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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. De nouveaux trains pour la banlieue Le gouvernement du Québec et l'Agence métropolitaine de transport (AMT) viennent de signer un contrat de 386 millions avec Bombardier pour la construction de 160 voitures de train de banlieue à deux étages à l'usine Bombardier de La Pocatière. Le financement proviendra du programme d'aide en transport collectif du ministère des Transports dans une proportion de 75 %, tandis que la contribution de l'AMT s'établit à 25 % de l'ensemble du projet. Photo: Julie Boulet La mise en service de ces 160 voitures devrait permettre un accroissement de la capacité de l'ordre de 70 % en période de pointe sur le réseau montréalais de trains de banlieue. Selon la ministre des Transports, Julie Boulet, « c'est le plus important investissement en train de banlieue de toute l'histoire du Québec ». Des voitures à deux étages remplaceront une partie importante des voitures à un étage actuellement sur le réseau de trains de banlieue de la région de Montréal et 80 voitures supplémentaires seront ajoutées. Les voitures-passagers seront en acier inoxydable et configurées pour rouler sur l'ensemble du réseau existant de l'AMT. Joël Gauthier Ces nouvelles voitures seront mises en service graduellement entre 2009 et 2012, notamment sur la future ligne du Train de l'Est. Joël Gauthier, président de l'AMT a précisé que « 32 voitures sur les 160 vont aller à la nouvelle ligne qui va desservir l'est de Montréal et la région de Repentigny-Mascouche. Et les 128 autres voitures vont être déployées sur chacune des lignes. C'est-à-dire, Deux-Montagnes, Dorion-Rigaud, Mont-Saint-Hilaire et Delson-Candiac, et Blainville-St-Jérôme ». L'AMT prévoit pouvoir accueillir 43 000 passagers de plus par jours avec ces nouveaux trains. L'Agence s'ajustera à la demande et construira ou agrandira les stationnements incitatifs si nécessaire. La Politique québécoise du transport collectif vise à accroître l'achalandage du transport en commun de 8 % d'ici 2012. Retombées économiques Le contrat de Bombardier aura un impact considérable sur l'économie de la région de La Pocatière, dans le Bas-Saint-Laurent. Il permettra notamment de maintenir quelque 600 emplois et de rappeler 50 travailleurs, au plus fort de la production. Selon le ministre des Ressources naturelles et de la Faune, responsable de la région, Claude Béchard, « le rayonnement de cet investissement dépasse largement les limites de la région, puisque quelque 185 fournisseurs canadiens seront mis à contribution, dont environ 130 fournisseurs québécois. Le ministre a ajouté qu'il y avait eu appel d'offre mais que Bombardier était la seule compagnie à avoir présenté une soumission.Les exigences étaient toutefois élevées, puisque le gouvernement du Québec exigeait 65 % de contenu canadien. Bombardier Depuis ses débuts en 1974, la division ferroviaire de Bombardier a fabriqué près de 7000 voitures de transport sur rail pour les marchés intérieur et d'exportation dans ses deux installations de fabrication situées à La Pocatière au Québec et à Thunder Bay en Ontario. À Montréal, Bombardier a fourni des voitures-passagers pour le métro de Montréal (1974), des voitures tirées par locomotives pour la ligne de train de banlieue Montréal-Rigaud (1989), des véhicules de train de banlieue électriques pour la ligne Deux-Montagnes (1992) et des voitures BiLevel en aluminium pour la ligne Montréal-Rigaud (2003). (Source:Bombardier) source: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2007/12/18/002-Bombardier-trains.shtml
  2. ok c'est surtout pour la ligne de l'est... je vais "merger" avec le bon fil.
  3. ok, je vois...c'est certain qu'on pourrait avoir de très bonnes photos de la haut! Bonne chance Cataclaw!
  4. Huhummmm je vois... J'avais pas ce genre de...connaissances la dernière fois... Comment tu vas t'y prendre??
  5. Chanceux! J'y suis allé en 2005, et c'est tellement génial! Attend toi pas a voir beaucoup de monde (touristes), parce que c'est fou comme le centre-ville de Dallas et de Houston (et Austin aussi, mais c'est plus compréhensible) sont vides. Des magasins sont barricadés et abandonnés sur Main Street... San Antonio, par contre, est une des plus belles villes que j'ai pu visiter aux états-unis. Bon voyage! Prends des photos!
  6. Ben non voyons! Si tu prends autant de plaisir a marcher au centre-ville que moi, ben prive toi pas! Je peux bien patienter et en faire une autre la semaine prochaine ou l'autre d'apres. Et au pire, ben il y aura deux tournées la même semaine!
  7. exactly, corporate offices would want to move in a building being an icon, everything has a price.
  8. haaaaaaaa.... J'avais prévu en faire une mercredi ou jeudi... mais bon, je vais em reprendre au mois de janvier!
  9. habsfan, j'espère sincérement que tu voulais pas qu'ils nous construisent une tour de 30 étages dans un site pas rapport et loin comme le terrain de radio-canada...!
  10. Je suis convaincu que ça va dépasser les 110 mètres prédis par cataclaw.
  11. mtlurb

    Le Métro | Discussion

    I think that map doesn't represent the metropolitan region at all... its hard to draw something on the west island when its not even there
  12. il va falloir mettre un lien vers ta source!
  13. La tour brune est laide parceque isolée... je suis pas sûr qu'on la remarquerait autant entourée d'autres tours... par contre, elle sera rénovée dans ce plan! (YAAA)
  14. Tchou! Tchou! 15/12/2007 08h32 Le merveilleux rêve d'un train à grande vitesse (TGV) entre Québec et Toronto n'a jamais franchi le test d'une plate réalité: le volume de la clientèle potentielle est insuffisant pour son coût de 11 milliards $ (en argent de 1998). Le prix des billets devrait en conséquence être beaucoup trop élevé. Par contre, un simple train rapide de quelque 500 millions $ est à notre portée. Un TGV file à 320 km/h et permettrait de relier Québec et Montréal en 71 minutes, Montréal et Toronto en 141 minutes, toujours de centre-ville à centre-ville. Le train rapide présentement envisagé, en utilisant le corridor de la rive-nord du Saint-Laurent mettrait 2 heures pour rattacher Québec et Montréal. Ce projet est dans la continuité du plan de développement présenté par l'ex-maire de Québec, Jean Pelletier, en 2002, alors que celui-ci était président du conseil de Via Rail Canada. Les rails de la rive-sud sont propriété du CN dont les convois de marchandises ont priorité sur le transport de passagers par Via. Le développement d'une alternative ferroviaire rapide, fiable, ne peut y être envisagé. Le corridor Québec-Windsor est la colonne vertébrale de Via au Québec qui y recrute 85% de sa clientèle. Le tronçon Québec-Montréal est utilisé par un peu plus de 300 000 passagers par année, même si la fréquence des liaisons est nettement insuffisante et la fiabilité des horaires encore relative (quoique nettement meilleure depuis quelques années). Le potentiel de développement de la clientèle est énorme. Via accapare actuellement moins de 5% du marché des déplacemens entre Québec et Montréal. Des atouts Un train rapide entre la capitale et la métropole ne comporte que des avantages. -Une desserte efficace et très sécuritaire du coeur du Québec où se trouvent les plus fortes densités de population dans deux villes dont les économies sont fortement intégrées. -Des économies substantielles sur l'entretien des tronçons les plus achalandés des autoroutes 20 et 40, envahies par le transport des marchandises. -Économies d'énergie et protection de l'environnement. -Palliatif de qualité au transport aérien dont les coûts sont devenus inaccessibles pour la majorité des citoyens et des entreprises. Gens d'affaires et fonctionnaires privilégieraient ce mode de transport qui permet de travailler en voyageant et de se restaurer. -Outil de développement économique et urbain reconnu. Appuis politiques De Robert Bourassa à Jean Charest en passant par Lucien Bouchard, les premiers ministres du Québec ont régulièrement plaidé pour le TGV ou au moins pour une amélioration sensible de la liaison ferroviaire entre Québec et Montréal. Jean-Paul L'Allier a beaucoup travaillé à sensibiliser l'opinion publique et les maires des villes concernées, le long du corridor Québec-Windsor. Ottawa n'a jamais acheté l'idée , même sous Jean Pelletier alors que celui-ci était pourtant l'un des personnages politiques les plus influents de la capitale fédérale. Pragmatique, ce dernier ne cherchait même pas à vendre le TGV pour l'immédiat. Il voulait utiliser le corridor nord, améliorer la qualité des trains et du service aux passagers et tripler le nombre de liaisons pour susciter de l'achalandage. Il n'a pu imposer ses idées. La nouvelle mobilisation régionale qui s'amorce est sûrement la plus large jamais réunie autour de cette priorité: le gouvernement du Québec, la Chambre de commerce, le recteur de Laval M. Denis Brière, qui présidera le comité de promotion, le maire Régis Labeaume... La conjoncture politique n'a jamais été aussi favorable non plus: le concept retenu est plus réaliste qu'un TGV, Québec célèbre son 400e, les gouvernements à Ottawa et à Québec sont minoritaires et ont besoin de faire le plein de votes dans la région élargie de Québec, Québec est sous-équipée au niveau des liaisons aériennes ce qui constitue toujours un handicap à son développement économique et notamment pour son industrie touristique, etc. Profitons-en.
  15. Les terrains sur lesquels se trouve Radio-Canada à Montréal seront réaménagés Il y a 9 heures MONTREAL - Les terrains sur lesquels se trouve l'édifice de la société Radio-Canada à Montréal seront complètement transformés sous peu, avec l'ajout de commerces, logements, immeubles à bureaux et même un hôtel. Ce nouvel aménagement sera réalisé au coût d'un milliard $. Selon "La Presse", l'Office national du film et Téléfilm Canada songeraient également à s'installer sur le site. Quelque 2000 logements y seraient construits, ce qui occuperait la moitié de l'espace. Aucun immeuble ajouté ne dépasserait en hauteur la tour actuelle de Radio-Canada. Le projet devra être approuvé par la Ville de Montréal.
  16. y 'ont pas besoins de couper quoi que ce soit, 1500-2000 logements a 300k chaque en moyenne ca fait deja 450 millions a 600 millions achetés par des particuliers, un hôtel a 100 million par un autre promoteur (disons) et le reste en espaces commercial...
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