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Réaménagement du Quartier chinois


Babbaluci

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Pas trop fort ils ont meme pas pensé installer une poubelle a coté des bancs c'est sure que le monde va jeter leur cup a café par terre. Ca doit etre ca la coulice de liquide entre les 2 premiers bancs.

Modifié par andre md
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Oui, parce que tous les nouveaux bancs de Ville Marie sont recouverts de graffiti.

 

Attend , bientôt graffiti ville avec tous les boites postaux sur chaque rue. A Blainville les boites ont des graffitis et des annonces colle , très jolie . En ville je ne voit pas comment ils vont les déneigé ; ca vais être compliquer , a la main comme au bon vieux temps.

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Attend , bientôt graffiti ville avec tous les boites postaux sur chaque rue. A Blainville les boites ont des graffitis et des annonces colle , très jolie . En ville je ne voit pas comment ils vont les déneigé ; ca vais être compliquer , a la main comme au bon vieux temps.

 

très pauvre comme le déneigement des bornes fontaines.

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  • 5 mois plus tard...

La suite...

 

[h=1]Faits saillants de la séance ordinaire du conseil d'arrondissement du 9 septembre 2015[/h][h=3]11 septembre 2015[/h]

 

[...]

 

    [*]Quartier chinois : La première des quatre phases de ce projet, axé sur le verdissement et la place accordée aux piétons, a été complétée et inaugurée en juin 2015. La deuxième commencera en 2016 et visera le réaménagement de la rue De La Gauchetière Est, entre les rues Sanguinet et Saint-Dominique.

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La suite...

 

La suite de la suite:

 

Le projet se divise en quatre phases dont la première a été complétée à l'été 2015. Cette première phase consistait à réaménager la rue de La Gauchetière entre les rues Clark et Jeanne-Mance.

 

La seconde phase (2015-2016) prévoit le réaménagement de la rue De La Gauchetière Est entre les rues Saint-Dominique et Sanguinet et vise à créer un lien piéton entre le Quartier chinois et le nouveau complexe hospitalier du CHUM.

 

La troisième phase (2017-2018) vise le réaménagement de la rue Clark entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger. La rue Clark souffre d’une détérioration de la chaussée et des trottoirs et des interventions sont requises. De plus, une conduite d’eau potable doit être remplacée. Les aménagements en surface prévus se feront en fonction des concepts avoisinants.

 

La quatrième et dernière phase (2018-2019) vise le réaménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger. Le boulevard Saint-Laurent souffre également d’une détérioration de la chaussée et des trottoirs et des interventions terme sont requises. De plus, deux conduites d’eau potable doivent être remplacées et une conduite d’égout doit être réhabilitée.

 

[...]

 

Phase 2: Rue De La Gauchetière entre les rues Saint-Dominique et Sanguinet (début des travaux en 2016) :

 

• Réaménagement et verdissement de la promenade de La Gauchetière;

• Piétonisation entre les rues Saint-Dominique et Sanguinet (300 m);

• Mise aux normes du mobilier urbain selon le concept;

• Plantation dans des fosses d'arbres agrandies.

 

Phase 3: Rue Clark entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger (début des travaux en 2018) :

 

•Élargissement des trottoirs et reconstruction de la chaussée entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger (250 m) ou piétonisation du même tronçon en respectant le concept de la rue de La Gauchetière;

• Remplacement d'une conduite d'eau potable datant de 1908 en fonte grise (200 mm) ainsi que les branchements de services en plomb sur 138,89 mètres;

• Mise aux normes du mobilier urbain selon le concept;

• Plantation dans des fosses d'arbre agrandies.

 

Phase 4: Boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger (débutdes travaux en 2019) :

 

• Reconstruction des trottoirs et chaussées entre le boulevard René-Lévesque et la rue Viger (260 m);

• Remplacement de la conduite d'eau potable en fonte grise datant de 1890 de diamètre 300 mm par une conduite de diamètre 200 mm, en fonte ductile;

• Réhabilitation de la conduite d'égout en brique de 600 par 900 mm datant de 1889;

• Mise aux normes du mobilier urbain selon le concept;

• Plantation dans des fosses d'arbres agrandies.

 

La dernière phase s'annonce intéressante...

Modifié par nephersir7
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2019... I might actually be dead by then.

 

Quel pessimisme! A moins que tu nous annonces une maladie grave et tu le fais de manière subtile par ce commentaire?

 

En ce qui me concerne, je comprends que comme dans la majorité des projets d'infrastructures, on y va par étape pour une question de logistique et aussi de budget. Si tout se faisait en même temps le commerce du quartier et sa fréquentation en souffrirait sûrement, sans parler des problèmes de livraisons, des rues fermées etc. Donc soyons patients surtout que les travaux souterrains sont souvent complexes et réservent parfois de mauvaises surprises. Alors rappelons-nous que vite et bien vont rarement bien ensembles et cela sans pour autant faire l'éloge de la lenteur.

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  • 3 mois plus tard...

http://journalmetro.com/actualites/montreal/915059/les-arches-et-la-pagode-du-quartier-chinois-restaurees-malgre-les-prix-eleves/

 

Titre: Les arches et la pagode du Quartier chinois restaurées malgré les prix élevés

 

'L’arrondissement de Ville-Marie a donné le feu vert à la restauration des quatre arches et de la pagode du Quartier chinois, même si le prix des soumissions est beaucoup plus élevé que l’estimation.

 

C’est la firme St-Denis Thompson qui a remporté mardi soir le contrat qui vise notamment à installer de nouvelles tuiles d’argile, à réparer la charpente et à installer des systèmes anti-pigeons. Sa soumission atteignait 1,516M$, soit 59,27% de plus que l’estimation qu’a faite la boîte Cardin Ramirez Julien architectes en 2014 (828003$).

 

Dans les documents de l’arrondissement, il est expliqué que l’écart est attribuable à la difficulté d’évaluer des travaux de nature artisanale, à la complexité du chantier et au prix des tuiles qui étaient plus élevé que prévu.

 

Le Journal de Montréal avait soulevé des doutes en octobre dernier sur la possibilité que cet appel d’offres soit entaché par la collusion. Le seul fournisseur des tuiles, qui se trouve en Chine, disait avoir une entente d’exclusivité avec une entreprise québécoise et son prix se s’élevait à 800000$. Or, le Journal a pu obtenir une soumission pour les mêmes tuiles pour 54 000$. Une plainte a été logée au Bureau de l’inspecteur général par un entrepreneur.

 

Les travaux doivent être entamés ce mois-ci pour se terminer en septembre prochain. «La réalisation des travaux permettra de régler un problème de sécurité publique des tuiles de céramique détériorées qui sont retenus par des filets protecteurs», est-il écrit dans les documents de l’arrondissement.'

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