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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


mtlurb

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Je n’aime pas beaucoup annoncer de mauvaises nouvelles, mais cette information est trop importante pour l’ignorer.

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La Laurentienne va réduire de 50 % ses espaces de bureau à Montréal

 

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

L’institution financière montréalaise a annoncé, mardi, qu’elle réduirait de 50 % ses espaces de bureau à Montréal, Toronto et Burlington. L’annonce ne concerne pas le réseau de succursales. La direction prévoit une charge de 49 millions $ liée à cette décision.

(Montréal) La Banque Laurentienne va réduire ses espaces de bureau de moitié au centre-ville de Montréal dans le cadre de son plan stratégique qu’elle dévoilera le 10 décembre prochain.

Publié le 23 novembre 2021 à 9h16 Mis à jour à 12h10

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-11-23/la-laurentienne-va-reduire-de-50-ses-espaces-de-bureau-a-montreal.php

Stéphane Rolland La Presse Canadienne

L’institution financière montréalaise a annoncé, mardi, qu’elle réduirait de 50 % ses espaces de bureau à Montréal, Toronto et Burlington. L’annonce ne concerne pas le réseau de succursales. La direction prévoit une charge de 49 millions $ liée à cette décision.

La diminution est de 50 % dans chaque ville, précise Merick Séguin, directeur principal des relations avec les médias. À Montréal, l’annonce ne touche que le siège social au centre-ville.

Les changements n’ont pas encore eu lieu, a dit Yvan Deschamps, chef des finances, lors d’une conférence avec les analystes. « Nous allons commencer le processus de sous-location de cet espace. »

La Laurentienne va prioriser le travail à la maison pour les tâches qui le permettent, a dit Rania Llewellyn, présidente et chef de la direction. « Ce sera un important facteur différentiel dans l’attraction des talents. »

La Banque va aussi abolir 64 postes « de tous les niveaux ». De ce nombre, 40 % seront au Québec. Elle prévoit une charge de 9 millions $ à cet égard.

Restructuration

La Laurentienne a déclaré mardi qu’à la suite de son examen stratégique, elle prévoit comptabiliser certaines charges dans ses résultats du quatrième trimestre de l’exercice 2021, lesquelles devraient entraîner une réduction de 163 millions $ après impôts.

La banque montréalaise a annoncé qu’elle dévoilerait son nouveau plan stratégique lors d’une journée des investisseurs le 10 décembre après avoir publié ses résultats du quatrième trimestre.

Les charges non récurrentes comprennent une dépréciation de l’écart d’acquisition ainsi que des charges liées à la consolidation de ses deux plateformes numériques en une seule.

La Laurentienne affirme que les charges devraient réduire son bénéfice ajusté de 14 millions $ après impôts.

Le bénéfice dilué par action présenté devrait être touché de 3,73 $ et le bénéfice dilué ajusté par action, de 33 cents.

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  • Administrateur

Zero surpris, un des dossier dont je m'occupe est le retour au travail en janvier 2022... et je peux vous dire qu'environ 5% des employés veulent retourner au bureau. 5!!!!

On parle d'une entreprise avec environ un millier d'employés au Québec.

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2 hours ago, acpnc said:

 

Je n’aime pas beaucoup annoncer de mauvaises nouvelles, mais cette information est trop importante pour l’ignorer.

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La Laurentienne va réduire de 50 % ses espaces de bureau à Montréal

 

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

L’institution financière montréalaise a annoncé, mardi, qu’elle réduirait de 50 % ses espaces de bureau à Montréal, Toronto et Burlington. L’annonce ne concerne pas le réseau de succursales. La direction prévoit une charge de 49 millions $ liée à cette décision.

(Montréal) La Banque Laurentienne va réduire ses espaces de bureau de moitié au centre-ville de Montréal dans le cadre de son plan stratégique qu’elle dévoilera le 10 décembre prochain.

Publié le 23 novembre 2021 à 9h16 Mis à jour à 12h10

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-11-23/la-laurentienne-va-reduire-de-50-ses-espaces-de-bureau-a-montreal.php

Stéphane Rolland La Presse Canadienne

L’institution financière montréalaise a annoncé, mardi, qu’elle réduirait de 50 % ses espaces de bureau à Montréal, Toronto et Burlington. L’annonce ne concerne pas le réseau de succursales. La direction prévoit une charge de 49 millions $ liée à cette décision.

La diminution est de 50 % dans chaque ville, précise Merick Séguin, directeur principal des relations avec les médias. À Montréal, l’annonce ne touche que le siège social au centre-ville.

Les changements n’ont pas encore eu lieu, a dit Yvan Deschamps, chef des finances, lors d’une conférence avec les analystes. « Nous allons commencer le processus de sous-location de cet espace. »

La Laurentienne va prioriser le travail à la maison pour les tâches qui le permettent, a dit Rania Llewellyn, présidente et chef de la direction. « Ce sera un important facteur différentiel dans l’attraction des talents. »

La Banque va aussi abolir 64 postes « de tous les niveaux ». De ce nombre, 40 % seront au Québec. Elle prévoit une charge de 9 millions $ à cet égard.

Restructuration

La Laurentienne a déclaré mardi qu’à la suite de son examen stratégique, elle prévoit comptabiliser certaines charges dans ses résultats du quatrième trimestre de l’exercice 2021, lesquelles devraient entraîner une réduction de 163 millions $ après impôts.

La banque montréalaise a annoncé qu’elle dévoilerait son nouveau plan stratégique lors d’une journée des investisseurs le 10 décembre après avoir publié ses résultats du quatrième trimestre.

Les charges non récurrentes comprennent une dépréciation de l’écart d’acquisition ainsi que des charges liées à la consolidation de ses deux plateformes numériques en une seule.

La Laurentienne affirme que les charges devraient réduire son bénéfice ajusté de 14 millions $ après impôts.

Le bénéfice dilué par action présenté devrait être touché de 3,73 $ et le bénéfice dilué ajusté par action, de 33 cents.

La Laurentienne existe encore? Quelle banque minable. Après avoir fermé pratiquement toutes ses succursales dans les derniers 5 ans, ils coupent 50% des 100 personnes qui restent dans cette banque qui ressemble de plus en plus à une Tangerine des pauvres. Prochaine étape est d'être gobée par un des 5 majors d'ici 10 ans.  Il est loin le temps où cette "nouvelle venue" se faisait constuire un siège social en 1986 sur le boul. Dorchester et se lancait aux trousses des grands établissements bancaires canadiens. Un échec.

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Il y a 1 heure, mtlurb a dit :

Zero surpris, un des dossier dont je m'occupe est le retour au travail en janvier 2022... et je peux vous dire qu'environ 5% des employés veulent retourner au bureau. 5!!!!

On parle d'une entreprise avec environ un millier d'employés au Québec.

Nous c'est 10% environ, pis c'est genre les adjointes administratives qui font juste jaser des autres à longueur de journée au bureau.

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Il y a 1 heure, mtlurb a dit :

Zero surpris, un des dossier dont je m'occupe est le retour au travail en janvier 2022... et je peux vous dire qu'environ 5% des employés veulent retourner au bureau. 5!!!!

On parle d'une entreprise avec environ un millier d'employés au Québec.

Je pense que cela dépend beaucoup des entreprises et du domaine d'activités. Pour notre part, presque tous les employés veulent revenir au bureau dans le centre-ville et ce, pour plusieurs raisons. 

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Il y a 6 heures, Feanaro a dit :

Je pense que cela dépend beaucoup des entreprises et du domaine d'activités. Pour notre part, presque tous les employés veulent revenir au bureau dans le centre-ville et ce, pour plusieurs raisons. 

Je partage ton opinion.  La clef est le "domaine d'activités" -- les activités qui exigent, pour être efficaces, des contacts fréquents impromptus avec des collègues qui ne sont pas toujours les mêmes d'un cas à l'autre, ainsi que, distinctement, les rencontres en personne avec des clients ou des conseillers externes.  Ce n'est pas simplement une question de préférences personnelles liées au mode de vie, c'est l'essence du travail.  Et c'est aussi la principale raison d'être d'un centre des affaires. 

A l'opposé, les fonctions qui exigent peu ou pas d'interactions, où quelques séances quotidiennes (ou moins) de communications électroniques suffisent, peuvent largement continuer à être exercées à partir du domicile.  Le mouvement était déjà amorcé avant l'éclosion de la covid, et il devrait se poursuivre indéfiniment.  Le seul obstacle dans ce cas est la volonté de certains employeurs de voir tous leurs employés physiquement regroupés.  Du côté des préférences individuelles, il est vrai aussi que beaucoup d'employés voient positivement les relations personnelles dans le milieu de travail, ainsi que les plus vastes opportunités d'activités hors travail (restaurants, magasinage, certains divertissements, etc.) qu'on trouve principalement au centre-ville.

Par ailleurs, il y a aussi beaucoup d'emplois localisés au centre-ville précisément parce qu'il s'y trouve une large clientèle à desservir.  Leur nombre post-covid s'ajustera en fonction des opportunités qui seront retournées.  Les établissements qui desservent principalement la clientèle des employés de bureau seront différemment affectés que ceux desservant les touristes et les personnes venant au centre-ville pour des raisons autres que le travail.   

Dans un sens comme de l'autre (retour au centre-ville ou continuation du télé-travail), je m'attends à des ajustements graduels, pas nécessairement à la même "vitesse" que ce qu'une amélioration des conditions sanitaires post-covid permettrait.      

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Le 2021-10-24 à 21:14, Rocco a dit :

Grosse nouvelle en immobilier commercial:

CANDEREL ACHÈTE COMINAR

La plus grosse transaction de l'histoire de l'immobilier au Québec

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-10-24/canderel-propose-le-rachat-du-fonds-immobilier-cominar.php

Cominar possédait la Gare Centrale... Just sayin' 😉

That makes my week ! :cool:

Le 2021-10-15 à 22:37, Rocco a dit :

Busac... Oufff 

Screenshot_20211015-223405_Samsung Internet.jpg

Sérieux, comment oser affirmer miser sur l'innovation pour se maintenir au sommet de l'industrie en illustrant le tout avec une photo de la Tour Rogers ? O.o🤣

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Il y a 8 heures, KOOL a dit :

That makes my week ! :cool:

Sérieux, comment oser affirmer miser sur l'innovation pour se maintenir au sommet de l'industrie en illustrant le tout avec une photo de la Tour Rogers ? O.o🤣

Parce qu'ils ont appris, comme d'autres, à oser prétendre n'importe quoi.  Apparemment, ça fonctionne, il y en a bien peu qui s'en offusquent*, la plupart sont indifférents*.  Les mots ne résonnent plus comme ils devraient.  

* Grammaticalement:  forme de pluriel interne.

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Le retour au centre-ville retardé ?

 

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Groupe Petra a acheté le 1000, De La Gauchetière
des mains d’Ivanhoé Cambridge pour 482 millions.

Le secteur des bureaux continue de pâtir de la pandémie, malgré certains signes encourageants apparus au troisième trimestre. Le retour tant attendu des travailleurs risque toutefois d’être retardé avec la propagation du variant Omicron.

Publié le 2 décembre 2021 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-12-02/variant-omicron/le-retour-au-centre-ville-retarde.php

André Dubuc La Presse

Mercredi, le nombre de nouveaux cas de COVID-19 est remonté à 1200. De plus en plus, on s’inquiète de voir apparaître de nouvelles restrictions qui limiteront les célébrations de Noël et du jour de l’An.

« Je ne suis pas devin, dit Jean Laurin, président et directeur général d’Avison Young au Québec, mais c’est évident que les entreprises vont devoir respecter les normes qui vont être dictées. » L’agence immobilière a publié en début de semaine son analyse du marché des bureaux à Montréal au troisième trimestre 2021.

« Plus le nombre de cas va augmenter, poursuit-il, plus ça va ralentir le processus de retour au bureau et plus ça va le retarder. Ce dont je m’aperçois, c’est qu’il semble qu’on est en mesure de trouver des solutions plus rapidement lorsqu’il y a des variants », dit-il, sur un ton optimiste.

Taux de disponibilité en hausse

Dans l’attente des nouvelles, voici à quoi ressemblait le marché des tours de bureaux à la fin de septembre.

Le taux de disponibilité des bureaux dans la région montréalaise a continué sa progression, mais à un rythme plus posé. Il s’élève maintenant à 15,5 %, selon Avison Young. Il était sous les 11 % avant la pandémie. La disponibilité au centre-ville a augmenté de 67 % depuis l’apparition du virus.

Toujours au centre-ville, la superficie locative actuellement louée a diminué de 1,79 million de pieds carrés, l’équivalent de trois tours de bureaux comme le 1100, boulevard René-Lévesque Ouest.

Après bientôt deux ans de télétravail, des habitudes se prennent. Il y aura assurément un avant et un après-COVID-19. Le travail hybride, en partie au bureau et en partie en télétravail, sera répandu.

 

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Jean Laurin, président et directeur général d’Avison Young au Québec

« On voit que les entreprises vont baisser leur empreinte probablement d’un minimum de 10 %, à peut-être 25 à 30 %, en fonction du type d’entreprise et du modèle d’occupation qu’elles vont suivre », estime M. Laurin.

Voir le verre à moitié plein

Dans ce contexte des plus moroses, des signes encourageants se sont néanmoins manifestés au troisième trimestre.

Les loyers bruts, en incluant les frais d’exploitation et les taxes, se sont maintenus malgré une plus grande disponibilité des bureaux, les propriétaires préférant faire des compromis sur les améliorations locatives et d’autres petites douceurs consenties aux locataires plutôt que de rogner sur le taux de location.

« ll est intéressant de noter que dans la plupart des cas où les entreprises ont décidé de déménager, elles ont choisi de rester au centre-ville », observe Avison Young dans son rapport.

Qui plus est, des secteurs ont même vu la superficie totale des bureaux sous bail augmenter au dernier trimestre, ce qu’on appelle une absorption positive des pieds carrés de bureaux. C’est le cas à la fois de l’est et de l’ouest de la ville, de Laval et du secteur situé en périphérie du centre-ville. Une illustration de la popularité des bureaux satellites, évoque la firme Avison Young.

L’investissement dans le produit de bureau a aussi repris de la vigueur et le rendement exigé par les investisseurs n’a pas bougé pour la peine dernièrement. Petra a racheté le 1000, De la Gauchetière Ouest pour 482 millions, de loin la plus importante des 19 transactions enregistrées au cours du troisième trimestre. « Ce niveau d’activité dans le secteur de l’investissement de bureau est une indication claire que les investisseurs demeurent confiants dans l’économie et la reprise de Montréal », soutient l’agence immobilière.

La Chambre de commerce note un retour

Tranquillement, le centre-ville reprend vie. Un nouveau sondage publié mercredi par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain indique que 61 % des travailleurs sont de retour au bureau, soit à temps plein (29 %) ou partiel (32 %). « Il s’agit d’un net progrès par rapport au rythme de retour observé en août (47 %) et en juin (28 %) et d’une avancée très prometteuse pour la revitalisation du centre-ville de Montréal », a déclaré dans un communiqué Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

Parallèlement, la circulation piétonnière est à la hausse, selon un indicateur maison développé pour Avison Young à partir des données de géolocalisation de téléphones intelligents. À Montréal, environ la moitié des gens sont de retour au centre-ville, un résultat supérieur à celui observé ailleurs en Amérique.

 

La forte composante résidentielle de notre centre-ville et le retour des étudiants sur les campus cet automne expliquent en bonne partie cette performance encourageante, selon M. Laurin.

Finalement, les entreprises se préparent au retour des travailleurs. Par exemple, depuis le 15 novembre, il est prévu que les fonctionnaires provinciaux soient de retour au bureau au moins deux jours par semaine.

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