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REM (ligne A) - Discussion générale


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I'm surprised that those two locations are considered potential stations rather than confirmed locations, given their intersection with two metro lines (McGill and UdeM).

 

Obviously, there'll be a business case done to see the overall ridership increase resulting from each new station. Should also calculate time savings for those "X many" riders interlining with the Métro. Likewise, should subtract lost time caused by the additional REM stops, for those remaining "X many" riders NOT interlining with the Métro at those same specific stations.

 

The resulting overall efficiency gain (translated in $) should then be compared to the construction costs of each station (including additional operating costs). = > The overall project is like 40% subsidized, so those new stations could be also 40% subsidized I guess.

 

I’m glad we’re not building those two stations blindly without first knowing costs and benefits. And like mentioned earlier, you can't either delay the whole $5.5 billion REM project while investigating the technical feasibility of those two stations (and have costs identified).

 

(juste mes deux cennes noires roullées)

 

 

.

Modifié par YUL
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Dans lappel de qualification, il y a une information intéressante sur la répartition des coûts du projet qui n'avait pas encore été évoquée dans ce fil, je crois.

 

Le contrat d'ingénierie approvisionnement et construction du REM représente seulement 4 des 5.5 milliards du projet.

 

L'autre contrat, qui inclut le matériel roulant (200+ voitures) et les systèmes requis pour l'exploitation (conduite automatisée, télécommunications , portes pallières, signalétique, équipement du centre de contrôle) s'élève à 1.5 milliards.

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http://www.lapresse.ca/actualites/201607/04/01-4997960-train-electrique-des-travaux-de-construction-de-4-milliards.php

 

Publié le 05 juillet 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

 

Train électrique: des travaux de construction de 4 milliards

 

Le Réseau électrique métropolitain est un projet de train électrique entièrement automatisé de 67 kilomètres de long qui prévoit 24 stations dans sa phase initiale.

Bruno Bisson

La Presse

La Caisse de dépôt et placement du Québec a lancé, la semaine dernière, deux appels de qualification à l'international pour la construction du futur Réseau électrique métropolitain (REM) et la fourniture d'au moins 200 voitures électriques entièrement automatisées.

 

Les entreprises et consortiums intéressés au contrat de construction principal de ce mégaprojet de transport collectif électrique devront faire état de leur expérience passée ou présente dans la réalisation ou la gestion de projets majeurs de plus de 500 millions, que ce soit en matière de travaux de génie civil ou de gestion de projet intégrée.

 

Ils devront notamment démontrer leur capacité à réaliser un projet d'envergure sans interrompre les services de transports collectifs existants, comme prévu dans le corridor du train de banlieue actuel de Deux-Montagnes qui sera entièrement intégré au réseau de train électrique proposé par la filiale de la Caisse de dépôt, CDPQ Infra.

 

Et comme le président de la Caisse, Michael Sabia, l'avait indiqué en avril, au moment où le projet a été lancé, « aucune exigence minimale de contenu canadien ne sera requise » pour la réalisation du contrat principal Ingénierie, approvisionnement et construction (IAC) ou pour la fourniture de matériel roulant.

 

Selon les documents d'appel de qualification publiés la semaine dernière sur les sites d'appel d'offres électroniques, la valeur du contrat IAC est estimée à environ 4 milliards. Le contrat de matériel roulant, qui prévoit la fourniture d'au moins 200 voitures automatisées, l'entretien régulier et leur maintenance à long terme, est pour sa part estimé à 1,5 milliard.

 

Les deux contrats seront attribués en même temps, à une date qui reste à déterminer.

 

L'échéancier de mise en service étant très serré, les entreprises intéressées devront présenter leur demande de qualification le 26 août prochain, avant 15 h, au siège social de la Caisse de dépôt situé au 1000, place Jean-Paul-Riopelle, à Montréal.

 

INTÉRÊT DES MARCHÉS

 

Le REM est un projet de train électrique entièrement automatisé de 67 kilomètres de long qui prévoit 24 stations dans sa phase initiale. Il se déploiera sur la Rive-Sud, à Laval, en banlieue nord de la métropole et dans l'ouest de l'île de Montréal. Une antenne est aussi prévue pour desservir l'aéroport international de Dorval. Les quatre antennes du REM convergeront toutes à la Gare centrale, au centre-ville de Montréal.

 

Les appels de qualification internationaux marquent la deuxième étape du processus d'approvisionnement en vue de sa réalisation, après la publication d'un premier avis au marché lancé à la mi-mai. Au terme de cette étape, CDPQ Infra compte sélectionner trois entreprises ou consortiums, tant pour le contrat IAC que pour le contrat de fourniture du matériel roulant.

 

Ces entreprises sélectionnées seront ensuite invitées à présenter des propositions détaillées lors d'un appel de propositions concurrentielles prévu dès l'automne prochain. Afin de respecter l'échéancier de mise en service pour la fin de 2020, les chantiers devraient se mettre en marche dès le printemps 2017.

 

D'ici là, le REM fera aussi l'objet d'un examen par le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Ce processus d'enquête publique, qui s'étend sur quatre mois, devrait être déclenché avant la fin de cet été.

 

L'avis au marché, lancé en mai dernier, a suscité un énorme intérêt à l'international. Au début de juin, CDPQ Infra, la filiale créée par la Caisse pour réaliser le projet, a tenu une première rencontre d'information pour présenter son projet à d'éventuels fournisseurs. Pas moins de 200 personnes, représentant 75 entreprises d'ingénierie, de construction ou de matériel roulant, avaient alors répondu à l'invitation de la Caisse.

 

Il faut dire que la valeur globale estimée des contrats prévus fera du projet REM l'un des plus importants chantiers au pays.

 

À lui seul, le contrat d'ingénierie, approvisionnement et construction, au coût estimé de 4 milliards, équivaut à la valeur du contrat en cours pour la construction du nouveau pont Champlain et dépasse de plusieurs centaines de millions de dollars l'enveloppe totale du projet de reconstruction de l'échangeur Turcot.

 

PATTE BLANCHE

 

Par ailleurs, même si aucune exigence minimale n'est prévue sur le plan du « contenu canadien », les entreprises et consortiums devront quand même se conformer aux exigences réglementaires en vigueur au Québec dans l'industrie de la construction. Ainsi, même si elles n'ont présentement pas de bureau dans la province, les entreprises intéressées devront obtenir les licences d'entrepreneur pertinentes en vertu de la Loi sur le bâtiment.

 

Les documents d'appels de qualification stipulent aussi que d'éventuels fournisseurs devront obtenir une attestation de Revenu Québec et montrer patte blanche pour détenir un certificat de l'Autorité des marchés financiers.

 

Les documents indiquent d'ailleurs que « l'obtention de cette autorisation pouvant occasionner des délais, il est fortement suggéré aux soumissionnaires potentiels et à leurs partenaires et sous-traitants d'entreprendre ces démarches le plus tôt possible ».

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Ottawa et Québec s'entendent: 1,3 milliard $ sur 3 ans pour les Transports et les eaux usées

 

 

 

Les premiers ministres Justin Trudeau et Philippe Couillard ont confirmé mardi la signature d'une entente visant l'investissement de 1,3 milliard de $ sur 3 ans dans les transports en commun et le traitement des eaux usées.

«Il faut que le transport en commun soit là pour les Canadiens, des métros à l'heure, des trajets de bus plus court, qui passent plus fréquemment», a lancé Justin Trudeau, soulignant que ces investissements font pas de la phase 1.

Concrètement, 923,7 M $ iront aux transports en commun et 360 M $ au traitement des eaux usées.

 

«Et pour les eaux usées, les municipalités auront un rôle extrêmement important à jouer pour déterminer des besoins», ajoute M. Trudeau.

Philippe Couillard a souligné pour sa part que ces investissements auront des impacts directs sur la qualité vie des Québécois en plus de créer des emplois, et donc stimuler l'économie.

Rappelons que ces sommes avaient déjà été prévues dans le budget fédéral, dévoilé cet hiver.

 

Focus transport à Montréal

 

À Montréal, on va investir dans la mise à niveau et, l'électrification des Transports, la réalité c'est que ça fait 50 ans qu'on a le réseau du métro, a rappelé Denis Coderre. Aujourd'hui, ce n'est pas une dépense, c'est un investissement où il va y avoir des résultats».

Concrètement, 130 M $ iront à la Société de Transport de Montréal (STM) et 20 M $ à l'Agence métropolitaine de transport, qui prévoit acquérir de nouvelles voitures pour les trains de banlieue.

La STM quant à elle devrait dédier cette somme à la réfection et l'entretien du métro.

 

Phase 2 dans 3 ans

 

Il faudra attendre la seconde phase d'investissement prévue en 2019 pour d'eventuelles annonces concernant les projets du prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal ou du train électrique de la Caisse de dépôt.

«Dès les prochains mois, nous travaillerons avec le premier ministre Couillard pour la phase 2 des investissements pour les familles, les entreprises et les travailleurs canadiens», a conclu M. Trudeau.

Le Québec est la première province a signé une entente bilatérale de ce type.

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/07/05/infrastructures-ottawa-investira-13-milliard--au-quebec-dici-3-ans

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Tiré de la page FB de CDPQ Infra aujourd'hui:

 

[FAQ ‪#‎ProjetREM‬ 1/2] – Quelles sont les prochaines grandes étapes du #ProjetREM, d’ici la fin de l’année 2016?

Voici les principales étapes à franchir dans les mois à venir, comme notre participation au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) et l’appel de propositions auprès des consortiums qualifiés.

 

image.jpg

 

FAQ ‪#‎ProjetREM‬ 2/2] – Quelles sont les prochaines grandes étapes du #ProjetREM, à partir du début de l’année 2017?

Notons que des comités de bon voisinage, principalement composés de citoyens des villes et arrondissements touchés par le tracé, seront formés afin d’assurer un échange optimal d’information à propos du REM, ses impacts et l’état des travaux entamés.

 

image.jpg

 

https://www.facebook.com/CDPQInfra/?ref=ts&fref=ts

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Forget it! Public disservants will always remain just that!

 

 

Envoyé de mon SGH-T999V en utilisant Tapatalk

 

Faut aussi blâmer les lois en place. Quand faut tu fasses tout faire approuver au conseil

d'administration en haut de 50000$, et ça prends 6 mois pour ça, faut pas se demander pourquoi c'est si long...

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