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  1. Group calls for CP to give up Cote St. Luc rail yards. McGill urban planning to draft designs. http://montreal.ctvnews.ca/mobile/group-calls-for-cp-to-give-up-cote-st-luc-rail-yards-1.2950411 A former mayor of Cote St. Luc is calling for the removal of the CP rail yards. Robert Libman is leading a group calling for the rail yards to be taken off the island of Montreal. The yards take up about one-third of the city of Cote St. Luc, more than 200 hectares in the geographic centre of the island. "There's almost like this black hole in the heart, right in the middle of Montreal," said Libman. His Coalition for the Relocation of the St-Luc Rail Yards is going to lobby Canadian Pacific and multiple levels of government . The group acknowledges that buying out CP will take a fortune, not to mention the cost of decontamination. However it says the value of the land should be an incentive to sell. "In 2016, just the real estate value alone is reason for CP to consider moving their operations off island," said Libman. Libman said that he has heard countless complaints from people living near the yards from people frustrated by noise, smell and pollution. He said the yards are also the source of major commuting problems across a broad part of the island. The rail yards, and spurs from the yard, significantly limit the north-south connections in the region. Trying to afford a path over or under the yards has been one of the sticking points in the decades-old proposal to connect the two ends of Cavendish Blvd. Sources say negotiations with CP about crossing the rail spur that roughly parallels Vezina St. have also been one problem delaying the Blue Bonnets housing project. "[it] creates traffic gridlock, environmental concerns, safety concerns about rail yards being so close to a residential community," said Libman. He pointed out that the Turcot train yards are no longer used, moved out by the reconstruction of the Turcot Interchange and the displacement of Highway 20. Over the summer the Coalition will be seeking support for a petition to move the rail yards off-island - possibly to Les Cedres. Libman said the McGill School of Urban Planning will also work on designs for what could be done with the land if the rails are removed.
  2. West Island green space sale raises concern The wooded area extends from Cap-Saint-Jacques nature park in Pierrefonds alongside the l'Anse-a-l'Orme Park to Angell Woods in Beaconsfield. (CBC)A call for tenders for green space on Montreal's West Island has caught both environmental activists and government officials by surprise. Quebec's industrial development corporation, the Société générale de financement, which owns the land, has published ads in local papers seeking bids for the 98 hectares of land. The ads announce opportunities for residential and industrial construction. The wooded area extends from Cap-Saint-Jacques nature park in Pierrefonds alongside the l'Anse-a-l'Orme Park to Angell Woods in Beaconsfield. David Fletcher of the Green Coalition said he's worried the land - home to beavers, a herd of deer and rare species of plants and trees - will be spoiled. "We already have enough development," said Fletcher. "We already have enough strip malls. We don't have enough areas conserved." Local environmental groups and officials at the city of Sainte-Anne-de-Bellevue said they had been told at one time the land would be turned into a conservation area. "When we saw the ad in the paper, we thought, obviously we've been lied to perhaps," said Sainte-Anne-de-Bellevue Coun. Ryan Young.David Fletcher of the Green Coalition says the land should be preserved.David Fletcher of the Green Coalition says the land should be preserved. (CBC) The city had been planning to change zoning bylaws on its portion of the land this fall, said Young. But some worry it could be too late. A spokesperson for Quebec Environment Minister Line Beauchamp confirmed the ministry had hoped to turn the land into a conservation area. He said she is not happy about the decision to sell it. "I think that speaks volumes," said Young. "I've been speaking to activists inside Sainte-Anne-de-Bellevue and there's a move afoot to demonstrate … public support [to save the land]. Read more: http://www.cbc.ca/canada/montreal/story/2010/06/16/mtl-west-island-woods.html#ixzz0r77Ccrlu
  3. La Ville de Québec dirigera une coalition de maires de grandes villes qui feront la promotion d'un TGV dans le corridor Québec-Windsor. Pour en lire plus...
  4. Publié le 06 décembre 2008 à 07h32 | Mis à jour à 07h33 L'Ouest souverain ? Forget it! Patrick Lagacé La Presse (EDMONTON) Depuis que je suis devenu correspondant de La Presse en Alberta (he-hem), je suis inondé de courriels inquiets. J'aimerais vous dire que ces courriels réclament mon retour immédiat à Montréal, mais ce n'est pas le cas. On s'inquiète plutôt de la séparation de l'Ouest. Car, si vous l'ignoriez, il existe bel et bien un fond «séparatissse» dans l'Ouest canadien. Et avec cette coalition qui menace de faire tomber un gouvernement conservateur largement soutenu par l'Ouest, ça grogne. On me demande, donc: «L'Ouest va-t-il demander son indépendance?» Eh bien! J'ai fait ma petite enquête et je suis heureux de vous dire que vous pouvez ranger vos cartes de crédit. Pas besoin d'acheter des billets d'avion pour venir dire aux Albertains WE LOVE YOU, au centre-ville de Calgary, comme certains Canadiens l'ont fait à Montréal un jour d'octobre 1995. Roger Gibbins, président du Canada West Foundation, un groupe de réflexion de Calgary, est catégorique: «Depuis 30 ans, l'appui à l'idée de séparer l'Ouest du Canada n'a jamais dépassé les 4 ou 5%. Ce qui est à peu près le pourcentage de gens qui affirment qu'Elvis est encore vivant.» Je souligne ici, pour les besoins de la clarté contextuelle, que M. Gibbins parlait, bien sûr, d'Elvis Presley, le chanteur. Pas d'Elvis Gratton, fédéraliste québécois. Personnellement, je crois que les gens de l'Ouest ne veulent pas se séparer pour des raisons pragmatiques: ils sont trop heureux de pouvoir venir faire la fête à Montréal, où les bars d'effeuilleuses sont plus olé-olé, sans avoir à sortir de passeport, je crois. Ils ne veulent pas se séparer, donc. Mais ils se sentent aliénés politiquement. On appelle ça la Western alienation depuis des siècles. «L'aliénation de l'Ouest est la base de ce sentiment séparatiste, me dit Tamara Palmer Seiler, prof d'études canadiennes à l'Université de Calgary. On parlait davantage de séparation dans les années 80, après le Programme national énergétique imposé par Trudeau. Mais, politiquement, ça demeure très, très marginal.» Marginal? Le mot est peut-être encore trop généreux pour décrire l'appui réel que récolte le Western Block Party, le plus connu de ces partis, qui n'a présenté qu'une candidate en octobre dernier. Son score (dans une circonscription de Colombie-Britannique): 195 voix. «L'Ouest n'a jamais voulu sortir du Canada. L'idée n'a pas de sens: le sentiment canadien est tellement fort», résume Roger Gibbins. Fort? Il faut sortir un peu du Québec pour comprendre à quel point le sentiment canadien est absent, chez nous. (Chaque fois que j'écris un truc comme ça, des lecteurs m'écrivent pour me dire: «Vous vous trompez, monsieur, je suis très canadien, moi!») Je parle plutôt d'un sentiment collectif. D'une canadianité, si je puis dire, très visible. Je parle d'un attachement ostentatoire. Je parle de drapeaux canadiens immenses qui flottent au vent, dans les parkings de stations-service ou de centres commerciaux. Dans l'Ouest, l'aliénation s'est historiquement traduite par un désir de faire souffler un vent d'ouest sur Ottawa. Quand le Reform Party a été fondé, Preston Manning a bien symbolisé l'état d'esprit de ses troupes: «The West wants in.» L'Ouest veut jouer. Et non pas The West veut sacrer son camp. L'aliénation de l'Ouest, note la professeure Palmer Seiler, n'est pas un phénomène canadien. «L'Ouest américain aussi s'est longtemps senti laissé pour compte par Washington. Ça vient, je crois, avec le fait d'être une terre nouvelle.» Robert Gibbins, comme bien des gens de l'Ouest, a accueilli la prorogation du Parlement avec satisfaction. Il voit la manoeuvre coalisée comme «une tentative de changer les règles du jeu politique», au détriment de l'Ouest. «Mais si la coalition devait réussir à prendre le pouvoir, les quatre provinces de l'Ouest pourraient adopter une stratégie inspirée du Bloc québécois. Personnellement, j'en serais peiné. Mais des gens pourraient se dire que, si le Bloc a du succès avec une stratégie «Québec d'abord», une stratégie «l'Ouest d'abord» pourrait aussi fonctionner, puisque c'est ce que la politique commande.» Y a-t-il une réaction anti-Québec dans l'Ouest, à cause de cet appui du Bloc à une coalition honnie dans ce coin du pays? Hier, à la radio de Radio-Canada, l'Association canadienne-française de l'Alberta assurait ne pas avoir encore eu connaissance d'un ressac contre les francophones. «Depuis 10, 12 ans, le Québec était à peu près disparu du radar politique, dans l'Ouest, selon Roger Gibbins. Il y avait de l'indifférence, pas de l'hostilité. Quand Harper a fait des gestes pro-Québec, comme la reconnaissance de la nation, personne ici n'a rechigné. Là, avec l'appui du Bloc à la coalition, oui, il y a une réaction. Mais elle est contre le Bloc québécois, pas contre les Québécois.»
  5. Est-il trop tard pour Harper ? Hélène Buzzetti Édition du lundi 01 décembre 2008 Les compromis conservateurs n'arrêtent pas le projet d'une coalition PLC-NPD Ottawa -- Les concessions accordées par les troupes de Stephen Harper au cours du week-end n'ont pas apaisé les velléités de l'opposition. Au contraire, la coalition Parti libéral-NPD qui désire se substituer au gouvernement minoritaire conservateur prend de plus en plus forme. Il ne lui manque plus qu'un chef et, selon les informations du Devoir, Stéphane Dion entend proposer à son caucus ce matin de devenir ce premier ministre recherché. Il a l'appui de Bob Rae. Le réseau anglais de Radio-Canada a indiqué hier soir qu'une entente avait été conclue entre le chef libéral, Stéphane Dion, et le leader néo-démocrate, Jack Layton, accordant au NPD le quart des sièges dans le cabinet ministériel de coalition. Selon cette entente, le ministère des Finances serait confié à un député du Parti libéral. Au cours du week-end, les troupes de Stephen Harper ont battu en retraite sur plusieurs fronts. D'abord, le gouvernement met de côté son idée d'abolir les allocations d'État versées aux partis politiques: le 1,95 $ versé pour chaque vote obtenu sera plutôt gelé (et non plus indexé selon l'inflation). Les conservateurs s'engagent à faire de son abolition une promesse électorale défendue au cours d'une prochaine campagne. Ensuite, le gouvernement renonce à suspendre le droit de grève des fonctionnaires fédéraux. Enfin, le ministre des Finances, Jim Flaherty, s'engage à déposer un budget plus tôt que prévu: le 27 janvier prochain au lieu de la dernière semaine de février comme cela est la norme à Ottawa. L'interdiction faite aux fonctionnaires de s'adresser aux tribunaux pour faire respecter l'équité salariale n'est pas levée. Ces annonces n'ont pas eu l'heur d'apaiser les ardeurs de l'opposition. «C'est trop peu, trop tard. On ne se retrouvera pas une fois de plus comme Charlie Brown sur le dos parce que Lucie a retiré la balle», a lancé le député du NPD, Thomas Mulcair, au cours d'une conférence de presse hier soir. Selon M. Mulcair, ces tentatives d'utiliser la crise économique comme un prétexte pour faire passer des mesures de droite ont révélé le vrai visage du parti de Stephen Harper. «Pendant des années, M. Harper a tenté de faire croire aux Canadiens qu'il n'avait pas un ordre du jour caché alors qu'il rassurait sa base qu'il en avait bien un. Cette fois, le chat sort du sac. Nous ne lui laisserons pas une autre chance», dit-il. Rencontres au sommet Les chefs des trois partis d'opposition se sont rencontrés en soirée hier pour s'entendre sur les mesures que prendrait la coalition pour venir en aide à l'économie. Le PLC et le NPD ont discuté intensément samedi et hier matin pour déterminer la forme que prendrait ce gouvernement de coalition. La rumeur la plus persistante veut que le cabinet comporterait 30 ministres, dont 10 néodémocrates. Le but hier soir était de présenter à Gilles Duceppe le fruit de ces discussions et s'assurer ainsi l'appui de ses troupes. D'autre part, les trois prétendants à la direction libérale -- Bob Rae, Michael Ignatieff et Dominic LeBlanc -- se sont aussi rencontrés tard hier soir à Toronto dans un contexte où la coalition se cherche un chef. À cette rencontre, Bob Rae, que plusieurs disent tirer de l'arrière dans la course, s'est fait le défenseur de Stéphane Dion. Il a demandé à ses adversaires de se rallier à la proposition de M. Dion à l'effet qu'il reste le chef jusqu'à ce qu'un vainqueur soit couronné en mai. «Il y a une course au leadership légitime en cours et M. Rae ne voit aucune raison de changer cela», a confié un proche conseiller de M. Rae. Selon cette source, «M. Rae est à l'aise [avec le fait que M. dion soit le chef]et il encourage les deux autres de faire de même.» Les clans de MM. Ignatieff et LeBlanc n'ont pas voulu commenter la rencontre hier soir. Quelles mesures de stimulation? Dans leur énoncé économique, déposé jeudi et à l'origine de toute cette crise politique, les conservateurs ont choisi de réduire les dépenses de l'État de 4,3 milliards de dollars afin d'afficher un surplus plutôt que d'injecter des sommes et de stimuler l'économie. Il n'est pas assuré que les conservateurs dévoileront dans le budget les mesures attendues par l'opposition. Au cours d'une conférence de presse téléphonique hier, le ministre Jim Flaherty a encore présenté le tout au conditionnel. «Nous utiliserons de la stimulation temporaire si cela est nécessaire», a-t-il déclaré. Il a répété qu'il n'imiterait pas les États-Unis dont l'approche a consisté à «disperser l'argent en espérant que cela fonctionnerait». Le ministre aime rappeler que les diminutions d'impôts et la baisse de la TPS déjà consenties, et qui seront toutes en vigueur le 1er janvier, représenteront un stimulus d'une valeur de 2 % du PIB canadien. Or, c'est justement ce que la communauté internationale demande aux gouvernement nationaux d'investir pour sauver l'économie mondiale. Est-ce donc à dire qu'Ottawa juge avoir déjà assez fait? Le ministre reste vague. «Aiderons-nous un secteur précis ou certains secteurs précis? La réponse est probablement que oui.» Le secteur de l'automobile doit présenter d'ici vendredi un plan de relance et ce n'est qu'à ce moment que le gouvernement entend étudier la possibilité de l'aider. Plus tôt dans la journée, le lieutenant pour le Québec, Christian Paradis, avait déclaré que ce serait une «hérésie» si le Canada agissait avant de savoir ce que les États-Unis feraient à ce chapitre. «Ce serait garrocher de l'argent par les fenêtres.» Geste antidémocratique Les conservateurs ont répété au cours du week-end que la tentative de déloger le gouvernement s'apparente à un coup d'État. L'opposition a vite fait de rappeler que Stephen Harper avait une opinion bien différente il y a quatre ans. En septembre 2004, alors que Paul Martin dirigeait un gouvernement libéral minoritaire, l'opposition avait rédigé une lettre à l'intention de la gouverneure générale de l'époque, Adrienne Clarkson. «Nous faisons valoir avec respect que les partis d'opposition, qui ensemble représentent une majorité à la Chambre, sont en discussions très étroites. Nous croyons que si le gouvernement vous demandait de dissoudre la Chambre, vous devriez consulter, comme la pratique constitutionnelle le veut, les chefs de l'opposition et considérer toutes les options avant d'exercer votre autorité.» Cette lettre du 9 septembre était signée par Gilles Duceppe, Jack Layton et... Stephen Harper. En outre, les conservateurs, qui se moquent de la légitimité d'une coalition ayant besoin de l'appui des «séparatistes» du Bloc québécois, oublient de mentionner qu'en 2006, lorsqu'ils n'avaient que 124 sièges à la Chambre des communes, ils avaient eu besoin eux aussi des bloquistes pour faire adopter leur premier budget. Michael Ignatieff a d'ailleurs déclaré qu'aucun compromis ne serait fait avec le Bloc québécois sur des questions touchant l'intégrité du Canada. «C'est hors de question de compromettre l'unité nationale de notre pays.» Écoute électronique La crise politique prend par ailleurs une tournure imprévue. Le NPD songe à intenter une poursuite contre le Parti conservateur pour avoir effectué de l'écoute électronique illégale. Le Parti conservateur a en effet pu participer à un appel-conférence de Jack Layton avec ses députés samedi. M. Layton y a dit que toutes ces discussions de coalition n'auraient pas pu être possibles n'eussent été des discussions préalables avec le Bloc québécois «il y a longtemps». Pour les conservateurs, il s'agit d'une preuve que l'opposition veut renverser le gouvernement parce qu'elle le peut et non parce qu'elle est insatisfaite de l'énoncé économique. Le Bloc québécois et le NPD ont nié ces allégations, expliquant qu'en situation minoritaire, les partis d'opposition sont en contacts continuels. Les conservateurs ont admis avoir obtenu accidentellement les coordonnées pour se joindre à l'appel. Selon Thomas Mulcair, un député d'arrière-banc conservateur a écouté la conversation à l'insu des néodémocrates. La transcription d'une partie de l'appel a été distribuée aux journalistes. «Nous avons déjà contacté des spécialistes en droit des médias pour voir si le Code criminel a été enfreint, car il s'agit ici d'avoir intercepté, enregistré et diffusé un appel. Ça montre leur désespoir.»
  6. Residents take airport grievance to auditor-general Want probe into expansion. Supreme Court nixed coalition's request to launch class-action suit against ADM The Gazette Published: 9 hours ago A coalition of Montreal residents has appealed to the auditor-general to investigate Trudeau Airport and what the coalition sees as unchecked expansion that does not consider impact on the environment or the quality of life of thousands of Montrealers. In a petition delivered yesterday to Sheila Fraser, Citizens for Quality of Life asked for an investigation into grievances that date back to 1995, when flights were transferred from Mirabel to Dorval without, the coalition says, public consultation. Night flights, the loss of green space to airport expansion, an increasing number of flight traffic and noise pollution are all cited in the petition. But like other Canadian airport authorities, Aéroports de Montréal is private and therefore outside the auditor-general's purview. Ghislain Desjardins, a spokesperson in the auditor-general's office, said that while the Dorval airport authority cannot be audited, its 60-year lease with Transport Canada can. However, Desjardins noted, any new audit would not happen immediately. Audit reports of federal departments and crown corporations that are already planned take the office into 2010. The coalition alleges Transport Canada failed to appropriately monitor the environmental clauses in its long-term lease with ADM. Copied to more than 40 elected officials, including Prime Minister Stephen Harper and Federal Transport Minister Lawrence Cannon, the petition targets the $1.5 billion in airport expansions that have taken place since 1996. Luc Marion, president of the coalition representing residents in eight Montreal municipalities, including Dorval, St. Laurent, Lachine and Lasalle, said the group was forced to go to the auditor-general after the Supreme Court of Canada refused to grant its request to launch a class-action lawsuit against ADM. "We are questioning the manner in which ADM has been able to move from Mirabel to Dorval, expand as it has without (looking at) the environmental impact now, 20 and 30 years from now," Marion said. There were 543 daily aircraft movements at Dorval airport in 1995, the year before flights were moved back there from Mirabel, Marion said. By 2007, that number had jumped to 666 a day. Marion said if ADM projections of the airport's growth are accurate, the number would reach 716 by 2010 and 864 by 2015. "We are not going to let another 200 planes fly over our heads a day," Marion said. - - - Dorval's airport is getting busier Daily aircraft movements at Dorval's airport 1966 345 1995 543 2007 666 2010* 716 2015* 864 *Projected figures Source: Citizens for quality of life
  7. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que la construction d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine, en Minganie, est un projet majeur pour la Côte-Nord, qui générera une énergie renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre. Pour en lire plus...
  8. L'ancienne coalition régionale pour la défense des consommateurs de carburant sont heureux d'avoir maintenant la preuve de ce qu'ils prétendaient il y a 10 ans. Pour en lire plus...
  9. L'ancienne coalition régionale pour la défense des consommateurs de carburant sont heureux d'avoir maintenant la preuve de ce qu'ils prétendaient il y a 10 ans. Pour en lire plus...
  10. Fédération internationale pour la diversité culturelle Le siège social à MontréalMise à jour le jeudi 20 septembre 2007, 22 h 22 . Montréal abritera le siège de la nouvelle Fédération internationale pour la diversité culturelle. À Séville, en Espagne, les délégués de 37 pays, dont le Canada, ont décidé par un vote unanime de créer cet organisme voué à défendre le droit des pays d'appliquer des politiques culturelles. La première Coalition pour la diversité culturelle a été créée au Canada en 1999. Aujourd'hui, ce type de coalition existe dans 42 pays. Leur lutte a abouti à l'adoption de la Convention de l'UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, en 2005. À ce jour, 67 pays l'ont ratifiée.
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