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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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Il y a 1 heure, ThinkBig a dit :

Garda s’apprête à déménager son siège social de Griffintown vers Ville St-Laurent. J’ai trouvé cet info dans une de leur offre d’emploi actuellement en ligne.

Il me semble que c'est une vieille "nouvelle" (de novembre 2020), liée au déménagement de la firme Aldo.  Mais ce n'est pas une faute grave.  

  • Thanks 2
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  • 1 mois plus tard...

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Devencore-publie-une-nouvelle-etude-hivernale-sur-le-marche-des-bureaux-du-centre-ville-de-Montreal--32642452/

Devencore publie une nouvelle étude hivernale sur le marché des bureaux du centre-ville de Montréal

09/03/2021 | 16:00

MONTRÉAL, 09 mars 2021 (GLOBE NEWSWIRE) -- Devencore, un chef de file du conseil et du courtage en immobilier commercial au Canada, publie un nouveau rapport hivernal pour 2021 pour le marché des bureaux du centre-ville qui se penche sur l'état du marché, les facteurs à l'origine des nouvelles tendances locatives, les perspectives sur les bureaux et l'effort cumulatif des intervenants du secteur, y compris le gouvernement, les propriétaires, les locataires, les sous-locataires et les utilisateurs pour revitaliser l'économie du centre-ville de Montréal.

Faits saillants des statistiques et des résultats

L’inventaire total des espaces de bureaux disponibles à la location a augmenté de 1,3 million + pieds carrés en 2020

Au quatrième trimestre, le taux de disponibilité est passé de 10,7% à 12,1%, avec une hausse de 33,2% des espaces en sous-location par rapport au troisième trimestre.

Cette hausse est alimentée par une combinaison d'espace de sous-location et de non-renouvellements

Les loyers sont demeurés stables en 2020 mais les incitatifs ont augmenté

La pression économique poussera les propriétaires à faire davantage de concessions

Consultez les données détaillées dans le rapport

« Les sous-locations continueront probablement d'augmenter en 2021 avant de se stabiliser vers 2022 - la principale raison étant que nous pensons que le vaccin permettra graduellement de contrôler la COVID et aidera à la relance de l'économie », a déclaré Jean Laurin, président et chef de la direction de Devencore à Montréal.

L'impact du télétravail

En raison de la pandémie, Montréal est passé d’un niveau de croissance phénoménale à une crise sanitaire et économique sans précédent. La tendance du télétravail et les défis économiques et opérationnels auxquels sont confrontés de nombreuses industries constituent les principaux moteurs de changement. Le marché est inondé avec des sous-locations et des espaces non-renouvelés suite à la diminution de la demande pour les espaces de bureaux au centre-ville, certains locataires réduisant leur espace de 20 à 30%. De plus, il ressort que la plupart des employés préfèrent un modèle de travail hybride qui répartit l’horaire de travail entre la maison et le bureau, et les locataires saisissent l'opportunité pour réduire leur superficie et se relocaliser dans des immeubles mieux situés et de meilleure qualité. Pendant ce temps, il a été rapporté que le Réseau express métropolitain (REM), actuellement en construction, pourrait être prolongé vers d’autres banlieues comme Laval et Longueuil, ce qui pourrait faciliter l'adoption à long terme du modèle de bureaux hybrides.

Les conditions favorisent les occupants

À mesure que la disponibilité d’espace augmente, le marché devient plus favorable aux locataires, ce qui pousse les propriétaires à offrir des incitatifs plus avantageux sous la forme de mois de loyer gratuit et d’allocation pour des améliorations locatives. Bien que les propriétaires continuent de percevoir les loyers à un taux de près de 95% en raison des programmes d'allégement du gouvernement, les transactions de location ont connu un net ralentissement à mesure que les locataires reconsidèrent leurs besoins en bureaux. En raison des risques économiques reliés à la crise, certains locataires envisagent des baux à plus court terme afin de garder leurs options ouvertes pour le déménagement, la consolidation ou l'adoption du modèle de bureau décentralisé pour atténuer les coûts et soutenir le personnel travaillant sous le modèle hybride.

Relance économique du centre-ville

Pour accélérer la reprise économique du centre-ville de Montréal, tous les intervenants du secteur doivent se concentrer sur l’implication corporative et administrative, la responsabilisation et le soutien à la relance du centre-ville. Il est primordial que les citoyens, le gouvernement et l'industrie travaillent ensemble pour créer de plus grandes opportunités et une meilleure infrastructure pour soutenir la croissance dans un marché en évolution. La distribution rapide du vaccin et l'initiative de dépistage rapide du gouvernement du Québec aideront les gens à se remettre au travail en toute sécurité et à rétablir les activités commerciales nécessaires à une économie autonome et florissante. Le REM jouera également un rôle essentiel dans la restauration à long terme de la prospérité économique. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) prend une position proactive dans l'organisation du projet « Relançons MTL » pour outiller les décideurs de 14 secteurs de l'économie afin de formuler et mettre en œuvre des plans d'action qui faciliteront la revitalisation.

« La reprise du centre-ville exigera la collaboration de toutes les parties prenantes, des promoteurs, des investisseurs, des différents paliers de gouvernements, des leaders de la communauté et des citoyens qui vivent, qui habitent, qui travaillent et qui aiment Montréal », a souligné Richard Breton, vice-président et directeur général de Devencore à Montréal.

Retrouvez le rapport complet ici: https://marketreport.devencore.com/office-winter-2021/montreal-fr/

À propos de Devencore

Fondée en 1972, Devencore est l'une des plus importantes firmes privées de courtage et de conseil en immobilier d'entreprise au Canada. Devencore propose une gamme complète de services conçus spécialement pour faire en sorte que toutes les décisions immobilières s’appuient sur des stratégies efficaces et une exécution professionnelle. Devencore possède des bureaux partout au Canada et aide ses clients à répondre à leurs besoins immobiliers aux États-Unis grâce à son alliance stratégique avec la société américaine Transwestern.

Contact :

Pascal Easton
(514) 392-9389
peaston@devencore.com

 

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il y a 50 minutes, IluvMTL a dit :

Pour accélérer la reprise économique du centre-ville de Montréal, tous les intervenants du secteur doivent se concentrer sur l’implication corporative et administrative, la responsabilisation et le soutien à la relance du centre-ville. Il est primordial que les citoyens, le gouvernement et l'industrie travaillent ensemble pour créer de plus grandes opportunités et une meilleure infrastructure pour soutenir la croissance dans un marché en évolution.

(ci-dessus un extrait de l'article cité par IluvMTL)

Je me demande ce que peuvent faire les "citoyens" en tant qu'individus pour contribuer à l'atteinte de l'objectif.  Voudront-ils infléchir leurs préférences personnelles?   -- J'en doute un peu.  Par contre, si les employeurs (publics et privés) exigent leur retour dans les bureaux du c-v, ils s'y plieront.  Les commerces et restaurants s'adapteront au niveau de demande qui en résultera.  Aussi, dans le scénario où la pandémie est (devenue) chose du passé, les étudiants, les touristes et les festivaliers reviendront en force.

Si le nouvel équilibre post-pandémie entraîne néanmoins une certaine baisse de la fréquentation du c-v (par des personnes n'y habitant pas), l'occasion sera belle pour  accroître le stock de logements (locatifs et condos) pour accueillir plus de résidents permanents.  Des immeubles (notamment de catégorie B) abritant des bureaux, devenus excédentaires, pourraient être convertis en logements ou démolis pour faire place aux nouvelles résidences.  Au total, le c-v sera redevenu aussi attractif.  Ce qui pourrait avoir changé, c'est le niveau de la demande de déplacements pendulaires de la périphérie au c-v.

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Analyse

Un an plus tard, quel avenir pour les tours de bureaux?

Environ un pied carré d'espace commercial sur dix est maintenant disponible à louer aux centres-villes de Toronto, Vancouver et Montréal. Les taux d'inoccupation sont en forte hausse depuis le début de la pandémie.

Photo : Radio-Canada / Philippe de Montigny

Philippe de Montigny (accéder à la page de l'auteur)Philippe de Montigny

Publié à 5 h 42

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1776395/immobilier-commercial-bureaux-locations-espaces-louer

La pandémie a perturbé le marché des locations commerciales à l’échelle du pays et les centres-villes semblent moins sollicités par les entreprises. Cette situation soulève des questions sur l'avenir des tours de bureaux.

Au centre-ville de Toronto, plus de 9 millions de pieds carrés sont disponibles à louer ou sous-louer, soit l’équivalent de 450 étages. Il s’agit d’une augmentation de 155 % de l’espace commercial inoccupé par rapport au début de la crise sanitaire.

À Toronto, 274 étages se sont libérés dans le centre-ville. Ça représente beaucoup de gratte-ciels qui sont devenus disponibles en un an.

Laurent Benarrous, courtier immobilier commercial chez Avison Young

Les espaces commerciaux à louer se sont multipliés dans les grands centres-villes au pays, après une année de pandémie.

Photo : Radio-Canada / Spencer Gallichan-Lowe

Cette hausse est encore plus frappante à Vancouver, où le taux d’inoccupation était le plus faible au pays avant la pandémie. Le montant d’espace commercial au centre-ville qui s’est libéré au cours de la dernière année a grimpé de 167 %.

Dans ces deux marchés-là, la situation prépandémique était très favorable. On avait très peu de pieds carrés disponibles à louer, souligne le courtier Laurent Benarrous. La pandémie naturellement a frappé avec un effet assez négatif pour le marché immobilier.

L'analyse effectuée par Avison Young se fie sur une estimation selon laquelle un étage moyen dans les centres-villes canadiens est de 20 000 pieds carrés.

Photo : Radio-Canada / Camile Gauthier

Calgary connaissait déjà un exode des locataires de tours de bureaux avant la pandémie. Le marché immobilier, tant résidentiel que commercial, a beaucoup souffert de la chute du prix du pétrole ces dernières années.

Maintenant, avec le télétravail généralisé, les perspectives sont encore plus sombres, souligne le chercheur Rylan Graham, qui propose dans un récent rapport de transformer des bureaux vides de la métropole albertaine en logements abordables.

Plus du quart (25,2 %) de l’espace commercial au centre-ville de Calgary était déjà vacant en avril 2020, selon les données d’Avison Young. Ce taux d’inoccupation se situe maintenant à 27 %, une légère augmentation.

Quand on regarde le portrait de ce qui se passait avant la pandémie par rapport à aujourd'hui, les choses ne se sont pas tant aggravées à Calgary parce que ça allait déjà tellement mal au départ, affirme Laurent Benarrous de la firme immobilière Avison Young.

Le taux d'inoccupation des tours de bureaux au centre-ville de Calgary frôlait déjà les 25 % avant la pandémie, une conséquence de la crise du pétrole.

Photo : Radio-Canada / Axel Tardieu

À Montréal, le taux d’inoccupation dans le marché des bureaux figure au second rang parmi les plus élevés au pays, mais tout de même loin derrière Calgary. Le centre-ville constatait déjà un exode de locataires commerciaux au profit des banlieues, un phénomène exacerbé par la COVID-19, explique le courtier.

M. Benarrous recense une hausse d’environ 46 % du nombre de pieds carrés à louer dans le centre-ville montréalais au cours de la dernière année.

Le télétravail, là pour rester?

Statistique Canada rapportait en juin dernier que près de 40 % des Canadiens occupent des emplois qui peuvent être effectués à la maison. De nombreux sondages publiés au cours des derniers mois démontrent que bon nombre de travailleurs souhaiteraient pouvoir continuer de travailler à domicile.

C’est le cas d’Annie Pinet, qui travaille chez PwC Canada mais en télétravail depuis environ un an. La résidente d’Oshawa avait l’habitude de passer deux heures en train de banlieue chaque jour pour se rendre au bureau au centre-ville de Toronto et revenir à la maison.

Bien que son bureau chez PwC Canada se trouve au centre-ville, Annie Pinet travaille majoritairement à domicile, à Oshawa.

Photo : Annie Pinet

Elle devait parfois se rendre également aux bureaux satellites de l’entreprise à Vaughan et à Oakville pour rencontrer des clients.

Pour moi, personnellement, avoir l'option et la flexibilité de continuer de travailler à la maison, mais aussi de me rendre au bureau, ça va être très important.

Annie Pinet, consultante d'affaires chez PwC Canada

Elle estime qu’il y aura toujours une demande dans le marché des bureaux, une fois que la pandémie s’essoufflera. Ça va changer pour le mieux, mais ça ne disparaîtra pas, croit-elle.

Des employeurs tels que Shopify, Twitter et OpenText ont décidé de garder leurs employés en télétravail de façon permanente. D’autres adoptent un modèle de travail hybride.

Résultat : certains cherchent à sous-louer ou carrément à vendre quelques-uns de leurs locaux.

Le conglomérat Power Corporation of Canada cherchait récemment des locataires pour ses bureaux aux étages supérieurs du Brookfield Place, dans le quartier financier de Toronto. Questionnée à ce sujet par Radio-Canada, l'entreprise n'a pas voulu confirmer si elle avait trouvé preneur.

La compagnie de services de commerce en ligne Shopify louera 340 000 pieds carrés dans le nouveau complexe The Well, qui est présentement en construction, au centre-ville de Toronto.

Photo : Radio-Canada / Spencer Gallichan-Lowe

Les géants du commerce en ligne Amazon et Shopify, pendant ce temps, se sont accaparés de nouveaux locaux dans la Ville Reine.

L’entreprise d’Ottawa louera quelque 340 000 pieds carrés dans le nouvel immeuble The Well, en plein cœur du centre-ville, alors que son rival américain a signé de nouveaux baux afin d’occuper 100 000 pieds carrés de plus d’ici l’an prochain.

Chute des investissements

Au Canada, les investissements en immobilier commercial en 2020 totalisaient environ 37 milliards de dollars, une baisse de 17 % par rapport à la moyenne des cinq dernières années, selon un nouveau rapport de la firme immobilière JLL.

Il y a eu un arrêt presque total des transactions immobilières en mars, avril et mai. Ça a tranquillement repris plus tard dans l’année.

Mark Sinnett, vice-président exécutif, marché des capitaux chez JLL

Mark Sinnett, qui dirige l’équipe des marchés des capitaux chez JLL à Montréal, affirme que l’Alberta et Toronto ont été les plus touchés dans la dernière année.

Il confirme un nouvel appétit de sa clientèle pour les édifices dans les banlieues. Il y avait une tendance depuis plusieurs années où on parlait toujours de la densification du centre-ville, des grosses tours, des grosses copropriétés, dit-il.

Maintenant, on voit un peu un retour de l'intérêt pour les banlieues, lance M. Sinnett.

Des régimes de retraite ont vendu certains de leurs actifs en immobilier commercial ces derniers mois.

Photo : Radio-Canada / Kevin Mcintyre-Tor

Bien des investisseurs institutionnels, dont les régimes de retraite, ont cherché à vendre leurs actifs dans les centres-villes, alors que les investisseurs privés en ont profité pour acheter, selon le rapport de JLL. Ceci représente en fait plus de la moitié du volume des transactions.

Ils sont prêts à continuer à faire des investissements aujourd'hui, même s'ils savent que pour un trimestre ou deux trimestres, les rendements vont pas être aussi bons à cause de la pandémie, affirme l’analyste.

Ce n'est pas quelque chose qui va durer à long terme, croit-il.

Philippe de Montigny (accéder à la page de l'auteur)

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Un AirBnb pour les tours de bureaux du centre-ville de Montréal

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain créera une plateforme virtuelle pour mettre en contact les entreprises liées à un bail commercial trop vaste et celles qui voudraient s’installer au centre-ville, mais qui n’en avaient pas les moyens avant la pandémie.

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) annoncera ce jeudi qu’elle met sur pied un « AirBnb des tours [de] bureaux » pour combler les espaces rendus vacants par la pandémie au centre-ville de Montréal, a appris La Presse.

Publié le 18 mars 2021 à 10h00

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-03-18/un-airbnb-pour-les-tours-de-bureaux-du-centre-ville-de-montreal.php

Philippe Teisceira-Lessard
La Presse

L’organisation créera une plateforme virtuelle pour mettre en contact les entreprises liées à un bail commercial trop vaste et celles qui voudraient s’installer au centre-ville, mais qui n’en avaient pas les moyens avant la pandémie. Elle tentera ainsi d’installer des PME au cœur de la vie économique montréalaise, ou encore de rapprocher des entreprises qui ont déjà des liens d’affaires.

« Il y a des locataires avec des baux à long terme avec des espaces dont ils ne vont pas avoir besoin », a expliqué Michel Leblanc, le patron de la CCMM, en entrevue avec La Presse. En plus des entreprises montréalaises, « on va aussi essayer d’intéresser des entreprises en région qui ont déjà envisagé d’ouvrir un centre d’affaires au centre-ville de Montréal, mais qui hésitaient pour des raisons de coûts ou pour des raisons d’engagement à trop long terme ».

« On veut aider à remplir les espaces excédentaires », a continué M. Leblanc en se défendant de vouloir se substituer aux firmes de courtage immobilier, qui risquent de froncer les sourcils.

On veut ramener des travailleurs, et ça, ça va passer par des espaces de bureau qui sont vraiment utilisés.

Michel Leblanc, patron de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain

Les nouvelles ententes prendraient la forme d’une sous-location liant l’entreprise avec l’espace excédentaire et le nouveau venu. Il pourrait s’agir d’étages complets ou de simples zones sur un étage plus vaste.

C’est l’un des éléments d’un programme pour lequel la CCMM a obtenu 8,5 millions de Québec, mercredi, avec l’objectif de ramener les travailleurs au centre-ville de Montréal au cours des 12 prochains mois. La Chambre estime qu’il y a un vrai danger pour les tours du centre-ville si des solutions ne sont pas trouvées rapidement.

M. Leblanc dit aussi vouloir travailler avec « les banques, les assureurs, tous les grands employeurs du centre-ville » pour fixer des objectifs clairs de retour – en termes de pourcentage de travailleurs physiquement au bureau – et les atteindre.

« Beaucoup de dirigeants me disent qu’ils ont une productivité qui diminue et qu’ils ont hâte que la Santé publique les autorise à ramener les gens », a-t-il rapporté. « On va trouver toutes sortes de solutions innovantes pour que les gens aient envie de revenir. »

Une campagne de communication tentera de convaincre les travailleurs du caractère sécuritaire des espaces au centre-ville.

« On veut créer un buzz positif sur le travail en présentiel, a-t-il continué. On veut contrer l’émotion de peur, par une émotion positive de travailler au centre-ville, rencontrer ses collègues, bénéficier des restaurants qui vont rouvrir. »

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Pour faire suite à l'article plus haut, je trouve que c'est une excellente initiative qui s'inscrit dans l'air du temps. Il faut être pro-actif et user d'imagination pour contrer une crise qui risque de s'étendre encore pour un certain temps. Ramener des entreprises comme locataires ponctuels aidera à supporter les charges des propriétaires, le temps que le marché se rééquilibre naturellement.

Non seulement on donne un coup de pouce au marché du bureau, mais en plus on amène des travailleurs supplémentaires au centre-ville qui pourront consommer des services sur place. Bravo pour cette solution originale qui pourrait peut-être même faire partie éventuellement de l'offre permanente d'une partie du parc immobilier d'affaires.

L'avenir nous dira si cette formule sera viable à long terme, en parallèle avec le co-working (co-travail) qui a déjà connu un certain succès.

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  • 3 mois plus tard...
11 minutes ago, _mtler_ said:

Groupe Petra now owns La Tour CIBC, Place Victoria, SunLife Building and 1000 de la Gauchetière. Only remains Place Ville-Marie and 1250 René-Lévesque and they would own the 5 greats plus the older great. They are on a mission.

  • Like 1
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