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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. ça va être superbe vue des terrasses des toits du Lowney sur Ville ou de mon balcon du 19e
  2. Ça va être vraiment joli si tous ces projets se réalisent.
  3. Carte super intéressante qui fait la répartition des votes quasiment rue par rue. En faisant un zoom, on peut presque dire que le vote était assez "gérérationnel", les secteurs comme Griffintown où il y a bcp + de jeunes professionnels ont voté pour Mélanie Joly http://nicolas.kruchten.com/mtlelection2013bysection/
  4. Très différente de cette photo de Montréal en 1964 Via L'Actualité : http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/ Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0
  5. Superbes photos de Montréal il y a 50 ans Sur le site de l'Actualité : http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/
  6. Le dénivelé entre l'Avenue des Canadiens et la rue Saint-Antoine est quand même assez important.. Les 2 tours de 37 étages auront l'air encore plus basses comparées à la Tour 1
  7. Comme quelqu'un l'a déjà mentionné, District Griffin sur l'eau c'est plutôt District Griffin sur rail... J'espère que ce sera super bien insonorisé....
  8. En regardant mes photos des condos modèles, les armoires de cuisine ne vont pas jusqu'au plafond... mais le plafond du bureau de ventes ne sera pas à la même hauteur que ceux des unités
  9. Économie d'électricité en raison du froid p-ê? Hydro a quand même demandé de réduire la consommation d'électricité.
  10. oui oui, je sais, j'ai déjà posté ceci dans le fil de la phase 1 Dans LaPresse+ ce matin : et sur le site aussi CENTRE BELL LE CANADIEN À L'OMBRE DE DEUX NOUVELLES TOURS MAXIME BERGERON LA PRESSE Qu’importe le ralentissement du secteur immobilier, Cadillac Fairview persiste et signe. Le promoteur torontois a franchi une nouvelle étape en vue d’ériger 2 tours de 37 étages tout juste au sud du Centre Bell. Le projet de 600 logements a été adopté en première lecture par le conseil d’arrondissement de Ville-Marie, à la mi-décembre. S’il va bel et bien de l’avant, il constituera la phase II de la Tour des Canadiens, qui s’est vendue à une vitesse record l’an dernier. « La réalisation de ce projet va permettre de mettre en valeur le potentiel de construction du secteur qui s’étend au sud de la rue Saint-Antoine, entre le Centre Bell, le Quartier international de Montréal et Griffintown », indique un sommaire décisionnel de l’arrondissement. Ces deux nouveaux immeubles s’inscrivent dans le vaste plan d’ensemble concocté par Cadillac Fairview pour ce secteur névralgique de Montréal. D’ici 15 ans, le groupe ontarien prévoit investir près de 2 milliards de dollars aux abords du Centre Bell. Le promoteur compte déjà deux chantiers actifs dans ce quadrilatère : la Tour des Canadiens – un gratte-ciel de 50 étages totalisant plus de 500 condos, adjacent au Centre Bell – et la Tour Deloitte, qui comprendra 26 étages de bureaux. Selon les plans présentés à la Ville, les deux nouvelles tours de 37 étages auront plusieurs usages. La première sera résidentielle et comptera 380 logements, tandis que la deuxième abritera un rez-de-chaussée commercial, 220 appartements et un hôtel de 230 chambres. Dérogations demandées Plusieurs dérogations seront nécessaires à la réalisation du projet de 170 millions de dollars. La Ville devra notamment autoriser une surhauteur – 120 mètres plutôt que 65 – , ainsi que la construction d’un café-terrasse sur le toit d’une des tours. Elle devra aussi se prononcer sur l’érection d’une passerelle piétonne au-dessus de la rue Saint-Antoine. Pour appuyer le projet, l’arrondissement rappelle que le secteur situé au sud du Centre Bell est partiellement enclavé, en raison de l’autoroute Ville-Marie, et « fortement déstructuré ». À l’heure actuelle, on y trouve une enfilade de stationnements à ciel ouvert et quelques petits immeubles délabrés. L’arrondissement donne son feu vert au projet en première lecture, pourvu que le promoteur respecte une série de conditions. Cadillac Fairview a refusé les demandes d’entrevues de La Presse Affaires, hier. Trop de condos ? Ce nouveau projet surgit alors que le marché de la copropriété est en pleine mutation dans la métropole. L’arrondissement de Ville-Marie – qui comprend le centre-ville et le Vieux-Montréal – fait l’objet d’une concurrence exacerbée entre de très nombreux projets. « Ce sont des projets qui vont être plus longs à écouler que ce qu’on a vu au cours des dernières années, a expliqué David L’Heureux, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le message qu’on lance, c’est que le marché a commencé à s’ajuster et qu’il va continuer à s’ajuster. » Le nombre de mises en chantier a régressé dans Ville-Marie, avec 2210 copropriétés en construction en novembre dernier contre 2621 un an plus tôt, selon les données de la SCHL. En parallèle, le nombre de condos neufs invendus est passé de 18 à 171 pendant la même période. Malgré ce repli, le marché du condo neuf demeure en bonne santé, analyse Mathieu Collette, directeur de l’évaluation au Groupe Altus. Quelque 1200 appartements ont trouvé preneur pendant les neuf premiers mois de l’année au centre-ville de Montréal, soit un peu moins qu’à la même période en 2012 (1400), mais beaucoup plus qu’en 2011 (750). « On se dirige pour finir l’année 2013 avec des ventes entre 1600 et 1800, ce qui est quand même incroyable », a-t-il fait valoir.
  11. oui oui, je sais, j'ai déjà posté ceci dans le fil de la phase 1 Dans LaPresse+ ce matin : et sur le site aussi [ATTACH]13091[/ATTACH] CENTRE BELL LE CANADIEN À L'OMBRE DE DEUX NOUVELLES TOURS MAXIME BERGERON LA PRESSE Qu’importe le ralentissement du secteur immobilier, Cadillac Fairview persiste et signe. Le promoteur torontois a franchi une nouvelle étape en vue d’ériger 2 tours de 37 étages tout juste au sud du Centre Bell. Le projet de 600 logements a été adopté en première lecture par le conseil d’arrondissement de Ville-Marie, à la mi-décembre. S’il va bel et bien de l’avant, il constituera la phase II de la Tour des Canadiens, qui s’est vendue à une vitesse record l’an dernier. « La réalisation de ce projet va permettre de mettre en valeur le potentiel de construction du secteur qui s’étend au sud de la rue Saint-Antoine, entre le Centre Bell, le Quartier international de Montréal et Griffintown », indique un sommaire décisionnel de l’arrondissement. Ces deux nouveaux immeubles s’inscrivent dans le vaste plan d’ensemble concocté par Cadillac Fairview pour ce secteur névralgique de Montréal. D’ici 15 ans, le groupe ontarien prévoit investir près de 2 milliards de dollars aux abords du Centre Bell. Le promoteur compte déjà deux chantiers actifs dans ce quadrilatère : la Tour des Canadiens – un gratte-ciel de 50 étages totalisant plus de 500 condos, adjacent au Centre Bell – et la Tour Deloitte, qui comprendra 26 étages de bureaux. Selon les plans présentés à la Ville, les deux nouvelles tours de 37 étages auront plusieurs usages. La première sera résidentielle et comptera 380 logements, tandis que la deuxième abritera un rez-de-chaussée commercial, 220 appartements et un hôtel de 230 chambres. Dérogations demandées Plusieurs dérogations seront nécessaires à la réalisation du projet de 170 millions de dollars. La Ville devra notamment autoriser une surhauteur – 120 mètres plutôt que 65 – , ainsi que la construction d’un café-terrasse sur le toit d’une des tours. Elle devra aussi se prononcer sur l’érection d’une passerelle piétonne au-dessus de la rue Saint-Antoine. Pour appuyer le projet, l’arrondissement rappelle que le secteur situé au sud du Centre Bell est partiellement enclavé, en raison de l’autoroute Ville-Marie, et « fortement déstructuré ». À l’heure actuelle, on y trouve une enfilade de stationnements à ciel ouvert et quelques petits immeubles délabrés. L’arrondissement donne son feu vert au projet en première lecture, pourvu que le promoteur respecte une série de conditions. Cadillac Fairview a refusé les demandes d’entrevues de La Presse Affaires, hier. Trop de condos ? Ce nouveau projet surgit alors que le marché de la copropriété est en pleine mutation dans la métropole. L’arrondissement de Ville-Marie – qui comprend le centre-ville et le Vieux-Montréal – fait l’objet d’une concurrence exacerbée entre de très nombreux projets. « Ce sont des projets qui vont être plus longs à écouler que ce qu’on a vu au cours des dernières années, a expliqué David L’Heureux, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le message qu’on lance, c’est que le marché a commencé à s’ajuster et qu’il va continuer à s’ajuster. » Le nombre de mises en chantier a régressé dans Ville-Marie, avec 2210 copropriétés en construction en novembre dernier contre 2621 un an plus tôt, selon les données de la SCHL. En parallèle, le nombre de condos neufs invendus est passé de 18 à 171 pendant la même période. Malgré ce repli, le marché du condo neuf demeure en bonne santé, analyse Mathieu Collette, directeur de l’évaluation au Groupe Altus. Quelque 1200 appartements ont trouvé preneur pendant les neuf premiers mois de l’année au centre-ville de Montréal, soit un peu moins qu’à la même période en 2012 (1400), mais beaucoup plus qu’en 2011 (750). « On se dirige pour finir l’année 2013 avec des ventes entre 1600 et 1800, ce qui est quand même incroyable », a-t-il fait valoir.
  12. I know mais ce n'est pas évident de faire du copier coller d'un texte dans LaPresse+ avec un iPad. Alors j'ai posté ici puisque l'article mentionne quand même la phase 1
  13. Dans LaPresse+ ce matin : et sur le site aussi [ATTACH]13091[/ATTACH] CENTRE BELL LE CANADIEN À L'OMBRE DE DEUX NOUVELLES TOURS MAXIME BERGERON LA PRESSE Qu’importe le ralentissement du secteur immobilier, Cadillac Fairview persiste et signe. Le promoteur torontois a franchi une nouvelle étape en vue d’ériger 2 tours de 37 étages tout juste au sud du Centre Bell. Le projet de 600 logements a été adopté en première lecture par le conseil d’arrondissement de Ville-Marie, à la mi-décembre. S’il va bel et bien de l’avant, il constituera la phase II de la Tour des Canadiens, qui s’est vendue à une vitesse record l’an dernier. « La réalisation de ce projet va permettre de mettre en valeur le potentiel de construction du secteur qui s’étend au sud de la rue Saint-Antoine, entre le Centre Bell, le Quartier international de Montréal et Griffintown », indique un sommaire décisionnel de l’arrondissement. Ces deux nouveaux immeubles s’inscrivent dans le vaste plan d’ensemble concocté par Cadillac Fairview pour ce secteur névralgique de Montréal. D’ici 15 ans, le groupe ontarien prévoit investir près de 2 milliards de dollars aux abords du Centre Bell. Le promoteur compte déjà deux chantiers actifs dans ce quadrilatère : la Tour des Canadiens – un gratte-ciel de 50 étages totalisant plus de 500 condos, adjacent au Centre Bell – et la Tour Deloitte, qui comprendra 26 étages de bureaux. Selon les plans présentés à la Ville, les deux nouvelles tours de 37 étages auront plusieurs usages. La première sera résidentielle et comptera 380 logements, tandis que la deuxième abritera un rez-de-chaussée commercial, 220 appartements et un hôtel de 230 chambres. Dérogations demandées Plusieurs dérogations seront nécessaires à la réalisation du projet de 170 millions de dollars. La Ville devra notamment autoriser une surhauteur – 120 mètres plutôt que 65 – , ainsi que la construction d’un café-terrasse sur le toit d’une des tours. Elle devra aussi se prononcer sur l’érection d’une passerelle piétonne au-dessus de la rue Saint-Antoine. Pour appuyer le projet, l’arrondissement rappelle que le secteur situé au sud du Centre Bell est partiellement enclavé, en raison de l’autoroute Ville-Marie, et « fortement déstructuré ». À l’heure actuelle, on y trouve une enfilade de stationnements à ciel ouvert et quelques petits immeubles délabrés. L’arrondissement donne son feu vert au projet en première lecture, pourvu que le promoteur respecte une série de conditions. Cadillac Fairview a refusé les demandes d’entrevues de La Presse Affaires, hier. Trop de condos ? Ce nouveau projet surgit alors que le marché de la copropriété est en pleine mutation dans la métropole. L’arrondissement de Ville-Marie – qui comprend le centre-ville et le Vieux-Montréal – fait l’objet d’une concurrence exacerbée entre de très nombreux projets. « Ce sont des projets qui vont être plus longs à écouler que ce qu’on a vu au cours des dernières années, a expliqué David L’Heureux, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le message qu’on lance, c’est que le marché a commencé à s’ajuster et qu’il va continuer à s’ajuster. » Le nombre de mises en chantier a régressé dans Ville-Marie, avec 2210 copropriétés en construction en novembre dernier contre 2621 un an plus tôt, selon les données de la SCHL. En parallèle, le nombre de condos neufs invendus est passé de 18 à 171 pendant la même période. Malgré ce repli, le marché du condo neuf demeure en bonne santé, analyse Mathieu Collette, directeur de l’évaluation au Groupe Altus. Quelque 1200 appartements ont trouvé preneur pendant les neuf premiers mois de l’année au centre-ville de Montréal, soit un peu moins qu’à la même période en 2012 (1400), mais beaucoup plus qu’en 2011 (750). « On se dirige pour finir l’année 2013 avec des ventes entre 1600 et 1800, ce qui est quand même incroyable », a-t-il fait valoir.
  14. Les cabinets de cuisine ne vont pas jusqu'au plafond? Il y a quelques trucs de ta liste que je veux aussi Pour mon walk-in, je pensais installer un système dans le genre d'Évolia. J'avais vu ça au Salon de l'habitation il y a deux ans. http://www.evoliacloset.com/
  15. Bon, j'ai enfin ma rencontre avec la designer pour le choix de mes finitions
  16. Photo prise en cette journée super froide à partir du 24e étage de la tour Sud du Complexe Desjardins (je devrais amener mon SLR pour prendre de meilleures photos des projets autour )
  17. Photo prise en cette journée super froide à partir du 24e étage de la tour Sud du Complexe Desjardins
  18. Prise du 24e étage de la tour Sud du Complexe Desjardins Il fait vraiment frette quand le Saint-Laurent « fume » ainsi
  19. Les lumières au plafond ont différentes teintes... des fois, elles sont toutes vertes, ou rouges, et d'autres fois, c'est un mélange ça serait bien que le Kynégraf (les gouttes d'eau en haut de la fontaine) fonctionne à nouveau...
  20. Photo de l'actuel : Alors, ça va être construit sur le tout petit espace vacant à gauche?
  21. Blogue de François Cardinal : Samedi 21 décembre 2013 | Mise en ligne à 9h13 Artères commerciales: à trop répéter que ça va mal… Les Anglais appellent cela une self-fulfilling prophecy, c’est-à-dire une prophétie qui se réalise d’elle-même, simplement parce qu’on l’a prophétisée. Il y a à mon avis un peu de cela dans les inquiétudes exprimées par les commerçants au sujet de l’état de santé des artères de Montréal, comme Sainte-Catherine et Mont-Royal. Certaines affichent quelques indicateurs inquiétants, des locaux vacants, un temps de location qui s’allonge et des prix qui baissent. Mais les voyants ne sont pas au rouge, du moins pas pour l’instant, selon JoAnne Labrecque, professeure aux HEC, et Jean-François Grenier, directeur principal du Groupe Altus. Certaines artères vont bien, comme Masson et Fleury, et d’autres rencontrent certaines difficultés, comme Saint-Denis et Sainte-Laurent, ce qui s’explique par plusieurs facteurs, notamment la concurrence féroce de la banlieue. Si elles ne réagissent pas, elles pourraient donc en pâtir véritablement (j’en parle en édito). Mais pour l’heure, soutiennent ces experts, leur situation demeure tout de même enviable. Leur situation est en effet enviable quand on regarde l’ensemble des artères. Elle est beaucoup plus enviable qu’à d’autres époques. Elle est plus enviable que dans bien des villes nord-américaines. Et surtout, elle est plus enviable que ce qu’on entend à tout bout de champ. Prenez Mont-Royal. À en croire les hauts cris des commerçants anti-Ferrandez, ce dernier aurait tué l’avenue en faisant disparaître tous les stationnements et en transformant les rues en sens uniques. Vrai que les interventions de l’arrondissement ont imposé certains changements dans le secteur. Vrai qu’ils ont rendu la circulation et le stationnement plus difficile. Mais jamais autant qu’on l’entend sur toutes les tribunes. Bien qu’elle ait ses difficultés, l’avenue va en effet mieux que ce qui est colporté, confirme JoAnne Labrecque. Quant à Jean-François Grenier, il reconnaît que certains détaillants ont vu leur chiffres d’affaires diminuer, mais il estime que dans l’ensemble, la situation commerciale de l’avenue est loin d’être désastreuse. Et pourtant, ce sont les commerçants eux-mêmes qui affirment sur toutes les tribunes que le Plateau est rendu impossible et impraticable. Un message qui se répand partout sur l’île et en banlieue, rendant moins invitante une artère qui conserve pourtant ses charmes. Mais qui veut vraiment prendre sa voiture un weekend pour allez voir si les critiques des commerçants sont réellement fondées? «Allons ailleurs, chéri, se disent les clients-de-l’avenue-qui-n’en-sont-plus. «Allons sur Masson ou Fleury, ou encore mieux au DIX30. Jamais entendu une critique des commerçants, là-bas…» Le phénomène (qui ressemble à la pub Hygrade, mais à l’envers…) n’est pas propre au Plateau. On l’observe aussi ailleurs, notamment au centre-ville. La rue Sainte-Catherine est fort dynamique. Ses trottoirs sont bondés. Elle a encore tout un pouvoir d’attraction, comme en font foi toutes ces bannières prestigieuses qui s’offrent du pied carré dans le secteur le plus coûteux de la ville. Certes, il y a quelques locaux vides, notamment le 900 Sainte-Catherine Ouest, inoccupé depuis le départ d’Esprit l’an dernier. Mais la difficulté de trouver un locataire pour un édifice de 11 000 pieds carrés ne signifie pas que le secteur est moribond, loin de là. La rue Sainte-Catherine va en effet plutôt bien, affirment en effet JoAnne Labrecque et Jean-François Grenier, selon qui la plus célèbre artère de Montréal conserve son fort magnétisme. Et pourtant, qu’a soutenu le président de Destination Centre-Ville, André Poulin, cette semaine? «Ce n’est pas nécessairement payant de faire des affaires au centre-ville de Montréal parce que les coûts sont élevés.» J’ai déjà vu meilleur pitch de vente pour une société de développement commercial! Finalement, ce que les commerçants du Plateau font avec leurs clients potentiels, la SDC du centre-ville le fait avec ses locateurs potentiels : elle leur fait peur à coup d’affirmations qui ne rendent pas justice à la situation, moins alarmante qu’il n’y paraît. Et après, parions que tout ce beau monde se plaindra le jour où ces prophéties finiront par se réaliser d’elles-mêmes…
  22. Bon La Presse a enfin mis l'article sur le site Web avec les photos : Illustration fournie par Kevlar De la piscine et de la terrasse sur le toit, les copropriétaires auront une vue dégagée sur le centre-ville et le Vieux-Montréal. Photo Hugo-Sébastien Aubert, La Presse Dans la salle de bains attenante à la chambre principale, un mur vitré bordera la baignoire afin de laisser entrer la lumière. Illustration fournie par Kevlar. Dans le salon aménagé dans le vaste hall d'entrée, les copropriétaires auront accès à l'internet. Photo Hugo-Sébastien Aubert, La Presse Dans la cuisine, les plans de travail seront en quartz et les armoires en acrylique, dans un choix de six couleurs. Illustration fournie par Kevlar Dans la section entièrement vitrée de l'immeuble, surnommée «le Cube», les fenêtres iront pratiquement du plancher jusqu'au plafond.
  23. En effet, ça n'aide pas Montréal quand des grandes marques s'installent en banlieu au lieu de venir au centre-ville. D'un autre côté, il y a de beaux exemples de revitalisation sur certaines rues commerciales loin du centre-ville avec des commerces plus locales et plus proches des citoyens. L'éditorial sur le sujet de François Cardinal de La Presse ce matin : Publié le 21 décembre 2013 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'autonomie de la banlieue Les banlieusards n'ont plus à venir à Montréal pour magasiner dans des boutiques renommées, comme Apple. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE FRANÇOIS CARDINAL La Presse La situation n'est pas alarmante, mais le sort de certaines artères commerciales de Montréal inquiète tout de même. On retrouve plus de locaux vacants, un temps de location qui s'allonge et des prix qui baissent sur Saint-Laurent, Saint-Denis et Saint-Hubert. Pour expliquer le phénomène, analysé mercredi dans La Presse Affaires, les observateurs citent l'endettement des ménages, la situation économique et l'essor du commerce électronique. Des facteurs qui contribuent certainement au problème. Mais il y en a un autre qui les supplante tous par son impact croissant: l'autonomisation de la banlieue. Les indices sont implacables : en dehors de leur navette quotidienne, les banlieusards se trouvent de moins en moins de raisons de traverser les ponts... tandis que les insulaires en découvrent de plus en plus pour oser faire le chemin inverse le weekend. Avouons-le : jamais la diversification commerciale et ludique de la banlieue n'a été aussi poussée, et jamais les irritants n'ont semblé aussi nombreux sur l'île, à tort ou à raison... Plus besoin d'aller au centre-ville pour voir un film, assister à un spectacle ou manger dans un restaurant à la carte unique. Plus besoin de traverser les ponts pour trouver les grandes bannières comme Apple et Birks. Plus besoin de se déplacer sur l'île pour découvrir les nouvelles enseignes comme Williams-Sonoma et Crate and Barrel. À part l'OSM, les théâtres et les festivals, il n'y a en effet plus grand-chose que n'offrent pas le Carrefour Laval, les Promenades Saint-Bruno et le DIX30. Avec en prime, des mers de stationnement qui, justement, incitent les insulaires à se laisser séduire à leur tour par le «one stop shopping» des rives sud et nord. «Pour gagner du temps, certains Montréalais sont en effet tentés par la variété de l'offre, la fluidité et le stationnement des secteurs comme le DIX30», confirme JoAnne Labrecque, professeure aux HEC. «Le Carrefour Laval attire une clientèle des quartiers plus au nord, comme Ahuntsic et Saint-Laurent», renchérit Jean-François Grenier, du Groupe Altus. Les artères commerciales de Montréal perdent ainsi tranquillement leur valeur ajoutée. Ou du moins, certaines artères perdent-elles leur valeur ajoutée, car chose importante : d'autres émergent en parallèle. Pensons à la rue Masson et à la rue Fleury. Pensons à l'avenue du Mont-Royal, qui va mieux que le veut l'idée reçue. Pensons aussi à ces rues émergentes, comme Wellington, Monkland ou Saint-Laurent en haut. Des rues qui ont compris que leur salut ne passe pas par une bête imitation de la banlieue, comme visait à le faire le projet initial de Griffintown. Des rues qui se distinguent parce qu'elles bichonnent leur originalité, misent sur leur couleur locale, privilégient les bannières indépendantes, mettent de l'avant festivités et braderies. Des rues, bref, qui réussissent malgré le contexte économique, ce qui tend à prouver que ce dernier n'explique pas à lui seul le sort des artères moins fortunées.
  24. Dans LaPresse ce matin : Loyers au Carré Saint-Laurent: «Je n'en reviens pas», dit Nicole Ménard Publié le 21 décembre 2013 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 ANDRÉ DUBUC La Presse D'après l'opposition officielle, le gouvernement péquiste doit prendre des décisions économiques et non pas des décisions politiques quand vient le temps de gérer les deniers publics dans un contexte où la province se dirige vers un déficit de 2,5 milliards de dollars. Nicole Ménard, porte-parole de l'opposition pour le Conseil du trésor, a réagi aux révélations de La Presse Affaires d'hier à propos des hausses de loyer de 45% que devra absorber le gouvernement en déménageant 700 fonctionnaires dans le nouvel immeuble Carré Saint-Laurent, au coeur du quartier Red Light à Montréal. Les bureaux doivent être livrés au plus tard au début de 2018. «Le ministre responsable de la Métropole [Jean-François Lisée] dit que c'est une décision politique, souligne la députée de Laporte. Je regrette, dans le contexte budgétaire qu'on a actuellement, ce ne sont pas des décisions politiques, ce sont des décisions économiques qu'il faut prendre. Je n'en reviens pas de cette décision.» La parlementaire libérale déplore que le gouvernement choisisse de payer 50 millions de plus en 25 ans, «alors que ce n'est absolument pas nécessaire» dans le contexte actuel. Le marché des immeubles de bureaux au centre-ville de Montréal deviendra favorable aux locataires dès l'an prochain et le restera au moins jusqu'en 2015, selon la firme de courtage immobilier Jones Lang LaSalle. Une telle conjoncture favorise les locataires de grande taille comme le gouvernement du Québec, qui est bien placé pour négocier des taux de location avantageux au renouvellement de ses baux. Selon Mme Ménard, le gouvernement péquiste fait rejouer l'épisode de la Cité du multimédia. «Souvenez-vous lorsque le PQ payait à coups de crédits d'impôt le déménagement d'emplois existants. Les péquistes sont en train de répéter ce qui n'aurait jamais dû avoir lieu.» Le 12 décembre, l'agence de notation Fitch Rating a placé la note de crédit du Québec sous surveillance avec perspective négative à la suite du report de l'atteinte du déficit zéro jusqu'en 2015-2016.
  25. Prével a fait une mise à jour du projet sur son blogue : Bassins du Havre Quai 1 - Les 6 premiers étages sont complètement livrés - Nous avons commencé les livraisons du 7e étage et terminerons au retour des vacances - L'accès au stationnement intérieur sera prêt dès vendredi le 20 décembre
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