Aller au contenu
publicité

Messages recommendés

  • 3 semaines plus tard...
publicité

https://www.mtlblog.com/en-ca/news/montreal/a-montreal-high-line-along-the-river-one-groups-proposal-to-transform-villemarie?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook&fbclid=IwAR0zkt6ZlWLi7bmmfgNH0e_Q_wAOvEJax5qsPUp1d62p6qgh5FPJ3TfS4LA

A Group Wants Montreal To Have Its Very Own 'High Line' Along The River (VIDEO)

It would offer amazing views, go through buildings, and maybe even pass some restaurants.

Thomas MacDonald

Published Nov 19 2020

Updated November 19 at 05:11 PM

Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie

A group that advocates for residents' access to their river is proposing a High Line-like structure in Montreal to better connect the Centre-Sud area and give Montrealers sweeping views of the city, heritage sites, river, and islands.

Les AmiEs du courant Sainte-Marie, which has also called for the creation of a huge urban beach in the Old Port, says that such an elevated pathway would provide a "wonderful window on the river in the east end of Ville-Marie" and become a destination like New York's popular hanging park and the Promenade Plantée in Paris.

Here's what the group envisions.

 

Why does Sainte-Marie need an elevated pathway?

In a presentation shared with MTL Blog, Les AmiEs du courant Sainte-Marie says that the borough has tended to fragment the neighbourhood in its public consultations.

As a result, the organization contends that attempts to address issues east of the Jacques-Cartier Bridge "are sometimes timid or even non-existent."

The bridge, it says, also presents a unique obstacle, "[dominating] the landscape and [imposing] a major break between the east and west of the neighborhood."

"To say it is 'the elephant in the room' is no exaggeration."

Les AmiEs is challenging the city to take bold action to better connect Sainte-Marie, which, thanks to development around the bridge and CBC/Radio-Canada campus, is undergoing a huge and rapid transformation.

"The river, the bridge, the railroads and rue Notre-Dame form a whole and should not be treated separately," it says in the presentation.

The group also highlights the untapped potential of the space at the south end of the neighbourhood along rue Notre-Dame, which it calls a two-kilometre stretch of "parks and wastelands to be redeveloped."

"This represents a showcase on the river and a rich heritage that should be explored, as many cities have done." 

The port, with its rail lines and stacks of shipping containers, also denies residents a view of the water.

"The views of the river are fantastic here since the river
widens downstream and the bridge doesn’t block the view," Victor Balsis, the Les AmiEs president, told MTL Blog.

"An elevated promenade on the east side would ensure that people who frequent these spaces could also appreciate the gorgeous views."

What would the elevated path look like?

Balsis called the ambitious proposal and accompanying renderings a "rough draft." But they're nevertheless exciting.

The city already has plans to create an elevated walkway east of rue de la Commune, but the organization's proposal is much more extensive.

"Why should we be content with half a riverfront promenade when we could have a whole one?" Balsis asked.

The presentation calls for the pedestrian bridge to extend from Parc du Pied-du-Courant at rue Poupart, where a belvedere and café are also envisioned, to this extension of de la Commune.

Balsis says the universally-accessible pathway would have "five distinct areas," each roughly 200 metres long.

From the park, according to the group's presentation, "it would then pass under the bridge" and over an adjacent U-Haul lot.

Les AmiEs then hopes the path could cut right through the heritage Canadian Rubber and Molson buildings.

"There, one could find a brewery, a food supply and a terrace overlooking the river."

The organization outlines several "advantages" of the elevated path, including "magnificent and unobstructed views" and "a safe and friendly" way to "avoid" the busy traffic of rue Notre-Dame.

Are there other proposals for Sainte-Marie?

The elevated walkway is just one of the organization's proposals to improve public space in the neighbourhood.

In addition to the Old Port beach, Les AmiEs is calling for improved access to the Jacques-Cartier Bridge, which it calls Montreal's equivalent to the emblematic Brooklyn Bridge.

One of its proposals to "improve the bridge's integration in the urban environment and strengthen its status as a tourist attraction" is to construct a belvedere accessible by elevator.

Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie

Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie

"This magnificent tool would quickly become a popular attraction for Montrealers because it would offer breathtaking views of the city," the group says.

Another suggestion is to create a linear park down rue Fullum with a stream at its centre ending "in a water basin surrounded by an agora."

Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie

Courtesy of Les AmiEs du courant Sainte-Marie

All of these proposals, Les AmiEs du courant Sainte-Marie says in its conclusion, are aimed at correcting planning mistakes of the past and preparing the neighbourhood for the tremendous development ahead — and the traffic and population growth it'll bring.

Les AmiEs is urging a "rethink" of the area.

"We must ask ourselves, 'Who owns the river?'"

image.png

image.png

content://com.android.chrome.FileProvider/images/screenshot/1606784253210560008779.jpg

image.png

image.png

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Wait. So the community groups say that an elevated REM structure would be bad because it would separate the communities from the fleuve, but the community groups also want an elevated pedestrian viaduct separating the communities from the fleuve. Makes perfect sense.

  • Like 4
  • Confused 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
  • 1 mois plus tard...
On 2020-04-05 at 12:31 PM, IluvMTL said:

Tunnel Brock

image.png

https://hauntedmontreal.com/fr/blogue-66-de-montreal-hante-le-tunnel-brock.html?fbclid=IwAR1BREibRozbt_UMzlIeHQouPDanszSM0aT9V5GTfFxefb6hVbJt19dZRXY

Blogue #67 de Montréal hanté – Le tunnel Brock

mars 13, 2021

hauntedmontreal

Le Centre-Ville hanté, Vieux Montréal hanté

0 commentaire

Bienvenue à la soixante-septième édition du blogue de Montréal hanté !

Avec plus de 450 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois! Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs et en bas pour les appareils mobiles si vous souhaitez le recevoir tous les 13 du mois)!

Nous sommes également ravis d’annoncer qu’avec les nouvelles mesures de santé publique en place, nous redémarrons deux de nos expériences hantées en plein air avec un maximum de 8 clients chacune:

La marche des fantômes du centre-ville hanté

Enquête sur le paranormal dans le vieux cimetière Sainte-Antoine

Nous proposons également notre Visite hantée virtuelle une fois par mois en anglais et en français.

Nous proposons également notre Visite hantée virtuelle une fois par mois en anglais et en français. Des sessions publiques et privées sont disponibles! Vous trouverez plus de détails ci-dessous dans n otre section Nouvelles de la société!

Ce mois-ci, nous examinons le tunnel Brock abandonné de Montréal. Discrètement situé à côté d’une bretelle de sortie d’autoroute, le tunnel est abandonné depuis les années 1970.

Aujourd’hui, la rumeur veut que ce passage voûté effrayant soit hanté.

Recherche hantée

A moitié caché à côté d’une rampe de sortie d’autoroute, le tunnel Brock, effrayant et abandonné, se cache. Avec une porte rouillée qui bloque sa magnifique entrée voûtée, le tunnel est à la fois inquiétant et mystérieux. Des rumeurs d’activité hantée à l’intérieur de la structure en éloignent de nombreuses personnes.

Le tunnel Brock a été conçu pour relier l’ancien entrepôt frigorifique du port de Montréal à la ville. Ouvert en 1895, il avait également pour but d’accélérer le transfert des marchandises déchargées des navires vers la ville. Avec ses 208 mètres de long, le tunnel en brique arqué est un endroit sombre et effrayant.

Aujourd’hui fermé à l’extrémité du port, le tunnel est utilisé par les explorateurs urbains et les chasseurs de fantômes en raison de sa réputation de lieu hanté. Selon un propriétaire de condominium situé près de l’entrée du tunnel, il n’est pas rare de voir quelqu’un entrer dans le tunnel et en sortir en criant au bout d’une minute ou deux.

Le tunnel Brock est situé dans le Faubourg Québec, le deuxième plus vieux quartier de la ville après le Vieux-Montréal.

En 1852, un incendie dévastateur détruit une grande partie du Faubourg Québec et laisse près de 10 000 personnes sans abri.

Au lieu de reconstruire tout le parc de logements, une grande partie du secteur s’industrialise rapidement.

Après l’installation de routes et de chemins de fer dans le port de Montréal, il est devenu de plus en plus difficile de faire passer les marchandises des navires à la ville. Les débardeurs devaient souvent attendre le passage des trains, ce qui entraînait des retards importants dans le déchargement des navires et l’acheminement des produits vers les marchés. Cela était particulièrement important pour les denrées périssables stockées dans l’entrepôt frigorifique du port de Montréal.

Les responsables du port ont décidé que le creusement de tunnels sous les infrastructures était la meilleure option pour accélérer l’opération maritime. L’ingénieur de la ville de Montréal P. W. George a été chargé du projet et il a conçu le tunnel Brock de manière solide.

Creusée à l’aide de pioches et de pelles des deux côtés, au point de passage des deux équipes, une plaque commémorative a été installée pour marquer l’événement.

Le tunnel voûté a été renforcé par de nombreuses briques pour assurer sa solidité. Construit entre 1889 et 1895, sa construction a coûté 163 750 dollars.

L’auteur Stuart Howard détaille les travaux d’ingénierie du tunnel dans son livre Construction des métros de l’Ontario et de la rue Berri, du tunnel de la rue Brock et du viaduc de la rue Notre Dame.

Long de 208 mètres, avec deux voies et un trottoir, il a bien servi son objectif pendant des décennies en accélérant les transferts de marchandises du port à la ville.

Après plus de 80 ans de service, le tunnel Brock a été abandonné dans les années 1970 en raison de changements dans les opérations du port de Montréal. Les navires ont commencé à décharger les conteneurs directement sur les voies ferrées et les plates-formes des camions, ce qui signifie que les débardeurs n’avaient plus besoin de transporter les marchandises des navires à travers le tunnel Brock et dans la ville.

L’extrémité du tunnel à bâbord a été fermée et une porte métallique a été installée à l’extrémité de la ville pour empêcher les personnes jugées indésirables d’entrer.

Avant 1989, le tunnel Brock a été rebaptisé tunnel Beaudry par les autorités de la ville de Montréal dans le but de transformer les points de repère anglais en points de repère français. Rebaptisé d’après la rue Beaudry, par laquelle sortait le côté nord du tunnel, le changement de nom s’est fait discrètement.

Alors que le général Issac Brock était un célèbre héros militaire britannique protestant qui a été tué pendant la guerre de 1812, Pierre Beaudry était un humble savonnier et fabricant de bougies catholique. Beaudry était un homme d’affaires et un philanthrope local bien connu qui a fait don d’une parcelle de son terrain pour établir l’église catholique Saint-Pierre-Apôtre toute proche.

Lorsque la rue a été construite en 1843, cinq ans avant la mort de Beaudry, elle a été nommée en son honneur.

Aujourd’hui, le tunnel Brock/Beaudry abandonné est surtout utilisé par les explorateurs urbains, les chasseurs de fantômes, les squatters et les équipes de tournage.

Une recherche rapide sur Internet révèle plusieurs sites d’explorateurs urbains de personnes enquêtant sur le tunnel, dont beaucoup avec des photos remarquables.

Il est également populaire auprès des chasseurs de fantômes et des enquêteurs paranormaux, qui ont signalé de nombreuses activités hantées au sein de la structure.

Dans le passé, des squatters ont occupé le tunnel du Brock, pour être ensuite expulsés par la police à maintes reprises.

Des équipes de tournage ont également tourné sur place dans le tunnel. Les films les plus célèbres qui ont utilisé le tunnel comme décor sont Jésus de Montréal (1989) et Le Dernier Tunnel (2004).

Dans tous les cas, les personnes qui utilisent le tunnel ont signalé des cas inquiétants d’activité paranormale.

Le problème le plus courant est le son désincarné d’une personne qui marche, presque avec une précision militaire. Avec les pas de bottes invisibles qui résonnent dans tout le tunnel, les réalisateurs ont dû reprendre des scènes qui avaient été interrompues par les sons de claquement sur le trottoir souterrain.

Les squatters ont également entendu ces sons, ce qui a poussé beaucoup d’entre eux à abandonner le tunnel comme espace de vie. Bien qu’aucun explorateur urbain n’ait entendu la marche paranormale, les chasseurs de fantômes ont capté toutes sortes de bruits étranges dans le tunnel, tels que des VPE (phénomènes de voix électronique) et les pas eux-mêmes.

Avec sa réputation de tunnel hanté, il attire également les amateurs de sensations fortes qui se défient d’entrer par la porte métallique près de la rampe de sortie.

Un propriétaire d’appartement voisin a rapporté avoir vu des gens entrer prudemment dans le tunnel pour en sortir en criant au bout d’une minute ou deux.

S’il existe une théorie selon laquelle le fantôme serait celui de l’ingénieur des tunnels P. W. George, d’autres suggèrent que c’est peu probable car il a mené une illustre carrière et n’a jamais subi de tragédie qui pourrait le faire revenir en tant qu’esprit.

Une autre théorie, peut-être plus plausible, est qu’il est hanté par le fantôme du général Issac Brock, l’homonyme original du tunnel.

Le général Issac Brock était un jeune soldat britannique fringant avec un manteau rouge et un mousquet à l’épaule.

A 15 ans, il s’engage dans l’armée britannique. Il a servi dans plusieurs colonies avant d’être déployé au Haut-Canada en 1802.

Avec de solides compétences en matière de leadership, Issac Brock a atteint en 1811 le rang de général de division. Il prend le commandement de toutes les forces britanniques du Haut-Canada et devient administrateur de la province la même année.

Le général Issac Brock aimait beaucoup une jeune femme nommée Lady Sophia Shaw et elle était tout aussi amoureuse de lui. Ce fut un coup de foudre.

Cependant, le père de Sophia n’approuvait pas Brock. Même s’il avait une grande stature dans le Haut-Canada, il n’était pas issu de la classe supérieure riche ni de la noblesse. Le père estimait que Brock ne pouvait pas se permettre financièrement ce qu’il y avait de mieux pour sa fille bien-aimée et lui refusa donc la permission de l’épouser.

Sans se laisser décourager, les deux amoureux ont entamé une histoire d’amour secrète et ont juré de se marier malgré les objections du père.

Au même moment, en 1812, la guerre a éclaté entre les États-Unis d’Amérique et l’Amérique du Nord britannique, y compris le Haut-Canada.

Les actions militaires du général Issac Brock, en particulier son succès à faire capituler Détroit, lui ont valu un titre de chevalier, de nombreuses accolades et le sobriquet de “Héros du Haut-Canada.”

Le 13 octobre 1812, le bruit des tirs de canons se fait entendre depuis les hauteurs de Queenston où les soldats américains envahissaient le Haut-Canada.

Le général Isaac Brock monta sur son cheval, pour aller au combat. Il rendit brièvement visite à Lady Sophia Shaw pour lui dire adieu.

C’était la dernière fois qu’elle voyait son bel amant vivant.

Alors que le général Isaac Brock se rendait au combat, un habile tireur d’élite américain l’a visé de derrière un buisson et a tiré avec son mousquet. La balle a frappé le général à la poitrine et il est tombé de son cheval, atteint mortellement.

Ses hommes ont récupéré le corps et ont remarqué que son manteau rouge et la ceinture qui lui avait été donnée par le rebelle indigène Tecumseh étaient trempés dans son sang. Le général Isaac Brock n’avait que 43 ans lorsqu’il a été tué au combat.

Le général Issac Brock a été salué comme un héros britannique et des efforts importants ont été faits pour le commémorer. Cependant, Lady Sophia Shaw a été dévastée par la perte de son cher amour et de son futur mari. Elle a disparu de la vue du public.

Depuis le deuxième étage de son manoir familial à Niagara-on-the-Lake, les sons de sanglots dérangeaient les autres résidents la nuit.

Selon la tradition locale, c’est ainsi qu’est née l’histoire du fantôme de “Sobbing Sophia”. Sophia ne s’est jamais mariée et est morte quelques années après la mort de son bien-aimé, certains parlent d’un cœur brisé.

De plus, après sa mort, les sanglots désincarnés n’ont pas cessé. Aujourd’hui encore, on entend le bruit d’une femme en pleurs sur Queen Street à Niagara-on-the-Lake, en Ontario. Les sanglots émanent du deuxième étage de son ancienne maison familiale, qui est aujourd’hui un Bed & Breakfast populaire appelé Brockamour Manor.

Les propriétaires du Manoir Brockamour ont même érigé une œuvre d’art de “Sobbing Sophia”.

Ils embrassent la légende fantomatique, ce qui ne manquera pas d’augmenter les ventes des nombreux clients de l’industrie du tourisme hanté.

Pour en revenir au général Issac Brock, après sa mort prématurée, de nombreux habitants de la région qui connaissaient sa liaison avec Lady Sophia Shaw ont commencé à spéculer sur le fait qu’il reviendrait en tant que fantôme à cause de la tragédie. Certains ont suggéré qu’il rivalisait avec Roméo et Juliette et étaient convaincus, surtout avec tous les bruits de sanglots, que le fantôme du général reviendrait sans aucun doute.

Pendant ce temps, le gouvernement britannique commémorait autant que possible le général Issac Brock et son héritage. Un monument et un parc ont été préparés pour lui sur le champ de bataille de Queenstown Heights où il est mort. Des fonctionnaires ont même transféré son corps sur le monument pour qu’il y soit enterré à nouveau.

L’université Brock et la ville de Brocktown, en Ontario, ont également été nommées en son honneur. Le tunnel Brock de Montréal est un autre exemple des nombreux efforts déployés pour commémorer le célèbre général britannique.

Selon la légende, le fantôme du général Issac Brock est revenu, hanté par son incapacité à épouser sa bien-aimée Lady Sophia Shaw.

Beaucoup ont rapporté avoir vu son esprit errer sur le site où il a été tué – à Queenstown Heights.

La théorie selon laquelle il pourrait hanter le tunnel Brock, nommé en son honneur, est liée au fait qu’il a été rebaptisé “tunnel Beaudry”.

Selon la légende, le fantôme du général Issac Brock serait revenu sur ses lieux de commémoration pour célébrer encore et encore sa glorieuse et pourtant prématurée mort. Incapable de renouer avec son amour, Lady Sophia Shaw, on dit que son fantôme est revenu pour glorifier sa mort dans l’au-delà comme une option alternative dérangée.

Avec le changement de nom du tunnel de Montréal du général Issac Brock, qui porte le nom de l’humble marchand de savon Pierre Beaudry, on dit que le fantôme du général est devenu déséquilibré. Sans sa bien-aimée Lady Sophia Shaw, tout ce qu’il lui restait était son héritage.

Lorsque son nom a été retiré du tunnel, certains pensent qu’il est revenu le hanter.

Selon de nombreuses sources, l’esprit du général Issac Brock défilerait sans cesse dans le tunnel, perturbant les différents usagers contemporains. Certains disent qu’il est furieux que son nom glorieux ait été retiré du tunnel Beaudry, aujourd’hui rebaptisé.

Aujourd’hui, la grande question que beaucoup se posent est de savoir ce qu’il adviendra du tunnel abandonné de Brock (Beaudry) à l’avenir.

En mars 2020, la ville de Montréal a lancé un nouveau plan d’urbanisme pour le Faubourg Québec intitulé Programme particulier d’urbanisme (PPU) des Faubourgs.

Le plan prévoit notamment la création d’un petit parc à l’entrée du tunnel appelé Parc du tunnel Beaudry.

D’une superficie de 1800 mètres carrés, le parc sera créé une fois qu’une bretelle de sortie de l’autoroute Ville-Marie aura été enlevée et que la route aura été reconfigurée en boulevard urbain.

Par contre, il n’est pas prévu pour l’instant de rouvrir l’extrémité portuaire du tunnel.

En conclusion, l’effrayant tunnel de Brock (Beaudry) est un endroit inquiétant et caché du Faubourg Québec.

Avec sa réputation hantée, les gens du coin espèrent qu’un jour les autorités le rouvriront dans toute sa gloire historique.

Entrez à vos risques et périls!

  • Like 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le tunnel Brock hanté? C'est la première fois que j'entends ça. Aussi, il me semble que la porte de métal est soudée et qu'il est très dur de rentrer dans le tunnel, il doit plus y avoir beaucoup d'explorateurs urbains.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'OCPM rend public son rapport de la consultation sur le Programme particulier d'urbanisme (PPU) des Faubourgs

NOUVELLES FOURNIES PAR

Office de consultation publique de Montréal 

Mars 18, 2021, 07:00 ET

MONTRÉAL, le 18 mars 2021 /CNW Telbec/ - L'Office de consultation publique de Montréal rend public aujourd'hui le rapport de la consultation portant sur le projet de Programme particulier d'urbanisme (PPU) des Faubourgs.

D’une superficie de 263 hectares, le territoire visé par le PPU est situé entre la rue Saint-Hubert à l’ouest, la rue Sherbrooke au nord et la rue Fullum à l’est. Il s’étend jusqu’au fleuve et comprend également les abords de la rue Notre-Dame, jusqu’à la rue du Havre. Au nord, on trouve le quartier Centre-Sud. Le sud du territoire représente la plus grande zone à requalifier du centre-ville, en raison notamment de la transformation du site de Radio-Canada et du départ de la brasserie Molson. (Groupe CNW/Office de consultation publique de Montréal)

Le secteur des Faubourgs est situé à l'est du centre-ville de Montréal, le long du fleuve, entre les rues Saint-Hubert et Fullum, et fait l'objet d'une importante démarche de planification urbaine par l'arrondissement de Ville-Marie, qui souhaite y créer des milieux de vie à échelle humaine, inclusifs et durables. On y retrouve, entre autres, des projets structurants comme le redéveloppement des terrains de la brasserie Molson Coors ou de la Maison de Radio-Canada, la transformation du prolongement de l'autoroute Ville-Marie en boulevard urbain, le réaménagement des abords du pont Jacques-Cartier et la création d'une promenade linéaire le long du fleuve.

Cette consultation avait la particularité d'être conduite entièrement à distance, proposant une démarche qui permettait de participer en ligne, par la poste et par téléphone, en tout respect des directives gouvernementales liées à la pandémie de COVID-19. Lancées en septembre dernier, les séances virtuelles d'information et de questions et réponses ont généré plus de 2 000 visionnements en direct ou en différé. Près d'une centaine de personnes ont posé plus de 250 questions et la commission a reçu plus de 130 opinions écrites dont 36 ont fait l'objet d'échanges avec les commissaires. Au total, ce sont près de 4 000 participations qui ont été recensées à travers la consultation.

Dans son rapport rendu public aujourd'hui, l'OCPM constate que, de manière générale, la vision proposée par l'arrondissement de Ville-Marie est accueillie favorablement par les participants. Toutefois, la commission rappelle que le projet de PPU a été écrit avant la pandémie mondiale de 2020 et que les auditions d'opinion se sont tenues avant que plusieurs éléments clés ne s'ajoutent au dossier. « Selon la commission, l'adoption du PPU tel que soumis à la consultation pose plusieurs problèmes majeurs. Il omet de reprendre des aspects importants de planifications antérieures notamment de la Stratégie centre-ville et du PPU Sainte-Marie qui couvre certaines parties du nouveau territoire. Il ne reflète pas non plus les grandes orientations adoptées récemment par la Ville tels le Plan climat 2020-2030, les deux nouveaux plans de relance économique, le rapport de la consultation sur les locaux vacants et l'avenir des artères commerciales, le Plan d'action de Ville-Marie en matière de patrimoine, pour ne nommer que ceux-là. Il ne tient pas compte, non plus, des conséquences de la pandémie de COVID-19 sur les habitudes de travail ou les attentes citoyennes. Et finalement, l'annonce par le gouvernement du Québec et la Ville, dans les jours qui ont suivi la fin de la démarche de consultation, de la prolongation du Réseau express métropolitain (REM) à travers ce territoire, vient soulever plusieurs nouveaux enjeux qui n'ont pas pu faire partie de la conversation citoyenne, mais qui sont néanmoins largement commentés dans l'espace public et pertinents dans le contexte. Il y aura donc un travail important de concordance, de mise à jour et d'arrimage à faire avant son adoption », ajoute Dominique Ollivier, présidente de l'OCPM.

À la lumière de toutes les opinions entendues et en tenant compte des grandes politiques municipales et des exercices de consultation précédents dans le secteur des Faubourgs, les commissaires font 42 recommandations à la Ville, celles-ci visent le cadre bâti, l'habitation, la mobilité et la trame urbaine, l'économie et la culture, l'identité, la transition écologique et la mise en œuvre du PPU. La première recommandation portant sur la révision des hauteurs permises, alors que le projet de PPU apportait des propositions de hauteurs à 65 m et 80 m sur certains îlots, les commissaires concluent : « Afin de respecter la silhouette de Montréal, d'éviter un effet de cuvette entre le front fluvial et la montagne et pour créer une densité douce et conviviale, la commission recommande de revoir les paramètres de hauteurs pour toute la partie sud du territoire et de ne pas les rehausser au-delà de 45 mètres. ».

Toute la documentation ainsi que le rapport peuvent se trouver aux bureaux de l'Office au 1550, rue Metcalfe, bureau 1414, ainsi que sur son site Internet au ocpm.qc.ca/ppu-faubourgs.

L'OCPM est un organisme indépendant qui réalise les mandats de consultation publique qui lui sont confiés par le conseil municipal ou le comité exécutif de la Ville de Montréal. Ces consultations publiques servent à recueillir l'opinion des citoyens, surtout sur des projets qui relèvent des compétences municipales en urbanisme et en aménagement du territoire, mais elles peuvent aussi s'étendre à tout projet soumis par le comité exécutif ou le conseil municipal. L'OCPM a été créé tout spécialement pour que certaines consultations publiques soient menées par une entité neutre. Les rapports de consultation de l'OCPM incluent toujours une analyse des préoccupations citoyennes ainsi que des recommandations spécifiques pour guider les décisions publiques. L'Office a aussi le mandat de proposer des règles afin d'assurer la mise en place de mécanismes de consultation crédibles, transparents et efficaces à Montréal.

SOURCE Office de consultation publique de Montréal

Renseignements: Anik Pouliot, c. 514 743-9369, communications@ocpm.qc.ca

Liens connexes

http://www.ocpm.qc.ca

 

rapport_final-ppu_des_faubourgs.pdf

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2624954/ocpm-trop-de-commerces-pas-assez-de-logements-sociaux-dans-les-faubourgs/

OCPM: trop de commerces, pas assez de logements sociaux dans les Faubourgs

Photo: Josie Desmarais/Archives MétroLe secteur des Faubourgs, à l'est du centre-ville, comprend notamment l'ancienne brasserie de Molson, qui fera l'objet d'un important projet immobilier.

La Ville de Montréal devrait prévoir moins de place pour des commerces dans le secteur des Faubourgs afin de libérer plus d’espace pour la construction de logements sociaux à l’est du centre-ville. La place accordée à l’automobile devrait aussi être réduite au profit des piétons et des cyclistes.

C’est ce qui ressort, en somme, d’un rapport de 178 pages que rend public ce jeudi l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). Celui-ci compte 42 recommandations concernant le projet de programme particulier d’urbanisme (PPU) des Faubourgs, que l’arrondissement de Ville-Marie a adopté en mars 2020.

À lire aussi:

Le REM sera prolongé vers l’est et le nord-est de Montréal

Des secteurs de Montréal en pleine métamorphose

Les terrains de la brasserie Molson à Montréal acquis pour 126 M$

Selon les prévisions de l’administration de Valérie Plante, ce secteur de 236 hectares, qui comprend notamment la brasserie Molson Coors, la tour de Radio-Canada et les abords du pont Jacques-Cartier, devrait accueillir 7500 logements au cours des deux prochaines décennies. De ce nombre, on compterait 1500 unités de logement social, 1250 unités jugées abordables et 500 logements familiaux.

Un risque d’embourgeoisement

Dans les dernières années, les nouvelles constructions à l’est du centre-ville ont surtout pris la forme de copropriétés. Or, la pandémie a rendu les besoins en logements sociaux et abordables «plus criants que jamais» dans ce secteur, qui compte une forte proportion de locataires, note l’organisme paramunicipal.

L’utilisation de logements de grande taille par les étudiants vient aussi limiter l’offre disponible pour les familles, tandis que le manque d’entretien de nombreux appartements contribue à exacerber «l’érosion du parc de logements abordables», peut-on lire.

Les nombreux projets immobiliers prévus notamment sur le site de la Molson et de la tour de Radio-Canada pourraient aussi contribuer à l’embourgeoisement de certains quartiers, comme Centre-Sud. Cela pourrait alors créer une pression à la hausse sur les prix des logements. Une préoccupation que l’OCPM avait déjà soulevé en août 2019.

«Dans ce contexte, la commission considère que le maintien dans les lieux des populations actuelles devrait constituer un des objectifs importants du PPU en matière d’habitation», souligne le rapport.

Pour atteindre cet objectif, l’organisme recommande notamment à la Ville d’utiliser son droit de préemption pour «acquérir des immeubles aux fins de logement social» dans les quartiers existants afin de dépasser la cible de 20% d’unités de ce type qu’elle a prévu jusqu’à maintenant pour ce secteur.

L’organisme souligne aussi la présence de plusieurs lieux publics que la Ville pourrait transformer en projets d’habitation communautaire. «Le site de l’hôpital de la Miséricorde devrait être consacré entièrement à des fins sociales, et particulièrement à de l’habitation sociale et communautaire», propose notamment l’OCPM.

Moins de commerces «au profit de l’habitation»

Le projet de PPU des Faubourgs prévoit par ailleurs de de créer deux nouvelles rues commerciales sur des tronçons des rues De La Gauchetière et Alexandre De-Sève. Or, la pandémie a exacerbé la problématique des locaux commerciaux vacants, en particulier au centre-ville, souligne l’organisme.

D’ailleurs, avant même le début de la crise sanitaire, l’Association des sociétés de développement commercial de Montréal proposait déjà de limiter la superficie commerciale dans la métropole afin d’éviter qu’il y ait trop de commerces par rapport à la demande.

Ainsi, l’OCPM propose à la Ville de revoir à la baisse ses objectifs en matière de construction de nouveaux commerces et bureaux «au profit de l’habitation». L’organisme ne souhaite toutefois pas que d’immense tours à logements voient le jour dans ce secteur pour autant. Au contraire, il propose à l’arrondissement de limiter les dérogations en matière de hauteur qu’il prévoit permettre dans ce périmètre afin de protéger la vue sur le mont Royal.

Mobilité active

La voiture est reine dans le secteur des Faubourgs, qui est peu convivial actuellement pour les piétons et les cyclistes avec ses grandes artères routières où les pistes cyclables sont peu nombreuses et les trottoirs, étroits. Une situation qui pose des enjeux de sécurité, mais aussi de santé, la congestion routière contribuant à la pollution de l’air dans ce secteur.

«Compte tenu de l’ampleur des travaux proposés sur la trame urbaine et de l’arrivée de milliers de nouveaux résidents et travailleurs, la commission est d’avis qu’il faut repenser la place de la voiture sur le territoire, apaiser la circulation sur les nouvelles rues et ne pas créer d’aménagement pouvant induire plus de circulation de transit», note l’OCPM.

L’organisme recommande ainsi à la Ville de prioriser l’aménagement de voies cyclables et de rues piétonnes ou partagées dans ce secteur afin qu’elle puisse «concrétiser [ses] objectifs de mobilité active». Quant au stationnement, on devrait limiter la place qu’il occupe dans les nouveaux projets immobiliers, recommande l’organisme.

Un effet de «rupture» à cause du REM

L’OCPM se désole d’autre part de ne pas avoir pu se pencher, dans le cadre de cette consultation, sur le projet d’extension du Réseau express métropolitain vers le nord et l’est de la métropole, qui a été dévoilé à la mi-décembre. Les structures aériennes où circulera le train léger pourraient pourtant créer un effet de «rupture» entre le nord et le sud du secteur des Faubourgs, ce qui pose plusieurs problèmes, selon l’organisme.

«Ainsi, les impacts visuels de la structure sur le paysage urbain et le cadre bâti, ceux sur la valeur foncière des propriétés qui se trouveront à proximité de cet équipement de transport, la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine aux abords du tracé sont autant de sujets qui auraient mérité d’être abordés durant la consultation.» -Extrait du rapport de l’OCPM

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, devrait réagir à ce rapport jeudi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


  • Les dernières mise à jour

    1. 487

      Hydro-Québec : actualités

    2. 86

      Côneries montréalaises ​​

×
×
  • Créer...