascenseurs liant la station Bonaventure, le terminus Centre-ville et la rue de la Gauchetière. Dorénavant, les utilisateurs qui ont des limitations fonctionnelles pourront se déplacer de façon autonome de la station de métro, jusqu'à la rue de la Gauchetière : Un ascenseur relie le rez-de-chaussée du 1000, De La Gauchetière au quai Nord du terminus Centre-ville ; Un ascenseur relie le rez-de-chaussée du 1000, De La Gauchetière aux quais Centre et Sud du terminus Centre-ville ; Un dernier ascenseur relie les quais Centre et Sud du terminus à la mezzanine de la station de métro Bonaventure. Par ailleurs, rappelons que deux ascenseurs, déjà existants, permettent de relier la mezzanine de la station Bonaventure aux quais du métro. Ces travaux, exécutés dans un espace très fréquenté, représentaient de nombreux défis techniques liés à la complexité de l'édifice. Les équipes d'exo, responsable de coordonner les travaux pour l'ARTM ont travaillé en étroite collaboration avec Ivanhoé Cambridge, propriétaire du 1000, De La Gauchetière, pour mener à bien le projet. Avec la mise en service de ces ascenseurs, la station Bonaventure devient la 15e station accessible du réseau du métro. De plus, neuf chantiers visant à rendre des stations accessibles sont présentement en cours et deux autres chantiers doivent débuter en octobre. Ce projet d'accessibilité représente un investissement de 9,3 M$. Il a été financé à 75 % par le ministère des Transports du Québec (MTQ) dans le cadre du Programme d'aide gouvernementale au transport collectif des personnes. À propos de l'ARTM L'Autorité régionale de transport métropolitain a le mandat de planifier, financer, organiser et faire la promotion des services de transport collectif et de transport adapté sur le territoire de la grande région de Montréal. Elle élabore à cette fin un plan stratégique de développement, une politique de financement, un cadre tarifaire et des ententes de services qui encadrent le développement, l'organisation et le financement des transports collectifs sur le territoire. Afin de remplir son mandat, l'Autorité s'inspire des meilleures pratiques en vigueur dans les organisations, ici et ailleurs dans le monde. Elle veut faciliter la mobilité des 500 millions d'usagers annuels et l'accès aux services par l'offre d'une expérience de transport collectif simple, intégrée et efficace. Pour ce faire, l'Autorité souhaite regrouper les forces vives du milieu des transports collectifs autour d'une vision unifiée. SOURCE Autorité régionale de transport métropolitain Renseignements: Information aux médias : Simon Charbonneau, Conseiller, relations médias et affaires publiques, ARTM, 514-409-2786, poste 7408, scharbonneau@artm.quebec Related Links http://www.artm.quebec/ https://www.newswire.ca/fr/news-releases/lien-entre-le-1000-de-la-gauchetiere-et-la-station-bonaventure-amelioration-de-l-accessibilite-grace-a-la-mise-en-service-de-trois-ascenseurs-au-terminus-centre-ville-884191375.html
  7. C'est ce qu'on appelle "un feu de paille"... ou "l'art de créer une tempête dans un verre d'eau". Dissolution du comité ayant demandé un moratoire sur les travaux du REM GUILLAUME PELLETIER | Dimanche, 29 septembre 2019 20:08 MISE À JOUR Dimanche, 29 septembre 2019 20:08 Le comité de la dernière chance a été dissous par son instigateur, à peine quelques jours après qu'il eut exigé du gouvernement Legault un moratoire sur les travaux sur la branche Deux-Montagnes du Réseau express métropolitain (REM). Le Montréalais Robert Giguère a expliqué, dans un message publié sur Facebook, que «le but [du comité] n'a pas été atteint puisque le gouvernement n’a pas eu à se justifier ni de l’insuffisance de leurs mesures d’atténuation ni du fait qu’il existe des solutions alternatives». L'homme n'abandonne pas pour autant. Dans une entrevue téléphonique avec le «24 Heures», celui qui est à l’origine de la demande d’un moratoire sur le projet du REM compte étudier d'autres pistes afin d'exiger que de nouvelles mesures alternatives soient mises en place avant le 6 janvier 2020, date à laquelle la liaison de train jusqu'au centre-ville sera interrompue. Après avoir eu une conversation téléphonique avec un membre du cabinet de la ministre déléguée aux Transports, Chantal Rouleau, M. Giguère croit qu'il y a une ouverture possible de sa part à discuter des revendications des utilisateurs de la ligne Deux-Montages et de la ligne Mascouche, qui sera aussi touchée. Interrogée dimanche sur la demande de moratoire envoyée par M. Giguère, la ministre Rouleau a indiqué ne pas trouver raisonnable d'arrêter les travaux du REM. Elle laisse cependant la porte ouverte à la mise en place de nouvelles mesures d'atténuation en cours de route. Rappelons que les usagers des lignes de train de banlieue Deux-Montagnes et Mascouche devront trouver un autre mode de transport afin de se rendre au centre-ville de Montréal à partir du mois de janvier, jusqu'à l'ouverture des stations du REM sur la Rive-Nord, prévue en 2023. https://www.journaldemontreal.com/2019/09/29/dissolution-du-comite-ayant-demande-un-moratoire-sur-les-travaux-du-rem PHOTO AGENCE QMI, STEVE MADDEN | Robert Giguère, Stefan Bracher, Laurel Thompson et Karolyne Viau
  8. Wow !! Bienvenu sur le forum @LeCuni et merci pour le partage de cette (1ère) photo du tunnelier du REM. Il est magnifique ! Tellement content de savoir qu'il sera bientôt en fonction... Il commence quand (techniquement) à creuser ?
  9. Bulletin du REM (que j'ai reçu aujourd'hui par courriel). Rive-Sud - Septembre 2019 La station Du Quartier sort de terre C’est une étape importante pour le REM : la station Du Quartier est la toute première du réseau à sortir de terre! La structure métallique et le toit sont en cours d’installation. La signature architecturale des stations du REM, qui préconise l’utilisation du verre et du bois, commence à être bien visible. D’ici début octobre, les deux passerelles piétonnes, qui relieront la station située au centre de l’autoroute 10 au DIX30 et au projet Solar Uniquartier, seront installées. Les chantiers en images 📷 Secteur de la station Rive-Sud. Installation de la structure du toit de la station Rive-Sud et du centre d’entretien, travaux électriques, drainage, installation des rails… Ça bouge! Les travailleurs ont maintenant une vue exceptionnelle sur Brossard et Montréal. Structure aérienne. Les travaux de construction de la structure aérienne dans le secteur de la station Rive-Sud sont quasi complétés. Celle-ci est composée de 33 poutres de béton et 6 poutres d’acier. Le tablier, sur lequel circulera le REM, est en train d’être bétonné. Prochaine étape : l’installation des rails! Installation des rails. C’est près de 3 km de rails qui ont été installés sur la Rive-Sud dans les derniers mois au centre de l’autoroute 10, entre la station Rive-Sud et le secteur Malo/Leduc. Dès l’automne 2020, des voitures du REM circuleront sur ce tronçon pour faire des essais en vue de la mise en service. Entraves à venir - Fermetures de nuit d'un tronçon de l'autoroute 10 ouest et de la voie de service Afin de poursuivre l’installation de la passerelle de la station Du Quartier vers le complexe Solar Uniquartier, une fermeture complète d’une portion de l’autoroute 10 ouest et de la voie de service sera nécessaire, entre la sortie 11 (autoroute 30) et le boulevard Milan. Cette fermeture sera effective à partir du lundi 30 septembre pour environ 5 nuits, de 21h30 à 5h. Il est recommandé d’opter pour des chemins alternatifs. La fermeture pourrait être décalée en fonction des conditions métérologiques. Invitation - Rencontre d'information Vous souhaitez en savoir plus sur les travaux à venir? Venez nous rencontrer en personne! Notre équipe et les experts du projet seront présents au Centre socioculturel Alphonse Lepage, au 7905 avenue San Francisco à Brossard, le mardi 29 octobre prochain. Voici l’horaire de la rencontre : 18h à 19h : portes ouvertes, avec notre équipe sur place 19h à 20h : présentation sur le projet et période de questions http://elink.clickdimensions.com/m/1/89192639/02-b19270-01f2f5a2e5494f5cbf926575dfaf7353/2/88/80342906-e4f7-4a21-8289-5a0e20325a31
  10. Après avoir fait le marquage de la chaussée, on installait les lampadaires ce matin. J'espère sincèrement que l'on va prévoir de quoi au niveau du muret central. Pas trop certain de vouloir assister à un vol plané. 27-09-2019 (10h09) :
  11. Belle initiative d'organiser une rencontre avec près de 250 employeurs afin de les sensibiliser aux impacts de la construction du REM sur leurs employés, qui sont usagers de la ligne Deux-Montagnes (et celle de Mascouche). Bureau du REM à Deux-Montagnes: rencontre sous surveillance policière Guillaume Pelletier | 24 Heures | Publié le 26 septembre 2019 à 22:06 - Mis à jour à 22:17 C'est sous surveillance policière que s'est déroulée jeudi soir à Deux-Montagnes, dans les Laurentides, une rencontre d'information organisée par le bureau du Réseau express métropolitain (REM). Plus de 250 personnes se sont entassées dans les locaux de la Légion royale canadienne, et bon nombre d'entre elles se sont présentées au micro lors de la période de questions afin d'avoir des explications sur les mesures d'atténuation qui seront mises en place lors de l'interruption de service sur cette ligne de train de banlieue en janvier prochain. Les citoyens étaient tellement nombreux que certains ont dû rester debout au fond de la salle. Les dirigeants du REM ont dû ramener à l'ordre certains citoyens émotifs lors de la période de questions, et des policiers étaient sur place. Il faut dire que la grogne monte au sein de la population, dont une bonne partie verra dans quelques mois son temps de transport doubler pour aller et revenir du travail chaque jour. Mercredi soir, une autre assemblée avait eu lieu à Deux-Montagnes, celle-là pour demander au gouvernement un moratoire sur cette branche du REM. Voies réservées Les mesures d'atténuation ont évidemment occupé une bonne partie de la présentation de l'équipe du REM jeudi. Dès janvier 2020, le service de train s'arrêtera à la gare Bois-Franc, où une navette d'autobus emmènera les passagers sur la branche ouest de la ligne orange du métro. Éventuellement, le service sera interrompu sur l'entièreté de la ligne, et il faudra donc que les gens se rabattent sur les autobus. La porte-parole du ministère des Transports du Québec, Sarah Bensadoun, a mentionné jeudi que des voies réservées seront ajoutées à l'été 2021 sur les autoroutes 640 et 13 et sur l'avenue des Bois à Laval. Pour un grand nombre de citoyens, ces mesures ne sont pas suffisantes et bouleverseront leur vie. Employeurs Certains usagers disaient aussi douter que les employeurs aient été pleinement conscientisés relativement aux impacts liés à la fermeture des lignes de train de banlieue sur la productivité de leurs employés. Du côté du REM, on mentionne qu'un événement regroupant près de 250 employeurs se tiendra le 7 octobre prochain, en partenariat avec la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et le gouvernement du Québec. L'interruption de service sur la ligne Deux-Montagnes touchera 15 000 utilisateurs jusqu'à l'ouverture des stations du REM sur la Rive-Nord, prévue en 2023 https://www.tvanouvelles.ca/2019/09/26/bureau-du-rem-a-deux-montagnes-rencontre-sous-surveillance-policiere-1 GUILLAUME PELLETIER/24 HEURES/AGENCE QMI
  12. Bizarrement, l'installation de la passerelle du côté du Dix30 (menant à l'arrière du Cineplex) n'avait pris qu'une nuit (du 14 au 15 juin dernier). Bien que celle menant au Solar soit plus longue et en partie déjà installée, je comprends difficilement la raison pour laquelle cela devrait prendre 5 nuits. REM: l’installation d’une passerelle piétonne entraînera la fermeture de l’autoroute 10 (Photo : Gracieuseté) Le 26 septembre 2019 à 16 h 44 min Afin d’ériger la passerelle piétonne de la station du Quartier du Réseau express métropolitain (REM) qui mènera au complexe Solar Uniquartier, une fermeture complète d’une portion de l’autoroute 10 ouest et de la voie de service sera nécessaire, entre la sortie 11 (autoroute 30) et le boulevard Milan, dès le 30 septembre. Cette fermeture sera en vigueur pour environ cinq nuits, de 21h30 à 5h. La circulation sera complètement fermée sur l’autoroute 10 ouest ainsi que sur la voie de service, entre la sortie 11 (autoroute 30) et le boulevard Milan. Lors de cette période, il est recommandé d’opter pour des chemins alternatifs dans la mesure du possible. La signalisation adéquate sera installée et un chemin de détour sera proposé, soit via la route 116 (boul. Sir-Wilfrid-Laurier) pour rejoindre la route 134 (boul. Taschereau) puis l’autoroute 10 ouest; soit via la route 104 (chemin de Saint-Jean) pour rejoindre la route 134 (boul. Taschereau) puis l’autoroute 10 ouest. En fonction des conditions météorologiques, la fermeture pourrait être décalée au cours des jours suivants. (Source: REM) https://www.lecourrierdusud.ca/rem-linstallation-dune-passerelle-pietonne-entrainera-la-fermeture-de-lautoroute-10/
  13. L’ONF arrive au centre-ville PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | L’Office national du film aura désormais son siège dans l’édifice de l’Îlot Balmoral (à gauche), qui appartient à la Société d’habitation et de développement de Montréal. Les nouveaux locaux occupés par l’ONF ont une superficie de 9800 m2, alors que l’ancien édifice sur Côte-de-Liesse comptait 13 979 m2. Publié le 26 septembre 2019 à 6h25 | ANDRÉ DUCHESNE | LA PRESSE Après 63 ans de résidence sur le chemin de la Côte-de-Liesse, l’Office national du film (ONF) a amorcé son déménagement dans ses locaux tout neufs de l’Îlot Balmoral, voisin de la place des Festivals, en plein centre-ville de Montréal. Depuis le début de la semaine dernière, les quelque 400 employés de l’institution ont progressivement déménagé dans l’un ou l’autre des six étages qu’occupe l’ONF. La Presse a fait une visite exclusive des lieux. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Mélanie Lasnier, productrice déléguée dans le secteur documentaire. Chaque année, l’ONF produit quelque 80 œuvres dans quatre grands secteurs : animation, documentaire, interactif et institutionnel. Les bureaux de l’ONF accueillent à la fois des créateurs, des artisans et le personnel affecté à la production et à l’administration, dont Mélanie Lasnier, productrice déléguée dans le secteur documentaire. Pour les employés vivant dans différents quartiers de l’île de Montréal, le déménagement au centre-ville facilite les déplacements. C’est moins évident pour ceux vivant dans la couronne nord. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Claude Joli-Coeur, commissaire à la cinématographie et président de l’ONF. « Ce déménagement est extraordinaire. Il donne de l’énergie à tout le monde. Les employés ont le sourire au visage », affirme Claude Joli-Coeur, commissaire à la cinématographie et président de l’ONF. On le voit ici dans son nouveau bureau, qui occupe le coin nord-est de la tour nord et donne sur le Musée d’art contemporain et la Place des Arts. Seuls cinq hauts dirigeants de l’organisme possèdent un bureau fermé. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE L’édifice de l’Îlot Balmoral est constitué de deux tours reliées par un atrium au rez-de-chaussée et des passerelles vitrées aux étages. Au niveau du basilaire se trouve une « ligne de désir », tracé piétonnier permettant aux usagers sortant de l’édicule du métro sis à l’intersection de la rue De Bleury et du boulevard De Maisonneuve Ouest de traverser le secteur en diagonale pour se retrouver dans la rue Balmoral et sur la place des Festivals. Comme ils le faisaient avant la construction de l’édifice. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Table de travail pour les cinéastes en animation. Ici et là, au milieu du mobilier neuf, on retrouve quelques bureaux et tables de travail arrivés directement de l’ancien édifice du chemin de la Côte-de-Liesse. Comme cette table de travail pour les cinéastes en animation, dont les tablettes horizontales permettent aux artistes de faire sécher leurs dessins. Ces meubles, toujours utiles, font un pont avec le passé et mettent une touche de variété dans les locaux. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Ghislaine Cardinal, aide de la cinéaste d’origine abénaquise Alanis Obomsawin. Comme sur le chemin de la Côte-de-Liesse, la cinéaste d’origine abénaquise Alanis Obomsawin aura son propre bureau. La femme de 87 ans, arrivée à l’ONF en 1967, est la seule documentariste salariée de l’institution. Sur la photo, on aperçoit son aide Ghislaine Cardinal s’affairant à installer tout le matériel et les archives de la cinéaste dans son nouveau bureau. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Un des studios servant aux différents tournages avec son écran vert. On voit ici un des studios servant aux différents tournages avec son écran vert. Il est moins profond mais plus large que celui du chemin de la Côte-de-Liesse. Principalement destinés aux projets d’animation, les studios peuvent aussi être utilisés pour le tournage de documentaires ou pour des projets interactifs. Au moment de notre passage, on sentait encore l’odeur de la peinture fraîche à l’intérieur. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Panneaux insonorisants sur les murs hauts de quelque 5 mètres. Le studio consacré aux bruitages (eau, voix, pas, musique, etc.) était encore en construction au moment de notre passage. On remarque ici les panneaux insonorisants sur les murs hauts de quelque 5 mètres. Une console est installée derrière une grande fenêtre horizontale. Ici, on installera aussi un piano à queue pour les enregistrements. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Une des deux salles de l’ONF qui seront aménagées dans l’édifice. Voici l’une des deux salles de l’ONF qui seront aménagées dans l’édifice. La première, non accessible au public, servira aux projections à l’interne et au mixage sonore, travail qui vise à créer un son optimal pour les spectateurs en salle. La seconde, à la mezzanine 1, sera dotée de 135 places et ouverte au public. L’ONF prévoit y tenir divers événements, notamment des rétrospectives. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | À la mezzanine, le foyer donnera sur un grand escalier qui descendra vers la place publique de l’ONF au rez-de-chaussée. Toujours à la mezzanine, le foyer donnera sur un grand escalier qui descendra vers la place publique de l’ONF au rez-de-chaussée. Pour l’instant, un mur temporaire (au fond, sur la photo) est érigé par mesure de sécurité. Une bibliothèque est aussi aménagée sur cet étage. L’ONF a consacré 16,4 millions de dollars à la construction et à l’aménagement des locaux. Selon l’institution, une telle rénovation aurait nécessité un investissement de 40 millions de dollars dans les anciens locaux du chemin de la Côte-de-Liesse. À la somme de 16,4 millions de dollars, il faut ajouter les coûts (non divulgués) de location selon un bail de 20 ans à la charge de Services publics et Approvisionnement Canada. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE | Cuisinettes, chacune dotée d’un design différent, ont été installées aux étages. De très modestes cuisinettes, chacune dotée d’un design différent, ont été installées aux étages. Mais on incite les employés à se réunir, à l’heure du lunch, dans cette aire de repas et de repos où se trouvent les réfrigérateurs, machines à café, distributrices et micro-ondes. Les derniers employés à déménager dans les nouveaux locaux le feront fin octobre, début novembre. Le contenu des chambres fortes sera quant à lui déménagé en novembre dans un nouvel édifice de l’arrondissement de Saint-Laurent. https://www.lapresse.ca/cinema/201909/25/01-5242818-lonf-arrive-au-centre-ville.php
  14. Et voici, l'illumination du pont en différé(s), via la EarthCam au Pylône principal provenant du site du consortium Signature sur le Saint-Laurent. À 6h00 AM, le 26-09-2019: À 7h00 AM, le 26-09-2019:
  15. "Jamais 2 sans 3",comme on dit. Un autre article de The Gazette (ci-dessous) mettant en doute la construction de la station A40 du REM. On n'invitera probablement pas cette journaliste à l'inauguration de la station. Deux choses me dérangent par rapport aux experts interviewés dans cet article: Bien que je sois d'accord avec lui concernant le prolongement de 700 mètres du REM de YUL jusqu'à Dorval et l'évaluation d'une possible correspondance entre exo-St-Jérôme et le REM à Canora (si, et seulement si, un jour le CP l'accepte !), je ne comprends pas ce qui titille tant M. Avrom Shtern avec le projet. Il prétend que le REM favorisera des TAD (Transit Adjacent Development), au lieu des TOD (Transit Oriented Development). Pourtant, le REM veut au contraire réutiliser des stationnements déjà existants (ceux des incitatifs d'exo ou des centres d'achat autour des futures stations) et favoriser grandement le rabattement des autobus locaux vers les stations, en plus de créer 2 nouvelles correspondances avec le métro. Des projets de TOD sont déjà en marche à la station Du Quartier et on pourrait également inclure ceux aux stations Île-des-Soeurs et Bois-Franc. Et quoi penser des futurs projets de TOD à Panama et à Pointe-Claire ? Quant à l'immense stationnement de la station terminale Rive-Sud, il remplace en grande partie celui de Chevrier qui fermera à l'ouverture du REM... et pourrait "peut-être" un jour (selon la fiducie agricole en vigueur) être converti en stationnement intérieur d'un potentiel projet de TOD (ce qui rapporterait gros à la CDPQ en taxes fonciaires). M. Pierre Barrieau mentionne que plusieurs usagers d'exo-Mascouche vont abandonner le train au lieu de faire un transfert à la station A40 du REM. Ces personnes iront, selon lui, s'abattre sur la ligne verte. Cela signifierait que ces usagers préféreront rouler dans le traffic possiblement jusqu'à la station Radisson, chercher une place de stationnement, marcher de longues minutes afin d'accéder au métro (bonjour rupture de charge !), voyager 14 stations sur la ligne verte avant d'arriver à McGill (ou voyager 11 stations jusqu'à Berri-UQAM, transférer sur la ligne orange - rupture de charge #2 - et en voyager 4 autres jusqu'à Bonaventure). Je doute que ces usagers sauveront du temps et économiseront beaucoup de pas, au lieu de faire un simple transfert,... comme en sont habitués de nombreux usagers du métro et des autobus de la STM/RTL/STL à chaque jour. D'ailleurs, c'est ce même M. Barrieau qui parlait pourtant en bien du projet du REM avec M. Jean-Marc Arbaud, directeur général de CDPQinfra lors de l'"Épisode 3: La genèse" en juillet dernier... ------------------------------ REM will kill Mascouche commuter train, critics predict "Without a direct connection to downtown, a lot of people are probably going to end up taking their car." LINDA GYULAI, MONTREAL GAZETTE | Updated: September 26, 2019 Detractors of the Réseau express métropolitain predict it will be the death knell of the Mascouche commuter rail line. That’s because the new automated light métro network, known as the REM, will cut off the Mascouche commuter train’s direct route to downtown Central Station. Decades of transit planning have shown that adding one transfer to a direct transit route results in about a 10-per-cent loss of ridership, said Pierre Barrieau, a transportation consultant and lecturer with Université de Montréal’s urban planning school. The Mascouche line, which is run by the regional public transit authority Exo, was introduced in 2014 to provide direct service between the North Shore municipality and downtown Central Station, with stops in between in the east end of Montreal Island. The rail line cost taxpayers about $700 million. “The problem with the Mascouche line no longer going downtown is you just got rid of one of its major selling points,” Barrieau said, noting that a 10-per-cent loss may be an underestimate here. The REM, which is to open gradually starting in 2022, will prevent conventional trains from using the tracks through Mount Royal tunnel to Central Station. “For me, the scandal is the Mascouche line,” Barrieau said. “It was insufficiently taken into consideration. They should have thought more about how they can integrate it.” The high frequency of REM trains, which are to run every two-and-a-half minutes at peak times, will eat up the tunnel’s capacity. Moreover, the train stations of the Deux-Montagnes line will be adapted for the REM’s cars. The platforms will be incompatible with the height and length of conventional train cars. As well, the acceleration and deceleration times of a light métro and a commuter train are different, which makes it complicated to co-ordinate them on a shared track. There are also safety arguments against a driverless light métro and a piloted commuter train sharing a track. The Caisse de dépôt et placement du Québec, which is building the REM through a subsidiary, CDPQ Infra Inc., plans to add a station in an industrial enclave in St-Laurent borough where passengers will transfer between the Mascouche train and REM line. The future Station A40 is also mentioned as a transfer point if ever Via Rail builds a higher-speed, high-frequency passenger train route that is under study between Montreal and Quebec City. Sketch of the REM’s A40 intermodal station, where passengers on the Mascouche train will be forced to transfer to continue downtown. HANDOUT Quebec’s Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), which held public hearings on the Caisse’s project in 2016, found the REM will lengthen the commute for Mascouche train passengers because of the transfer. Barrieau and other transit experts predict commuters will turn away from the Mascouche line — and therefore the REM — to easy alternative modes of transport, notably the car and express buses. If they have to transfer anyway, Barrieau said he expects some rush-hour commuters from the North Shore will opt to ride one of Exo’s regional express buses to a Montreal métro station to get downtown. Other commuters will drive their car to a métro station, he said. “Without a direct connection to downtown, a lot of people are probably going to end up taking their car and wind up driving to a station on the Green line, like Radisson,” which has a parking lot, Barrieau said. “They’ll lose the incentive.” The Mascouche line’s owner says it has no study on the REM’s potential impact on train ridership, saying it’s difficult to predict how the arrival of the metropolitan-wide REM will change commuter habits. The 10-per-cent loss of ridership is the generally held estimate when a transfer is added to a direct route, Exo spokesperson Catherine Maurice agreed in an email response, but added it depends in part on the efficiency of the transfer and the wait time. As well, where the critics see the loss of the direct route to downtown as a door closing on the Mascouche train, Exo sees new opportunities with the arrival of the REM, which will introduce rapid transit branches to Trudeau airport, universities and major hospitals. The REM “will add more destination options in the greater metropolitan region, increasing the over-all offer, which generally results in a new clientele adopting public transit including, for example, the Mascouche line to access the REM,” Maurice wrote. “We at Exo are convinced that the Mascouche line, in this context, will retain its relevance.” Maurice added that already 10 to 15 per cent of the Mascouche train’s passengers get off at the line’s Sauvé station to switch to the métro. “That shows that several final destinations other than downtown exist for the Mascouche line’s clientele,” she wrote. Meanwhile, the Caisse calls the Mount Royal tunnel “the backbone of a vast 67-kilometre transportation network” — the REM — that will modernize the rail network and accelerate travel. “The modernization of the tunnel will allow the REM to spread across the greater metropolitan region while also serving the heart of the metropolis,” CDPQ Infra spokesperson Jean-Vincent Lacroix said. However, in its report released in January 2017, the BAPE said it can’t endorse the REM because the Caisse didn’t provide complete documentation and “several essential elements of the project were not subject to public debate.” Among other issues raised in its report, the BAPE found that the REM would contribute little to getting motorists to leave their cars for public transit. It also raised concern about the impact of the REM on other transportation systems. For the Mascouche train, specifically, the BAPE found the REM would lengthen the commute for the train line’s passengers. CDPQ Infra retorted in a news release at the time that the BAPE’s report contains “several omissions and errors concerning the REM — a major project for Greater Montreal — and distorts the reality of CDPQ Infra’s innovative model.” “The report includes erroneous claims about the current state of public transit in the metropolitan region,” CDPQ Infra’s 2017 press release said, “and gives an incomplete and distorted view of the improvements the REM will provide to commuters.” Then-Premier Philippe Couillard suggested the BAPE overstepped its mandate as an environmental-assessment review panel, a charge the BAPE rejected in a news release to rebut the Caisse and the premier. Jean-François Turcotte, who presented a brief criticizing the REM plan at the BAPE hearings, said the $700 million spent to build the Mascouche train line will be wasted. The other waste is the loss of the Deux-Montagnes rail line, he said. “It’s the only commuter train line that worked well,” Turcotte said. “It’s a catastrophe.” By his reckoning, the provincial government allowed the Caisse to appropriate a successful rail line to gain its passengers. “When they (the Caisse) announced they’re going to use Deux-Montagnes, it was a surprise,” Turcotte said. “No one was asking for it. Passengers were asking for service improvement on the Deux-Montagnes line and that its capacity be increased, not that we remove (it).” The REM doesn’t encourage Transit Oriented Development (TOD), said Avrom Shtern, a transportation adviser to the Green Coalition. If anything, the REM will encourage Transit Adjacent Development (TAD), where most people will still use their cars, he said. “It discourages inter-modality with other existing transport systems like the Exo lines,” Shtern said. “In fact, the REM is being used as a tool to destroy those lines,” he said of the Mascouche and Deux-Montagnes lines. Shtern also noted the Caisse never planned for a 700-metre link from its REM stop at Trudeau Airport to the nearby railway tracks that are used by the Vaudreuil-Hudson commuter train line and Via Rail’s trains — a link that the federal government is now studying after the fact in the wake of local pressure, notably from Dorval Mayor Edgar Rouleau. Another obvious place for an intermodal transfer, Shtern said, would be at the Canora REM station, at Jean-Talon St. W. and Canora Rd. The station is across the street from the Canadian Pacific tracks used by Exo’s St-Jérôme commuter train. “Given that the A40 station is very close to Montpellier and Mount Royal stations, it begs the question why place a station there and not elsewhere where there is a potential for intermodal transfers,” Shtern said. However, CDPQ Infra’s Lacroix countered that the REM will be connected to three métro lines — the Blue line, at the Édouard-Montpetit REM station, the Green line, at McGill REM station, and the Orange line, via Central Station. The REM will also connect to the Mont-St-Hilaire commuter train at Central Station. CDPQ Infra has had many meetings with local transit authorities to create transit connections, including to buses, Lacroix said. No transfer is currently planned with the St-Jérôme train line, he said, because Exo has no train stop at Jean-Talon and Canora. But if the Caisse had chosen a different technology than the light métro, it might have allowed for commuter trains to be interspersed between REM trains, Turcotte said. The Caisse could have chosen high-capacity electric commuter trains instead of the light métro cars, he said. Mixed networks exist in other cities. “It’s outrageous,” Turcotte said. “It’s our Big O. It’s anti-planning.” https://montrealgazette.com/news/local-news/rem-will-kill-mascouche-train-critics-say
  16. J'aimerais beaucoup que l'antenne Deux-Montagnes (et celles de l'Ouest-de-l'Île et de l'Aéroport) du REM puissent ouvrir avant 2023, mais je ne crois pas que ce sera le cas (à moins que CDPQi nous réserve une belle surprise). Bien que l'équipe de NouvLR maximise présentement les travaux sur l'antenne de l'Ouest-de-l'Île et termine les préparatifs au Technoparc afin de débuter prochainement le forage du tunnel sous les piste de l'aéroport, j'ai de la misère à imaginer comment pouvait-on débuter les travaux sur le "tronc commun/central" du REM et l'antenne de Deux-Montagnes... sans en arrêter le service. Pour moi, c'est une question de sécurité autant pour les ouvriers, que pour les usagers. Résumons l'étendue des travaux à venir sur la ligne Deux-Montagnes : Tronçon #1 (Gare Centrale > Du Ruisseau): Fermeture à partir de janvier 2020, afin d'effectuer (entre autres*) les travaux suivants: Modernisation du tunnel du Mont-Royal (ce lien a plus de 100 ans (!) et nécessite bien une cure de rajeunissement). - Travaux au niveau de la ventilation et l'étanchéité des parois / Amélioration de la sécurité des installations afin de respecter les normes actuelles; Construction de 2 stations souterraines (McGill & Édouard-Montpetit), correspondantes au métro; Construction de 5 stations au sol (Canora, Mont-Royal, A40 (correspondante à exo-Mascouche), Montpellier, Du Ruisseau); Ces travaux s'effectueront parallèlement à ceux de réfection des Pont Cornwall et Jean-Talon et de l'aménagement de la nouvelle place centrale à Ville Mont-Royal. Ouverture prévue en 2022. Tronçon #2 (Bois-Franc > Deux-Montagnes): Fermeture à partir de mi-2021, afin d'effectuer (entre autres*) les travaux suivants: Construction de 4 stations au sol (Bois-Franc, Île-Bigras (!?), Sainte-Dorothée, Grand-Moulin); Construction de 3 stations aériennes (Sunnybrooke, Roxboro-Pierrefonds, Deux-Montagnes); Création de la Jonction de l'Ouest (à l'ouest de l'autoroute 13); Suppression d'une quinzaine de passages à niveau actuellement présents sur le long de la ligne Deux-Montagnes, en les remplaçant majoritairement par des viaducs; Construction de 2 nouveaux ponts ferroviaires (voie simple) et réfection des ponts ferroviaires existants franchissant les Rivières des Prairies et des Mille-Îles; Ouverture du Centre d'entretien St-Eustache. Ouverture prévue en 2023. * Il se peut fort bien que j'ai oublié de mentionner d'autres travaux importants sur ces tronçons. Cette liste peut être incomplète; je m'en excuse. Lorsque je regarde la station Du Quartier en train de se construire au milieu de l'autoroute 10, je ne peux que rêver que les 25 autres me feront un effet "WOW" tout autant. J'entends les frustrations et exaspérations de certains usagers des lignes Deux-Montagne et Mascouche et je peux comprendre qu'ils anticipent le pire. Les prochaines années ne seront certainement pas faciles pour ces milliers d'utilisateurs du train de banlieue. C'est une situation malheureuse, mais ceci est fait pour le "bien commun"... et cela rapportera potentiellement à tous les Québécois via la CDPQ, à terme. Je sais que c'est désagréable à entendre, mais c'est un mal, pour un bien. Tout comme l'ont été la reconstruction de l'échangeur Turcot et la construction du Pont Samuel-de Champlain (pour les milliers de résidents des quartiers environnants et les dizaines de milliers d'automobilistes) et tous les nombreux chantiers routiers qui pullulent partout sur l'île. Et c'est sans penser à ceux à venir: la réfection du Pont-Tunnel Louis-H.-Lafontaine, la déconstruction du Pont Champlain (pour les résidents riverains de Brossard)... et peut-être un jour la Métropolitaine à reconstruire/revoir.
  17. La caméra Devisubox du REM au Canal Lachine nous a également permis d'apercevoir l'étendue de l'illumination.
  18. Et voici,... "La [Mauvaise] Nouvelle TVA" ! Selon ce qui est rapporté, il y avait une cinquantaine de personnes (usagers des lignes de Deux-Montagnes et de Mascouche) lors de cette rencontre. P.S. Je sais... Je sais... il ne faut pas tirer sur le messager. Un moratoire officiellement demandé sur le projet du REM STEVE MADDEN/AGENCE QMI Guillaume Pelletier | - Agence QMI | Publié le 25 septembre 2019 à 21:46 - Mis à jour à 21:50 Une cinquantaine d'usagers des trains de banlieue de Deux-Montagnes et de Mascouche, frustrés de perdre leur service pour les quatre prochaines années, se sont rassemblés mercredi pour exiger de la part du gouvernement Legault la tenue d'un moratoire sur le projet de Réseau express métropolitain (REM). Dès le 6 janvier, plus de 18 000 utilisateurs de ces lignes de train de banlieue devront trouver un autre mode de transport afin de se rendre au centre-ville de Montréal jusqu'à l'ouverture des stations du REM sur la Rive-Nord, prévue en 2023. Pour plusieurs, les mesures d'atténuation qui seront mises en place sont insuffisantes, puisqu'elles feront doubler le temps de transport de bon nombre d'entre eux. Le responsable du comité du «Rassemblement de la dernière chance», Robert Giguère, a fait mercredi soir la lecture du document demandant officiellement au gouvernement du Québec de décréter un moratoire sur la fermeture de la ligne Deux-Montagnes, au Club Héritage situé dans la ville du même nom. La missive sera acheminée par courriel jeudi à la ministre déléguée aux Transports et responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau. Le gouvernement semble toutefois déterminé à rester sur sa position. «La fermeture du tunnel Mont-Royal est inévitable si on veut pouvoir y faire les travaux nécessaires à la réalisation du projet qui, à terme, permettra d’en augmenter la capacité», a expliqué mercredi par courriel l'attachée de presse de la ministre Rouleau, Sarah Bigras, qui rappelle que la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) est maitre d'oeuvre du projet. Le maire amer Le maire de Deux-Montagnes indique pour sa part avoir «beaucoup d'amertume» envers les dirigeants de la Caisse. En 2016, la Caisse lui aurait assuré que la fermeture de la ligne de train Deux-Montagnes allait durer seulement entre 9 et 12 mois. Il croit toutefois qu'un moratoire sur le REM ne ferait que prolonger les problématiques vécues par les citoyens. «On ne doit pas commencer à rentrer dans une guerre de retard de projet et de coût additionnel», a-t-il mentionné mercredi lors d'une entrevue téléphonique. En raison d'autres engagements, M. Martin et la ministre Rouleau n'ont pu être présents à la soirée de mercredi. Rappelons qu'à partir du 6 janvier, le train de la ligne Deux-Montagnes finira son parcours à la gare Bois-Francs. De là, les passagers embarqueront dans une navette d'autobus qui les mènera à la branche ouest de la ligne orange du métro. https://www.tvanouvelles.ca/2019/09/25/un-moratoire-officiellement-demande-sur-le-projet-du-rem
  19. Marche pour le climat du 27 septembre - les transports collectifs gratuits dans la région métropolitaine de montréal MONTRÉAL, le 25 sept. 2019 /CNW Telbec/ - L'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et les élus de la Communauté métropolitaine de Montréal membres de son conseil d'administration, soit la mairesse de Montréal Valérie Plante, la mairesse de Longueuil Sylvie Parent, la mairesse de Repentigny et représentante de la couronne nord Chantal Deschamps, ainsi que le maire de Laval Marc Demers et le représentant de la couronne sud et maire de Varennes Martin Damphousse, sont heureux d'annoncer que les services de transport collectif de l'ensemble du territoire de la région métropolitaine de Montréal seront offerts gratuitement dans le cadre de la marche pour le climat. La manifestation aura lieu le vendredi 27 septembre à Montréal et plusieurs dizaines de milliers de personnes y sont attendues. Comme les déplacements pourraient être plus difficiles vers le centre-ville et que la manifestation entraînera des fermetures de rues et des modifications aux tracés des services d'autobus, les usagers du transport collectif sont invités à bien planifier leurs déplacements ce vendredi et à consulter les informations pertinentes sur le site des organismes publics de transport en commun : STM : stm.info/marche-climat Exo : exo.quebec RTL : rtl-longueuil.qc.ca STL : stl.laval.qc.ca L'Autorité régionale de transport métropolitain planifie, organise, finance et fait la promotion du transport collectif dans la région métropolitaine de Montréal. L'Autorité a notamment le mandat d'élaborer, sur son territoire qui comprend 83 municipalités, le Plan stratégique de développement du transport collectif et un cadre tarifaire intégré, ainsi que de financer les services de transport collectif et le transport adapté. SOURCE Autorité régionale de transport métropolitain https://www.lelezard.com/communique-18945529.html
  20. Du nouvel équipement est arrivé au Technoparc... Est-ce que c'est relié au tunnelier ? Je présume que c'est le cas.
  21. Merci à @WestAust pour le scoop ce matin... et à @zombywoof pour les photos à partir du Solar. 25-09-2019
  22. Projet de relier la Station A40 du REM jusqu'au Métro Du Collège par une navette autonome
  23. Bon ! Enfin ! Voici "La Bonne Nouvelle TVA"... pour la Station A40 ! L’arrondissement de Saint-Laurent étudiera la navette autonome MARIO BEAUREGARD/AGENCE QMI Guillaume Pelletier | Agence QMI | | Publié le 24 septembre 2019 à 23:59 - Mis à jour le 24 septembre 2019 à 23:59 Un service de navette autonome pourrait voir le jour au cours des prochaines années dans l'arrondissement de Saint-Laurent à Montréal. Il relierait le secteur de la Place Benoît, le métro Du Collège et la future station de correspondance A40 du Réseau express métropolitain (REM). Ce projet de navette autonome sans conducteur est l'un des scénarios qui devront être étudiés au cours de la réalisation d'une étude sur la mobilité durable dans le secteur, selon le devis d'un appel d'offres émis par l'arrondissement de Saint-Laurent. L'arrivée du REM, les nombreux projets immobiliers et la possible implantation du centre Royalmount près des autoroutes 15 et 40 changeront les habitudes de déplacement dans le secteur. C'est dans cette optique que l'arrondissement de Saint-Laurent veut faire réaliser une étude de mobilité durable. «Il reviendra à la firme choisie [pour l'étude] de proposer des solutions concrètes en tenant compte de la vision et des objectifs de l’arrondissement en matière d’aménagement du territoire», a souligné le chargé de communication de l'arrondissement de Saint-Laurent, Marc-Olivier Fritsch. Les prolongements du boulevard Cavendish et de la ligne orange du métro jusqu'à la gare Bois-Franc sont également des scénarios à évaluer pour répondre aux besoins en mobilité pour la période 2023-2035, toujours selon le devis. Des projets pilotes de navettes autonomes se sont déroulés au cours des derniers mois au Parc olympique ainsi qu'à Candiac, en Montérégie. https://www.tvanouvelles.ca/2019/09/24/larrondissement-de-saint-laurent-etudiera-la-navette-autonome
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