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Stade Olympique et site adjacent - Discussion générale


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The roof of Montreal's Olympic Stadium is in such poor condition that the city's fire department is threatening to shut the building down, CBC News has learned.

 

The roof has lost 45 per cent of its resistance to tearing and requires frequent repairs, according to a recent Olympic Installations Board (OIB) report obtained through an access to information request.

 

The membrane roof, installed by Birdair in 1998, rips 50 to 60 times a year, the report says.

 

The roof is not safe enough for events to be held any time there has been a snowfall of more than eight centimetres, the report says.

 

There are also questions about the potential effect of a heavy rainfall.

 

The report discusses the importance of maintaining "palliative measures" already put in place, including drainage for the roof and a snow-melting system.

 

'It's really been aging in 10 years and this is not normal'— Pierre Carreau, University of Montreal

The Montreal fire department has warned it might have to close the stadium if the OIB doesn't address a number of priorities, including replacement of the roof.

 

"If found that one of the priorities cannot be maintained, our service, for reasons of public safety, would be obliged to terminate the agreement and consider the permanent and final closure of the Stadium," the department wrote in a letter dated Aug. 8, 2009.

 

Roof easily cut

Ultraviolet rays and Montreal's cold and snowy winters — flagged as a problem when the roof was built — are behind the roof's deterioration, said Pierre Carreau, a professor at the École Polytechnique, the University of Montreal's engineering school.

 

Carreau, an expert in plastics and composites, has studied the roof's material in his lab.

 

It was relatively easy to cut the material with a small knife, such as an exacto knife, he said.

 

"It's really been aging in 10 years and this is not normal," he said.

 

"As soon as there is any snow on the roof, you will have to close it because of this security reason. They have to close it — I would not take any chance."

 

Jacques Proteau, assistant chief of the Montreal fire department, agrees.

 

He was at the stadium in January 1999 when the newly installed roof ripped, spilling tonnes of snow into the building, where workers were setting up the annual Montreal Auto Show. There were no serious injuries.

 

"Analysis from specialized firms are showing us the weight that the roof can support," said Proteau. "The roof is worn.… The number one solution … is that the roof must be replaced in the shortest delay."

 

Ongoing problem

The stadium has been an ongoing problem for the OIB.

 

In January 1999, the Olympic Stadium's roof tore, spilling tonnes of snow into an area where workers were preparing for the city's annual auto show. (CBC)

The oval building with its arching tower and planned retractable roof was not completed in time for the 1976 Olympic Games.

 

In 1987, it was finally capped with a cable-supported Kevlar roof, which was also prone to tears.

 

The current Sheerfill II roof was installed in 1998, at a cost of $37 million.

 

Despite corrective measures implemented over the year, the stadium's floor is not used for activities from December to March.

 

In 2000, the OIB sued New York-based Birdair for damages in connection with the 1999 collapse of the roof.

 

The provincial government in 2004 awarded SNC-Lavalin a contract to replace the roof, but nothing has been done.

 

The OIB declined to comment on the report.

 

A spokesperson for the province said the roof of the stadium is a priority and an announcement is expected before the summer.

 

 

 

Read more: http://www.cbc.ca/canada/montreal/story/2010/06/10/mtl-olympic-stadium-roof-safety.html#ixzz0qXZrxn2j

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  • 2 semaines plus tard...

Publié le 26 juin 2010 à 00h00 | Mis à jour à 10h56

 

Parc olympique: vers une nouvelle vie?

 

Karim Benessaieh

La Presse

 

Ce n'est malheureusement pas un secret bien gardé entre Québécois: les Jeux olympiques de Montréal, du point de vue de l'héritage qu'ils ont laissés, sont considérés dans le monde entier comme un échec. Contrairement à Barcelone et à Sydney, Montréal n'a pas profité de son rendez-vous de 1976 pour redonner vie à des quartiers entiers. Les installations olympiques, qu'on a mis 30 ans à payer, sont sous-utilisées, et les Montréalais ne se sont jamais approprié ce grand site froid et bétonné.

 

Mais il y a de l'espoir, estiment les experts du Groupe de recherche sur les espaces festifs (GREF), qui ont notamment participé, dès 2003, à la conception du Quartier des spectacles. Ils ont présenté le mois dernier un rapport étoffé qui a suscité l'enthousiasme du Comité olympique international, à Lausanne.

 

Dans une salle de cours de l'UQAM, ils ont refait l'exercice pour La Presse, avec force croquis, tableaux et explications convaincantes. Quel est le secret? Il faut «briser le béton» pour le remplacer par des espaces verts, faire de l'avenue Pierre-de-Coubertin une artère commerciale animée et refaire complètement l'image du site, notamment grâce à un changement de nom. Car le Parc olympique, note Sylvain Lefebvre, professeur de géographie et directeur du GREF, «est un symbole d'échec».

 

On le considère comme une coquille vide qu'il vaut mieux oublier. «En sciences urbaines, Montréal est reconnu comme le modèle à ne pas suivre, l'échec postolympique par excellence», dit Romain Roult, étudiant au doctorat et administrateur du GREF. Les géographes du GREF présentent joliment ce phénomène comme le «complexe de Cendrillon». C'est la tentation de faire la plus grande manifestation possible, peu importe les coûts, quitte à subir un réveil brutal.

 

Les déboires du Stade olympique entretiennent un cynisme bien ancré dans la population même s'il est devenu un symbole architectural de Montréal. Fermé de novembre à mars pour des raisons de sécurité, déserté par le sport professionnel, il offre quelques rares grandes manifestations -une vingtaine depuis trois ans, essentiellement des expositions et des salons. «C'est le dossier le plus facile à ridiculiser; nous avons un rapport amour-haine avec cette structure, dit M. Lefebvre. On a proposé d'y faire le CHUM, d'en faire un site d'enfouissement, une résidence pour personnes âgées. Ce stade est pourtant devenu un repère urbain mais, comme la tour Eiffel pour les Parisiens au tout début, il n'a pas la faveur des Montréalais.»

 

Attirer (et retenir) les promeneurs

 

L'arrivée graduelle d'autres attractions qui ont eu un succès indéniable, comme le Biodôme, le complexe StarCité, le stade Saputo et bientôt le Planétarium, s'est faite «à la pièce» et n'a rien à voir avec une vision intégrée du site, estime le directeur du GREF. «Il n'y a rien à faire avant, rien à faire après. On devrait avoir là un pôle d'attraction, un endroit où il fait bon être, où on aurait envie d'aller pour y rester un peu. Il faut qu'on ait mille et une raisons pour se retrouver sur le site.» La «rétention» des visiteurs, estime le géographe, est la clé de la résurrection du site. «C'est fondamental. Les promoteurs sont prêts à s'y installer, les gouvernements seraient prêts à y investir et les gens à s'y promener si on a des moyens de les garder.»

 

Romain Roult a fait de la reconversion du Parc olympique le sujet de sa thèse de doctorat. Il a étudié le cas montréalais et l'a comparé à d'autres expériences olympiques. Alors que Barcelone, par exemple, a profité des Jeux de 1992 pour intégrer les installations à sa trame urbaine, Montréal n'a pratiquement qu'une seule réalisation à son actif: avoir fait du Stade olympique un symbole touristique renommé.

 

Sur une trentaine de points considérés par les auteurs comme révélateurs d'une reconversion réussie, Montréal en récolte à peine six, dans des domaines aussi anodins que l'accessibilité par les transports en commun ou la participation gouvernementale d'au moins 60%. Avec la collaboration d'un cabinet d'urbanistes, Ipso, dont les bureaux sont justement situés sur l'avenue Pierre-de-Coubertin, face au Stade, Romain Roult a proposé une reconversion plus réussie, avec croquis et plans. Le résultat est alléchant: le Parc olympique, actuellement fragmenté et isolé des quartiers environnants, devient un grand parc urbain animé.

 

Première étape: enlever la majeure partie du béton qui entoure le Stade olympique pour le remplacer par des espaces verts. «C'est actuellement un îlot de chaleur important, explique Sylvain Lefebvre. On doit remplacer ce grand lieu froid et bétonné, à l'image d'Expo 67, et recréer de petits espaces verts. On s'est mis dans la peau de quelqu'un qui se retrouve à cet endroit et qui ne trouve pas ce qu'il cherche. Il n'y a pas de communication entre les différentes parties du parc, les jets d'eau sont inexistants, il manque de relation avec le superbe parc Maisonneuve juste en face, avec l'Insectarium, le Jardin botanique.»

 

Changement de nom

 

Le deuxième volet est commercial. En attirant un hôtel de prestige, par exemple au-dessus de la station de métro Pie-IX, en incitant des commerçants à installer terrasses et des enseignes au rez-de-chaussée du Stade et en attirant évidemment des clients, on redonnerait vie à l'avenue Pierre-de-Coubertin. «Actuellement, si on veut manger aux alentours du Parc olympique, il n'y a pratiquement rien, il faut s'éloigner», précise M. Lefebvre. Enfin, la troisième intervention est peut-être la plus audacieuse: il faut refaire l'image de marque de ce parc (le branding) pour la débarrasser de son étiquette de fiasco.

 

La solution la plus efficace serait de trouver un nouveau nom au parc. «Toute grande opération urbaine passe par une brisure du branding, souligne le directeur du GREF. Une fois l'image brisée, ce projet pourrait devenir extrêmement mobilisateur. Le potentiel est là, il est inexploité. Il faut changer l'image, redonner la rue et le lieu aux citoyens, se lancer dans une opération de séduction pour casser cette image rébarbative.»

 

Quelles sont les chances de voir ce nouveau rêve olympique se réaliser? Tout dépend de la mobilisation et du débat qui seront suscités, répondent les responsables du GREF. Aucune formation politique, aucune administration municipale ou gouvernementale n'a été sollicitée.

 

«Au même titre que le Quartier des spectacles, il faut du temps pour ancrer une idée comme celle-là, estime Sylvain Lefebvre. C'est le moment ou jamais: le Stade est arrivé à la fin de sa vie utile, il faut le rénover, réinvestir, c'est un équipement majeur dont on ne doit pas se débarrasser. Profitons-en pour rétablir son image de marque, créer une nouvelle signature territoriale.»

 

_____________________________________________________________________________________________

 

Publié le 26 juin 2010 à 07h19 | Mis à jour à 07h21

 

Il faut tuer le toit fixe

 

Yves Boisvert

La Presse

 

Pour redonner vie aux alentours du stade, il faut se le réapproprier. Et pour faire ça, il faut lui redonner une vocation sportive. Ça tombe bien, on est obligé de remplacer le toit de toute urgence.

 

C'est donc notre dernière chance cette année de rejeter l'idée absurde de la RIO de boucher pour l'éternité ce stade mal aimé.

 

Quelle ironie de voir le premier ministre du Québec plaider pour la tenue de Jeux olympiques d'hiver à Québec pendant qu'on menace de tuer pour de bon le Stade olympique!

 

À quoi servent les «grands événements» s'ils ne laissent derrière eux que des dépenses et des images vite oubliées dans les télés du monde, un monde déjà gavé d'événements et de grandes villes?

 

On se demande ces jours-ci comment financer un nouvel amphithéâtre dans la Vieille capitale, faire un anneau de glace, aménager les montagnes, enfin tout ce qu'il faut d'infrastructures pour des JO... Et pendant qu'on se creuse la tête pour 2022, on est sur le point de détruire pour de bon la vocation sportive du Stade olympique qu'on a déjà.

 

***

 

Depuis l'automne, Lavalin attend que le Conseil des ministres donne le feu vert à la construction de son toit fixe en acier. Un truc de plus de 300 millions.

 

C'est en effet ce qu'a commandé la Régie des installations olympiques, qui a renoncé depuis longtemps à l'idée de redonner la lumière naturelle au Stade. Or, un stade fermé, en plus d'être déprimant, ne peut accueillir toute une série de compétitions, notamment l'athlétisme. Ce n'est plus un stade.

 

La bonne nouvelle, c'est que Québec laisse traîner et ne se résout pas à engloutir autant d'argent pour faire du Stade un vulgaire centre de foire. D'où ces appels d'urgence vus récemment dans les médias: la toile actuelle se fissure sans arrêt, il faut l'entretenir, ça coûte cher, ça limite l'utilisation du Stade, etc.

 

Mais il existe d'autres options, dont une particulièrement ingénieuse conçue par François Delaney, qui consiste à installer un toit d'acier amovible, indépendant de la structure du Stade - j'en ai parlé l'automne dernier. Des ingénieurs et des constructeurs de stades approuvent cette idée, la disent faisable et sont prêts à la mettre en oeuvre. Ce n'est sans doute pas la seule, mais on voit qu'il y a autre chose à faire avec ce stade que ce qu'ont décidé les gens de la RIO.

 

Québec doit donc absolument donner une dernière chance à ce stade avant de le fermer à triple tour. Il faut annuler cet appel d'offres, en refaire un nouveau et faire en sorte que le Stade olympique de Montréal ne soit pas le seul au monde où il est interdit de tenir une compétition d'athlétisme parce qu'il n'est pas à ciel ouvert. On ne pourrait pas y organiser les jeux du Commonwealth ni les Jeux panaméricains, même pas ceux du Canada.

 

On n'aurait évidemment réglé aucun problème urbain ou urbanistique. Mais ce serait une sorte de premier pas. Une manière de réhabilitation de cette installation qui a coûté si cher et qui est au milieu de l'île comme le nez au milieu du visage, mais qu'on ne veut pas voir et dont on ne parle qu'avec dérision.

 

Après la réhabilitation, pourquoi pas, la réconciliation. On pourrait même se surprendre à lui trouver de la beauté.

 

Et qui sait si cet objet étrange ne deviendra pas un jour, un jour pas si lointain même, un aimant?

 

Tant mieux si des gens comme ceux du GREF rêvent encore de mettre en valeur les environs du Stade.

 

Le moment est à la fois critique et parfaitement choisi pour passer à l'action et réinventer ce stade, ou plutôt lui redonner un minimum d'intégrité.

 

Le Parc olympique en chiffres

 

Coût: 1,4 milliard (remboursement terminé en 2006)

 

Comprend: le Stade, le Vélodrome (devenu le Biodôme), l'Insectarium, le Jardin botanique et, depuis 2008, le stade Saputo.

 

Visiteurs: 66 millions au Stade depuis son ouverture, huit millions à la Tour depuis 1987.

 

Revenus: 18,6 millions par année en moyenne.

 

Coûts (estimés): 34 millions

 

Élévation de la tour au-dessus du niveau de la mer: 190 mètres

 

La plus grande assistance: concert de Pink Floyd en 1977 (78 322 personnes)

 

Coûts estimés de la démolition du Stade: 700 millions. Selon un sondage Léger Marketing réalisé en mars 2009, 95% des Québécois y seraient opposés.

 

- Source: Régie des installations olympiques

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Le stade fait parti de l'identité Montréalaise. Démolir le stade serait comme démolir la basilique Notre Dame.

 

 

I couldn't agree with you more. Yes, it have proved to be a totally impractical building and flawed design BUT aesthetically, it has only gotten better as time goes on; it is a WILD piece of futuristic architecture.

 

Stadiums are civic monuments. As such, does the Big O really have to be a money-maker?

 

That said, I have never been a fan of the fixed roof. I do like some of the ideas being proposed in the article.

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There are a million things you can do with the Olympic Stadium.

 

1. Use it as a permanent sports/training facility (you could fit a few tennis courts in there, a half-size soccer field or two, etc.)

2. Convert it to a convention center

3. Turn it into a museum (maybe a science museum)/convert the floor space

4. Convert it to office space/retail

5. Heck you could conceivably convert the floor space into a mall/shopping center!

6. Convert it into an indoor aqua parc

7. Convert it into an indoor amusement parc (i can just imagine roller-coasters going around the perimeter of the indoor space, up where the stands are)

8. Convert it into a giant indoor botanical garden

9. Convert it into a concert venue

10. Permanent arts exhibition center

11. Indoor go-karting / race track

 

I'm just calling things off the top of my head. There are millions of uses possible. Demolishing it would be a terrible, terrible waste.

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Le stade fait parti de l'identité Montréalaise. Démolir le stade serait comme démolir la basilique Notre Dame.

Je partage ton avis

 

 

...'il est devenu un symbole architectural de Montréal.

 

Ce stade est pourtant devenu un repère urbain ...mais il n'a pas la faveur des Montréalais.

 

On devrait avoir là un pôle d'attraction, un endroit où il fait bon être, où on aurait envie d'aller pour y rester un peu.

 

Première étape: enlever la majeure partie du béton qui entoure le Stade olympique pour le remplacer par des espaces verts.

 

c'est un équipement majeur dont on ne doit pas se débarrasser.

 

C'est aussi mon avis

 

Pour redonner vie aux alentours du stade, il faut se le réapproprier. Et pour faire ça, il faut lui redonner une vocation sportive.

 

Depuis l'automne, Lavalin attend que le Conseil des ministres donne le feu vert à la construction de son toit fixe en acier. Un truc de plus de 300 millions.

 

C'est en effet ce qu'a commandé la Régie des installations olympiques.

 

Il faut annuler cet appel d'offres, en refaire un nouveau et faire en sorte que le Stade olympique de Montréal ne soit pas le seul au monde où il est interdit de tenir une compétition d'athlétisme parce qu'il n'est pas à ciel ouvert. On ne pourrait pas y organiser les jeux du Commonwealth ni les Jeux panaméricains, même pas ceux du Canada.

 

Ce n'est pas à moi de déterminer la vocation du stade, toutefois je tiens à souligner que formellement le stade est beau (contrairement à son environnement immédiat) et que le biodôme l'est d'avantage (beau)

 

Le stade; 300 millions pour l'étouffer ou 700 millions pour le raser, ne pourrions-nous pas utiliser cet argent pour embellir ce cite qui est déjà touristique (sauf pour nous), d'en faire une valeur ajoutée comme le quartier international, le quartier des spectacles et les autres parcs du centre-ville déjà améliorés ou en voie de l'être

 

Coûts estimés de la démolition du Stade: 700 millions.

 

Je peu compter sur toi yarabundi? :highfive:

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