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  1. <header id="page-header"> 05/04/2017 Mise à jour : 5 avril 2017 | 16:56 Reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO: le soutien des Montréalais réclamé Par Marie-Eve Shaffer /journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/) </header> <figure> (http://journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/#) <figcaption> Chantal Levesque Le site du mont Royal vu de l'observatoire de la Place Ville-Marie </figcaption> </figure> L’appui des Montréalais est réclamé afin que le site du mont Royal puisse être proposé pour faire partie du patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Les Amis de la montagne ont lancé mercredi une campagne de mobilisation au cours de laquelle ils espèrent obtenir 30 000 signatures de soutien d’ici le 26 avril prochain. «On espère que ces lettres d’appui viendront ajouter plus de poids à la candidature», a dit mercredi la directrice générale des Amis de la montagne, Silvie Guilbault. À la suite de l’appel de la ministre fédérale de l’Environnement, Catherine McKenna, l’été dernier, la Ville de Montréal a soumis la candidature du mont Royal afin qu’il fasse partie de la liste des sites promus par Ottawa auprès de l’UNESCO. Seul le gouvernement du Canada peut formuler de telles propositions à cet organe des Nations unies et seulement deux sites peuvent être mis de l’avant à chaque année. Les sites retenus par Ottawa seront dévoilés en décembre prochain. Le patrimoine culturel du site du mont Royal a été vanté dans son dossier de candidature présenté par la Ville, a indiqué Mme Guilbault. «S’il y a un lieu emblématique qui reflète toute l’histoire du pays, c’est le mont Royal», a-t-elle dit. La reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO ferait en sorte que la montagne aurait un genre de protection planétaire. «Elle permettrait de dire, au niveau international, qu’on doit toucher ce site avec des gants blancs», a illustré la directrice des Amis de la montagne. Celle-ci a convenu que les mesures de protections du mont Royal devront être renforcées, tout en précisant que cette préoccupation est constante par les citoyens et les organisations qui ont pignon sur la montagne. À ce jour, 18 sites canadiens font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont l’arrondissement du Vieux-Québec, le Canal Rideau et le parc des montagnes Rocheuses. La dernière fois que le gouvernement canadien avait proposé des sites, c’était en 2004. Cinq des 11 sites faisant partie de la liste indicative du Canada ont par la suite été retenus pour faire partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont le site fossilifère de Terre-Neuve, Mistaken Point, l’an dernier.
  2. À l'Exception du Benelux, ça fait presque 140 ans que Verdun est un ville sans de débit de boisson. Suite à un plan de restructuration de 10 ans. La ville ouvrira finalement la chance d'ouvrir un bar, brasserie ou tavernes sur Wellington et à l'ïle des Soeur. Pourquoi la ville devenue arrondissement aura restée sèche aussi longtemps ? À lire ici La seule ville encore sous la Loi de la Tempérance restera nos amis de St-Lambert.
  3. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  4. faisant partie du plan de bonification des artères mineures du plateau, merci encore une fois à nos amis de projet montréal:
  5. MONTREAL, le 27 mars Annonce et dévoilement officiel du projet de renouvellement des outils d'interprétation du Biodôme, un projet qui démarre grâce à l'appui du Groupe Financier Banque TD via la Fondation TD des amis de l'environnement. -------------------------------------------------------------- Date le mercredi 28 mars 2007 Heure 10 h 30 Lieu Biodôme de Montréal 4777, avenue Pierre-de Coubertin
  6. Depuis le balcon de chez des amis. http://photosynth.net/view.aspx?cid=8ed0f9c8-fe76-4948-8c56-0480b118a1cd
  7. Allé sur le site et télécharge la musique (gratuit) pour supporter la campagne: climate justice, elle est très bonne. La musique est génial et parlé en a vos amis est familles. Invité vos amis sur facebook a devenir membres http://www.timeforclimatejustice.org/
  8. joaobruno

    07.dec.09

    Allé sur le site et télécharge la musique (gratuit) pour supporter la campagne: climate justice, elle est très bonne. La musique est génial et parlé en a vos amis est familles. Invité vos amis sur facebook a devenir membres http://www.timeforclimatejustice.org/
  9. Des enquêteurs qui fouillaient le bureau ont trouvé environ 100 chèques signés, prêts à être expédiés à des membres de sa famille, à des amis et à des employés. Pour en lire plus...
  10. 18/03/2007Les Amis du parc Morgan, dans le quartier Maisonneuve, demandent à la Ville de cesser son «vandalisme institutionnel» et de remettre en place la clôture «patrimoniale» du parc Morgan. Monique Désy Proulx, porte-parole des Amis du parc Morgan, s'en prend à l'arrondissement Mercier - Hochelaga - Maisonneuve pour son tout dernier «acte de vandalisme», soit d'avoir enlevé l'historique clôture ornementale de fer forgé devant le parc, au pied de la grande avenue Morgan. À la demande de marchands de la rue Sainte-Catherine, qui veulent y faire une place publique pour organiser des fêtes populaires, l'arrondissement a donné suite à son projet de démantèlement de la clôture sur la façade du parc à l'été 2006. Plus convivial Le conseiller municipal Laurent Blanchard (Vision Montréal) ne croit pas que les opposants aient raison quant au caractère «patrimonial» de cette clôture et il appuie les commerçants. «Le fait d'enlever la clôture rend le site plus facile d'accès et plus convivial pour la population, comme le suggèrent les marchands», commente le conseiller, précisant que la mesure n'a aucun impact sur la sécurité publique. Mais Les Amis du parc Morgan font la vie dure au conseiller Blanchard et à la mairesse Lyn Thériault Faust et exigent que la clôture soit réinstallée pour sauvegarder l'intégrité du lieu. Dalles de ciment «Nous craignons que le parc Morgan subisse le même sort que la devanture du Marché Maisonneuve, où l'on a fait disparaître les pommiers qui entouraient la fontaine d'Alfred Laliberté pour couvrir le site de dalles de ciment. Un geste scandaleux», dit Mme Désy Proulx. Pour sa part, le conseiller Blanchard ne cache pas le peu d'attention qu'il accorde à la demande du groupe. «Ils sont quatre dans cette vaste mobilisation», ironise-t-il, rappellant que l'arrondissement a obtenu plusieurs appuis dans sa décision, dont ceux de la députée Louise Harel, du SPVM et des Loisirs Saint-Clément. Monique Désy Proulx n'a toutefois pas jeté l'éponge. Elle précise que «le noyau dur de cette mobilisation comprend actuellement huit personnes qui ont fait signer à ce jour une pétition de 500 noms pour le retour de la clôture.
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