Données et actualités démographiques - Montréal / Montréal métropolitain

[Robertpuant]

On est déjà à 3.8 millions si je ne me trompe. Donc à environ 40 000 par année ça semble être réaliste.

[Ludorff]

J'avais lu je ne sais où (zut, mémoire) que nous en serions à plus de 3,9 millions et que 2012 serait même envisageable pour le passage à 4 millions.

[Habsfan]

J'avais lu je ne sais où (zut, mémoire) que nous en serions à plus de 3,9 millions et que 2012 serait même envisageable pour le passage à 4 millions.

 

 

Je crois que c'est une peu optimiste de ta part! Montréal crois d'environs 30,000 personnes par année (depuis 2004) et selon cette augmentation, je crois que 4 million ne sera pas atteint avant 2015!( ça c'est si notre population actuelle est vraiment de 3.8 millions!)

[Vaillant]

Migration L'attrait de la banlieue

Mise à jour le mardi 19 janvier 2010 à 18 h 06

 

 

Une fois de plus, l'engouement pour les régions périphériques de Montréal se confirme, selon le bilan migratoire de l'Institut de la Statistique du Québec (ISQ), qui couvre la période allant de juillet 2008 à juillet 2009.

 

D'après ces dernières statistiques, Lanaudière, Laval, la Montérégie et les Laurentides ont accueilli 85 % des résidents qui ont décidé de quitter Montréal.

 

De l'avis de Jean-François Lachance, démographe à l'ISQ, cette tendance est motivée notamment par le coût moins élevé des maisons et des taxes foncières dans ces régions par rapport à Montréal, ainsi qu'à l'amélioration des infrastructures de transport.

 

En tout, 209 000 Québécois, soit 2,7 % de la population, ont changé de région administrative entre juillet 2008 et juillet 2009.

 

M. Lachance constate toutefois que la migration vers la banlieue se concentre sur certains secteurs spécifiques. De plus, les nouveaux banlieusards préfèrent à s'éloigner du centre-ville.

 

Ainsi, la MRC qui a reçu le plus grand nombre de Montréalais entre juillet 2008 et juillet 2009 est celle de Rouville, en Montérégie, où l'on retrouve notamment les villes de Rougemont et de Marieville.

 

Par ailleurs, les données de l'ISP confirment la perte migratoire dans les régions de la Gaspésie/Îles-de-la-Madeleine et de la Côte-Nord. La tendance est toutefois moins importante que par le passé. Ces régions enregistrent même un retour de leurs anciens résidents, souvent après leurs études.

[vincethewipet]

Je lis souvent le forum (il est passionnant!), mais sans jamais y répondre, alors je vais commencer ici .

 

Il y a une information intéressante sur le site de l'ISQ:

 

Bien que les pertes nettes subies par Montréal demeurent élevées, c'est la première fois depuis 2001-2002 qu'elles ne sont pas supérieures à 20 000 personnes. Le taux net de – 1,05 % est également le moins négatif enregistré à Montréal au cours des sept dernières années.

 

Est-ce ici un signe du ralentissement de la migration vers la banlieue? Ou tout simplement une conséquence de la crise économique?

 

Le tableau migratoire complet:

 

[Malek]

Si je me souviens bien, le bilan net était de -22000 l'an passé pour l'île de Montréal.

 

Maintenant c'est -19000 c'est pas une grosse différence.

[vincethewipet]

Si je me souviens bien, le bilan net était de -22000 l'an passé pour l'île de Montréal.

 

Maintenant c'est -19000 c'est pas une grosse différence.

 

Si ta mémoire est bonne, c'est une baisse d'environ 13% en une seule année. Ce n'est pas la révolution, mais c'est tout de même un pourcentage significatif, surtout si la tendance se concrétise à long terme. Enfin, dur de prédire l'avenir sur une seule année!

[Miska]

Intéressant ce graphique.

On remarque, assez nettement, une migration vers le nord. (dans la région de Montréal)

[pedepy]

mais .. selon les donnees des recessements la population de la ville de montreal (telle que definie au dernier de 2006) a augmenter de 4.6% depuis 1996; a peu pres pareil pour toronto.

 

alors est-ce qu'il faut penser que la population augmente a montreal plus vite qu'elle ne se vide vers la banlieue ?

[Malek]

+4.6% en 10 ans?

 

-1% par année...

 

je crois que la croissance profite surtout aux banlieux.