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  1. La Caisse est confiante de croire que l'acquisition de BCE par Teachers se concrétisera. Pour en lire plus...
  2. The Gazette met 46 employés à pied à Montréal, pour exporter leurs emplois à Winnipeg! MONTREAL, le 17 avril /CNW Telbec/ - La direction de The Gazette a annoncé qu'elle entend procéder à la mise à pied collective de 46 employés de son service des ventes et du service à la clientèle, et qu'elle prévoit transférer ces emplois à Reach Canada, à Winnipeg. La Montreal Newspaper Guild, qui représente ces employés, présente un grief, car il s'agit d'une violation flagrante de sa convention collective. En effet, ces emplois sont du ressort du syndicat. Il s'agirait là de la première mise à pied collective de l'histoire de The Gazette. Si cette mise à pied est effectivement conclue, la direction éliminera ainsi un groupe d'employés qui peut aisément travailler en français, en anglais ou dans d'autres langues. Cela touchera directement le service aux lecteurs. Le syndicat dénonce la mise à pied d'employés loyaux et dévoués qui ont développé de solides relations avec les abonnés du journal. Ce transfert d'emplois ne peut que nuire à la qualité du service aux lecteurs ainsi qu'à la qualité générale du plus important média de masse anglophone au Québec, au service de plus de un million de personnes.
  3. Québec présentera une mise à jour budgétaire le mardi 11 décembre Il y a 16 heures QUEBEC - Les contribuables apprendront mardi prochain comment le gouvernement Charest perçoit l'état de santé des finances publiques et de l'économie du Québec. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, présentera alors une mise à jour budgétaire et économique, presque sept mois après la présentation de son budget. A cette occasion, la ministre confirmera surtout les détails de sa réforme de la comptabilité gouvernementale, visant à ce que le Québec se conforme aux règles en vigueur ailleurs au pays. On sait déjà que les institutions d'enseignement, les commissions scolaires et les hôpitaux - affligés d'un déficit global dépassant les 100 millions $ - seront bientôt inclus dans le périmètre comptable du gouvernement. Les contribuables pourront ainsi avoir un portrait beaucoup plus juste de la situation financière réelle du Québec, conformément au voeu du Vérificateur général, qui, année après année, reproche au gouvernement de jouer avec les chiffres et d'afficher un faux "déficit zéro". Pour 2005-2006, il évaluait à 5,3 milliards $ le déficit réel du gouvernement du Québec. Les nouvelles règles comptables mises en place ne modifieront pas l'objectif du gouvernement de respecter le désormais sacrosaint équilibre budgétaire, rappellera Mme Jérôme-Forget. L'an dernier, la mise à jour budgétaire avait été faite en octobre et le ministre des Finances de l'époque, Michel Audet, avait annoncé qu'il versait 500 millions $ au Fonds des générations pour rembourser la dette. Il ne faut cependant pas s'attendre à ce genre de coup d'éclat cette année. De plus, la ministre fera le point sur les prévisions de croissance économique et déposera les comptes publics pour l'année en cours. La ministre des Finances avait vendu la mèche sur ses intentions, relativement au périmètre comptable, il y a quelques semaines, lors d'une allocution devant la Chambre de commerce de Québec. En mai dernier, lors de la présentation de son budget, elle avait déjà annoncé son intention de donner suite aux recommandations du Vérificateur général - et aux pressions jumelées de l'Action démocratique et du Parti québécois - en mettant sur pied un groupe de travail chargé de produire un projet de réforme du périmètre comptable. C'est le résultat des cogitations du groupe de travail qu'elle rendra public mardi. Depuis 2004, le Vérificateur général revient périodiquement à la charge pour presser Québec de se conformer aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada, comme le font d'autres provinces canadiennes. La dernière réforme d'envergure de la comptabilité gouvernementale remonte à 1998. Après la présentation de sa mise à jour de mardi prochain, la ministre entreprendra les consultations prébudgétaires en prévision de son prochain budget attendu au printemps.
  4. Guy Laliberté emménage dans un château de 5,5 M$ <DIV id=photo_pub>Mise en ligne 12/11/2007 04h00 La maison de Guy Laliberté Photo © ARGENT <DIV class=pub><DIV class=relativeBoite><DIV class=absoluteBoite>fctAdTag("bigbox",MyGenericTagVar,1);on error resume next ShockMode = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.6")))if(ShockMode
  5. Telus sonne la charge contre Vidéotron 22 octobre 2007 - 06h37 La Presse Maxime Bergeron Agrandir Telus s'en prend à son rival Quebecor. Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} La présidente de Telus Québec y va d'une charge en règle contre Quebecor: si le conglomérat veut offrir la téléphonie sans-fil avec sa filiale Vidéotron, qu'il paie le même prix que tous les autres pour ses licences, lance-t-elle. Karen Radford tient ses propos à quelques mois d'une enchère du gouvernement fédéral, pendant laquelle de nouvelles fréquences sans-fil seront mises en vente. Ces licences permettront aux fournisseurs actuels d'élargir leurs réseaux, et pourraient aussi entraîner l'arrivée de nouveaux venus dans ce marché très lucratif. Vidéotron plaide pour qu'une partie des licences soient réservées aux «nouveaux entrants». Ce qui fait fulminer Karen Radford. Selon elle, cela équivaut à des subventions. «Je me questionne sur le fait qu'une compagnie de 10 milliards demande aux contribuables de l'aider à entrer dans le marché, ça n'a aucun sens selon moi», lance-t-elle en entrevue à La Presse Affaires. [/url] «Si les contribuables paient pour aider Vidéotron à entrer dans le marché, alors Vidéotron ne va pas dépenser les mêmes sommes que les concurrents, ajoute-t-elle. Et Vidéotron offrira des services moins chers en utilisant l'argent des contribuables. Moi, je préfère que l'argent de mes taxes serve à réparer le système de santé plutôt qu'à aider Vidéotron à entrer dans le marché.» Le nouveau ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, devrait indiquer au cours de l'automne les règles qui entoureront la mise en vente des nouvelles fréquences. D'ici là, les deux camps continueront à mener de solides campagnes de lobbying pour convaincre Ottawa du bien-fondé de leurs arguments respectifs. Les enjeux financiers sont énormes: le sans-fil a généré des revenus de 12,7 milliards l'an dernier au Canada. Ceux qui sont présents veulent protéger leurs acquis; les autres regardent le gâteau avec envie. La question divise les experts en télécoms. Certains estiment que Vidéotron a amplement les capacités financières de lancer son propre réseau, même en payant très cher pour ses licences. D'autres croient plutôt que Bell, Telus et Rogers feront augmenter les enchères à un point tel que le modèle d'affaires de Vidéotron deviendra non viable. Le grand patron de Vidéotron, Robert Dépatie, est persuadé que les trois géants seront prêts à payer des sommes colossales pour l'empêcher d'entrer dans le marché. En entrevue avec La Presse Affaires au début septembre, M. Dépatie a affirmé que son entreprise ne participera pas aux enchères si aucune fréquence n'est mise de côté. Vidéotron a investi quelque 660 millions dans son réseau depuis deux ans, si bien qu'il lui reste peu de liquidités, a-t-il plaidé. Un «écran de fumée», réplique Karen Radford. Selon elle, les arguments de Vidéotron ne tiennent pas la route. «Je pose la question: pourquoi veulent-ils entrer dans le marché seulement si les contribuables les aident? demande-t-elle. Si leur modèle d'affaires n'est pas bon, pourquoi le faire aujourd'hui?» Des analystes se prononcent Si plusieurs analystes penchent en faveur du point de vue de Vidéotron, deux rapports publiés la semaine dernière donnent plutôt raison à Telus, Bell et Rogers. «Nous croyons que Vidéotron a le meilleur dossier commercial pour bâtir et opérer un réseau sans-fil régional au Québec, et nous croyons que c'est faisable sans toutes les règles favorables que la compagnie cherche à obtenir pour les enchères», a écrit l'analyste Jeffrey Fan, de la firme UBS. Selon M. Fan, Vidéotron participera aux enchères même si aucune fréquence n'est mise de côté pour les nouveaux entrants. De son côté, l'analyste Dvai Ghose, de la firme Genuity Capital Markets, juge que Vidéotron n'a pas besoin de fréquences réservées pour participer avec succès à l'enchère à venir. Il estime que l'entreprise pourrait bâtir son propre réseau pour environ 465 millions de dollars Dans son rapport, M. Ghose écrit que Vidéotron, MTS Allstream et Shaw (deux autres sociétés intéressées à lancer leur propre réseau) auraient pu tenter de mettre la main sur Microcell (Fido) en 2004, «mais aucune d'entre elle ne s'est montrée intéressée». «Selon nous, ce n'est pas le mandat d'Industrie Canada de corriger le manque d'instinct stratégique dont ont fait preuve ces compagnies dans le passé en ce qui a trait au sans-fil», a-t-il fait valoir. Vidéotron se dit prêt à investir 500 millions pour développer son réseau au Québec. L'entreprise offre déjà des services sans-fil à plus de 31 000 Québécois, en utilisant le réseau de Rogers.
  6. 25/08/2007 Après le Théâtre du Nouveau Monde et le Quat'sous, c'est au tour du Théâtre Denise-Pelletier d'être rénové. Québec et Ottawa ont annoncé, samedi, l'attribution d'une somme totale de 10,5 millions de dollars pour rénover l'institution de l'est de Montréal, qui se consacre depuis plus de 40 ans à faire connaître le théâtre aux jeunes. Le ministère québécois de la Culture versera 7,1 millions, tandis que le ministère du Patrimoine canadien accordera 2,4 millions de dollars. Les fonds serviront à la mise à jour de tous les équipements de scène, ainsi qu'à l'amélioration de l'insonorisation, de l'acoustique et de l'isolation de l'immeuble patrimonial construit en 1929, dans le style des palaces de quartier. La saison 2008-2009 devra par conséquent se tenir dans un autre édifice. Les négociations progressent, mais le lieu n'a pas encore été arrêté officiellement.
  7. le 13 avril 2007 Alors que l'arrondissement voisin de Ville-Marie construira un nouvel édifice pour accueillir la bibliothèque Centrale-jeunes, l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal cherche toujours une solution au débordement de sa bibliothèque. La bibliothèque du Plateau-Mont-Royal occupe présentement un espace de 12 000 pieds carrés. Selon les normes, elle devrait plutôt profiter de 34 000 pieds carrés. L'espace est tellement exigu que les rayons débordent et les livres sont disposés tant par terre que sur le bord des fenêtres. Louise Guillemette-Labory, directrice associée bibliothèque à la ville de Montréal, admet que l'arrondissement Plateau-Mont-Royal planche toujours pour trouver une solution à la surcapacité de la bibliothèque du Plateau-Mont-Royal, sur l'avenue du Mont-Royal. «La bibliothèque du Plateau est très utilisée, confirme-t-elle. Il y a encombrement et un manque d'espace minimal à respecter». Le nerf de la guerre consiste à trouver le financement pour mener un projet d'agrandissement de la bibliothèque. «On cogne à toutes les portes», ajoute-t-elle. Plan de rattrapage La Ville de Montréal s'est engagée par le biais de sa Politique de développement culturel de la Ville de Montréal 2005-2015, à se doter d’un plan de rattrapage pour ses bibliothèques. Amorcé en 2005, ce plan vise à atteindre, au cours des 10 prochaines années, le niveau moyen de services des bibliothèques des grandes villes canadiennes. Le plan prévoit notamment l'augmentation des heures d'ouverture selon les particularités locales, l'ajout de personnel spécialisé, la mise à jour des collections dans les bibliothèques sous-dotées, de même que la mise aux normes des espaces. Sa mise en œuvre fait appel à la volonté de tous les acteurs concernés et implique, entre autres, une synergie entre les bibliothèques, les partenaires du milieu, les arrondissements, les services corporatifs et les villes de l'Île de Montréal. Le défi est vaste et sa réalisation contribuera à faire de Montréal une Ville de lecture, une Ville de savoir. Le financement La Direction du développement culturel et des bibliothèques évalue à environ 175 M$ les sommes nécessaires à la réalisation du plan de rattrapage dont une partie sera versée par le biais du programme triennal d'immobilisations. @R:En comptabilisant les sommes récurrentes d’année en année, le total des investissements requis, selon la Direction, se chiffre à près de 250 M$ pour les 10 prochaines années. Les trois éléments incontournables et indissociables dans la mise en place d’une bibliothèque publique sont : des locaux adéquats, des collections à jour et un personnel qualifié. Cependant, il apparaît pertinent de rappeler l’importance capitale des espaces alloués au fonctionnement d’une bibliothèque, car même «un bibliothécaire exceptionnel ne pourra jamais donner sa mesure dans un local étriqué», comme l'écrit Bertrand Calenge dans le livre Les petites bibliothèques publiques. À l'étroit La bibliothèque du Plateau occupe 12 000 pieds carrés alors que la norme est de 34 000 pieds carrés.
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