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Furn25

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  1. Et le gens de droite se contentent de 10 cennes plutôt que d'avoir 1$.
  2. De 4, il y aura très peu de transformation qui va se faire au Québec. Ça demande pas beaucoup d'intelligence pour demander à des étrangers de venir exploiter nos ressources. De 5, les compagnies minières sont remplaçables, les ressources elles ne le sont pas. Si les compagnies décident de partir parcequ'elle nous trouve trop exigeant, c'est pas grave. Si la ressource a vraiment de la valeur, une autre compagnie viendra plus tard et acceptera nos conditions. Et avec le temps la ressource va prendre encore plus de valeur. Par contre une fois que la ressource a été exploité, elle est partie pour de bon et elle ne reviendra pas. Nous devons être exigeant avec nos ressources pour aller chercher le maximum de bénéfice.
  3. 2085-2075 rue Bishop Zut j'ai été pris de vitesse. Reste à savoir si ils vont détruire cette maison ou l'intégrer au musée.
  4. La modernisation du CHU Sainte-Justine sera assurée par SNC-Lavalin SNC-Lavalin assurera la construction d'ici 2018 du volet clés en main du projet Grandir en santé dans le cadre des travaux de modernisation du Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine. C'est ce qu'ont annoncé dimanche le ministre québécois de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, et le ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Pierre Arcand. D'une valeur de 446 millions de dollars, le contrat porte sur la conception, la construction et le financement intérimaire du bâtiment des unités spécialisées (BUS), du Centre de recherche, de stationnements souterrains et d'une centrale thermique du CHU Sainte-Justine. Le nouveau bâtiment des unités spécialisées sera construit à l'ouest du bâtiment existant. Il accueillera entre autres des unités de soins spécialisés en pédiatrie intégrée, pédiatrie spécialisée et chirurgie-trauma. On y trouvera aussi des unités de soins intensifs et intermédiaires en néonatalogie et en pédiatrie. Le nouveau Centre de recherche comprendra 82 modules, qui s'ajouteront aux 24 modules déjà existants. Il s'agit notamment de laboratoires reliés aux thématiques de travail du centre, des unités de recherche fondamentale et un laboratoire de confinement. On y trouvera des salles de conférence adaptées pour la visioconférence et la télésanté, des salles d'enseignement, des laboratoires de formation et de simulation ainsi que des salles d'apprentissage et d'évaluation par problème. Selon Geneviève Fortier, présidente du conseil d'administration du CHUSJ, les nouvelles composantes du projet de modernisation « s'intègrent parfaitement dans notre vision d'humanisation des soins, associée à un environnement thérapeutique innovant et permettant une collaboration accrue des équipes multidisciplinaires ». L'ajout de nouveaux bâtiments augmenterait la superficie du CHU Sainte-Justine de près de 65 %. Le projet de modernisation Grandir en santé prévoit aussi que les bâtiments existants seront rénovés, à la suite du projet clés en main, en 2016. Le gouvernement du Québec a déjà autorisé un budget de 995 millions de dollars pour l'ensemble du projet. La Fondation CHU Sainte-Justine s'est engagée à fournir 72 millions de dollars à ce budget, pour les éléments de construction neuve du projet Grandir en santé. SNC-Lavalin Construction inc. a été choisie parmi quatre soumissionnaires, qui s'étaient qualifiés à l'automne 2010. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/04/15/002-chu-ste-justine-snc-lavalin-grandir-sante.shtml
  5. Ce n'est qu'une esquisse proposée dans le cadre de l'appel d'offre. Mais je n'ai qu'un commentaire à faire: COOL! [video=youtube;f_D-Qr4lRvk] http://www.acdf.ca/site/fr/projet/4/125/
  6. L'UdeM franchit une nouvelle étape menant à la réalisation d'un pavillon de sciences sur le site Outremont L'Université de Montréal (UdeM) franchit une nouvelle étape menant à l'implantation d'un pavillon de sciences sur le site de l'ancienne gare de triage Outremont. En autorisant l'UdeM à élaborer, au cours des prochains mois, un dossier d'affaires initial, le gouvernement du Québec permet à l'Université de franchir une étape majeure dans la réalisation de son projet. Le pavillon de sciences de l'UdeM accueillera les quelque 1 500 étudiants et 100 professeurs de ses départements de chimie, de physique, de géographie et de sciences biologiques. Il sera complété par un pavillon abritant une bibliothèque, des salles de classes et des espaces de vie étudiante. Ces deux bâtiments constitueront le cœur d'un nouveau quartier universitaire et résidentiel et permettront à l'UdeM de poursuivre sa mission d'enseignement et de recherche dans un secteur où elle excelle. Le développement de l'ancienne gare de triage Outremont revêt un caractère historique : « À la fin des années 1920, la Ville de Montréal a fait don à l'Université de Montréal d'une ancienne carrière sur le flanc nord du mont Royal afin d'y construire son campus, explique le recteur Breton. Aujourd'hui, en réhabilitant un ancien site industriel, c'est l'Université de Montréal qui redonne un quartier à la Ville. » « Je me réjouis fortement de l'annonce d'aujourd'hui. Elle donne le coup d'envoi à l'aménagement d'un nouveau quartier au cœur de Montréal, qui, à terme, reflétera parfaitement bien, la personnalité de notre ville, une métropole de savoir et d'innovation où résidants, étudiants et travailleurs cohabiteront harmonieusement », a fait valoir le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. Des besoins reconnus Pour le recteur de l'Université de Montréal, Guy Breton, ce pavillon de sciences est plus nécessaire que jamais : « Nos étudiants et nos professeurs de sciences sont parmi les plus brillants au Canada, souligne le recteur Breton. Ils ne bénéficient toutefois pas des installations qui leur permettraient de déployer leur plein potentiel et il est urgent que nous y remédions. » Le manque d'espace de l'Université de Montréal est une réalité depuis de nombreuses années. Actuellement, l'Université doit louer plus de 50 000 mètres carrés d'espace dans divers édifices en raison d'un manque d'espace sur son campus. Par exemple, le département de géographie loge dans une ancienne école primaire louée depuis plus de trente ans à la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys. Les départements de chimie et de physique sont situés au pavillon Roger-Gaudry, un bâtiment conçu dans les années 1930 et maintenant mal adapté aux réalités scientifiques actuelles. Les départements de chimie, de physique, de géographie et de sciences biologiques constituent un pôle d'excellence de l'Université de Montréal. Leur regroupement au sein d'un pavillon moderne et doté des équipements les plus à jour, permettra de faire éclore de nouvelles collaborations dans des domaines de pointe, notamment en nanosciences, en développement durable, en astrophysique et en matériaux de pointe. Le pavillon de sciences et le pavillon d'enseignement et bibliothèque sont évalués à 350 millions de dollars, dont une part importante proviendra de la philanthropie. Une nouvelle étape L'établissement d'un pavillon des sciences sur le site Outremont a fait l'objet de plusieurs consultations auprès du public et à l'intérieur de la communauté universitaire. En 2007, le projet de l'Université a fait l'objet d'un examen approfondi de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) qui a recommandé certains ajustements tout en soulignant sa pertinence. Le plan d'aménagement du site a été adopté à l'unanimité par le conseil de ville de Montréal en 2011. Ce plan prévoit notamment, en plus des pavillons universitaires, la construction de 1 300 unités de logement, quatre nouveaux parcs et une grande esplanade bordée d'arbres. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/site-outremont/20120326-ludem-franchit-une-nouvelle-etape-menant-a-la-realisation-dun-pavillon-de-sciences-sur-le-site-outremont.html
  7. Selon un sondage Léger pour le jdm. http://www.journaldemontreal.com/merveilles Les gagnants sont: Le fleuve St-Laurent Le fjord du Saguenay Le Jardin botanique de Montréal Les plaines d'Abraham Le Chateau Frontenac Les chutes Montmorency Le rocher Percé J'aurais aimé qu'ils fassent un vote séparé pour les sites naturels et les constructions. Note: parmi les nominés il y avait... le Carrefour Laval.
  8. Extrait d'un article de Philipe Cantin dans La Presse du 19 mars L'effondrement d'une dalle de béton dans un stationnement, le 4 mars dernier, n'a pas diminué l'énergie de la nouvelle administration du Parc olympique. Les projets se multiplient. Parmi eux, proposer aux organisateurs d'événements deux nouvelles configurations pour le Stade. Mais pas question de camoufler par des rideaux les sièges du deuxième niveau, comme au BC Place de Vancouver. Le plan est plutôt de déployer une toile qui coupera l'enceinte en deux, dans le sens de la largeur. Selon le positionnement de la toile, des salles d'environ 10 000 et 35 000 sièges [voir l'illustration] seront ainsi créées, explique David Heurtel, PDG de la RIO. Le concept est original puisqu'il élimine l'impression de gigantisme créée par l'immense espace vide derrière l'ancien champ centre du terrain de baseball. Le coût de base de la toile est de 24 000$. Elle pourra aussi être dotée de propriétés acoustiques, qui amélioreront la sonorité. La toile servira aussi d'écran projecteur pour de l'animation ou de la publicité. Son installation pourrait donc générer des revenus. Dès 1995, la RIO avait jonglé avec l'idée de vendre le nom du Stade olympique à un commanditaire. Pierre Bibeau, alors président de l'organisme, avait étudié le projet. David Heurtel souhaite un jour concrétiser l'idée. «Nos sondages démontrent que les gens appuient l'initiative, pourvu qu'elle diminue la facture du contribuable et qu'une entreprise québécoise s'associe au projet.» À l'heure actuelle, la RIO reçoit une subvention de fonctionnement de 18 millions. Son budget d'exploitation est d'environ 40 millions. Déjà, M. Heurtel a conclu une entente avec la Financière Sun Life pour commanditer le nom de l'esplanade du Parc olympique. Les droits d'appellation de la Tour du Stade et du Centre sportif sont aussi disponibles. Quant au Stade, il faudra attendre de connaître la décision du gouvernement à propos du remplacement du toit avant d'aller plus loin. Ce dossier devrait aboutir ce printemps. Si le gouvernement n'opte pas pour un toit rétractable, la vocation sportive du Stade en subira les contrecoups.
  9. Et pourquoi pas faire comme pendant le festival Montréal en lumière, mais à l'année longue. Avec des sculptures, des tableaux, des photographies, des vidéos, des oeuvres sonores, éparpillés dans le Réso. Bref un véritable musée, gratuit, tentaculaire, à travers le centre-ville. D'ailleurs plusieurs musées montréalais comme le MACM ont plusieurs oeuvres d'art dans leurs entrepôt mais manque d'espace pour les exposer. Il faut seulement trouver un moyen de les protéger. Les oeuvres susceptibles d'êtres volées ou détruites peuvent être placé derrière une vitrine. On pourrait aussi faire contribuer les musées scientifiques (Centre des sciences, Biodome, Planetarium, Jardins botaniques, Insecatrium, Musée Redpath, Biosphère), historiques (Pointe-à-Callières, McCord) ou autres (SAT, Cinémathèque, Centre canadien d'architecture).
  10. Sauf que le fédéral ne veut pas payer un seul cent pour ce pont. Le pont va être payé par le péage. Donc c'est des Québecois, essentiellement les banlieusards qui l'utilisent à chaque jour qui vont le payer.
  11. En réponse aux commentaires de Jean-Claude Marsan. Quand il dit que Montréal est une des villes les plus pauvres de l'Amérique du Nord, je crois qu'il écoute un peu trop les commentateurs de droite qui veulent nous faire passer pour le tiers-monde. On est pas si pauvre que ça, mais c'est vrai que les moyens sont limités. Par ailleurs il y a bien d'autres dépenses d'argent qui n'ont pas de bon sens. Par exemple: - On va payer 30 milliards pour des avions furtifs F-35 dont on a pas de besoin. - On va payer 5 milliards pour le nouveau pont Champlain alors que ça devrait pas couter plus que 1 milliard. - 400 millions pour un nouveau colisée à Québec alors qu'à Winnipeg ils ont eu une équipe de la LNH avec un aréna à 125 millions. - On paye chaque année 150 millions pour la centrale thermique de Béacancour qui ne produit pas d'électricité parcequ'on en a pas besoin. - On va payer 2 milliards pour rénover la centrale nucléaire de Gentilly pour sauver 800 emplois. Ça fait cher pour chaque emploi. (On pourrait pas la fermer et faire fonctionner celle de Bécancour à la place?) - On va payer 30 milliards pour des avions furtifs F-35 dont on a pas de besoin. (Oui je l'ai déjà dit mais le montant de $$$ est si important qu'on peut le répéter 2 fois) - Sans parler des dépassements de coûts de tout ça. Bref je fais un peu de démagogie, mais je ne comprends pas pourquoi on s'en prend toujours au Stade Olympique, et qu'on ne s'indigne pas sur bien d'autres choses. J'espère que l'on va avoir des politiciens avec du courage pour mettre un toit ouvrant au stade, qui est un chef d'oeuvre inachevé, et qu'on va enfin en être fier.
  12. Furn25

    La Station (2012)

    C'est pas vraiment récent mais ça n'avait pas encore été publié sur ce forum. Mies’s Montreal gas station gets new lease on life DAVE LEBLANC Globe and Mail Published Thursday, Jul. 07, 2011 It’s been called the most beautiful gas station in the world. So beautiful, in fact, a movie, Regular or Super: Views on Mies van der Rohe, featured it in 2004. And now it’s getting a beautiful new life. Long, low and in his trademark black steel, the shuttered-since-2008 Esso station by Bauhaus master Ludwig Mies van der Rohe, at boulevard de l’Île des Soeurs and rue Berlioz in Montreal’s Nuns’ Island community, currently lies stripped of a little of its beauty – huge sheets of glass and their associated mullions have been numbered and disassembled for restoration – but by autumn, the building will be buzzing with youth and seniors as a maison des générations. Underneath that long cantilevered roof, lead architect Eric Gauthier points to where the two glass pavilions will be rebuilt to their original 3,000- and 1,000-square-foot specifications – one room for young users and one for older ones – and laughs as he slaps one of the 12 massive columns: “These are not real I-beams,” says the 50-year-old principal at Les Architectes FABG, who was selected to restore Buckminster Fuller’s geodesic dome at Expo 67 in the 1990s. “They are made up I-beams with [steel] plates that have square edges. [Mies] was an aesthete: He thought, ‘I’ll do proper I-beams’… all the connections are welded, it’s a crazy way to do things.” Crazy, perhaps, but the incredible strength from overengineering means many massive Montreal snowfalls have been shrugged off since 1968, the year of the station’s construction and one year before the architect’s death. It’s made for an easy restoration, too. With such a robust structure, the team has concerned itself thus far with underground repairs and the installation of a new geothermal system. Other than the removal of glass and mullions, the only evidence of above-ground work is the sandblasting of brick walls in the garage area, now restored to their original buff yellow. On the underside of the roof, dozens of new fluorescent fixtures remain in their original configuration, and although Mr. Gauthier says with a chuckle, “I never thought that I would be duplicating and restoring fluorescent lighting,” he understands that the illuminated geometric “stripes” are just as crucial to the composition as the grid of crisscrossing roof beams. It’s a Mies thing, and it’s beautiful. Between the two pavilions, Mr. Gauthier is retaining the square concrete island where the gas pumps were located. In place of each pump there will be boxes built to the same scale; these will house exhaust and intake vents for the geothermal unit. These replicas, he says, are “important to understand that it was a gas station.” The small cashier booth will be restored and will act as a key depot for an auto-share program. Although much attention is being paid to the original design, and Mr. Gauthier certainly has the chops to tackle such a modernist icon – a few years ago he designed a one-storey community centre in Pierrefonds that looks very Miesian – he stresses he’s not a member of the “church of Mies.” “Like with Buckminster Fuller, we tried to keep a critical eye,” he says, adding that if he had gone through the “torturous” process of worrying about every nut and bolt and whether Mies would have approved, he would have gone mad. And since the gas station is also attributed to local architect Paul H. Lapointe, and, further, since the Bauhaus master was in his final years at the time of the design, it’s likely he just checked the drawings and signed off on them: “It doesn’t bear the excellence [of his hand] … how do you say in English? – there are pedestrian things in the approach.” Pedestrian or not, FABG is taking great pains to get it right. Furniture, Mr. Gauthier says, will “disappear” so as to not compete and it will most likely be black or white to follow the ceiling pattern established by the black beams below the white metal decking. For elegance, texture and privacy, the architect is toying with the idea of thick, black velvet drapes, which will echo the influence of Mies’s collaborator, textile and furniture designer Lilly Reich. Unlike the cozy charm of a Victorian or Arts and Crafts room, rigid modernist spaces aren’t as easy to love for some. That’s why this adaptive reuse into a community centre filled with life and laughter is such an excellent choice: Much like the smart decision by Toronto developer Camrost-Felcorp to allow the impressive lobby of the former Imperial Oil building on St. Clair Avenue West to be used as a café or restaurant, what was once a perfunctory act of filling up or buying a candy bar on Nuns’ Island will be replaced by sitting, relaxing and getting to know the space – some may even walk from the Mies-designed rental apartment tower two blocks away – which will, in turn, cement a sense of ownership and pride. “I think it’s enough to do the project,” Mr. Gauthier says with a smile. “I’m not trying to be interesting and original and counteracting [the original scheme]. Maybe the strength of it – the roof, the glass – will be enough.”
  13. Francois Cardinal sur Cyberpresse pose la question si on devrait arrêter ce projet. Moi je dis que oui, avant d'investir encore 500 millions dans ce projet. De l'argent qui pourrait être tellement plus utile ailleurs. Je suis tout à fait d'accord avec Né entre les rapides, construire des voies ferrés entre Repentigny et Mascouche fut une terrible décision. De plus ce trajet allonge le temps de voyagement pour ceux qui vont partir de Mascouche qui devront prendre un détour par Repentigny avant de ce diriger vers Montréal. Faire le trajet va donc prendre 1 heure dans le train entre Mascouche et Montréal. Donc c'est inefficace et très couteux. Le texte de François Cardinal: La ministre Courchesne estime que le projet du Train de l’Est a été bâclé. Richard Bergeron croit même qu’il s’agit du «pire projet de transport jamais réalisé dans la région de Montréal». La question : on fait quoi, maintenant? On continue avec le projet, tout en sachant qu’au prix où il est rendu, le projet ne se justifie plus? Voyez par vous-même. - le Train de l’Est : 700 M $ pour 11 000 passagers/jour. - le SRB Pie-IX : 300 M $ pour 70 000 passagers/jour. - le métro de Laval : 750 M $ pour 60 000 passagers/jour. Par contre, 208 M $ ont déjà été dépensés. Arrêter le projet en plein vol se traduirait donc par une perte sèche. Sachant que le gouvernement entend boucler le projet en y ajoutant environ 500 M $, mais aussi 200 M $, potentiellement, pour adapter le tunnel du mont Royal, est-ce que ça vaut la peine de continuer, comme le veut la ministre Courchesne? Ou devrait-on plutôt l’arrêter, comme le croit Richard Bergeron?
  14. Il ne s'agit pas de détruire l'édifice actuel mais plutôt de construire par dessus. Voir l'article dans le Devoir plus bas. Pour ma part je rêve encore que l'on reprenne l'idée de déménager le MACM dans le silo #5, même si ça doit couter plus cher. Travaux d'agrandissement - Quels projets pour le MACM? «On ne rase pas, toute la structure est conservée», dit l'architecte qui a mené l'étude de faisabilité pour le compte du musée Frédérique Doyon 13 décembre 2011 Actualités culturelles Il y a démolir et reconstruire. Le projet d'agrandissement du Musée d'art contemporain de Montréal doterait l'institution d'un étage supplémentaire et d'une nouvelle enveloppe, mais ne prévoit pas sa démolition complète. L'architecte qui a mené l'étude de faisabilité pour le compte du musée corrige le tir. «On ne rase pas, toute la structure est conservée», a affirmé au Devoir Claude Provencher, un peu déçu de la mauvaise communication qui a émané du musée. «Dans les faits, on démolit 12 % des superficies existantes. Les salles [d'exposition] vont être modifiées dans leur organisation, mais les planchers demeurent», a-t-il précisé, préférant parler de réaménagement des intérieurs et de transformation de la façade. L'idée de raser complètement un édifice érigé il y a moins de 20 ans faisait frémir. Surtout en temps de fragilité économique. La méprise est peut-être symptomatique du rapport ambivalent qu'entretient le Québec à son architecture, qui ne se donne pas les moyens de ses ambitions. Et qui se fait hara-kiri dès qu'il se les donne. D'ailleurs, l'architecte ne s'en cache pas: le projet entend réparer une erreur du passé. «Je veux pas être dur envers mes pairs, mais il faut avouer que ce n'est pas un succès, ça n'a pas apporté beaucoup à la ville», dit-il à propos de l'édifice qu'il qualifie de «fermé», de «difficile» et de «pas généreux». La transformation vise d'ailleurs à ouvrir le musée sur l'extérieur pour contribuer à l'animation de la rue, en plus de le doter de nouveaux espaces pour exposer ses collections. Erreur et galère Même son de cloche chez Odile Hénault, critique d'architecture et ex-présidente de l'Ordre des architectes, qui voit aussi dans l'agrandissement l'occasion de «réparer une erreur pour un concours mal fait». Dans un article paru en 1984, après l'annonce du gagnant du concours d'architecture du MACM en la firme Jodoin Lamarre Pratte et associés, elle soulignait une «difficulté»: le président du jury, Raymond T. Affleck, était également conseiller professionnel de ce jury, en plus d'avoir récemment proposé un projet pour le terrain adjacent au complexe de la Place des Arts. Et une contrainte ridicule: protéger la vue de la colonnade de Wilfrid-Pelletier, depuis l'angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance, d'où la façade du musée construite en retrait de la rue. Mme Hénault saluait toutefois l'initiative du gouvernement de lancer un «concours d'idées ouvert à tous les architectes québécois». Une approche qui se fait rare et à laquelle elle croit encore aujourd'hui, malgré ses défaillances possibles. C'est d'ailleurs à Québec que revient la décision de procéder ou non par concours, mais d'abord, de financer ou non le projet d'agrandissement, estimé à 88 millions de dollars. Le gouvernement pourrait aussi opter pour une formule en PPP. L'éventualité ne sourit guère à Claude Provencher, qui y voit une «galère» «sans consultation, sans débat public», «une course à ce qu'on peut faire de plus cheap». Rien pour aider l'expertise locale, selon lui. À l'étroit dans ses locaux actuels, le MACM n'y expose que 1,5 % de ses collections alors que la norme internationale est de 10 %. Son projet initial d'aménager une annexe dans les silos du Vieux-Port, jugé trop coûteux, est mort avec le départ de son idéateur, l'ex-directeur Marc Mayer.
  15. Bonne nouvelle pour ce projet, malgré ses détracteurs. La Polytechnique de Montréal, le HEC et l'École de design de l'Université de Montréal entreprennent, à partir de septembre 2011, une étude conjointe sur divers aspects du monorail TrensQuébec, dont l'infrastructure, le design des véhicules et la rentabilité du système. Le groupe comprend plusieurs professeurs chevronnés et 40 des meilleurs étudiants finissants en ingénierie, en design et en études commerciales. Ce groupe sera épaulé par l'Institut de transport avancé du Québec (ITAQ) situé à St-Jérome. Les études, réparties sur quelques mois, pourront confirmer, une fois de plus, la très grande importance de développer cette nouvelle technologie structurante pour tout le Québec. Les études ont été financées par le Centre de recherche en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG).
  16. On peut maintenant donner notre appuis au projet de monorail suspendue en allant sur le site de Trens-Québec et ils vont envoyés les résultats de ces appuis au PM. http://www.trensquebec.qc.ca/
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