Aller au contenu
publicité

mtlurb

Messages recommendés

3 hours ago, p_xavier said:

Le REM B va avoir plus de capacité que les lignes bleue et jaune.

So? I’ve already said that our Métro, as wonderful as it was once upon a time, was poorly conceived and built as cheaply as possible. We have a chance to do so much better today, but seem willing to commit an obscene amount of money to build yet another half-baked system. 

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

publicité
Il y a 12 heures, swansongtoo a dit :

J'habite le CV et me rendre chez La Mer, La Baie s'il fait 38 en bas de zéro, Ste. Catherine ouest s'il y a de la pluie sera en auto.  Costco en TEC pas une option.  

Il est myopique et tres décousu de la réalité de croire que parce que tu habites en ville tous déplacements peuvent, devraient ou dans les faits se font en TEC. 

 

Il y a 13 heures, Kevin a dit :

Moi je demeure dans le centre-ville et je possède un véhicule et il m'est d'une grande utilité, même si je vais travailler à pied. J'ai acheté mon véhicule 100% électrique il y a un mois, donc le TEC, vraiment pas pour moi. Possédé un véhicule c'est la liberté totale. 

Habiter au centre-ville et se plaindre de l'accès au Costco: Pardon?
Habiter au centre-ville et ne pas utiliser le TC: Hein?

Donc vous payez une plus-value pour habiter au centre-ville et bénéficier de ses avantages (proximité, infrastructures, commerces spécialisés), mais vous voulez quand-même pouvoir vous déplacer en char???

Je suis pas un partisan du REM de l'est, mais je pense que aller chez La Mer devrait être plus facile avec ce réseau...

  • Like 1
  • Thanks 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est la maniere de vivre qui influence l'usage du moyen de transport. J'ai amené des amis avec moi en Europe. Et eux qui ne sont Pas des usagers du transport en commun. Ce sont tres bien acomodé du transport en commun en Europe. Les gens achete ce qu'il vont manger a tout les jours plutot que faire une grosse commande. 

La location de voitures est plus populaire qu'ici.  On ne s'encombre Pas d'une voitures. On loue au besoin. 

  • Like 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Monsieur_MA a dit :

Mon premier choix de déplacement en ville est à pied. Pour plus loin, le TEC. Pour sortir de la ville, l'auto.

 

il y a 15 minutes, andre md a dit :

C'est la maniere de vivre qui influence l'usage du moyen de transport. J'ai amené des amis avec moi en Europe. Et eux qui ne sont Pas des usagers du transport en commun. Ce sont tres bien acomodé du transport en commun en Europe. Les gens achete ce qu'il vont manger a tout les jours plutot que faire une grosse commande. 

La location de voitures est plus populaire qu'ici.  On ne s'encombre Pas d'une voitures. On loue au besoin. 

C'est largement exact pour 1) ceux qui habitent au coeur des villes et 2) les touristes.  Ce n'est pas le cas des banlieusards.  Voir notamment la région de l'Île-de- France (12 millions d'habitants) ayant Paris (moins de 3 millions) en son centre.   

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 7 heures, Né entre les rapides a dit :

 

C'est largement exact pour 1) ceux qui habitent au coeur des villes et 2) les touristes.  Ce n'est pas le cas des banlieusards.  Voir notamment la région de l'Île-de- France (12 millions d'habitants) ayant Paris (moins de 3 millions) en son centre.   

La banlieue de Paris est très dense et aussi bien desservi par le transport en commun et le sera encore plus avec le grand paris express.  Ma cousine habite en banlieue de Madrid a San Sebastian de los Reyes a 30 km du centre et le metro se rend jusqu'a cette banlieue. Elle possède une seule voiture pour elle et son mari et elle a 3 enfants. 

Bilbao aux pays basques une ville de seulement 350 000 habitants possede un metro avec 49 stations. 

Je pourrai aussi mentionner Berlin et sa banlieue de Posdam ou avec des amis nous avions loué un appartement. Je me rappelle du service de tramway que l on avaient pris a 2 et demi du matin. Très bon service de transport en commun.

La difference ici c est que les banlieues sont constituées de maisons unifamiliale et beaucoup moins denses que les banlieues des grosse villes européennes.On construit des écoles très souvent loin en périphérie des banlieues.  Et dans les banlieues de Montreal le service de transport en commun est deficient. 

 

 

 

 

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, andre md a dit :

La banlieue de Paris est très dense et aussi bien desservi par le transport en commun et le sera encore plus avec le grand paris express.  Ma cousine habite en banlieue de Madrid a San Sebastian de los Reyes a 30 km du centre et le metro se rend jusqu'a cette banlieue. Elle possède une seule voiture pour elle et son mari et elle a 3 enfants. 

Bilbao aux pays basques une ville de seulement 350 000 habitants possede un metro avec 49 stations. 

Je pourrai aussi mentionner Berlin et sa banlieue de Posdam ou avec des amis nous avions loué un appartement. Je me rappelle du service de tramway que l on avaient pris a 2 et demi du matin. Très bon service de transport en commun.

La difference ici c est que les banlieues sont constituées de maisons unifamiliale et beaucoup moins denses que les banlieues des grosse villes européennes.On construit des écoles très souvent loin en périphérie des banlieues.  Et dans les banlieues de Montreal le service de transport en commun est deficient. 

 

 

 

 

On ne se disputera pas mais on nuancera.  

- "La banlieue de Paris est très dense": oui pour la Petite Couronne (départements de Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne), non pour les départements de la Grande Couronne: Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Val-d'Oise.  Il suffit d'observer l'intensité de la circulation automobile pour réaliser que ce n'est pas tout le monde qui se déplace en TEC.  Aussi, le bâti dans la Grande Couronne n'est pas particulièrement dense; il se disperse sur une vaste superficie, et les habitations unifamiliales occupent souvent des terrains sensiblement plus étendus que dans les nouveaux développements résidentiels dans la banlieue montréalaise.  L'exception française, ce sont les noyaux villageois denses établis de longue date.

- "Dans les banlieues de Montréal le service de transport en commun est déficient": vrai, et ça concerne aussi des quartiers excentriques de la Ville de Montréal proprement dite.  En général, je dirais que les liaisons par TEC en direction et en provenance du centre des affaires sont plutôt bonnes, mais que les liaisons par TEC entre les différents secteurs périphériques sont pauvres, parfois même inexistantes.

- Il faut prendre la mesure du fait que dans les deux cas de Paris et de Montréal, la croissance démographique récente a été plus rapide dans les banlieues "éloignées" que dans le coeur des agglomérations.   Il y apparaît pratiquement impossible de supprimer totalement la dépendance à l'automobile.  Quand on sait que la majorité des habitants de l'Île de Montréal proprement dite se déplacent encore en automobile à l'intérieur de l'Île malgré une desserte par TEC bien supérieure, on se dit que le règne incontesté du TEC n'est pas pour demain. On souhaite seulement qu'il gagnera du terrain, et que le coeur soit moins encombré.

 

  

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 14 heures, Né entre les rapides a dit :

On ne se disputera pas mais on nuancera.  

- "La banlieue de Paris est très dense": oui pour la Petite Couronne (départements de Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne), non pour les départements de la Grande Couronne: Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Val-d'Oise.  Il suffit d'observer l'intensité de la circulation automobile pour réaliser que ce n'est pas tout le monde qui se déplace en TEC.  Aussi, le bâti dans la Grande Couronne n'est pas particulièrement dense; il se disperse sur une vaste superficie, et les habitations unifamiliales occupent souvent des terrains sensiblement plus étendus que dans les nouveaux développements résidentiels dans la banlieue montréalaise.  L'exception française, ce sont les noyaux villageois denses établis de longue date.

- "Dans les banlieues de Montréal le service de transport en commun est déficient": vrai, et ça concerne aussi des quartiers excentriques de la Ville de Montréal proprement dite.  En général, je dirais que les liaisons par TEC en direction et en provenance du centre des affaires sont plutôt bonnes, mais que les liaisons par TEC entre les différents secteurs périphériques sont pauvres, parfois même inexistantes.

- Il faut prendre la mesure du fait que dans les deux cas de Paris et de Montréal, la croissance démographique récente a été plus rapide dans les banlieues "éloignées" que dans le coeur des agglomérations.   Il y apparaît pratiquement impossible de supprimer totalement la dépendance à l'automobile.  Quand on sait que la majorité des habitants de l'Île de Montréal proprement dite se déplacent encore en automobile à l'intérieur de l'Île malgré une desserte par TEC bien supérieure, on se dit que le règne incontesté du TEC n'est pas pour demain. On souhaite seulement qu'il gagnera du terrain, et que le coeur soit moins encombré.

 

  

Seine St-,Denis c'est 1.6 millions d'habitant.Paris intra muros c'est 2.165 millions d'habitant. Rajoute su sud  issy les moulineaux et vanves malakoff tres dense aussi et d'autres banlieue proche et on depasse fácilmente 3.5 millions d'habitant. 

Une photo de San Sebastián de los reyes a 30 km du centre de Madrid on peut voir que c'est encore Pas mal dense. 

Bref en comparación d'ici la bagnole prend beaucoup moins de place en Europe. 

En Europe Le tissu commerciale est diferent il ya des grosse chaines comme carrefour et casino. Mais il y a aussi beaucoup de petits commerce de proximité.

Madrid compte 15000 bars et restaurante. 1 pour 211 habitants. 

https://www.elmundo.es/madrid/2016/08/22/57bb446eca474137398b45c7.html

On peut se consoler pour Montreal on retrouve quand meme des plexs en banlieue comme Laval et Longeuil. 

Il nous faut plus de commerce de proximité. 

 

onepark-san-sebastián-de-los-reyes.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, andre md a dit :

 

Il y a 1 heure, andre md a dit :

Seine St-,Denis c'est 1.6 millions d'habitant.Paris intra muros c'est 2.165 millions d'habitant. Rajoute su sud  issy les moulineaux et vanves malakoff tres dense aussi et d'autres banlieue proche et on depasse fácilmente 3.5 millions d'habitant. 

J'ai bien dit que la Petite Couronne est très dense.  Je voulais que tu portes plus d'attention à la Grande Couronne, qui est déjà quasiment aussi peuplée que Paris intra + Petite C, et dont la croissance est plus rapide.  On ne peut absolument pas l'ignorer quand on examine les enjeux urbains, notamment en matière de transport et d'aménagement du territoire, de la même façon qu'un touriste étranger à Montréal,  se contentant de parcourir le centre-ville, le Vieux, le Plateau et peut-être HoMa , pourrait s'extasier de la densité et de l'excellence du réseau de TEC: sa perspective resterait très imparfaite.   

Je sais aussi que des efforts importants sont consentis pour relier par TEC des banlieues éloignées avec le centre, et c'est très bien ainsi.  Mais ça n'élimine pas la problématique des déplacements entre et à l'intérieur des banlieues éloignées, dispersées et peu densément peuplées. Ton exemple de San Sebastian de los reyes  est amusant, quand on sait qu'elle a été fondée il y a plus de six cents ans: il ne s'agit manifestement pas d'un cas d'étalement urbain de type banlieusard à partir de Madrid, mais plus simplement d'une ville ancienne maintenant bien reliée au coeur de la capitale  espagnole-- une chose qu'on ne peut toutefois pas dire des villes à distance comparable de Montréal, et pour cause.   

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L’architecture du REM vous déplaît ? Attendez de voir sa facture !

 

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

Structure du REM vue du boulevard René-Lévesque, au centre-ville

Stéphanie Grammond La Presse

Malgré les oiseaux et les enfants qui jouent dans les talus, les esquisses présentées cette semaine par CDPQ Infra ne réussissent pas à masquer le fait que le REM de l’Est va défigurer le centre-ville.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/contexte/editoriaux/2022-03-13/l-architecture-du-rem-vous-deplait-attendez-de-voir-sa-facture.php

Et pendant qu’on débat à juste titre de l’intégration urbaine, il n’y a toujours rien qui se dessine à propos du montage financier de ce projet pharaonique que Québec a lancé complètement à l’envers.

Permettez une comparaison simple.

Disons que vous entreprenez un projet d’envergure, comme l’agrandissement de votre maison. Vous commencerez par déterminer votre budget. Ensuite, vous consulterez un architecte qui fera un plan en fonction de vos besoins. Enfin, vous demanderez des soumissions à trois ou quatre entrepreneurs pour choisir la plus avantageuse.

En matière de transport collectif, Québec a fait exactement l’inverse, en cognant directement à la porte d’un entrepreneur, CDPQ Infra, qui lui a répondu :

« Nous, on fait des REM.

— Parfait, on va vous en prendre un. Deux, même. »

Aujourd’hui, on est obligé de refaire les plans, sans avoir l’assurance qu’il s’agit du meilleur projet pour l’Est. Et on ne sait toujours pas encore combien ça va coûter aux contribuables et aux usagers qui verront leur tarif augmenter… même s’ils ne mettent jamais les pieds dans le REM.

Comment est-ce possible ? Montez à bord, on vous explique, en commençant par le commencement : le choix de CDPQ Infra.

François Legault lui-même dénonçait cette formule, en 2015, alors qu’il était sur les banquettes de l’opposition. C’est que Québec devra verser environ 8 % de rendement à la CDPQ pendant 99 ans, alors qu’en donnant le mandat au ministère des Transports, il aurait financé le projet sur 25 ans avec un coût d’emprunt « d’à peu près 3,5 % », expliquait le futur premier ministre.

Oui, cela évite à Québec d’inscrire la dette dans ses livres. Oui, cela fait en sorte que CDPQ assume le risque financier. Oui, cela permet d’aller plus vite. Mais au bout du compte, il en coûtera six fois plus cher d’avoir opté pour cette formule de type : Roulez maintenant, payez plus tard1.

Vous suivez ? Alors, station suivante !

Parlons des coûts de construction. Pour le REM de l’Ouest, la CDPQ Infra estime les coûts des infrastructures dont elle est propriétaire à 6,9 milliards, ce qui ne tient pas compte des frais payés par d’autres intervenants et des extras à venir.

La construction du REM de l’Est doit coûter encore plus cher, soit 10 milliards. Mais il est difficile de croire que cette facture restera coulée dans le béton, avec les récents changements comme l’ajout d’un tunnel au centre-ville et l’inflation à plus de 5 %.

Si on tient compte des dépassements de coûts généralement observés pour ce genre de projet, la facture pourrait grimper à 15 milliards2.

Et il faut souligner que la facture du REM de l’Est ne tient pas compte de l’aménagement urbain. CDPQ Infra a fait un beau plan intégré, mais n’a pas évalué les coûts qui seront à la charge des villes. À moins qu’elles laissent tomber.

Vous êtes toujours à bord ? Parfait, on avance par en arrière.

Attention : on arrive au passage le plus nébuleux : les coûts d’exploitation pour faire rouler le REM, année après année. Pour le REM de l’Ouest, on peut évaluer la note à 438 millions, à partir de chiffres officiels. Pour le REM de l’Est, on reste malheureusement dans le noir.

Mais au total, des experts estiment qu’on pourrait se retrouver avec une facture additionnelle de près d’un milliard de dollars par année pour faire rouler les deux REM. Un montant énorme qui sera refilé à la collectivité.

Qui paiera la note au juste ?

D’abord, les usagers qui sont censés payer le tiers de la facture globale du transport collectif à Montréal.

Bien sûr, les nouveaux utilisateurs du REM amèneront de l’eau au moulin. Mais pas tant que ça, car beaucoup sont déjà des utilisateurs des transports en commun, puisque le REM cannibalise certains autres réseaux existants.

C’est pourquoi l’ensemble des usagers risquent de voir leur tarif augmenter. Puisque le tarif est le même partout sur l’île de Montréal, peu importe le mode utilisé, l’étudiant qui va à l’école en autobus financera en quelque sorte l’utilisateur du REM qui se rend à Sainte-Anne-de-Bellevue.

Mais comme il y a des limites à hausser les tarifs sans décourager les utilisateurs, la facture excédentaire risque d’aboutir dans la cour des municipalités qui peinent déjà à entretenir les infrastructures existantes.

Pour éviter le choc financier, il faut avoir l’heure juste avant de mettre le REM de l’Est sur les rails.

On veut tous agir au plus vite pour munir l’est des transports en commun qui lui permettraient de développer son plein potentiel. Mais avant d’hypothéquer les générations futures, il faut s’assurer d’avoir le projet le plus avantageux, ce qui n’est pas clair en ce moment.

Le REM de l’Est a encore ses preuves à faire.

En attendant, terminus, tout le monde descend !

1. Lisez le texte d’opinion « Des conditions gagnantes pour réussir le REM de l’Est »

2. Lisez une chronique de Francis Vailles

  • Haha 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...