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Kids will walk without Quebec turnabout

 

KONRAD YAKABUSKI

Globe and Mail

March 20, 2008 at 6:00 AM EDT

 

Jacques Ménard has got a batting average that has earned him a reputation as the Alex Rodriguez of Quebec investment banking.

 

As Bank of Montreal's Quebec president and chief rainmaker at BMO Nesbitt Burns, Mr. Ménard has been handed some of the toughest M&A mandates Canadian business has ever seen. Yet, like Yankees sensation A-Rod, Mr. Ménard has knocked more than his fair share out of the park.

 

TSX Group's recent $1.3-billion deal to buy an initially hostile Montreal Exchange probably wouldn't have happened – or at least not as quickly – without him. Power Financial's $4-billion (U.S.) purchase, through its Great-West Lifeco unit, of Putnam Investments bore his fingerprints, too.

 

If baseball metaphors come to mind, it's probably because Mr. Ménard saved the sputtering Montreal Expos – twice. In 1991, he put together a group of Quebec Inc. bigwigs to buy the team from Charles Bronfman. And as Expos chairman in 1999, Mr. Ménard negotiated the financially strapped team's sale to Jeffrey Loria, once again preserving major league baseball in Montreal.

 

Even the best strike out now and then, though. Mr. Ménard, now 62, couldn't stop the Expos from ultimately leaving in 2004. And BMO's Quebec team couldn't work miracles for Alcoa in its doomed attempt to buy Alcan last year.

 

Mr. Ménard can accept the occasional walk. It's getting pulled from the batting line-up that really gets his goat.

 

That is essentially what happened when Quebec Premier Jean Charest summarily shelved the 2005 report on the province's cash-sucking health care system that was tabled by a task force led by Mr. Ménard. The latter watched with similar frustration last month as Mr. Charest did the same thing with the recommendations – including higher consumption taxes and user fees – of yet another government-commissioned task force to plug the province's health care black hole.

 

Health care expenses account for 44 per cent of Quebec's program spending. They're headed toward almost 70 per cent by But with the highest debt per capita, highest taxes, shortest workweek, most generous social safety net, lowest productivity growth and most rapidly aging population in Canada, Quebec is already struggling to stay afloat.

 

What kind of future does that suggest for the young Quebeckers who will be left to pick up the tab for the hip replacements and Cialis their baby boomer grandparents seem to consider a God-given right?

 

Hence, Mr. Ménard's cri du coeur in the form of a book, out this week, titled Si on s'y mettait (rough translation: If We Got Busy With It). Part reality check, part road map to growth, Mr. Ménard's essay is aimed primarily at the generation between 18 and 35. They vote far less than their elders, seemingly resigned to watching the politicians of their parents' generation mortgage their future.

 

Few Quebec business leaders these days are willing to go public with their disillusionment with Mr. Charest's failure to tackle such problems. Not Mr. Ménard.

 

“It's astounding the extent to which Quebec's poverty jumps out at you when you come back from a trip abroad,” Mr. Ménard writes, comparing Quebec to a “developing country whose roads have been literally abandoned for generations.” Mr. Ménard dismisses the so-called “Quebec model” of extensive social programs as “a Cadillac with a Lada motor.”

 

The debate over the sustainability of Quebec's public services, given the province's relative demographic and economic decline, has been turning in circles for years. In that respect, the most useful contribution of Mr. Ménard's book probably comes from polling data on young Quebeckers and Canadians the author commissioned himself.

 

It's long been thought that the language barrier and Quebeckers' attachment to their distinct culture is a natural barrier against their mobility.

 

Indeed, governments seem to take for granted that francophone Quebeckers will never leave home.

 

Mr. Ménard's research tells a very different story. Not only are young Quebeckers more outward-looking than their English-Canadian peers, they're more willing to move for a better job.

 

More than half (51 per cent) of Quebeckers between 18 and 35 say they like the idea of working in a foreign country, compared with 43 per cent in the rest of Canada.

 

Forty-five per cent of young Quebeckers say they would “without hesitation” leave Quebec to work elsewhere if a more interesting or better-paying job came up.

 

So, if the best and brightest leave, who's going pay for the boomers' new hips?

 

A wealthy investment banker like Mr. Ménard doesn't have to personally worry about that – leading his critics in Quebec's still-powerful union movement to charge that his policy prescriptions are just part of the same old right-wing agenda to privatize public services.

 

Mr. Ménard denies that. He admits, though, to having his own selfish reasons for writing the book: “I'd like to watch my grandkids grow up without having to go through airports … Mea culpa. I've a got a conflict of interest.”

 

http://www.reportonbusiness.com/servlet/story/RTGAM.20080319.wyakabuski0320/BNStory/Business/home

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Intéressant de voir comment les médias québécois présentent des nouvelles assez positives (Voir article sur la création d'emplois) tandis que c'est le contraire pour les médias anglophones.

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Il faut faire attention à l'article qui parle de création d'emplois. CE n'est pas nécessairement vrai que Montréal a crée plus de Jobs que Toronto, c'est le taux de CROISSANCE de L'emploi qui a monté de 2.5% à Montréal par rapport à 2.3% à Toronto.

 

Montréal a BEAUCOUP de rattrapage à faire, non seulement vis à vis Toronto, mais le reste du Canada et le reste du Nord-Est Américain.

 

Et SVP, venez pas me dire qu'on ne devrait pas se comparer à eux, ils SONT NOS COMPÉTITEURS DIRECTS!!

 

Health care expenses account for 44 per cent of Quebec's program spending. They're headed toward almost 70 per cent by But with the highest debt per capita, highest taxes, shortest workweek, most generous social safety net, lowest productivity growth and most rapidly aging population in Canada, Quebec is already struggling to stay afloat.

 

Croyez vous sincèrement que si nous continuons avec le "Québec model" nous allons réussir?? On va faire dûr en crisse quand tous les baby boomers seront retraités! On parle d'un mini-baby boom ces dernières années, mais il ne faut pas se compter des histoires, ce n'est pas vraiment un baby boom que nous vivons dernièrement. Nous n'avons même pas atteint les 2.2 bébés par femme pour assurer le remplacement. Nous étions tellement habituer de voir les familles avec si peu d'enfants qu'un petit boost et nous croyons que nous vivons un baby boom!

 

Conitnuons à dépenser de l'argent que nous n'avons pas...ce n'est pas grave...tout va s'arranger par magie dans le futur!:sarcastic:

 

Les gens de la gauche vont crier haut et fort leurs même bull shit en disant que c'est les mêmes arguments présentés par un gars de la Droite. Ménard est peut être un gars de la droite, mais ça n'empêche pas que ce qu'il dit est vrai. Les gens de la gauche préfère se planter la tête dans le sable et faire semblant que tous vas très bien!

 

Pendant ce temps, les années passent et les gauchistes ne proposent rien de nouveau pour redresser notre bateau qui commence à prendre de l'eau. Qu'allons nous faire lorsque la masse des baby boomers seront des vieux croutons et vont dépenser beaucoup plus de notre argent dans le domaine de la santé? (nouvelle hanches, Viagra, etc...) Qui va être pogné pour payer? Ce sont nous, les toute petites générations X et Y. Je crois qu'il y a plus de baby boomers au Québec que de Gen-X'ers et Gen-Y'ers...ça va vraiment être beau dans 15-20 ans!

 

Si vous penser que nos taxes sont élevées aujourd'hui, attendez de voir dans 15-20 ans. 60% de nos salaires iront au gouvernement pour payer les caprices des baby boomers!

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Si vous penser que nos taxes sont élevées aujourd'hui, attendez de voir dans 15-20 ans. 60% de nos salaires iront au gouvernement pour payer les caprices des baby boomers!

 

Si ça se rend jusque là, crois moi, les baby boomers devront les payer eux-mêmes leur hanches. Montréal est ma ville, le français est ma langue et ma culture, mais je suis pas prêt à crever de faim et vivre dans un 2 et demi toute ma vie parce que le gouvernement va m'enlever 60% de mon salair pour faire vivre les gauchistes à marde qui vivent dans l'illusion de l'abondance.

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Si ça se rend jusque là, crois moi, les baby boomers devront les payer eux-mêmes leur hanches. Montréal est ma ville, le français est ma langue et ma culture, mais je suis pas prêt à crever de faim et vivre dans un 2 et demi toute ma vie parce que le gouvernement va m'enlever 60% de mon salair pour faire vivre les gauchistes à marde qui vivent dans l'illusion de l'abondance.

 

 

Déjà aujourd'hui, si tu gagnes un salaire moindrement intéressant tu va payer 48%ou 49% de ton salaire en taxes. 60% ce n'est pas très loin, et avec notre dette qui augmente et moins de travailleurs sur le marché, qui va payer???

 

Certainment pas le lâche qui est sur le B.S. depuis 2 ans!

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LOL tu parles de déclarations chocs... Ya franchement rien de nouveau là dedans.. Ça fait combien d'années que "l'élite" se lamente de tout ça? Et qu'est-ce que ça va changer? RIEN PENTOUTE!

 

Je sais pas quelle idée Mr. Ménard veut vendre mais je sais que son opinion vaut rien de plus qu'un vieux sénile qui chiale dans une ligne ouverte... Je sais aussi que l'action de BMO est à son plus bas depuis des lustres et qu'on pourrait employer des "highest fess" et "less generous" en parlant des frais de Nesbitt Burns.. Faire de l'argent dans d'autres provinces... dans d'autres pays... Parce que c'est pas ça qu'on fait déjà avec un portefeuille de placements Nesbitt Burns ? Dans tous ceux qu'ils ont à offrir ya des investissements à une ou deux entreprises québecoises MAX...

 

Il me semble que c'est tout à fait normal que 50% des gens répondent qu'ils veullent aller là où l'argent est... Ils font pas juste en parler.. ils le font depuis longtemps... C'est pas un phénomène exclusive au Québec l'exode là... et ça se limite pas aux qu'aux provinces... Comme si y'avait pas déjà d'autres pays où les salaires sont mieux qu'en Alberta ou en Ontario... En faite y'en a une longue liste qui eux-aussi chiallent à propos de l'exode de leurs citoyens...

 

Tant mieux si ça soulage certains d'écrire un livre là-dessu mais pour qu'est-ce que ça donne, tant qu'à moi j'leurs prescrirais simplement des Prozaks.. et désolé Mr. Ménard mais on va se croiser à l'aéroport!

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  • Administrateur

zzzzzzzzzzzzzz rien de neuf là, sonne pas mal gérant d'estrade.

 

habsfan le taux maximal est 48 % au québec, et pour l'atteindre, il faut péter les 300-400k au moins, on va pas revenir là dessus.

 

 

finalement, vous voulez payer moins de taxes, FAITES DES ENFANTS! Le régime québécois est axé là dessus... il n'est pas fait pour les célibataires ou les couples avec deux revenues pas d'enfants,... malheureusment pour moi et la pluspart d'entre vous.

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malek, c'est pas pour être chiant, mais c'est à 120 000 qu'on commence à payer 48% d'impôts...

 

http://www.ey.com/global/content.nsf/Canada/Tax_-_Calculators_-_Overview

 

et ça s'est vrai, le Québec n'est pas la place pour les célibataires lol!

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  • Administrateur

c'est tout revenu qui dépasse le 120k, pas le 120.000 au complet.

 

alors pour vraiment payer 48% effectivement, il faut que ça soit beaucoup plus que 300-400k en tout.

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LOL tu parles de déclarations chocs... Ya franchement rien de nouveau là dedans.. Ça fait combien d'années que "l'élite" se lamente de tout ça? Et qu'est-ce que ça va changer? RIEN PENTOUTE!

 

Je sais pas quelle idée Mr. Ménard veut vendre mais je sais que son opinion vaut rien de plus qu'un vieux sénile qui chiale dans une ligne ouverte... Je sais aussi que l'action de BMO est à son plus bas depuis des lustres et qu'on pourrait employer des "highest fess" et "less generous" en parlant des frais de Nesbitt Burns.. Faire de l'argent dans d'autres provinces... dans d'autres pays... Parce que c'est pas ça qu'on fait déjà avec un portefeuille de placements Nesbitt Burns ? Dans tous ceux qu'ils ont à offrir ya des investissements à une ou deux entreprises québecoises MAX...

 

Il me semble que c'est tout à fait normal que 50% des gens répondent qu'ils veullent aller là où l'argent est... Ils font pas juste en parler.. ils le font depuis longtemps... C'est pas un phénomène exclusive au Québec l'exode là... et ça se limite pas aux qu'aux provinces... Comme si y'avait pas déjà d'autres pays où les salaires sont mieux qu'en Alberta ou en Ontario... En faite y'en a une longue liste qui eux-aussi chiallent à propos de l'exode de leurs citoyens...

 

Tant mieux si ça soulage certains d'écrire un livre là-dessu mais pour qu'est-ce que ça donne, tant qu'à moi j'leurs prescrirais simplement des Prozaks.. et désolé Mr. Ménard mais on va se croiser à l'aéroport!

 

 

IICCCHHHHH!!!! ca c'est de la clareté.....

Maintenant explique donc le lien entre le portefeuille de Nesbitt, les frais de transaction du groupe de banking et le fait de vivre au Québec. Es-tu un investisseurs fortuné? un propriétaires d'une grosse corporation sinon je vois mal ton lien avec ce groupe et c'est un peu dans le champ ton affaires et ca fait bien rire. Je travaille en finance institutionelle, si t'as envie d'en parler laisse moi savoir.

 

J'ai pas lu le livre mais selon l'article ca ressemble à ce qu'on dit dans "Pour un Qc Lucide" ceci dit, lui prescrire des pillules c'est pas très fort non plus, M. Ménard fait un effort pour aller au front, c'est une sorte de lobbyisme qui s'oppose à plusieurs groupes d'influence au Québec et plus ce mouvement est fort plus il a du pouvoir. Si ca te fait pas plaisir ben caio caio.

 

On change pas les choses comme ca, surtout ici, mais le Qc évolue en pallier et c'est avant tout par l'action individuelle que les changements se feront. Moi j'y crois encore et surtout j'essaie de faire ma part en travaillant fort et du mieux possible (je fais plus de 80h/semaines).

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