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  1. Microsoft achète la division affaires de l’entreprise lavalloise InCycle Software pour un montant qui n’a pas été dévoilé. Plus précisément, Microsoft achète la division InRelease, qui conçoit des solutions de gestion de développement continu d’applications. Grâce à cette acquisition, le numéro un mondial du logiciel dit vouloir «élargir son offre de solutions de développement des opérations utilisant Microsoft Visual Studio et Team Foundation Server.» Visual Studio est un ensemble d’outils qui permet de développer des applications Web, alors que Team Foundation Server est un système de développement collaboratif de logiciels. «L'acquisition d'InRelease ajoutera des capacités de gestion de lancement aux solutions de gestion du cycle de vie des applications (application lifecycle management, ou ALM en anglais) et de développement des opérations offertes par Microsoft, ce qui aidera les clients à offrir de meilleures applications plus rapidement et plus efficacement», a expliqué l’entreprise de Redmond dans un communiqué. «InRelease a été conçu comme un complément aux fonctionnalités existantes de Visual Studio. Nous sommes très heureux qu'il fasse maintenant partie d'une solution d'ALM intégrée dont tous les clients Visual Studio pourront bénéficier», déclare Claude Remillard, président d'InCycle Software. Fondée en 2002, InCycle Software possède des bureaux à Laval, New York, San Francisco et Seattle. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/microsoft-achete-a-laval/558304#.Uaz00thKR5F
  2. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19497&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques 7 septembre 2012 Montréal, le 7 septembre 2012 - Ce samedi 8 septembre, à l'Université McGill, près de 200 développeurs en informatique participeront à Hack ta ville, un événement intensif de création informatique. Réalisé en partenariat avec la Ville de Montréal, la Société de transport de Montréal (STM) et l'Agence métropolitaine de transport (AMT), Hack ta ville vise à développer des applications portant sur le transport, la planification urbaine mais aussi l'agriculture urbaine, le développement durable ou l'utilisation du territoire (lieux publics, parcs, développement résidentiel). L'événement provoquera une rencontre entre amoureux de la ville, citoyen-bidouilleurs (hackers), concepteurs, acteurs communautaires, universitaires et professionnels des transports et leur permettra de développer un projet web ou mobile à partir des ensembles de nouvelles données ouvertes par la Ville de Montréal, la STM et l'AMT. « Je suis très heureux que la Ville de Montréal libère de nouveaux ensembles de données dans le cadre de Hack ta ville, le 8 septembre prochain. Cela fera bientôt un an qu'elle est devenue la première municipalité au Québec à ouvrir ses données. Elle a permis ainsi aux développeurs de créer de nouvelles applications informatiques qui facilitent la vie des Montréalais, notamment en ce qui a trait à leurs déplacements, tout en stimulant l'entrepreneurship », a déclaré le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Michael Applebaum. Pour alimenter le travail des développeurs présents à Hack ta ville, la Ville de Montréal libère les nouveaux ensembles de données suivants : • Stationnement sur rue – Panneaux de signalisation • Anciens territoires administratifs de la Ville de Montréal • Recensement de la population de l'île de Montréal – 2011 • Arbres publics sur le territoire de la Ville - Échantillon arrondissement de Ville-Marie La plupart de ces ensembles de données sont accessibles sur le portail des données ouvertes de la Ville de Montréal à l'adresse http://donnees.ville.montreal.qc.ca/. Sur place, la Ville de Montréal fournira également sur CD-ROM des échantillons de données sur les éléments suivants : • Arboretum • Boisés • Lieux culturels • Écoterritoires, • Terrains en friches • Milieux humides • Parcs et les ruisseaux De son côté, « l'AMT est soucieuse d'offrir une information en continu concernant ses services de transport collectif. Une toute nouvelle gamme d'outils d'information instantanée a donc été développée pour faciliter les déplacements des clients tout au long de leur parcours, comme 511AMT, le site mobile, l'outil Alerte-Train et le compte Twitter de l'AMT. Au même titre que les applications qui pourront être créées grâce à l'ouverture de nos données, ces technologies améliorent la coordination des services pour les clients. L'ouverture de nos données en temps réel s'inscrit dans ce cadre et permettra de développer des solutions d'applications mobiles innovantes afin d'offrir une information utile à la clientèle pour rendre l'expérience du transport collectif conviviale et facile », souligne le vice-président, Communication et marketing de l'AMT, M. Pierre-Luc Paquette. L'AMT rendra donc accessible de toutes nouvelles données en temps réel concernant son réseau de trains de banlieue au amt.qc.ca/developpeurs. Sous le format standardisé General Transit Feed Specification (GTFS)-temps réel : • État du service des trains de banlieue (le respect des horaires) • Alertes de service concernant les retards, les annulations, les événements imprévus et les horaires modifiés • Position des rames de trains sur l'ensemble du réseau de l'AMT Sous le format Transit Communications Interface Profiles (TCIP) : • Liste de l'ensemble des lignes du réseau de trains de banlieue • Liste des gares du réseau de l'AMT • Horaire de tous les voyages • Respect des trains à l'horaire en temps réel • Alertes sur l'état du service des trains Par ailleurs, « la STM rend disponible aujourd'hui un ensemble de données, totalement anonymes, qui portent sur les déplacements d'utilisateurs de la carte OPUS au sein des réseaux de bus et de métro. Entre les mains des développeurs créatifs et talentueux présents à Hack ta ville, ces données pourront par exemple servir à développer des outils qui proposent des trajets alternatifs pour faciliter les déplacements des citoyens et favoriser l'utilisation du cocktail transport », a affirmé M. Michel Labrecque, président du conseil d'administration de la STM.
  3. «L’application Montréal Avant pour découvrir le Montréal d’avant est aujourd'hui disponible pour iPhone et Smartphones Android. Elle permet aux habitants de la ville comme aux touristes de voyager dans le temps en comparant plus de 150 photographies actuelles de Montréal à des clichés vieux de plusieurs décennies voir d’un siècle. Après le succès de Paris Avant et des autres applications lancées en France et en Espagne, les visiteurs de Montréal peuvent désormais eux aussi se prêter au jeu des 7 erreurs ! Comme pour les autres applications déjà publiées, la définition d'une distance de notification au lancement de Montréal Avant permet d'être ensuite automatiquement prévenu à l'approche d’un lieu répertorié. Grâce à l'onglet "Repérer", l'utilisateur peut également voir, sous forme de liste, sur une carte ou en réalité augmentée, les points les plus proches de lui ou encore faire une recherche. Sur la page d’un lieu Avant/Après, il est notamment possible de superposer la photo ancienne au réel et d'en savoir plus sur l’endroit grâce à une description mélangeant commentaire historique et anecdote. De plus, de nouveaux lieux viennent régulièrement compléter la base existante ! « Pour chaque ville ou nous avons créé une application, on constate des changements à travers le temps. Mais l’évolution de Montréal se situe à un tout autre niveau : malgré son histoire relativement récente, de nombreux lieux ou quartiers sont méconnaissables ! C’est la possibilité d’observer cette transformation urbaine qui fait la force des nombreux clichés Avant/Après fournis par notre partenaire Guillaume St-Jean pour l’application. » explique Jean Carrière, l’un des créateurs de MaVilleAvant. Montreal Avant est désormais disponible sur l’Apple Store et Google Play (Android) au prix de lancement de 1,99 $ CAD. Prochaine étape pour les applications MaVilleAvant : Vancouver Avant, prévue avant l’été. Pour plus d’informations sur les applications MaVilleAvant, rendez-vous sur le site internet http://www.mavilleavant.com»'>http://www.mavilleavant.com» Source : http://www.mavilleavant.com
  4. La firme montréalaise Ultra Electronics SCT a révélé mardi avoir obtenu des commandes de 23 millions $ de l'armée américaine. Ultra-SCT se spécialise dans les systèmes de communication radio à grande capacité et systèmes de guerre électronique. Ultra-SCT fournira des ensembles de mise à niveau de stations radio et des radios de type AN/GRC-245 supplémentaires pour le programme Warfighter Information Network Tactical Inc-1 de l'armée américaine. Ce programme fournit les réseaux de communication sur le terrain aux bataillons lorsqu'ils sont stationnaires. Ultra-SCT fournit de l'équipement de communication pour les applications militaires tactiques et les systèmes de défense. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport-et-produits-industriels/ultra-electronics-rafle-des-commandes-de-23-m-de-l-armee-americaine/539552
  5. http://www2.infopresse.com/blogs/actualites/archive/2011/10/12/article-38371.aspx?s=newsletter
  6. There are an article in The Gazette (which I shall put after this post) that speaks about Montreal embracing open data. Also, anybody every been to Ottawa, Quebec? lol How Open Data Initiatives Can Improve City Life by Aliza Sherman Major city governments across North America are looking for ways to share civic data — which normally resides behind secure firewalls — with private developers who can leverage it to serve city residents via web and mobile apps. Cities can spend on average between $20,000 and $50,000 — even as much as $100,000 — to cover the costs of opening data, but that’s a small price to pay when you consider how much is needed to develop a custom application that might not be nearly as useful. Here are a few examples of initiatives that are striving to make city governments more efficient and transparent through open data. 1. Apps4Ottawa – Ottawa, Quebec Careful to adhere to security and privacy regulations for their open data program, the City of Ottawa started sharing data in several areas: geo-spatial (roadways, parks, runways, rivers, and ward boundaries); recreation facilities; event planning; civic elections data; and transit, including schedules. Other data the city is pursuing includes tree inventory, collections schedules for garbage, recycling and compost, and bike and foot paths. Ottawa aligned their first open data contest, Apps4Ottawa, with the school year (September 2010 to January 2011 ) to involve colleges and universities as well as residents and local industry. Categories for the contest included “Having Fun in Ottawa,” “Getting Around,” “Green Environment/Sustainability,” “Community Building,” and “Economic Development.” The winner is scheduled to be announced later this evening. Guy Michaud, chief information officer for the City of Ottawa, said their open data efforts have already spurred economic development and is meant to be good for local entrepreneurs. The city receives no revenue through the apps, and the developers can sell what they create. In turn, Ottawa residents get improved services from applications that are created, with better access to city data and more user-friendly formats and platforms. 2. CivicApps.org – Portland, Oregon After tracking Vivek Kundra’s efforts at the federal level with data.gov, Portland, Oregon launched CivicApps.org, a project initiated out of the mayor’s office to bring a more localized approach to the open data movement. Skip Newberry, economic policy advisor to the mayor, say that the project’s main objective is to improve connections and the flow of information between local government and its constituents, as well as between city bureaus. To call attention to the release of public data, they also launched an app design contest, highlighting the tech talent in Portland’s software community. According to Rick Nixon, program manager for the Bureau of Technology’s Open Data Initiative for the city of Portland, CivicApps.org took a more regional approach to cover the multiple layers of local government: County, Metro, TriMet, and the City of Portland, all of which collect and maintain various kinds of public data. Data sets released include regional crime, transit, infrastructure (i.e. public works), and economic development programs. Additional projects, such as the PDX API, have been launched in order to make the raw data from CivicApps more useful to developers. In addition to developer-specific apps, a number of transit related apps — bike, train, bus, mixed modes — were also developed. A very popular and established transit app, PDXBus, was re-released as open source under the rules of the CivicApps contest. Other popular apps helped provide residents greater awareness of their surroundings such as where to find heritage trees, where to find urban edibles, and where to locate each other during disaster relief efforts. 3. CityWide Data Warehouse – Washington, DC For years, the District of Columbia provided public access to city operational data via the Internet. In keeping with the mayor’s promise to be transparent, the program CityWide Data Warehouse was launched, and provides citizens with access to over 450 datasets from multiple agencies. The first two datasets released were service requests from the mayor’s call center, including trash pickup, pot hole repair, street light repair, snow removal, parking meter issues and crime data. According to David Stirgel, program manager for Citywide Data Warehouse, the project looks for data that be of interest to the widest possible audience and which will remain reusable over time. Some of the applications that have come out of the program include Track DC, which tracks the performance of individual District agencies, and summary reports that provide public access to city operational data. Some of the applications built by companies and individuals using the data include Crime Reports and Every Block. In 2008, the District Mayor’s office, the District of Columbia’s Office of the Chief Technology Officer, and digital agency iStrategyLabs launched Apps for Democracy, an open code app development contest tapping into District data that cost $50,000 and generated 47 apps. The contest was repeated in 2009. Over 200 ideas and applications were submitted, and the winner was an iPhone and Facebook app called Social DC 311. It could be used to submit service requests, such as reporting potholes and trash problems. An honorable mention was given to FixMyCityDC. Unfortunately, neither app is maintained today. 4. NYC Data Mine – New York, NY NYC BigApps 2.0 is part of an initiative to improve the accessibility, transparency, and accountability of city government. According to Brandon Kessler, CEO of ChallengePost, the company and technology powering the NYC BigApps 2.0 Software Challenge, Mayor Bloomberg challenged software developers to use city data from the NYC.gov Data Mine to create apps to improve NYC, offering a $20,000 in cash awards to the winners. The second annual challenge closed its call for submissions at the end of January 2011 and opened the vote to the public. Voting ends on March 9. Requirements included that the software applications be original and solely owned by the entrants, that they use at least one of the datasets from the NYC.gov Data Mine, and be free to the public throughout the competition and for at least one year after the challenge. The panel of judges reads like a “who’s who” of New York tech luminaries, and includes Esther Dyson of EDVenture, Fred Wilson of Union Square Ventures, Jack Dorsey of Square and Twitter, and Kara Swisher of All Things Digital. One of the first year’s winning apps was WayFinder, an augmented reality Android app which allows users to point their phone in a direction and see which subways and Path trains are in front of them. 5. DataSF – San Francisco, California Like other city governments, San Francisco’s goal for their DataSF program was to improve transparency and community engagement as well as accountability. Ron Vinson, director of media for the city’s Department of Technology also stated potential for innovation in how residents interact with government and their community. With an emphasis on adhering to privacy and security policies, the city can stimulate the creation of useful civic tools at no cost to the government. Before launching, they reached out to Washington, DC to identify the most popular datasets, and learned that 20% of the datasets represented over 80% of the downloads. With this information, they went out first with crime, 311, and GIS data. They also allowed the public to request data through a submissions mechanism on the website where others could vote on their suggestions. This input is now required reading for the city administrator thanks to an executive directive and open data legislation. Since launching in August 2009, DataSF has accumulated over 60 applications in its showcase. According to Vinson, the city stays engaged with their tech community by participating in local unconferences and meetups. http://mashable.com/2011/02/15/how-open-data-initiatives-can-improve-city-life/
  7. Il s'agit d'un contrat de gestion de l'infrastructure technologique et des applications logicielles de services bancaires de la société de Halifax League Data. Pour en lire plus...
  8. Contrat de 19 M$ pour CGI aux États-Unis CGI Federal, une filiale américaine du Groupe CGI de Montréal, a obtenu de l'Agence de protection de l'environnement américaine (EPA) une commande dont la valeur, supposant un niveau d'activité constant et l'exercice des six options de renouvellement d'un an prévues, pourrait atteindre environ 19 millions $ US. CGI est l'un des quatre grands fournisseurs de services TI (technologies de l'information) qui ont été sélectionnés en février dernier par l'EPA pour soumettre des propositions en vue de travaux qui seront attribués en vertu du contrat cadre d'ingénierie des systèmes et de soutien scientifique spécialisé ORD SES3. Celles-ci comprendront des services opérationnels, techniques et scientifiques correspondant aux besoins de l'EPA dans divers domaine, soit le soutien des applications, soutien scientifique, les services-conseils d'ordre technique et de gestion des affaires, et la gestion des infrastructures. Le contrat cadre prévoit également un soutien essentiel aux activités de recherche de l'EPA en matière de prévention des risques, de pollution et de dangers pour la santé humaine. Ce contrat s'ajoute à celui de 83 millions $ US annoncé le 10 avril dernier qui vise à moderniser le système financier de l'EPA et à transférer l'hébergement des TI du système financier ainsi que la gestion des applications à CGI. http://www.lesaffaires.com/article/0/technologies/2008-04-17/476204/contrat-de-19-mdollars-pour-cgi-aux-etatsunis.fr.html
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