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Bonne question, en fait, ceci peut particulièrement faire mal à Montréal, Toronto, Halifax (Bell-Aliant) et Saint John (Bell-Aliant) où il y a une concentration plus importante de cadres.

C'est justement ce qui m'inquiète!

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D’autres suppressions à venir chez Bell?

Dominique Lemoine, Lesaffaires.com

17:06

 

George Cope a promis des changements dramatiques pendant ses 100 premiers jours à la tête de BCE. Photo: http://www.bce.ca

 

Lors de son entrée en fonction le 11 juillet, le président et chef de la direction de BCE, George Cope, avait promis que des changements dramatiques seraient annoncés pendant ses premiers 100 jours de travail. BCE a annoncé lundi, 17 jours plus tard, la suppression de 2500 postes de cadres.

 

Départ de 2500 cadres chez Bell

 

Cette réduction inclut la réduction de 30% de la haute direction effectuée par George Cope lors de son arrivée.

 

Pierre Leclerc, porte-parole chez BCE, soutient toutefois que d’autres annonces de suppression de postes ne sont pas prévues pour l’instant.

 

Il précise que chaque unité d’affaire devra voir de quelle façon elle pourrait simplifier son processus décisionnel et identifier des postes pouvant être abolis.

 

Selon lui, Montréal ne serait pas plus affectée que les autres villes canadiennes au niveau des suppressions de postes de cadres annoncées aujourd’hui.

 

Il précise que les suppressions de postes de cadres ne mettent pas en péril le projet de siège social de Bell sur l’Île-des-Sœurs. Selon lui, 4000 des 10000 employés de Montréal seront transférés au Campus Bell, qui sera le nouveau siège social de l’entreprise.

 

Malgré le fait que George Cope ait décidé de demeurer à Toronto et de ne pas déménager à Montréal, Pierre Leclerc soutient que «la majorité des exécutifs, tant M. Cope que les autres, sont en déplacements constants et régulièrement ici à Montréal».

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Je trouve aussi drôle que le CEO siège à Toronto malgré que le siège demeure à Montréal..

 

Ne vous attendez pas à ce que Montréal demeure le siège social à long terme, on peut y voir un signal. Ça va devenir un siège fantôme comme celui de la Banque Royale qui est toujours officiellement à Montréal.

 

 

De toute façon, c'est une compagnie en déclin et Teachers n'ont pas fait une bonne affaire du tout. Ils ont payé très cher pour quelque chose de risqué.

 

 

 

Ce qui serait bien c'est que Quebecor fasse de Vidéotron une entité distincte avec son propre titre boursier, quitte à en garder une grosse bouchée. Ça créerait énormément de valeur en réduisant le fardeau Quebecor sur le flambeau Vidéotron. Si ils vendaient disons 20% de Vidéotron, ça renflouerait énormément leurs coffres.

 

Avec l'arrivée du cellulaire prochainement et le fait que Vidéotron va clairement lancer un réseau très compétitif au Québec et à Toronto, la valeur future de Vidéotron est énorme...

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BCE: Le siège social de Montréal devrait fortement écoper

Mise en ligne 29/07/2008 04h00

 

 

Marilou Séguin

Le Journal de Montréal

 

Montréal, qui abrite le siège social de Bell, devrait fortement écoper de la réduction de l’équipe de direction, estiment des analystes de l’industrie.

 

«Les dirigeants de Bell n’ont pas voulu localiser les lieux où les suppressions s’effectueront, mais avec le siège social, Montréal devrait être fortement frappé», dit l’analyste

 

Michel Nadeau, directeur général de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques.

 

Même son de cloche du côté de Louis Hébert, professeur titulaire de stratégie à HEC.

 

«C’est à peu près certain qu’il va y avoir des espaces libres à Montréal puisqu’on sait que Bell y a beaucoup d’activités», dit-il.

 

Le géant canadien des télécommunications a refusé de révéler la répartition géographique détaillée de ses cadres à travers le pays.

 

Remettre le navire à flot

 

Les experts n’ont pas été surpris par les coupures de postes chez Bell.

 

«C’était prévisible. Il fallait faire le ménage là-dedans. C’est un coup de balai qui aurait pu être donné avant», lance d’emblée l’analyste Michel Nadeau.

 

Même si elles font mal, ces suppressions de postes étaient nécessaires, disent les spécialistes.

 

«Le statu quo n’était pas envisageable, dit Louis Hébert. Si on veut augmenter la rentabilité de Bell, ça va se faire par la rationalisation. Les grosses entreprises sont comme des semi-remorques pleines à craquer qui filent à toute vitesse. On ne peut pas leur faire faire demi-tour facilement.»

 

Un avis partagé par Troy Crandall, de la firme MacDougall, MacDougall & MacTier.

 

«Ce n’est jamais agréable de supprimer des emplois, mais si vous voulez réduire les coûts rapidement, c’est une des meilleures façons», dit-il.

 

Vague de congédiements

 

Les cadres de Toronto devraient aussi être touchés par les coupures de 2 500 postes chez Bell.

 

«Il y a beaucoup de fonctions stratégiques telles que le marketing et la technologie qui sont localisées là-bas», explique M. Nadeau.

 

Louis Hébert ne serait pas surpris qu’il y ait de nouvelles suppressions de postes.

 

«Il faut s’attendre à ce qu’il y ait d’autres décisions douloureuses comme ça, dit-il. Les nouveaux propriétaires de Bell ne sont pas là pour faire semblant que ça va bien.»

 

Le nouveau campus de Bell n'est pas menacé

 

Le nouveau campus de Bell à L’Île-des-Soeurs n’est pas menacé par les récentes coupures de postes de gestionnaires.

 

C’est ce qu’a affirmé Pierre Leclerc, porte-parole de BCE, au Journal.

 

Selon lui, les travaux sont bien avancés et 4 000 employés de Bell devraient commencer à s’y installer dès le mois de septembre.

 

«L’idée, c’est de regrouper des employés de différentes unités d’affaires à un même endroit», dit-il.

 

Actuellement, les employés de Bell sont éparpillés dans différents édifices, dont le 1 000 de la Gauchetière, à Montréal.

 

Gigantesque

 

Ce nouveau siège social, situé entre le pont Champlain et l’autoroute Bonaventure, sur la pointe nord de L’Île-des-Soeurs, comptera plusieurs édifices.

 

La première phase du projet, qui comprend trois tours à bureau de six à huit étages, d’un total de 550 000 pieds carré, pourra accueillir 3 000 employés dès l’automne.

 

La deuxième phase ne comprendra qu’un seul immeuble qui pourra accueillir plus de 1 000 employés d’ici le printemps prochain.

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Tout le monde semble unanime du fait que c`était un mal nécessaire.

 

Quand ils disent "Le siège social de Montréal devrait fortement écoper", vous vous attendez à quoi ? Pour ma part, je crois que de 1000 à 1500 mise à pieds (cadres) seront effectuées à Montréal, et un 1000 dans le ROC particulièrement Toronto.

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Another swing of the axe for Bell

Managers cut Bloodletting at telco isn't over yet, analysts say

 

Don Macdonald, The Gazette

Published: 14 hours ago

 

Analysts say there's more bloodletting ahead at telecom giant Bell Canada following news yesterday the company is axing 2,500 managers as it moves toward becoming a private company.

 

New chief executive George Cope is determined to remake Bell into a leaner, more agile company to face ferocious competition from the likes of Vidéotron Ltée while responding to demands from the company's incoming owners for more cash flow, analysts said.

 

"This is the beginning," said Iain Grant, managing director of research firm

 

"The competition is more supple and nimble and it's snapping at their heels ... (and) the new owners are interested in realizing as much cash as possible from the operations of Bell."

 

A Bell official declined to say how many of the 2,500 management cuts will be in Montreal, but said the announcement does not change plans to move about 4,000 employees to a new Nuns' Island campus beginning in September.

 

Yesterday's cuts are equal to about six per cent of Bell Canada's 44,000-strong workforce, or 15 per cent of managers, and will save the company about $300 million annually.

 

The reductions include a thinning of senior executive ranks earlier this month.

 

The layoffs will be made as quickly as possible over the coming "days and weeks," spokes-person Pierre Leclerc said.

 

BCE is the target of the world's largest leveraged buyout by a consortium led by Ontario Teachers Pension Fund. That deal, set to close on Dec. 11, will load the company with $34 billion in debt, ratcheting up the pressure on Bell to cut costs and generate cash.

 

On the ground, Bell has struggled to defend its land-line franchise, where it has lost more than one million customers in the last three years.

 

Now it faces an intensifying battle at its underperforming wireless operation after the federal government's recent auction of wireless spectrum, opening up providers to more competition.

 

In wireless, cable operator Vidéotron is shaping up to be just as daunting a foe in Quebec as it has been in landline phones.

 

When he took over as CEO from Michael Sabia on July 11, Cope promised dramatic changes to shake up BCE in his first 100 days on the job.

 

Analysts expect other moves to focus on improvements to service, networks and products as well as the possible sales of non-core assets or outsourcing of low-profit functions.

 

In an interview with Reuters yesterday, Cope said he doesn't anticipate any further job losses in the near future.

 

But Grant said he believes Bell will be looking to shrink its non-management workforce, with the exception of customer service, where the company is adding people.

 

"They've done the management ranks now. There are still 30,000 employees at Bell who are not management," he said.

 

He predicted the company will look to reduce costs by outsourcing functions like information technology, installation or engineering as well as by eliminating contract employees.

 

Troy Crandall, an analyst at MacDougall, MacDougall & MacTier, said Bell could lay off as many as 1,000 workers before the privatization deal closes in December, although some of those people might find jobs in other divisions in the company.

 

Larger job cuts could come after the privatization with such major restructuring moves as a decision to acquire the portion of Bell Aliant Regional Communications Income Fund that BCE doesn't already own.

 

Crandall noted that thousands of frontline jobs have already been cut at Bell under Sabia's restructuring efforts.

 

"Today's cuts reduce the number of management levels between bottom-rung employees and the top rung," he said.

 

"Bell needed some work on the efficiency side.

 

"Things are really getting competitive out there, not only on the wireline space ... but also in the wireless space with all these entrants coming in the next 12 to 18 months."

 

dmacdonald@thegazette.canwest.com

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  • 2 semaines plus tard...

Vous avez tous du remarquer les annonces publicitaires a travers la ville de Montréal ce mois-ci! Par exemple:

 

*250 km sur la banquette arrière*

ou encore: *Quand on se trompe de ligne de métro*

 

Ces slogans sont affichées sur un fond blanc avec un logo bleu de forme carre ou rond dans le coin haut droit de l'affiche.

 

Nous voudrions savoir la signification de cette affiche et le produit qu'elle cherche a nous présenter.

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