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Transports en commun - Discussion générale


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Il y a 2 heures, acpnc a dit :

Québec prévient qu’il n’épongera plus les déficits des sociétés de transport | Radio-Canada.ca

Zone Politique - ICI.Radio-Canada.ca

À l’heure où le manque à gagner anticipé des 10 principales sociétés de transport en commun de la province s’élève à 2,5 milliards de dollars sur 5 ans, le gouvernement Legault prévient qu’il ne sera pas toujours là pour éponger leurs déficits. Québec promet de faire sa part, mais ajoute que les sociétés devront optimiser leurs coûts d’exploitation.

C’est le message qu’a livré jeudi la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, aux membres de l’Association du transport urbain du Québec (ATUQ), qui étaient réunis au Centre des congrès de Lévis pour le deuxième et dernier jour de leur colloque annuel.

L’ATUQ représente les sociétés de transport en commun qui desservent les villes de Montréal, Québec, Laval, Lévis, Longueuil, Gatineau, Trois-Rivières, Saguenay et Sherbrooke. Aux prises avec d’importants déficits d’exploitation, en particulier depuis le début de la pandémie, les membres de l’ATUQ ont de grandes attentes à l’égard de la réforme du financement du transport public au Québec.

Geneviève Guilbault promet d’accompagner les sociétés de transport en commun dans la recherche d’une solution permettant d’assurer leur financement à long terme.

Photo : Radio-Canada

Geneviève Guilbault leur a dit qu’elle était persuadée de parvenir à conclure une entente sur 5 ans permettant d’assurer leur financement à long terme. Si Québec a jusqu’ici allongé la somme de 2,1 milliards $ pour aider les sociétés de transport à traverser la pandémie, la ministre a rappelé que ce coup de pouce était ponctuel.

Équilibre à trouver

Ce n'est pas une pratique historique que le gouvernement assume, comme ça, les déficits d'exploitation. C'est pour ça qu'il faut trouver un équilibre entre être au rendez-vous, continuer d'être au rendez-vous pour pouvoir accompagner nos sociétés, puis à un moment donné, trouver aussi une structure pérenne et durable de financement pour que chacun joue le rôle qui lui revient, a-t-elle fait valoir.

Geneviève Guilbault a mentionné que le déficit projeté et cumulé des sociétés de transport québécoises atteignait 2,5 milliards $ sur 5 ans. Environ 18 % de ce manque à gagner, soit 444 millions $, concerne des pertes de revenus liées à la conjoncture. Les quelque 2 milliards $ restants sont attribuables aux hausses des dépenses d'exploitation (entretien, contrats, salaires, etc.).

À noter que 90 % du manque à gagner projeté de 2,5 milliards $ se rapporte au déficit d’exploitation de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).

La grande majorité des déficits d'exploitation anticipés des sociétés de transport est attribuable aux opérations de l'ARTM. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Dans le contexte où la montée des taux d’intérêt, l’augmentation du coût de la vie et la pénurie de main-d’œuvre exercent une pression sur les dépenses des sociétés de transport, la ministre a souligné l’importance d'avoir une gestion serrée et responsable des fonds publics.

Il faut qu'on puisse en arriver éventuellement à une solution durable, pérenne, où les sociétés de transport vont optimiser leurs dépenses, leurs opérations puis vont être autonomes dans leurs coûts d'exploitation, a insisté Geneviève Guilbault.

Responsabilité partagée

Elle a martelé à de nombreuses reprises que la recherche de moyens permettant d’assurer le financement à long terme du transport collectif au Québec était une responsabilité partagée.

La solution, évidemment, elle n'est pas juste au gouvernement du Québec, elle n’est pas juste dans les municipalités, elle n’est pas juste dans les sociétés de transport, elle n’est pas juste chez les citoyens, c'est tout le monde qui a une responsabilité pour dire : "Je m'embarque dans le projet de la mobilité durable et du transport collectif au Québec, mais je vois aussi de quelle façon je dois faire ma part pour m'assurer que ça arrive une fois que les discours sont faits", a lancé la ministre.

Rappelant que le transport collectif était une priorité de son gouvernement, Geneviève Guilbault a déclaré que le statu quo n’était pas acceptable.

Passez une loi pour créer une RATM.

 

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  • 3 semaines plus tard...

Les transports en commun sont-ils vraiment déficitaires ?

Les transports en commun sont-ils vraiment déficitaires ?

Nous sommes à 30 ou 40 jours de l’adoption de tous les budgets municipaux du Québec. Chaque année, je le répète, chaque année, ils sont adoptés en novembre ou en décembre. Pourtant, le gouvernement n’a toujours pas informé les villes des sommes dont elles disposeront pour faire face à la crise des transports en commun. Ce n’est pas sérieux.

Publié à 1h00 Mis à jour à 7h00

Le blocage s’explique notamment par le fait que la position du gouvernement est basée sur trois idées fausses :

  1. les sociétés de transport peuvent réduire leur déficit exceptionnel actuel sans réduire les services ;
  2. les transports en commun sont une dépense comme une autre ;
  3. Montréal est un problème.

Prenons-les une par une.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Marie-Claude Léonard, directrice générale de la Société de transport de Montréal. À la STM, 85 % du budget est rattaché directement aux opérations. Faire des compressions importantes sans réduire les services est une vue de l’esprit, écrit Maxime Pedneaud-Jobin.

Réduire sans réduire ?

Dans une société de transports en commun, le gros de la dépense est constitué de la masse salariale des chauffeurs et des mécaniciens ainsi que du matériel roulant. À la Société de transport de Montréal (STM), 85 % du budget est rattaché directement aux opérations. Dans des sociétés de la taille de la Société de transport de l’Outaouais, si on retranchait tout le personnel qui n’est pas directement relié à l’offre de service, on ne couvrirait même pas le déficit relié à l’achalandage pour 2023. En transports en commun, faire des compressions importantes sans réduire les services est une vue de l’esprit.

Si le gouvernement refuse d’entendre les arguments des villes du Grand Montréal, il pourrait peut-être écouter ceux de la MRC de Brome-Missisquoi. Selon elle, les déficits s’expliquent par l’augmentation du coût du carburant, des véhicules, des intérêts sur les emprunts et de la main-d’œuvre ainsi que par l’absence d’indexation des subventions gouvernementales et par la baisse des revenus d’achalandage reliée à la pandémie. Conséquence, la MRC doit réduire l’offre de service, par exemple, en limitant les ententes avec les entreprises privées pour faciliter le transport des travailleurs.

Oui, il y a toujours moyen de mieux gérer, mais dénoncer la mauvaise gestion, c’est utiliser un arbre pour cacher la forêt : tout le contexte économique actuel est toxique pour les transports en commun.

Avant même la pandémie, l’accroissement considérable de l’offre de services, un accroissement souhaité ardemment par tous les ordres de gouvernement, mettait une pression sur les dépenses d’opération qui n’était plus soutenable, ni par les usagers ni par la taxe foncière (la part moyenne de contribution des municipalités du Québec est déjà la plus élevée au Canada)1. Le gouvernement du Québec lui-même reconnaît les failles du modèle de financement des réseaux de transport… il a d’ailleurs fait deux vastes consultations sur le sujet, sans, à ce jour, proposer de solution.

Pire encore, quand les municipalités ont voté pour élargir la contribution sur l’immatriculation à l’ensemble des municipalités du Grand Montréal – afin de développer l’offre de transports en commun –, le précédent ministre des Transports s’y est opposé ! On tourne en rond.

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PHOTO CAROLINE GRÉGOIRE, ARCHIVES LE SOLEIL

Pour chaque dollar payé par un individu, la collectivité paie l’équivalent de 5,77 $ lors d’un déplacement réalisé en automobile et de 1,31 $ lors d’un déplacement réalisé en autobus.

Une dépense comme une autre ?

Non, les transports en commun ne sont pas une dépense comme une autre. Ce sont les usagers des transports en commun qui rendent service au gouvernement, pas l’inverse⁠2 !

Pour chaque dollar payé par un individu, la collectivité paie l’équivalent de 5,77 $ lors d’un déplacement réalisé en automobile et de 1,31 $ lors d’un déplacement réalisé en autobus⁠3.

De plus, faut-il le répéter, la lutte contre les GES passe nécessairement par les transports en commun.

Chaque choix individuel de passer de l’auto à l’autobus est un gain collectif considérable. Je risque une comparaison : qui dirait que l’éducation est déficitaire ?

Montréal est un problème ?

« Je ne crois pas que c’est au gouvernement et aux contribuables du Québec de payer pour 100 % d’un déficit de plus de 2 milliards dans le Grand Montréal », a dit la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, pour justifier ses hésitations.

https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/f572f44841c83c329115f1854ef3741e.jpg

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, et la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, dans des installations de la STM. Le Grand Montréal, c’est 82 municipalités, 48 % de la population du Québec et 55 % de son PIB.

La Société de transport de Montréal devrait être traitée différemment des autres sociétés de transport. Pourquoi ? Elles ont toutes un déficit. La crise est partout. Il faut vraiment que le gouvernement se débarrasse de son réflexe de taper sur Montréal, nous y perdons tous. Ai-je besoin de rappeler que le Grand Montréal, c’est 82 municipalités, 48 % de la population du Québec et 55 % de son PIB ?

À cet égard, le ministre des Finances, Eric Girard, a récemment cité une étude selon laquelle l’écart de PIB entre l’Ontario et le Québec est, en fait, un écart de PIB entre Montréal et Toronto⁠4. Le ministère des Finances devrait donc inciter celui des Transports à investir dans les transports en commun à Montréal, c’est un moyen éprouvé d’augmenter l’attractivité de la métropole et la productivité de la main-d’œuvre, donc d’augmenter le PIB.

Blâmer Montréal ou les sociétés de transport ne mène à rien. Sous-financer les transports en commun ne fait que nous rapprocher du précipice. Il faut faire mieux.

3. Chiffres tirés de l’« Évaluation comparative des coûts totaux des déplacements selon le mode de transport utilisé sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec », par Voisin, Dubé et Coehlo, Université Laval, février 2021.

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Il y a 7 heures, acpnc a dit :

Les transports en commun sont-ils vraiment déficitaires ?

Les transports en commun sont-ils vraiment déficitaires ?

Nous sommes à 30 ou 40 jours de l’adoption de tous les budgets municipaux du Québec. Chaque année, je le répète, chaque année, ils sont adoptés en novembre ou en décembre. Pourtant, le gouvernement n’a toujours pas informé les villes des sommes dont elles disposeront pour faire face à la crise des transports en commun. Ce n’est pas sérieux.

Publié à 1h00 Mis à jour à 7h00

Le blocage s’explique notamment par le fait que la position du gouvernement est basée sur trois idées fausses :

  1. les sociétés de transport peuvent réduire leur déficit exceptionnel actuel sans réduire les services ;
  2. les transports en commun sont une dépense comme une autre ;
  3. Montréal est un problème.

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Marie-Claude Léonard, directrice générale de la Société de transport de Montréal. À la STM, 85 % du budget est rattaché directement aux opérations. Faire des compressions importantes sans réduire les services est une vue de l’esprit, écrit Maxime Pedneaud-Jobin.

Réduire sans réduire ?

Dans une société de transports en commun, le gros de la dépense est constitué de la masse salariale des chauffeurs et des mécaniciens ainsi que du matériel roulant. À la Société de transport de Montréal (STM), 85 % du budget est rattaché directement aux opérations. Dans des sociétés de la taille de la Société de transport de l’Outaouais, si on retranchait tout le personnel qui n’est pas directement relié à l’offre de service, on ne couvrirait même pas le déficit relié à l’achalandage pour 2023. En transports en commun, faire des compressions importantes sans réduire les services est une vue de l’esprit.

Si le gouvernement refuse d’entendre les arguments des villes du Grand Montréal, il pourrait peut-être écouter ceux de la MRC de Brome-Missisquoi. Selon elle, les déficits s’expliquent par l’augmentation du coût du carburant, des véhicules, des intérêts sur les emprunts et de la main-d’œuvre ainsi que par l’absence d’indexation des subventions gouvernementales et par la baisse des revenus d’achalandage reliée à la pandémie. Conséquence, la MRC doit réduire l’offre de service, par exemple, en limitant les ententes avec les entreprises privées pour faciliter le transport des travailleurs.

Oui, il y a toujours moyen de mieux gérer, mais dénoncer la mauvaise gestion, c’est utiliser un arbre pour cacher la forêt : tout le contexte économique actuel est toxique pour les transports en commun.

Avant même la pandémie, l’accroissement considérable de l’offre de services, un accroissement souhaité ardemment par tous les ordres de gouvernement, mettait une pression sur les dépenses d’opération qui n’était plus soutenable, ni par les usagers ni par la taxe foncière (la part moyenne de contribution des municipalités du Québec est déjà la plus élevée au Canada)1. Le gouvernement du Québec lui-même reconnaît les failles du modèle de financement des réseaux de transport… il a d’ailleurs fait deux vastes consultations sur le sujet, sans, à ce jour, proposer de solution.

Pire encore, quand les municipalités ont voté pour élargir la contribution sur l’immatriculation à l’ensemble des municipalités du Grand Montréal – afin de développer l’offre de transports en commun –, le précédent ministre des Transports s’y est opposé ! On tourne en rond.

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PHOTO CAROLINE GRÉGOIRE, ARCHIVES LE SOLEIL

Pour chaque dollar payé par un individu, la collectivité paie l’équivalent de 5,77 $ lors d’un déplacement réalisé en automobile et de 1,31 $ lors d’un déplacement réalisé en autobus.

Une dépense comme une autre ?

Non, les transports en commun ne sont pas une dépense comme une autre. Ce sont les usagers des transports en commun qui rendent service au gouvernement, pas l’inverse⁠2 !

Pour chaque dollar payé par un individu, la collectivité paie l’équivalent de 5,77 $ lors d’un déplacement réalisé en automobile et de 1,31 $ lors d’un déplacement réalisé en autobus⁠3.

De plus, faut-il le répéter, la lutte contre les GES passe nécessairement par les transports en commun.

Chaque choix individuel de passer de l’auto à l’autobus est un gain collectif considérable. Je risque une comparaison : qui dirait que l’éducation est déficitaire ?

Montréal est un problème ?

« Je ne crois pas que c’est au gouvernement et aux contribuables du Québec de payer pour 100 % d’un déficit de plus de 2 milliards dans le Grand Montréal », a dit la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, pour justifier ses hésitations.

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La mairesse de Montréal, Valérie Plante, et la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, dans des installations de la STM. Le Grand Montréal, c’est 82 municipalités, 48 % de la population du Québec et 55 % de son PIB.

La Société de transport de Montréal devrait être traitée différemment des autres sociétés de transport. Pourquoi ? Elles ont toutes un déficit. La crise est partout. Il faut vraiment que le gouvernement se débarrasse de son réflexe de taper sur Montréal, nous y perdons tous. Ai-je besoin de rappeler que le Grand Montréal, c’est 82 municipalités, 48 % de la population du Québec et 55 % de son PIB ?

À cet égard, le ministre des Finances, Eric Girard, a récemment cité une étude selon laquelle l’écart de PIB entre l’Ontario et le Québec est, en fait, un écart de PIB entre Montréal et Toronto⁠4. Le ministère des Finances devrait donc inciter celui des Transports à investir dans les transports en commun à Montréal, c’est un moyen éprouvé d’augmenter l’attractivité de la métropole et la productivité de la main-d’œuvre, donc d’augmenter le PIB.

Blâmer Montréal ou les sociétés de transport ne mène à rien. Sous-financer les transports en commun ne fait que nous rapprocher du précipice. Il faut faire mieux.

3. Chiffres tirés de l’« Évaluation comparative des coûts totaux des déplacements selon le mode de transport utilisé sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec », par Voisin, Dubé et Coehlo, Université Laval, février 2021.

C'est ça le gros problème en Amérique du Nord, on voit les TeC comme une dépense, pas comme un investissement.

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Il y a 20 heures, champdemars a dit :

Est-ce que la RATP a des pouvoirs spéciaux de taxation pour avoir des revenus autonomes?

https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/comment-sont-finances-vos-transports-en-commun-

L'état ne fournit que 2% du financement.

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Il y a 8 heures, champdemars a dit :

Mais cela doit se faire seulement si le rapport d’audit propose une telle mesure ou indique que les salaires des employés sont trop élevés.

 

Des chauffeurs d'autobus qui font en moyenne 100k/année... Même si ça inclut du temps supplémentaires...

C'est irréaliste de maintenir une masse salariale comme ça pour des employés de premier niveau...

Pourquoi on offre pas ça aux autres employés de l'état de la même instance tant qu'à y être... Infirmières, Professeurs et même les policiers n'ont pas ça aussi rapidement accès à ces salaires que les chauffeurs d'autobus... Ça parle... Je comprends que c'est un emploi monotone qui n'attire pas beaucoup les gens comme travailler dans un cubicule de métro... C'est juste, faut rester équitable pour les autres aussi.

Après ça, c'est évident que pas intéressant d'aller au Privé... Donc ça discrédite/canibalise l'option de la sous-traitance comme on l'a vu pour les autobus interrurbains avec Exo, tant que des salaires comme ça seront disponibles au Publique.

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Il y a 14 heures, johan a dit :

Des chauffeurs d'autobus qui font en moyenne 100k/année... Même si ça inclut du temps supplémentaires...

Ça devrait ressortir dans l’audit alors. Si c’est le cas, on devrait trouver un moyen de sous-traiter une partie de ce travail pour balancer.

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