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roger

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Tout ce qui a été posté par roger

  1. Merci tout le monde Si un master of puppets peut déplacer dans un autre fil se serait apprécié. Je trouve un peu fou de répéter l'info pour les 5 projets. Je vais essayer de faire une carte du centre-ville (juste des blocs carrés ou rectangulaires) pour pouvoir visualser les projets, ça ferait un beau plus pour mtlurb je crois bien. J'ai le temps, mais je promet pas de dates.
  2. Ok, les bâtiments en dehors du "sol" sont de bonne hauteur mais le gabarit est à l'oeil. Sauf pour l'Icone où je suis allé avec l'animation pour la hauteur que le promoteur a donné.
  3. http://skyscraperpage.com/diagrams/?searchID=60165806
  4. La tour des canadien est aux couleurs du promoteur... Toronto. Désolé. Les mesures de hauteur sont celles inscrites sur Mtlurb. Sinon tout est à l'échelle.
  5. Je ne crois pas que l'on peut répondre à cette question avec une solution parfaite, standard et applicable partout. Il y a aussi l'aspect historique. Il y a une différence entre un quartier construit au fil des ans avec une population qui forme une certaine communauté et des quartier neuf construits en l'espace de quelques années. Les shops Angus par exemples est un quartier qui répond parfaitement à ta description mais ou la vie dans la rue et les parcs et un peu discutable. Il existe partout dans le monde des examples de quartiers LEED, à l'urbanisation très pensé. Des quartiers que l'on nous donne en exemple comme étant ce vers quoi nous devons tendre. Mais il reste que j'en ai visités qlq uns et j'en trouve certains très froids. Le cadre bâti à son importance mais ... De mon côté je suis plus du genre construction par "strates" beaucoup plus long mais payant du côté structurant à moyen et long terme. Je préfère une petite ou moyenne place publique qui fonctionne bien au lieux d'une très grande où il n'y a personne.
  6. J'ai habité à Vancouver downtown et les seules rues où l'on trouve des gens sont les 3 rues commerciales et plus base en étage. Que Montréal concentre ces tours sur certaines rue et place est une très bonne chose. Le centre-ville est moins dense mais beaucoup plus vivable
  7. Le problème est très simple, Côte Saint-Luc ne veut pas du transit que cela va produire.
  8. il faudrait aussi donner un petit coup de pied dans le cul à Roger (la cie pas moi!) pour qu'il bouge un peu
  9. Tu as raison mais côté transport par contre... Mais le square Vic est pas mal aussi, j'ai parlé trop vite
  10. Je pense que le bâtiment de CF est mieux situé, ils ne sont pas de calibre au sujet de l'emplacement
  11. Standard Life ? Ceux qui possèdent leur building veulent devenir locataire. Je sais pas Standard Life possède son bâtiment par contre.
  12. Tu as raison mont royal Se sont les headoffice qui cherchent à se positionner dans des bureaux de première qualilté. Il n'en reste pas beaucoup pour une tour de cette qualité. Mais je reste positif.
  13. Where did you see this ? Good news ! Downtown is moving south.
  14. Il y a surment qlq un qui travail à la Cité du commerce électronique qui va prendre une photo des 4 chantiers en même temps. J'espère qu'il y aura une personne derrière toi pour t'attraper lorsque tu tomberas
  15. Je pense aussi que ça avance bien compte tenu de l'état des lieux il y a quelques année en termes de contruction. À mon avis, ce qui pose problème est la quantité de terrains disponibles situés directements aux alentours de la Place des festivals. En effet, il y a une question de nuisance (bruits) pour ces terrains. Si on peut facilement implanter du commercial et de l'institutionnel sur ces terrains, on peut par contre difficilement y implanter du résidentiel. 10 soirs de festival ça va, mais 160 on peut comprendre que les gens travaillent le lendemain. Du côté de l'institutionnel, on a fait beaucoup d'effort avec les projets que vous mentionnez. Du côté du commercial (bureau), vous savez comme moi qu'il est très long à Montréal pour implanter 2 ou 3 millions de pieds carrés de bureau. Il y a aussi la question de limite. C'est-à-dire, que selon moi, se n'est pas très attirant pour les gens d'habiter/travailler aux limites d'un lieu. Le dévelloppement se fait bien à l'intérieur d'un endroit bien définit. Il n'y a pas de limite à certain endroits entre le quartier des spectacles et les autre lieux. Il n'y a pas de construction qui ferme le quartier. Certain ne seront pas d'accord avec mon annalogie mais ça fonctionne comme un centre d'achats. De chaque côté un grand magasin agglomérateur et au centre des boutiques qui profite du va-et-vient entre les deux. S'il manque un garnd magasin, la limite devient flou et se dilue tranquillement en qualité. Se n'est pas coulé dans le béton, se n'est qu'une théorie. La Place Alexis-Nihon à plutôt bien fait son travail de limite mais Place Dupuis à un peu échoué.
  16. ouep. Projet entaché d'irrégularité au sujet de l'achat du terrain avec la ville de Montréal pendant les années de l'ancienne administration.
  17. Le groupe Aquilini propriétaire de l'équipe de la LNH des Canucks de Vancouver possède aussi d'autres actifs immobiliers à Montréal, dont les hôtels Embassy Suites, Holiday Inn rue Sherbrooke et Candlewood.
  18. Rockhill (160M + 20M réno) / 1004 apt. = 180 000 la porte Ilot Voyageur 150M / 700 apt. = 215 000 la porte Je sais que le calcul est un peu plus compliqué mais vite de même je dirais qu'il va y avoir plusieurs condo et que les appartements vont être au prix du marché pour le secteur et non "abordable". Les prix ne seront pas "luxe" mais juste normal je dirais pour le secteur.
  19. Peut-être que je me trompe mais je ne pense pas que le SLR finirait ça course à la gare central. Me semble que la dernière annonce stipulait que le SLR passerait sur Wellington, donc pas sur les tracks de train. Se serait un tram-train. Genre tramway jsute au cv.
  20. roger

    Bell : actualités

    Cope was working for Telus before. Do he was living in Van ?
  21. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2013/06/27/004-moisissures-condominium-sante.shtml Un condominium rendu inhabitable par des moisissures Le rêve de Nathalie Parent d'être propriétaire s'est transformé en cauchemar. Son condominium hypothèque sa santé et celle de l'amie qui vit avec elle. Les moisissures rendent également sa copropriété inhabitable. Un reportage d'Anne-Louise Despatie Depuis trois mois, elle ne peut plus habiter dans l'appartement. « J'ai toujours eu une bonne santé, mais depuis deux ans, c'était des bronchites à répétition, des infections aux yeux, aux oreilles, à la gorge, de l'enflure et une immense fatigue ». Vivant tantôt chez sa sœur, tantôt chez des amis, elle doit continuer de payer l'hypothèque et les frais, mais n'a pas plus de chez-soi. L'ampleur du problème de moisissures dans son appartement s'est révélée l'an dernier lorsqu'elle a fait faire une analyse de qualité de l'air, demandée par un acheteur intéressé. « On a enfin compris pourquoi on avait été si malade tout l'hiver », dit-elle. Nathalie Parent a également fait faire une expertise par l'architecte Gilles Huot. Il est catégorique : « La brique est poreuse, les fondations sont en pierre et en briques. Ça n'a pas été réparé et ça n'a pas été imperméabilisé. Le plancher de l'appartement est plus bas que le terrain à l'extérieur. Alors quand il y a de l'eau qui coule sur le terrain, elle arrive à traverser puis s'infiltrer sous le plancher de bois. C'est ça le problème. » Cette copropriétaire paye une hypothèque et des frais pour un condo qu'elle ne peut habiter et qu'elle ne peut plus vendre. Crédit photo : Anne-Louise Despatie Impasse financière et juridique Nathalie Parent n'a pas beaucoup de recours. Elle a mis en demeure son syndicat de copropriété de faire les travaux d'urgence pour stopper les infiltrations d'eau dans son appartement, côté jardin. Le syndicat de copropriété, de son côté, poursuit ceux qui ont conçu et réalisé le projet de 182 unités dans l'ancienne biscuiterie Viau : le promoteur, l'architecte et l'entrepreneur. Ce dernier se défend en estimant avoir fait les travaux pour lesquels il a été mandaté au départ. Ni le syndicat de copropriété, ni la firme de gestion Ges-Mar n'ont voulu commenter. Comme les correctifs doivent être faits d'abord dans la cour avant qu'elle puisse faire décontaminer et réparer son condo, Mme Parent est dans un cul-de-sac financier et juridique. Elle ne peut mettre son appartement en vente dans cet état et ne peut l'occuper. Elle a peu de recours, puisque sa compagnie d'assurances ne couvre pas les moisissures. Des problèmes fréquents dans les condos L'histoire de Nathalie Parent n'est pas unique. Les professionnels du bâtiment voient de plus en plus de ces problèmes d'infiltration d'eau et de moisissures qui en découlent. L'architecte Gilles Huot et l'hygiéniste de l'environnement Yves Frenette constatent un laisser-aller dans la construction de certains projets de condominiums. Pour M. Frenette, chargé de cours en hygiène de l'environnement à l'Université de Montréal, les pratiques sur les chantiers sont inadéquates. Les matériaux poreux, comme le bois, sont parfois mal protégés de la pluie. « Il m'est arrivé de voir des condos neufs où l'on ferme le toit à la fin des travaux, ainsi tous les matériaux ont été exposés à la pluie. Le risque d'y voir ensuite des moisissures est grand », dit M. Frenette M. Huot constate que les poursuites sont nombreuses. Il montre aussi du doigt les projets des trois paliers de gouvernements. « C'est toujours le même problème avec les gouvernements : c'est toujours l'architecte le moins cher, l'ingénieur le moins cher, le concept le moins cher et le prix le moins cher. Alors quand on fait du nivellement par le bas, tout le temps, un moment donné, il y a des erreurs qui sont commises ou alors il y a des travaux qui auraient dû être faits qui ne le sont pas. » Quand les moisissures et vices cachés ne sont pas couverts par les assurances Pour les compagnies d'assurances, les moisissures qui découlent d'une humidité excessive et d'infiltration d'eau ne peuvent être considérées comme des dommages subis ou accidentels. Ces problèmes ne sont donc pas couverts. Les vices de construction et les mauvaises conceptions mènent souvent aux tribunaux. Nathalie Parent en est à regretter d'avoir fait appel au programme Accès-Condo par lequel elle a pu obtenir du financement. La Société d'habitation de Montréal (SHDM), qui n'est pas le maître d'œuvre du projet de la biscuiterie Viau, a facilité le financement pour les nouveaux propriétaires. « Quand j'ai acheté, c'était un projet de la SHDM, j'étais en confiance. Je me disais, les normes doivent être respectées », affirme Mme Parent. Dans ce projet, la SHDM était seulement là pour donner accès au financement, contrairement au projet de rénovation de Benny Farms, où elle a dû assumer les frais de plusieurs réparations urgentes. L'architecte Gilles Huot a produit une expertise dans certains condominiums du projet Benny Farms. « Il y a des moisissures. La SHDM a fait des travaux de drainage extérieur, mais puisqu'elle n'a pas assez d'argent pour défaire toutes les dalles de béton d'origine, c'est resté comme ça. Je suis retourné : ça coule encore », dit-il. La porte-parole de SHDM affirme avoir fait les travaux qui s'imposaient pour corriger la situation. Cette cause se retrouve également devant les tribunaux.
  22. roger

    Bell : actualités

    En plus la balance des chaînes vendu vont aller à corus (Toronto) Il reste juste Videotron, Cogeco, Telus, shaw et des petits joueur qui ne seront pas contrôlé de Toronto. Théoriquement, Bell est à Montréal mais je serait curieux de savoir si se sont des avocats, comptables ou fiscaliste de Montréal ou de Toronto qui remplissent les contrats externes. Entre Roger, Telus et Shaw, je préfère Bell. Ça aurait été pire si une des trois autre aurait fait le move.
  23. La ville a essayé de faire passer un SRB au cv mais ont échoué. Ils voulaient mettre un terminus dans Griffintown mais personne n'en voulait. Le terminum Bonnaventure ne peut pas acceuillir des autobus articulés et est déjà plein. Moi je pense que si tu think outside de box ça pourrait être possible. i.e. ils partent de la premisse qu'il faut un terminus mas si les bus s'arrêtent le long de René-Lesvesque avec les bus du SLR Pix-IX ça pourrait être possible. SLR et SRB, les deux on des qualités et des défauts. Je pense qu'il faut y aller selon nos besoin plus une projection de 10 ou 20 ans. Mais bon, je connais pas les vraies besoins de cette ligne.
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