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L'Économie du Québec


Habsfan

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Mon pere etait un ouvrier avec pas beaucoup d'education et qui a emmigrer au Canada avec pas beaucoup d'argent dans ses poches et pourtant il a reussi a s'en mettre de coté.

 

 

Pour ce qui est des soins medicaux c'est gratuit ici mais tu a le temps de mourir avant de te faire operer.

 

Je crois qu'il faudrait mettre plus de nuance dans tes propos car les exemples anecdotiques ne sont que du cas par cas. Rappelons-nous que rien n'est plus facile que de critiquer négativement, car on évite en même temps la difficulté de proposer autre chose de supérieur. Il fut un temps où justement les gens n'avaient d'autre choix que de se prendre en charge. Ce fut en l'occurrence, ici comme ailleurs pour une majorité, la période la plus difficile de notre histoire et l'âge d'or des inégalités sociales.

 

Ne dit-on pas que l'union fait la force? Voilà le rôle d'un bon gouvernement qui gère les destinées de millions de gens, tout en essayant de distribuer la richesse pour qu'elle se rende aussi jusqu'aux plus démunis.

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En bin après 40 ans d'union, force, distribution de "richesse" le Quebec n'est pas exactement unie, aussi fort qu'il pourrait être et certainement ne vie pas a une pleine capacité de création de richesse. Si c’était de moi je scrapperait l'affaire et réinventerait le tout franchement le pendelum est aller beaucoup trop loin vers la gauche. Si une société est incapable de se prendre a charge et doit se fier sur sur la main gouvernementale pour tout ça n'en dit pas long sur cette société?

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Je crois qu'il faudrait mettre plus de nuance dans tes propos car les exemples anecdotiques ne sont que du cas par cas. Rappelons-nous que rien n'est plus facile que de critiquer négativement, car on évite en même temps la difficulté de proposer autre chose de supérieur. Il fut un temps où justement les gens n'avaient d'autre choix que de se prendre en charge. Ce fut en l'occurrence, ici comme ailleurs pour une majorité, la période la plus difficile de notre histoire et l'âge d'or des inégalités sociales.

 

Ne dit-on pas que l'union fait la force? Voilà le rôle d'un bon gouvernement qui gère les destinées de millions de gens, tout en essayant de distribuer la richesse pour qu'elle se rende aussi jusqu'aux plus démunis.

 

Il faut remettre les choses en contexte. La situation à l'époque n'est pas la même, la société s'est beaucoup diversifiée et les valeurs personnelles ont prit plus d'importance. On parle aujourd'hui d'options, de choix et je crois que notre modèle s'est mal adapté car il, et une bonne frange de la population, se complaisent dans une vieille formule de dépendance et de solidarité dépassé.

 

Tout tient uniquement sur le dogme du filet social. Que fait-on avec les pauvres, les malades, ceux qui ne peuvent se prendre en charge? En effet, c'est évidement fondamental dans une société le moindrement humaniste, mais où est la limite? À quel point est-ce que l'on peut imposer, taxer et réglementer la vie de tous au sacro-nom de ce filet social et prendre des décisions à leur place? Je suis conscient que le gouvernement se doit d'être le plus juste pour tous et qu'à notre époque, la tâche est plus ardue mais, justement, est-il toujours en phase avec la réalité, est-il toujours légitime dans sa forme actuelle?

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Pour ce qui est des soins medicaux c'est gratuit ici mais tu a le temps de mourir avant de te faire operer.

 

Et pour les mieux nantis, tu n'as qu'à aller à Burlington, Vt, pour avoir des soins rapides et 5 étoiles (incluant infermières québécoises). Plusieurs millions de $ sont ainsi dépensés à l’étranger par des québécois.

 

Nous sommes prisonnier d’un système de santé public, sous-financé et monopolistique.

 

Imaginer les retombées économiques qu’entrainerais un tel hôpital privé, 100% hors RAMQ (par ex près d’un aéroport tel que Dorval) afin de desservir des patients américains et certains québécois/corporations/SAAQ.

 

En plus, ça rendrait Montréal plus attrayant aux cadres/haut salariés étrangers qui envisagent de s’établir ici.

Modifié par SkahHigh
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Je l'entend souvent celle la. Le propos anecdoctique manque d'inspiration mon ami tu a voler ce mot a Marc_AC . Tient a salaire egale et meme situation familiale on va retrouver certains avec pas une cent dans son compte de banque et certains autres plus prevoyant qui en ont mis de coté. C'est quoi avoir plus de nuance?. Je te donne un exemple tres concret pas un chiffre piger au hasard dans une étude de cas d'un prof de sociologie d'université. Ou encore pris dans un article de journeaux .

Je crois qu'il faudrait mettre plus de nuance dans tes propos car les exemples anecdotiques ne sont que du cas par cas. Rappelons-nous que rien n'est plus facile que de critiquer négativement, car on évite en même temps la difficulté de proposer autre chose de supérieur. Il fut un temps où justement les gens n'avaient d'autre choix que de se prendre en charge. Ce fut en l'occurrence, ici comme ailleurs pour une majorité, la période la plus difficile de notre histoire et l'âge d'or des inégalités sociales.

 

Ne dit-on pas que l'union fait la force? Voilà le rôle d'un bon gouvernement qui gère les destinées de millions de gens, tout en essayant de distribuer la richesse pour qu'elle se rende aussi jusqu'aux plus démunis.

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Je l'entend souvent celle la. Le propos anecdoctique manque d'inspiration mon ami tu a voler ce mot a Marc_AC . Tient a salaire egale et meme situation familiale on va retrouver certains avec pas une cent dans son compte de banque et certains autres plus prevoyant qui en ont mis de coté. C'est quoi avoir plus de nuance?. Je te donne un exemple tres concret pas un chiffre piger au hasard dans une étude de cas d'un prof de sociologie d'université. Ou encore pris dans un article de journeaux .

 

Je tiens premièrement à souligner ton enthousiasme comme participant. Tu soulèves souvent des questions très pertinentes et bien que je ne sois pas toujours d'accord avec tes opinions (et réciproquement), je respecte ton point de vue et ta contribution aux débats. De toute façon mon propre discours n'est pas non plus infaillible et je profite souvent moi-même de la critique constructive pour améliorer mes positions. Bien sûr l'objectif n'est pas d'atteindre l'unanimité sur un forum (ou ailleurs), ni convaincre les autres que nous avons raison. Mais plutôt de rechercher une forme de consensus où finalement tout le monde s'enrichit des idées des autres. Pour cela il faut seulement être de bonne foi et avoir la volonté d'agir dans l'intérêt général. Ce à quoi tu réponds sincèrement.

 

Pour revenir à la discussion, nous sommes d'accord que personne ne réagit de la même façon face à l'argent et que plusieurs manquent de discipline. Comme les connaissances en gestion de budget et d'économie ne font pas vraiment partie de notre système d'éducation, il y aurait certainement une amélioration à apporter. Il faudrait que la population générale soit notamment mieux sensibilisée aux dangers de l'endettement, comme aux multiples pièges de la consommation. Et tant qu'à faire pourquoi pas une initiation à l'entrepreneurship et aux affaires?

 

Il faudrait aussi aider les jeunes à mieux s'outiller face à la critique constructive, pour qu'ils apprennent à faire de meilleurs choix politiques et économiques, tout en développant un argumentaire plus solide. En d'autres mots: donnons aux individus la capacité de mieux faire la part des choses; de développer leur curiosité par l'apport de connaissances nouvelles et pertinentes; et aussi par le développement d'un jugement personnel ouvert et inclusif.

 

Paradoxalement il n'y a jamais eu autant d'accessibilités aux connaissances générales et à l'information, grâce à l'internet. Cependant il faut pratiquement avoir un esprit autodidacte pour avoir le courage de plonger véritablement dans les profondeurs de cet océan, afin d'en tirer un véritable enseignement formateur. Pourtant la moyenne des gens demeure en partie ignorante ou désintéressée, préférant les échanges superficiels et les collections d'amis virtuels.

 

Ce qui m'amène à conclure que ce n'est pas parce que l'information existe qu'elle est connue et utilisée, bien qu'elle soit un des piliers essentiels de la démocratie. Comme dit l'adage: on peut forcer un cheval à aller à la rivière, mais on ne peut pas le forcer à boire.

Modifié par acpnc
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Faut rendre l'economie attirante sexy. Le meilleur exemple qui me vient en tete c'est la mentalité californienne tout les jeunes la-bas ne pense qu'a partir leur start-up. Pour ce qui est du systeme d'education et l'enseignement de l'economies c'est un gros zero. Par contre je me souviens au secondaire que l'on avait un petit cours d'economie. La seule chose qui me console c'est que les gens sont plus conscient qu'avant sur l'economie mais ca reste a ameliorer. On loin des anglo-saxons sur ce point. Comme on dit aide toi et le ciel t'aidera .

Je tiens premièrement à souligner ton enthousiasme comme participant. Tu soulèves souvent des questions très pertinentes et bien que je ne sois pas toujours d'accord avec tes opinions (et réciproquement), je respecte ton point de vue et ta contribution aux débats. De toute façon mon propre discours n'est pas non plus infaillible et je profite souvent moi-même de la critique constructive pour améliorer mes positions. Bien sûr l'objectif n'est pas d'atteindre l'unanimité sur un forum (ou ailleurs), ni convaincre les autres que nous avons raison. Mais plutôt de rechercher une forme de consensus où finalement tout le monde s'enrichit des idées des autres. Pour cela il faut seulement être de bonne foi et avoir la volonté d'agir dans l'intérêt général. Ce à quoi tu réponds sincèrement.

 

Pour revenir à la discussion, nous sommes d'accord que personne ne réagit de la même façon face à l'argent et que plusieurs manquent de discipline. Comme les connaissances en gestion de budget et d'économie ne font pas vraiment partie de notre système d'éducation, il y aurait certainement une amélioration à apporter. Il faudrait que la population générale soit notamment mieux sensibilisée aux dangers de l'endettement, comme aux multiples pièges de la consommation. Et tant qu'à faire pourquoi pas une initiation à l'entrepreneurship et aux affaires?

 

Il faudrait aussi aider les jeunes à mieux s'outiller face à la critique constructive, pour qu'ils apprennent à faire de meilleurs choix politiques et économiques, tout en développant un argumentaire plus solide. En d'autres mots: donnons aux individus la capacité de mieux faire la part des choses; de développer leur curiosité par l'apport de connaissances nouvelles et pertinentes; et aussi par le développement d'un jugement personnel ouvert et inclusif.

 

Paradoxalement il n'y a jamais eu autant d'accessibilités aux connaissances générales et à l'information, grâce à l'internet. Cependant il faut pratiquement avoir un esprit autodidacte pour avoir le courage de plonger véritablement dans les profondeurs de cet océan, afin d'en tirer un véritable enseignement formateur. Pourtant la moyenne des gens demeure en partie ignorante ou désintéressée, préférant les échanges superficiels et les collections d'amis virtuels.

 

Ce qui m'amène à conclure que ce n'est pas parce que l'information existe qu'elle est connue et utilisée, bien qu'elle soit un des piliers essentiels de la démocratie. Comme dit l'adage: on peut forcer un cheval à aller à la rivière, mais on ne peut pas le forcer à boire.

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http://www.ledevoir.com/politique/quebec/436692/plan-nord-toujours-un-mirage

 

PLAN NORD

Toujours un mirage

9 avril 2015 |Josée Boileau | Québec

Le premier ministre Philippe Couillard s’est livré mercredi à un grand déploiement pour présenter la nouvelle mouture du Plan Nord auquel son prédécesseur, Jean Charest, avait lui-même consacré deux lancements d’envergure. Mais la multiplication des annonces ne rend pas le projet plus solide. Le Plan Nord est au pire un mirage, au mieux un coup de dés.

 

Sur le fond, on y revient toujours : exploiter le Nord, c’est développer des mines. Est-ce là une activité au rendement assuré ? Non. Est-ce une activité qui nourrit le Trésor public québécois ? Non. Est-ce un secteur où la bonne entreprise citoyenne domine, ne serait-ce qu’en ramassant ses dégâts ? Non plus.

 

Et pourtant, au XXIe siècle, le Québec se lance dans l’extraction minière avec l’enthousiasme du chercheur d’or du XIXe siècle.

 

Certes, le gouvernement Couillard, représenté en force, a exposé mercredi un projet un peu moins ambitieux que celui de Jean Charest et enrobé de mesures visant à en assurer l’acceptabilité sociale. Ainsi, 50 % du territoire de 1,2 million de kilomètres carrés sera protégé de l’exploitation industrielle ; la collaboration avec les Inuits et les Premières Nations sera constante ; on comptera sur des énergies propres (l’éolien, la bioénergie) pour approvisionner les communautés isolées. De même, Québec mettra en place un mécanisme d’évaluation des impacts sur la santé des différents projets développés.

 

Intéressant ? Oui… en théorie. Mais dans les faits, quelle garantie avons-nous en matière environnementale, puisque le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement n’a pas juridiction sur le territoire couvert par le Plan Nord ? De plus, parmi toutes les associations qui applaudissaient mercredi le retour en grand du Plan Nord, plusieurs se disaient préoccupées par ce 50 % de territoire soustrait à l’exploration, au prétexte notamment qu’il leur faut mieux connaître l’ensemble du Nord québécois. Ces pressions-là ne diminueront pas.

 

En matière de santé, le scepticisme s’impose : il n’y a pas ici de mandat indépendant donné à la Direction de la santé publique. Il s’agit plutôt « d’accompagner les entreprises », comme l’a expliqué la ministre Lucie Charlebois. À quoi s’ajoute le fait que la santé publique a largement écopé dans les compressions mises en place par le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette. On sait aussi que pour le gouvernement libéral, les enjeux de santé publique sont vus comme des enjeux politiques, donc contestables. Qui croira sérieusement que le gouvernement sera disposé à enquiquiner des entreprises, de qui il espère le renflouement des finances du Québec, avec des problèmes de santé physique ou mentale ?

 

Quant à la fortune qui nous attend — le Plan Nord étant, nous a-t-on dit mercredi, un « élément central pour assurer la prospérité du Québec » —, elle repose sur un pari de taille qui au fil des ans n’a pas changé : « On prépare la table pour des entreprises qui ne sont pas obligées de venir », ainsi que le résumait le professeur Jean-Thomas Bernard, spécialiste des ressources naturelles, lors du lancement de 2011 du Plan Nord.

 

Québec va ainsi investir près de 2 milliards dans les cinq prochaines années en espérant que le privé va se joindre à lui et que le fédéral viendra bonifier l’offre. Or les redevances minières n’ont rapporté que 23 millions de dollars au Trésor québécois l’an dernier. Notre mollesse pour aller chercher notre dû auprès des minières conjuguée aux fluctuations des prix, notamment du fer, interdit de croire que la manne tombera sur le Québec. Mais il y a un héritage dont nous sommes assurés : celui de payer seuls la facture des sites miniers abandonnés, comme c’est déjà le cas de 700 sites au Québec pour un montant de 1,2 milliard. La vraie rentabilité du Plan Nord commence là.

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Ce Plan Nord sorti du chapeau de Charest en 2008, est le même voeux pieux que Couillard porte maintenant à bout de bras. Ici quand on lit tout ce qu'il implique, on comprend que le gouvernement prend tous les risques financiers, en espérant que l'entreprise privée prendra éventuellement le relais. Historiquement parlant, depuis des décennies, le Québec a très peu récupéré de l'exploitation minière. On extrait et exporte généralement en vrac comme le ferait une ancienne colonie, avec peu ou pas de retombées en transformation, pourtant l'étape la plus payante de l'exploitation des ressources.

 

Pourquoi alors insister, surtout avec la facture énorme (700 millions) qui nous échoit des mines qui polluent depuis déjà trop longtemps notre environnement, parce qu'elles ont été abandonnées cavalièrement et de manière irresponsable par les compagnies antérieures? Dans ce dossier la loi a peu changé et demeure vague à souhait pour ne pas faire peur aux investisseurs.

 

On parle donc plutôt d'une aventure incertaine, qui relève bien plus d'un coup de dés que d'un véritable programme où l'État sait vraiment où il s'en va. Faire miroiter la prospérité du Québec à partir de ce projet hautement hypothétique, c'est tromper la population. Car dans les faits, Couillard vend des billets de théâtre à gros prix, en garantissant le succès d'un spectacle qui prendra place dans une salle non encore construite; en présentant une pièce non encore écrite et dont on ne connait ni le nombre, ni le cachet, ni l'identité des comédiens.

 

Dans la réalité ce genre d'entreprise serait naturellement vouée à l'échec parce que c'est procéder à l'envers de la simple logique. Pourquoi en serait-il autrement avec le gouvernement qui veut jouer avec notre argent? De toute façon quand on essaie d'attirer des entreprises pour du développement, on le fait toujours à leurs conditions et non aux nôtres.

 

C'est bien beau d'investir 2 milliards en infrastructures diverses pour rendre le territoire accessible, mais qui paiera ensuite pour le coûteux entretien et cela dans les pires conditions climatiques du pays et très loin des grands centres? Le Québec peine déjà à maintenir son immense réseau de routes au sud de la province, digne du tiers-monde tellement certaines portions sont dans un état lamentable. Et là on devra construire des milliers de kilomètres supplémentaires, déneiger et réparer de manière permanente et en pleine brousse, pour une poignée de compagnies minières qui n'ont même pas encore trouvé leur gisement?

 

Plus amateur que ça, tu meurs. A moins qu'on ait trouvé la filière parfaite pour remettre sur les rails et loin des regards indiscrets, l'ancien régime de collusion dont les libéraux sont devenus les plus grands experts?

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...The Plan Du Nord at least gets the motor starting on rare precious earth that Quebec can offer, sell these resources and generate thousands of new jobs that have a direct economic spinoffs towards our social infrastructure...

 

I agree with actions that funnel / coordinate / concentrate infrastructure projects that ignites / helps / encourage those private projects in plan nord.

 

I disagree giving out 2 billion taxpayer’s money to speed up extraction of natural resources. Those would have been extracted eventually anyways (once demand / prices are right). It seems to me that those 2 billion would have a bigger impact in subsidizing an high speed train between Montreal and Toronto (and/or NYC) that would benefit everyone.

 

For extraction of our natural resources, I believe in user pay. Those mines / projects should collectively pay for their road access / rail / hydro infrastructure etc.

Modifié par YUL
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