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[en ces temps de grande incertitude face à la reprise économique...]

 

 

Les six grandes banques déclareront des profits records

 

Argent

21 mai 2010 | 15h33

 

 

Les analystes s'attendent à ce que les grandes banques canadiennes annonceront des résultats solides pour le dernier trimestre.

 

 

La Banque de Montréal donnera le coup d'envoi, mercredi, de cette semaine d'annonce de résultats financiers pour le deuxième trimestre.

Ils prévoient également qu'elles se tourneront davantage vers les activités de base tandis que la crise de la dette continue d'ébranler le système financier européen.

 

Peter Rozenberg, analyste chez UBS Investment Research, prévoit un taux de croissance par action sur 12 mois de 9% imputable entre autres à l'actualisation des provisions pour les pertes sur créances ainsi qu'à la croissance de la valeur des prêts et des marges.

 

La Banque de Montréal (BMO) donnera le coup d'envoi, mercredi, de cette semaine d'annonce de résultats financiers pour le deuxième trimestre. Lui emboîteront le pas la TD (TD), la CIBC (CM), la RBC (RY), Scotiabank (BNS) et la Banque Nationale (NA).

 

Les banques se concentrent sur les activités de base et dégagent leurs profits d'un contrôle rigoureux des dépenses, expliquait encore M. Rozenberg dans un billet. Il croit toutefois que les profits sur le négoce seront stables.

 

La Banque HSBC, la septième en importance au Canada, a quant à elle rapporté des profits en forte croissance, à une diminution des provisions pour les pertes sur créances ainsi qu'à la croissance des marges d'exploitation.

 

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2010/05/20100521-153330.html

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Bank of Montreal today kicked off the banks' second quarter earnings season with profit almost twice as high as last year and well ahead of analyst estimates.

 

Boosted by strong performance across most of its operations, Canada's fourth biggest bank reported net income of $745-million, or $1.26 a share, up from $358-million, or 61 cents, from last year.

 

These are "strong headline numbers," said Rob Sedran, an analyst at CIBC Capital Markets. "We assumed they would be getting to these levels, just not so soon."

 

Provisions for loan losses were $249-million, down $123-million from from last year as BMO benefitted from a rising economy.

 

The main driver was BMO's personal and commercial operation with a profit of $396-million, up 16% from a year ago.

 

BMO Capital Markets, which also contributed, had net income of $259-million, up 38%.

 

"These were really pretty good numbers and that's really BMO Capital Markets in Canada," said one analyst who asked not to be named. For the last few years the bank's US operation has been struggling and that platform "continues to be anemic," the analyst said.

 

The strong finish for the three months ended April 30 comes amid growing concern about the debt troubles in Europe and fears that it could destabilize global financial markets.

 

Though Canadian finacial institutions are thought to have limited holdings of European soverign debt, analysts worry that this country could be hit by secondary exposure to foreign banks that provided credit to Greece and other troubled EU countries.

 

"Our results confirm that we are successfully executing the customer-focused strategy we laid out three years ago," said Bill Downe, the chief executive. "Our financial strength is giving us the flexibility to attract top talent and customers and expand our North American presence, while delivering strong results."

 

BMO shares shot higher in early trade on Wednesday. They rose $1.88 or 3.2 percent to $60.60.

 

(Courtesy of The Financial Post)

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on parle de "grande banque" lol

 

Oui je sais, mais à ce que je sache, la Banque national n,a pas des chiffres qui peuvent se comparer avec les vraies 5 grandes banques. J'ai toujours cru que la Nationale et la Laurentienne étaient beaucoup plus petite que les 5 autres!

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C'est plus connu comme "The Big 5" car le National n'est pas dans la même classe. Il est 50% plus petit que la CIBC, 75% plus petit que la Royale.

 

La Laurentienne est vraiment petite. La National est 6x plus gros. Les operations canadienne de banques int'l comme HSBC et MBNA (Bank of America) sont plus gros que la Laurentienne.

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Oui je sais, mais à ce que je sache, la Banque national n,a pas des chiffres qui peuvent se comparer avec les vraies 5 grandes banques. J'ai toujours cru que la Nationale et la Laurentienne étaient beaucoup plus petite que les 5 autres!

 

Pour répondre à ta première question...

 

Des profits au rendez-vous pour BMO et la Laurentienne

26 mai 2010 | 07h56

Mise à jour: 26 mai 2010 | 18h11

 

Argent

 

La saison des résultats financiers bancaires s'amorce sur une bonne note, la Banque de Montréal (BMO) ayant dépassé les prévisions alors que la Laurentienne (LB) les a presque atteintes.

 

 

La BMO a annoncé ce matin des profits plus que doublés à 745 M$ ou 1,26 $ par action au deuxième trimestre. Un an plus tôt, le profit était de 358 M$.

 

C'est largement supérieur aux attentes chiffrées à 1,09 $ par action des analystes consultés par l'agence Bloomberg.

 

Le revenu de la banque torontoise a progressé de 14,8% pour atteindre 3,05 G$ alors que le marché prévoyait presque 3 G$.

 

Résumant son trimestre, l'institution financière a profité de conditions favorables sur les marchés financiers, la division Marchés des capitaux ayant augmenté ses profits de 38%. La Gestion privée a aussi bien fait, faisant bondir les siens de 64%.

 

La BMO explique qu'elle a réduit la dotation à la provision pour pertes sur prêts de 123 M$ pour un montant de 249 M$ pendant le trimestre.

 

Le dividende trimestriel de BMO demeure inchangé à 70 cents par action. Il sera versé le 26 août aux actionnaires inscrits aux registres le 2 août.

 

L'action de BMO a gagné 2,6% à 60,26 $ mercredi à la Bourse de Toronto.

 

La Laurentienne fait bien

 

Pour sa part, la Banque Laurentienne déclare des profits en hausse de 34% à 28,3 M$ ou 1,06 $ par action pendant le deuxième trimestre.

 

C'est à seulement un cent des 1,07 $ attendus par les analystes sondés par Bloomberg.

 

Les revenus ont bondi de 15% à 178,1 M$ alors que le marché s'attendait à 177,2 M$.

 

Pendant la période de trois mois, la banque montréalaise a surtout profité d'une forte croissance du portefeuille de prêts. La qualité du crédit s'est stabilisée et la diversification s'est renforcée.

 

La provision pour pertes sur prêts a toutefois augmenté de 4 M$ pour atteindre 16 M$ car des comptes commerciaux ont subi de façon tardive l'impact du ralentissement économique.

 

La Laurentienne prévoit de verser un dividende de 36 cents par action. La date prévue pour le versement est le 1er août pour les actionnaires inscrits aux registres le 2 juillet.

 

L'action de la banque a cédé 0,6% à 42,81 $ mercredi au TSX.

 

Une nouvelle machine à profits ?

 

Julien Béliveau, analyste et collaborateur pour Argent, a l'impression à la lecture des résultats que les institutions financières ont trouvé une nouvelle façon de générer des profits.

 

«Il y a une proportion croissante des revenus provenant des transactions à partir de leur propre capital, explique ce spécialiste. Les banques l'utilisent pour prendre des positions sur toutes sortes d'instruments financiers. Dans le communiqué de la Banque de Montréal, on dit que le rendement pour ce type de transaction est de 25% pour un trimestre.»

 

La taille des plus gros acteurs du milieu est un avantage afin d'y arriver. «La Banque Royale, en liquidités, c'est 16,8 G$, souligne Julien Béliveau. La Manuvie, c'est 18 G$. Les gens qui sont négociateurs pour ces institutions-là peuvent faire à peu près ce qu'ils veulent avec des algorithmes et des méthodes de protection.»

 

«C'est là qu'une banque plus petite comme la Laurentienne a de la difficulté parce qu'elle ne peut pas se permettre de manier tous ces risques», ajoute M. Béliveau.

 

Il reste encore à voir si la glissade des récentes des marchés financiers n'aura pas l'effet inverse sur le bilan du trimestre en cours, avertit-il. «Je n'aimerais pas être sur le parquet de négociation. Je pense que les nerfs sont mis à rude épreuve. On a peut-être connu un des meilleurs trimestres mais ce sera peut-être comme le Canadien de Montréal par la suite...»

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