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  1. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/03/20120323-133024.html
  2. Compétitivité des coûts dans les principales agglomérations nord-américaines : Montréal en tête Montréal, le 22 mars 2012 – Selon l’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG, publiée aujourd’hui, Montréal arrive en tête des 30 principales agglomérations canadiennes et américaines étudiées (deux millions d’habitants ou plus) sur le plan de la compétitivité des coûts. Montréal devance Toronto (qui arrive 2e), Cincinnati (3e), Vancouver (7e), Chicago (21e), Philadelphie (23e), Boston (27e) et New York (29e). L’enquête menée par KPMG fait état de 26 facteurs de coûts importants (main-d’œuvre, fardeau fiscal, immobilier, services publics) dans 16 villes canadiennes, et compare plus de 110 villes dans 14 pays. Soulignons que Montréal se classe au 10e rang du classement mondial pour la compétitivité des coûts, parmi les 103 villes des marchés arrivés à maturité, et qu’elle arrive au 7e rang des villes canadiennes. La ville de Québec se classe en 6e position, et Trois-Rivières, en 4e position, pour la compétitivité des coûts parmi les 16 villes canadiennes. « À Montréal, les coûts du transport sont relativement faibles; les loyers des locaux industriels sont modérés, et l’électricité ne revient pas très cher, ce qui attire de nombreuses entreprises », explique Denis Lacroix, associé, Fiscalité internationale, KPMG au Canada. « En outre, les sociétés bénéficient d’un vaste éventail d’incitatifs – R. et D., commerce électronique, production de médias numériques, activités financières mondiales, fabrication – qui sont autant d’atouts pour la métropole montréalaise, car ils se traduisent par un allègement du fardeau fiscal. » Comparativement aux autres villes du Canada, au chapitre de la compétitivité sectorielle des coûts, Montréal se distingue dans les secteurs de la fabrication et de la production de jeux vidéo, avec une 6e et une 7e place au classement des 16 centres urbains canadiens étudiés. De plus, par rapport à l’ensemble des villes du monde intégrées à l’étude, le point fort de Montréal reste la production de jeux vidéo : la ville arrive 7e parmi les 103 agglomérations urbaines de 9 pays arrivés à maturité. Le Canada et le monde Parmi les neuf marchés à maturité étudiés, le Canada arrive au troisième rang pour les coûts d’exploitation, grâce à des coûts inférieurs de 5,0 % à ceux des États-Unis. Le Royaume-Uni et les Pays‑Bas dépassent le Canada, mais à peine (avance de 0,5 et de 0,3 point de pourcentage, respectivement). De plus, il faut savoir que les résultats favorables de ces pays sont le fruit de la dépréciation de l’euro et de la livre, par suite de la crise de la dette européenne. « En clair, le Canada reste un marché compétitif, poursuit Denis Lacroix. Même si les taux de productivité canadiens laissent à désirer, nous gardons le même rang au classement des coûts, comme dans l’étude précédente de 2010. J’en conclus qu’indépendamment des incertitudes économiques mondiales, et malgré la vigueur du huard, le Canada reste un choix à privilégier. » Étude Choix concurrentiels de KPMG L’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG propose une analyse comparative indépendante des coûts d’exploitation dans plus de 110 villes de 14 pays. Les auteurs se sont penchés sur un vaste éventail de facteurs pour évaluer la compétitivité des pays. Ils ont accordé la priorité aux coûts d’exploitation, mais ont aussi tenu compte d’autres facteurs, comme la population et ses caractéristiques démographiques, la formation et la main-d’œuvre qualifiée, l’innovation, les infrastructures, les conditions économiques, le cadre réglementaire, le coût de la vie et la qualité de vie. L’enquête s’intéresse également à la compétitivité des coûts pour divers secteurs économiques, en particulier la fabrication, le secteur numérique, la recherche et développement et, enfin, les services aux entreprises. Grâce à l’étude, les cadres auront un aperçu des coûts d’exploitation comparatifs dans diverses villes des grands pays du monde. De plus, elle aidera les professionnels de KPMG et les promoteurs dans leur travail auprès d’entreprises qui envisagent une relocalisation ou une expansion. Enfin, l’analyse facilitera la tâche des décideurs amenés à évaluer l’incidence sur la compétitivité de leur territoire d’une nouvelle taxe ou d’un changement de politique. Pour consulter la version intégrale du rapport, visitez le site http://www.choixconcurrentiel.com. Dans le cadre de l’étude Choix concurrentiels 2012, les taux de change s’établissent comme suit, pour un dollar américain : 0,99 AUD – 1,80 BRL – 1,02 CAD – 6,36 CNY – 0,74 EUR – 0,64 GBP – 50,75 INR – 77,33 JPY – 13,64 MXP – 31,07 RUB. KPMG au Canada http://www.kpmg.com/Ca/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-Releases/Pages/Competitive-Alternatives-Release-Quebec.aspx
  3. Québec injecte 3,3 M$ dans Schering-Plough 5 octobre 2009 | 12h15 Mathieu Lavallée Argent Québec a annoncé ce matin un investissement de 3,3 M$ dans un projet de la pharmaceutique Schering-Plough (SGP) estimé à plus de 30 M$. La contribution gouvernementale, non-remboursable, a été annoncée ce matin par le ministre du Développement économique Clément Gignac et le député de Jacques-Cartier Geoffrey Kelley. La société mondiale comptant plus de 55 employés veut moderniser et agrandir son usine de médicaments de Pointe-Claire, ce qui devrait lui permettre d’accroitre sa compétitivité et son potentiel d’exportation. Schering-Plough veut également recevoir de nouveaux mandats de production internationale. L’ensemble du projet de la société devrait maintenir les 330 emplois existants dans l’usine, en plus d’en créer une trentaine. Plus de détails suivront.
  4. BCE doit-elle vite réconforter ses actionnaires frustrés de l'avortement d'une riche transaction ? Ou plutôt, rehausser la compétitivité de sa filiale Bell Canada en investissant massivement dans ses réseaux de télécoms ? Pour en lire plus...
  5. Les États-Unis sont toujours le premier pays du monde à ce chapitre alors que la Suisse conserve sa deuxième place. Le rapport s'appuie sur 12 piliers mesurant la compétitivité. Pour en lire plus...
  6. Banque Nationale : réorganisation en vue * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et investissement.com * 11:15 La restructuration pourrait s’étendre jusqu’à Assurance Banque Nationale. La Banque Nationale se prépare à annoncer, ce lundi, une réorganisation majeure incluant plusieurs de ses composantes, selon des sources internes interrogées par Finance et Investissement. La Banque s’apprêterait, entre autres, à travailler sur son image et à mieux intégrer son offre de gestion de patrimoine. La réflexion sur la restructuration a été menée par le Boston Consulting Group, un cabinet de conseil spécialisé en amélioration de la compétitivité. Selon nos sources, la restructuration pourrait s’étendre jusqu’à Assurance Banque Nationale. Denis Dubé, porte-parole de la Banque Nationale a refusé de commenter. L’annonce n’aurait rien à voir avec les célébrations du 150e anniversaire de l’institution, prévues pour le mois de novembre prochain.
  7. La France va perdre sa place de premier producteur mondial de vin au profit de l'Espagne, sous l'effet d'un changement dans les modes de consommation et d'une érosion de la compétitivité des vins français. Pour en lire plus...
  8. Le temps presse Contrairement aux pays émergents, nous avons fait bien peu ces dernières années pour améliorer la compétitivité de notre économie Dominique Vachon La Presse (OPINIONS) mardi 17 juin 2008 Depuis février, cinq rapports bien documentés et équilibrés, tout commandés par le gouvernement du Québec, sont venus proposer des réformes structurelles importantes dans des domaines clés de politique publique. Il y a eu le rapport Castonguay sur le financement du système de santé, le rapport Montmarquette sur la tarification des services publics, le rapport Fortin sur l’investissement des entreprises, le rapport Gagné sur les aides fiscales aux régions ressources et à la nouvelle économie et le rapport Pronovost sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois. Ces rapports contiennent nombre de recommandations susceptibles d’insuffler un élan important de compétitivité à l’économie du Québec. Notamment, l’abolition rapide de la taxe sur le capital des entreprises pour dynamiser l’investissement, le décloisonnement entre le secteur privé et public dans notre système de santé, et l’introduction du concept utilisateur-payeur pour certains services publics comme l’eau. Tandis que s’achève à l’Assemblée nationale une session sur le mode minceur, on constate que, pour aucun de ces rapports, le gouvernement ne s’est engagé à mettre en oeuvre l’essentiel des recommandations. On s’en tient à des amuse-gueules. Une approche plus proactive aurait été souhaitable, car le temps presse. Le Québec risque d’être confiné au cours des prochaines années à une maigre création de richesse tandis qu’elle gardera toute sa vigueur dans les pays émergents et en développement. Contrairement à ces pays, nous avons fait bien peu ces dernières années pour améliorer la compétitivité de notre économie. Le Québec n’a pas encore su saisir l’occasion que lui a donnée une vigueur économique récente pour amorcer des réformes significatives pour stimuler sa compétitivité. Rythme sans précédent Un découplage de la croissance s’est intensifié à un rythme sans précédent entre les différentes zones de l’économie mondiale. La contribution des pays avancés à la croissance (54% du PIB mondial) est en perte de vitesse derrière celle des pays émergents et en développement (déjà 46% du PIB mondial). Selon le FMI, la croissance économique des pays avancés sera d’au plus 1% au cours des deux prochaines années, tandis que celle des pays émergents et en développement avoisinera les 7%. Plusieurs pays avancés, dont nous faisons partie, sont devenus sclérosés à force de vouloir préserver de supposés acquis. Pendant ce temps, le dynamisme de la majorité des pays émergents et en développement va bien au-delà du simple rattrapage économique. Il repose en grande partie sur l’implantation de réformes structurelles majeures, et ce, en moins d’une décennie. Citons notamment une libéralisation commerciale et financière quasi complète, une baisse considérable des emprunts publics et une vague de privatisation réussie, lorsqu’accompagnée d’un renforcement vigoureux du cadre institutionnel et réglementaire. Ces réformes, sans prétendre qu’elles soient homogènes et parfaites pour l’ensemble de ces pays, ont permis un apport massif d’investissements directs étrangers, la réalisation de gains de productivité importants et dorénavant, un secteur des exportations à haute valeur ajoutée et ultracompétitif. Pour 2008, le Canada devrait connaître une croissance avoisinant 1% et ce scénario comporte son lot de risques de révision à la baisse compte tenu de l’incertitude liée à la situation économique et financière des États-Unis. Nous ne faisons pas face à un dégonflement soudain et momentané des marchés boursiers, mais à une économie réelle confrontée à un ralentissement sérieux. Le Québec devrait connaître une croissance économique inférieure à 1% cette année et, même si elle s’accélère quelque peu l’an prochain, cette morosité économique ne pourra pas contenir les pressions énormes qui s’exerceront sur les finances publiques. Espérons que la réalité économique actuelle ait raison du carcan politique. Tout comme il y a consensus sur la période de morosité économique que nous vivons, qu’on l’appelle récession ou ralentissement, il y a aussi lieu de bâtir un consensus sur l’urgence d’entreprendre des réformes structurelles nécessaires au dynamisme du Québec.
  9. Presse Canadienne 05/03/2007La Fédération canadienne des municipalités et son Caucus des maires des grandes villes pressent le gouvernement du Canada d'adopter une stratégie nationale de transports en commun comportant des mesures concrètes pour s'attaquer aux changements climatiques, mais également pour accroître la compétitivité des villes et améliorer la qualité de vie. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010. Gérald Tremblay, maire de Montréal, croit que le transport en commun accroît l'attractivité et la compétitivité des régions métropolitaines. Il rappelle que le secteur des transports représente 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre du Canada, et les véhicules particuliers produisent, à eux seuls, 70 pour cent des émissions de ce secteur. Compte tenu qu'un autobus peut transporter autant de passagers que 50 voitures et qu'il pollue 18 fois moins, il serait logique de convaincre les Canadiens de ranger leur voiture et de prendre les transports en commun, selon les maires. Les maires reconnaissent que le gouvernement fédéral investit déjà dans les transports en commun, mais ils soutiennent que les besoins sont de beaucoup supérieurs aux gestes fédéraux consentis. Les maires demandent aussi d'intégrer l'aménagement du sol et la planification des transports, d'adopter des mesures pour inciter la population à choisir les transports en commun, de mener des recherches pour stimuler l'utilisation des transports en commun et de mettre en oeuvre des mesures de reddition de comptes visant tous les ordres de gouvernement. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010.
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