Aller au contenu

Complexe Desjardins - Rénovations et Nouveautés


BiloMtl

Messages recommendés

Il y aura des activités reliées à la fontaine cette semaine :

 

[h=3]Prestation de musiciens de l’Orchestre Métropolitain au complexe Desjardins[/h]Le 14 octobre prochain, vers 13 h, dans le contexte de la Semaine de la coopération, des musiciens de l’Orchestre Métropolitain interpréteront un court extrait de la symphonie Desjardins à la Grande Place du complexe Desjardins. Cette interprétation sera accompagnée d’une chorégraphie de lumière et de jets d’eau. Voilà une occasion unique de voir en direct des musiciens de l’Orchestre Métropolitain. Un rendez-vous à ne pas manquer!

 

Un spectacle à voir… et à revoir

Par la suite, la chorégraphie de lumière et de jets d’eau, au rythme de la symphonie Desjardins, sera présentée tous les jours.

[TABLE=class: ms-rteCustom-Tableau-general, width: 530]

[TR=class: ms-rteCustom-Tableau-entete, bgcolor: #E5EFEF]

[TD]Horaires

[/TD]

[TD=width: 230, align: center]Quoi

[/TD]

[TD=width: 194, align: center]Durée

[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=width: 212]10 h, 12 h, 14 h et 17 h

[/TD]

[TD=width: 230]Version courte de la chorégraphie, jets d’eau et trame musicale

[/TD]

[TD=width: 194]1 minute

[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=width: 212]19 h et 21 h

[/TD]

[TD=width: 230]Chorégraphie de lumière et de jets d’eau, sur trame musicale

[/TD]

[TD=width: 194]5 minutes

[/TD]

[/TR]

[/TABLE]

 

Le complexe Desjardins est situé en plein cœur du Quartier des spectacles. Avec cette nouvelle proposition, il contribue à bonifier l’animation dans ce secteur, au grand plaisir des Montréalais, des touristes et des clients de la galerie marchande.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

About time ! Est ce que les gouttes sont de retours ?

 

Pas à ma connaissance. Elles ont été enlevées il y a quelques mois. Il y en a qui sont tombées; c'est pour ça qu'il y avait un filet avant qu'elles ne soient enlevées.

 

Et je crois qu'il y a toujours un litige devant les tribunaux entre Desjardins et l'artiste.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.journaldemontreal.com/2014/10/18/complexe-desjardins

 

MONTRÉAL RETOUR SUR L’IMAGE

Complexe Desjardins

 

19 avril 1982

 

 

avant.jpglt-small.png

 

apres.jpg

 

CENTRE D'HISTOIRE DE MONTRÉAL

 

Publié le: samedi 18 octobre 2014, 19H01 | Mise à jour: samedi 18 octobre 2014, 19H06

 

 

icon_agrandir.png00.jpg

 

1310959226122_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

1- LE RÊVE D’ALPHONSE DESJARDINS

 

La petite abeille en a fait du chemin depuis ses modestes débuts au tournant du 20e siècle! Les campagnes et les petites villes délaissées par les grandes banques lui donnaient de quoi butiner. Fondée à Lévis par Alphonse Desjardins, la première caisse populaire récolte le montant fabuleux de 26,40 $ lors de sa première journée, le 23 janvier 1901. Avec l’appui du clergé catholique, qui héberge souvent les caisses dans ses édifices, Desjardins veut donner accès au crédit à ses concitoyens francophones du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. Dès 1906, les caisses sont protégées par la Loi provinciale concernant les syndicats coopératifs. Montréal se joint au mouvement en 1908 avec la fondation de sa première caisse populaire sur le Plateau Mont-Royal. Des caisses scolaires sont également mises sur pied pour encourager les jeunes à épargner leur argent. Des unions régionales se forment, puis une Fédération en 1932. Les caisses font leur place dans le monde des assurances dans les années 1940. Qui aurait cru que ce mouvement d’éducation économique et de crédit deviendrait le plus grand groupe financier au Canada et le sixième au monde? Desjardins compte actuellement 376 caisses au Québec et en Ontario, et plus de 6  millions de membres!

 

2- UN NOUVEAU PÔLE CULTUREL ET ADMINISTRATIF

 

Au cours des années 1960, un nouveau centre-ville francophone prend forme à l’est du centre-ville des affaires, développé par des entreprises anglo-canadiennes et internationales. Symbole de l’essor d’une nouvelle élite économique québécoise, le nouvel édifice est érigé par le Mouvement Desjardins entre les rues Jeanne-Mance, Sainte-Catherine, Saint-Urbain et René-Lévesque. Pour l’urbaniste Jean-Claude La Haye, ce bâtiment doit être un complexe multifonctionnel comprenant un hôtel, un stationnement souterrain, des boutiques et des restaurants. Le projet est financé par la compagnie d’assurances La Sauvegarde, l’Union régionale des Caisses populaires Desjardins, la Société de Fiducie du Québec, la Sécurité et le gouvernement du Québec. La construction même prend valeur de symbole puisque les firmes d’architectes sont francophones et leurs plans, devis et rapports sont rédigés dans cette langue. La construction démarre en 1972. Quatre ans, 12 000 ouvriers et 200 millions $ plus tard, on inaugure le Complexe Desjardins le 3 avril 1976 en présence, notamment, de Robert Bourassa et du maire Jean Drapeau. Avec ses trois tours de 28, 35 et 40 étages, ses nombreux bureaux, ses grandes verrières et sa place publique centrale, le Complexe Desjardins devient rapidement le cœur du nouveau pôle culturel et administratif du centre-ville.

 

1310959226151_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

1310959226180_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

3- LE MONTRÉAL SOUTERRAIN

 

Le Complexe Desjardins rejoint dans les années 1970 un réseau souterrain déjà bien établi à Montréal. Ces dédales de tunnels jalonnés de commerces permettent alors aux Montréalais de se déplacer au centre-ville sans avoir à faire face aux intempéries. Ce qu’on vante aujourd’hui comme une ville souterraine est lancé dans les années 1960 par la construction de la Gare Centrale, de l’hôtel Reine Élizabeth et de la Place Ville-Marie. Chaque nouveau gratte-ciel ajoute une bran*che au réseau. En 1966, déjà 15 édifices, dont la gare Windsor, la Place du Canada et le magasin La Baie sont reliés. Les tunnels du métro étendent un peu plus leurs ramifications, comme, dans les années 1980, l’arrivée du Centre Eaton, des Cours Mont-Royal, de la Place Montréal Trust et de bien d’autres édifices. Aujour*d’hui, la ville souterraine atteint près de 30 km de couloirs et compte pas moins de 887 points d’accès empruntés par près d’un demi-million d’usagers chaque jour. Vantée comme une attraction touristique exotique, la ville intérieure de Montréal a aussi inspiré d’autres grandes villes comme Moscou, Tokyo et

Toron*to.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.journaldemontreal.com/2014/10/18/complexe-desjardins

 

MONTRÉAL RETOUR SUR L’IMAGE

Complexe Desjardins

 

19 avril 1982

 

 

[ATTACH=CONFIG]18134[/ATTACH]lt-small.png

 

[ATTACH=CONFIG]18135[/ATTACH]

 

CENTRE D'HISTOIRE DE MONTRÉAL

 

Publié le: samedi 18 octobre 2014, 19H01 | Mise à jour: samedi 18 octobre 2014, 19H06

 

 

icon_agrandir.png00.jpg

 

1310959226122_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

1- LE RÊVE D’ALPHONSE DESJARDINS

 

La petite abeille en a fait du chemin depuis ses modestes débuts au tournant du 20e siècle! Les campagnes et les petites villes délaissées par les grandes banques lui donnaient de quoi butiner. Fondée à Lévis par Alphonse Desjardins, la première caisse populaire récolte le montant fabuleux de 26,40 $ lors de sa première journée, le 23 janvier 1901. Avec l’appui du clergé catholique, qui héberge souvent les caisses dans ses édifices, Desjardins veut donner accès au crédit à ses concitoyens francophones du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. Dès 1906, les caisses sont protégées par la Loi provinciale concernant les syndicats coopératifs. Montréal se joint au mouvement en 1908 avec la fondation de sa première caisse populaire sur le Plateau Mont-Royal. Des caisses scolaires sont également mises sur pied pour encourager les jeunes à épargner leur argent. Des unions régionales se forment, puis une Fédération en 1932. Les caisses font leur place dans le monde des assurances dans les années 1940. Qui aurait cru que ce mouvement d’éducation économique et de crédit deviendrait le plus grand groupe financier au Canada et le sixième au monde? Desjardins compte actuellement 376 caisses au Québec et en Ontario, et plus de 6  millions de membres!

 

2- UN NOUVEAU PÔLE CULTUREL ET ADMINISTRATIF

 

Au cours des années 1960, un nouveau centre-ville francophone prend forme à l’est du centre-ville des affaires, développé par des entreprises anglo-canadiennes et internationales. Symbole de l’essor d’une nouvelle élite économique québécoise, le nouvel édifice est érigé par le Mouvement Desjardins entre les rues Jeanne-Mance, Sainte-Catherine, Saint-Urbain et René-Lévesque. Pour l’urbaniste Jean-Claude La Haye, ce bâtiment doit être un complexe multifonctionnel comprenant un hôtel, un stationnement souterrain, des boutiques et des restaurants. Le projet est financé par la compagnie d’assurances La Sauvegarde, l’Union régionale des Caisses populaires Desjardins, la Société de Fiducie du Québec, la Sécurité et le gouvernement du Québec. La construction même prend valeur de symbole puisque les firmes d’architectes sont francophones et leurs plans, devis et rapports sont rédigés dans cette langue. La construction démarre en 1972. Quatre ans, 12 000 ouvriers et 200 millions $ plus tard, on inaugure le Complexe Desjardins le 3 avril 1976 en présence, notamment, de Robert Bourassa et du maire Jean Drapeau. Avec ses trois tours de 28, 35 et 40 étages, ses nombreux bureaux, ses grandes verrières et sa place publique centrale, le Complexe Desjardins devient rapidement le cœur du nouveau pôle culturel et administratif du centre-ville.

 

1310959226151_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

1310959226180_ORIGINAL.jpg?quality=80&size=300x

3- LE MONTRÉAL SOUTERRAIN

 

Le Complexe Desjardins rejoint dans les années 1970 un réseau souterrain déjà bien établi à Montréal. Ces dédales de tunnels jalonnés de commerces permettent alors aux Montréalais de se déplacer au centre-ville sans avoir à faire face aux intempéries. Ce qu’on vante aujourd’hui comme une ville souterraine est lancé dans les années 1960 par la construction de la Gare Centrale, de l’hôtel Reine Élizabeth et de la Place Ville-Marie. Chaque nouveau gratte-ciel ajoute une bran*che au réseau. En 1966, déjà 15 édifices, dont la gare Windsor, la Place du Canada et le magasin La Baie sont reliés. Les tunnels du métro étendent un peu plus leurs ramifications, comme, dans les années 1980, l’arrivée du Centre Eaton, des Cours Mont-Royal, de la Place Montréal Trust et de bien d’autres édifices. Aujour*d’hui, la ville souterraine atteint près de 30 km de couloirs et compte pas moins de 887 points d’accès empruntés par près d’un demi-million d’usagers chaque jour. Vantée comme une attraction touristique exotique, la ville intérieure de Montréal a aussi inspiré d’autres grandes villes comme Moscou, Tokyo et

Toron*to.

 

 

Je préfère le complexe Desjardins tel qu'il était à ses début.

À chaque rénovation, il devient de moins en moins intéressant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je préfère le complexe Desjardins tel qu'il était à ses début.

À chaque rénovation, il devient de moins en moins intéressant.

 

Moi, je préfère la derniere réincarnation, sans les mobiles suspendus au dessus de nos têtes..C'est plus aéré, comme un grand poumon. Puis on profité plus de la lumière naturelle des puits de lumières et autres ouvertures. Il y a encore des choses qui pourront améliorer l’expérience, mais le plus qu'on s'inspire du modèle de la galerie de Milan le mieux, à mon avis.

Modifié par IluvMTL
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...
  • 4 mois plus tard...

Lightemotion

 

Solution d’éclairage sur mesure amène un environement dynamique au Complexe Desjardins.

 

Montréal, Canada, 2015-03-23 -

Une nouvelle conception lumière, développée sur mesure par la firme montréalaise Lightemotion, se fait remarquer au centre-ville de Montréal. L’équipe de Lightemotion a travaillé avec les gestionnaires du bâtiment du Complexe Desjardins pour insuffler une nouvelle vie au développement d’utilisations mixtes le plus vaste de Montréal, avec ces 4 millions de pieds carrés. Situé dans le Quartier des spectacles devant la mythique Place-des-Arts, récemment rénovée avec des éclairages conçus par Lightemotion, le Complexe Desjardins est le dernier édifice de ce quartier à adopter une stratégie d’éclairage innovatrice.

 

Le client souhaitait résoudre plusieurs problèmes en utilisant une stratégie d’éclairage pour l’intérieur de la galerie marchande et pour ses deux entrées principales. Lightemotion a été choisi pour fournir un éclairage sur mesure, capable de rendre l’ambiance générale plus chaleureuse, programmable et dynamique. Il importait de réduire les coûts du chauffage et de la climatisation, en plus d’inviter les piétons qui circulent dans les environs à visiter les lieux. Le design développé donne au client la possibilité de créer des effets d’éclairage dynamiques programmables et adaptés aux heures de la journée, aux saisons et aux multiples fonctions de l’espace. La responsabilité environnementale était donc primordiale dans l’élaboration de ce programme favorisant la réduction de la consommation d’énergie et des coûts d’entretien.

 

Nos recherches exhaustives et une série de test recommandaient le remplacement des projecteurs de lumière existant par une conception lumière faite sur mesure. Nous avons donc développé un appareil bidirectionnel de 140 W LED qui illumine admirablement l’unique plafond encastré en forme de diamant. L’éclairage crée un motif unique au sol qui anime la galerie, rend plus visible la signalisation et diminue la taille de l’espace.

 

François Roupinian, le fondateur et président de Lightemotion, explique: « En plus de fournir une ambiance chaleureuse qui évolue tout au long de la journée, ce système d’éclairage pré-programmé permet également 67 % d’économie par rapport au précédent système et procure le triple de l’intensité lumineuse au niveau du sol.»

 

Une solution d’éclairage sur mesure

La compagnie montréalaise Lumenpulse a développé l’appareil d’éclairage bidirectionnel LED (une diode électroluminescente) conçu par Lightemotion pour créer une ambiance lumineuse dynamique et accueillante. Composé de deux éléments (un cadre équipé d’un LED flexible RGB et d’un éclairage directionnel vers le bas), ce nouvel appareil d’éclairage dirige un éclairage coloré vers le plafond et un éclairage blanc fonctionnel vers le plancher.

 

En installant un appareil d’éclairage dans chacun des coffres ornementaux du plafond, Lightemotion a développé un éventail de nuances chromatiques subtiles qui produisent les effets lumineux colorés recouvrant la voûte de la galerie marchande. Dehors, les chapiteaux qui recouvrent chacune des entrées du bâtiment ont un système d’éclairage projetant un éclairage chromatique sur le sol; ils invitent les piétons à entrer dans le Complexe. Les lumières au sol fournissent plus de 4 fois l’éclairage précédemment utilisé. Elles créent un motif stimulant de lumières et éliminent l’effet typique des balayages lumineux qu’on associe trop souvent aux planchers.

 

Une horloge urbaine

Considérant que le Complexe Desjardins est à la fois un espace pour les événements culturels et une galerie marchande, les nouveaux appareils d’éclairage devaient assurément fournir plusieurs options sur le plan visuel. Suite à l’étude sérieuse de l’achalandage et des activités des lieux, nous avons développé un concept «d’horloge urbaine», qui utilise un système DMX pour mieux adapter les couleurs, les teintes, l’intensité et la température de couleur. Le matin, par exemple, le schème dynamique aux couleurs blanches reste tout indiqué pour aider les gens à bien commencer leur journée. Pour le trafic plus dense de l’heure du diner, nous avons ajouté des couleurs chaudes inspirées par la luminothérapie, précieuse lors des mois plus sombres de l’automne et de l’hiver. Et pour le soir, les teintes bleues et vertes sont plus reposantes pour le magasinage. Ces appareils d’éclairage sur mesure ont été utilisés dans chacune des entrées du bâtiment. Les principes et les technologies de design favorisés à l’intérieur du bâtiment sont également présents dans le système d’éclairage des entrées, qui éclaire jusqu’aux trottoirs et reproduit son atmosphère chaude et colorée.

 

La gestion environnementale

Cette conception lumière fait plus qu’offrir un spectacle quotidien aux visiteurs ou une signature visuelle au Complexe Desjardins. Son efficience énergétique est supérieure à celle des appareils traditionnels d’éclairage de 400 W que nous avons remplacés. Les nouveaux appareils d’éclairage de 132 W réduisent la consommation d’énergie de 67 %. Ils sont équipés de cellules photoélectriques capables d’ajuster automatiquement l’intensité lumineuse et la consommation d’énergie, pour laisser place à la lumière naturelle qui envahit le hall du Complexe à travers les murs-rideaux des deux entrées principales.

 

Le parcours de la compagnie

Montréalais d’origine, le fondateur de Lightemotion, François Roupinian, s’est entouré d’une équipe multidisciplinaire et multiculturelle qui peut intervenir dans cinq langues différentes pour gérer des projets à travers le monde. Après avoir été spécialisée dans les arts de la scène et le multimédia, Lightemotion a étendu son expertise à l’architecture et à l’éclairage muséal.

 

Grâce à son savoir faire autant technique que créatif, Lightemotion a su devenir un acteur incontournable de la mise en lumière architecturale à travers le monde. L’originalité et la performance de ses concepts d’éclairage au Canada, en Europe, aux États-Unis, en Asie, au Moyen-Orient, en Nouvelle-Zélande et en Australie lui ont valu une renommée internationale.

 

Le champ d’intervention de l’entreprise couvre autant la mise en lumière architecturale dans le domaine culturel (Le musée de Strasbourg, le musée national de Singapour, le musée d’histoire naturelle à Leyde, aux Pays-Bas, le musée de l'Automobile de Turin, le musée du mémorial de guerre d'Auckland, le pavillon du Canada à l’exposition universelle de Shanghai, 2010…), que dans le domaine de l’hôtellerie ou du commerce de détail (Le Hard Rock Hotel de Las Vegas, le Revel Casino d’Atlantic City, 45 bijouteries de la maison Birks en Amérique du Nord, le hall et la galerie marchande du Complexe Desjardins à Montréal, le Star City Theater and Resort à Sydney, l’hôtel et les résidences du Ritz Carlton à Montréal…). Elle intervient également pour réaliser des plans directeurs d’éclairage architecturaux, à l’instar de celui de la Places des Arts à Montréal.

 

Récemment, Lightemotion signait l'éclairage du musée Indian Heritage de Singapour et celui du musée du train de Bruxelles. A Toronto, la société créait la mise en lumière du Great Gulf Idea Centre et du nouveau siège social du Globe and Mail. A Dubaï, elle achevait la deuxième phase de l’éclairage de l’espace intérieur de la tour Burj Khalifa.

Parmi les réalisations qui démarquent aujourd’hui Lightemotion, on peut noter le plan lumière de la colline parlementaire à Ottawa en 2014. Lightemotion a été publié dans plusieurs revues spécialisées de la scène internationale, dont les publications suivantes : Dwell, Architectural Digest, Huffington Post, Dwell, Canadian Architect, Architectural Record, Mondo Arc, Lighting Magazine, LD+A and Objekt.

preview_621-20_19048_sc_v2com.jpg

preview_621-20_19070_sc_v2com.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...