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Hercule

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Je parlais récemment avec des artistes numériques d'Europe, et la SAT avec Mtl suscitent rien de moins que de l'admiration. C'est véritablement un atout majeur, reconnu dans le monde entier pour son excellence.

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  • 1 mois plus tard...
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Membres prolifiques

Tant qu'à avoir des murs pseudo-vert-khaki et se douter qu'éventuellement il y aurait plein de tags, pourquoi pas leur demander de faire une grosse murale? Ça aurait bien fitté avec le style de la SAT en plus.

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  • 6 mois plus tard...

Société des arts technologiques

Droit vers la «satosphère»

Agence QMI

Sarah Bélisle

12/10/2011 11h32

 

La Société des arts technologiques (SAT) inaugure ces jours-ci sa « satosphère », sa plus récente acquisition. Elle parachève ainsi son grand chantier de rénovations entamées il y a plus d’un an et demi.

 

« La satosphère est une salle immersive unique au monde », assure Ghislain Boileau, directeur administratif de la SAT. Cet espace de projection fait 19 mètres de diamètres.

 

Surmontée d’un dôme suspendu à trois mètres dans les airs, elle fait figure d’écran. Des panneaux amovibles permettent à l’écran de s’étirer du dôme jusqu’au sol. Quelque 157 boîtes de son assurent une sonorité spatialisée.

 

Des créations artistiques qui exploitent cette immersion à la fois visuelle et sonore y seront présentées : films, spectacles et autres.

 

De 150 à 250 personnes pourront s’assoir sur des coussins dans la statosphère afin d’y assister.

 

« Ça fait plus de 10 ans que la SAT travaille sur l’immersion », lance M. Boileau. Si la satosphère représente un aboutissement, il ne s’agit pas pour autant de la fin du progrès pour la Société, promet-il.

 

Fin des rénovations

 

Les locaux de la SAT du boulevard Saint-Laurent font l’objet de rénovations depuis février 2010. Elles avaient été entamées parce que s’imposait une mise aux normes de l’édifice acquis par la SAT en 2003. La Société a profité de l’occasion pour ajouter un étage au bâtiment.

 

Les travaux auront coûté près de 10 millions de dollars, dont une partie tirée de subventions octroyées par la Ville de Montréal.

 

« La SAT incarne très bien la créativité et le talent montréalais, en plus de participer au rayonnement de Montréal en valorisant ses créations et ses productions », fait valoir Richard Deschamps, vice-président du comité exécutif et responsable du développement économique de la Ville de Montréal.

 

Montréal a accordé plus d’un million de dollars à la SAT depuis sa création en 1996.

 

La SAT en bref :

 

-Axée sur l’actualité de la culture numérique

 

-Centre de recherche en immersion

 

-Créée en 1996

 

-1700 événements s’y sont tenus

 

-8000 artistes y sont passés

 

sarah.belisle@24-heures.ca

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Publié le 13 octobre 2011 à 09h47 | Mis à jour à 09h47

 

Plongée en apnée dans l'Intérieur à la Satosphère

 

386434-dome-toit-sat.jpg

Le dôme sur le toit de la SAT.

 

Photo Bernard Brault, La Presse

 

 

 

Stéphanie Brody, Collaboration spéciale

La Presse

 

L'immense dôme argenté de la Satosphère -18 mètres de diamètre par 15 mètres de haut- abrite la Société des arts technologiques depuis des mois, donnant à la Main un petit air de science-fiction. Mercredi soir, la SAT a présenté Intérieur, la toute première création conçue pour ce nouveau théâtre immersif avec projections panoramiques sur 360 degrés et son spatialisé en 3D. C'est au duo kondition pluriel, formé de Marie-Claude Poulin et de Martin Kusch, qu'est revenu l'honneur d'inaugurer la salle.

 

Événement multisensoriel et sensuel s'il en est un, puisqu'Intérieur comprend une dégustation de créations culinaires en lien avec l'oeuvre! Lorsque nous arrivons à l'étage appelé Sensorium de la SAT, vaste espace de bois blond et de béton gris, les chefs du Foodlab, le nouveau laboratoire culinaire du lieu (qui servira des brunchs!), sont déjà affairés à cuisiner les petites bouchées qui seront offertes pendant la représentation. Tout à côté, l'entrée de la Satosphère: quelques poutres, du ciment et des rideaux noirs; rien ne laisse deviner les univers qui s'ouvriront à nous lorsque nous prenons place sur les longs sièges de tissu noir qui entourent la scène.

 

D'entrée de jeu, des hôtes aux regards placides nous servent une bouchée de melon, basilic et sésame: elle explose en bouche! Des bruits de pas se font entendre derrière nous... Ou est-ce au-dessus de nos têtes? Nos sens sont en éveil... Le spectacle commence doucement.

 

Au milieu de la scène, une femme, repliée sur elle-même. Tout à coup, l'écrin de la Satosphère se couvre d'une couche miroitante, liquide. Dès lors, Intérieur nous entraîne dans une plongée en apnée dans un monde intra-utérin. Nous, spectateurs, avons une vue en contreplongée sur un monde qui nous enveloppe, un monde que l'on suppose être l'intériorité de cette femme confuse, hésitante. Nous sommes cachés juste sous la surface et nous ne pouvons que deviner ce qui se trame à l'extérieur. Même la multitude de sons ambiants, qui nous entourent, nous parvient comme étouffée.

 

Poulin et Kusch, habitués aux expériences multimédia interactives, y vont de propositions simples, en lien avec une série d'états changeants. Les humains sur la scène ne peuvent concurrencer avec l'immensité des projections immersives. Alors, ils deviennent judicieusement le point de départ : cri, pleurs, éclats de rire, paroles avortées... auxquels répond symboliquement l'environnement visuel. Images fracturées, des mains qui tentent de pénétrer la membrane, des coulées de sang, des forêts inquiétantes. Tout n'est qu'impressions, que suggestions.

 

De temps en temps, les hôtes distribuent d'autres petites choses qui nous explosent en bouche, titillant à nouveau notre goût, notre odorat. Ce premier spectacle dans la Satosphère, qui peut accueillir environ 250 spectateurs, a quelque chose d'agréablement déroutant et de rassembleur.

 

__________________________________________________

 

Intérieur de kondition pluriel. Jusqu'au 15 octobre, 20h, à la SAT, en coproduction avec l'Agora de la danse.

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 25 novembre 2011 à 12h18 | Mis à jour le 25 novembre 2011 à 12h18

 

La SAT, référence internationale de la culture numérique

 

 

 

Éric Clément

La Presse

 

C'est en grand que les nouvelles installations de la Société des arts technologiques (SAT) ont été inaugurées, ce vendredi matin, au 1201, boulevard Saint-Laurent, à Montréal, chaque intervenant soulignant combien la SAT est devenue une référence internationale de la culture numérique.

 

Le centre de recherche (Metalab), de création (Labodôme), de formation (Transform), de production (Espace SAT) et de diffusion (Satosphère) de la culture numérique est facilement repérable dans le Quartier des spectacles. Son dôme emblématique créé par l'architecte Luc Laporte, qui abrite la Satosphère, est le premier théâtre immersif permanent dédié notamment à la création d'oeuvre.

 

Même si elle est en activité dans ses nouveaux locaux répartis sur quatre étages (4500 m2) depuis plusieurs mois, la SAT, « à la fois moteur et vitrine des tendances en informatique appliquées aux arts et au design », n'avait pas encore été officiellement célébrée. Plusieurs ministres, un sénateur et de nombreux invités artistiques et économiques étaient présents.

 

Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est réjoui de la transformation (dans l'ancien Marché Saint-Laurent) du centre technologique qui «contribue grandement à positionner Montréal comme une ville de création et d'innovation».

 

Il a souligné que ce «temple de la recherche multidisciplinaire» est un parfait exemple de partenariat bénéfique entre la Ville de Montréal, les gouvernements du Québec et du Canada et bien sûr les créateurs.

 

«Il ne faut pas avoir peur de le dire: nous sommes la capitale mondiale des arts numériques», a même lancé le maire.

 

Le ministre québécois des Finances, du Revenu et responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand, a d'ailleurs félicité la SAT pour attirer 30% de ses chercheurs des régions de Boston et de New York. «Ça en dit long sur la force d'attraction de la SAT», a-t-il dit.

 

Dans sa déclaration, Monique Savoie, la présidente et fondatrice de la SAT (en 1996), a pour sa part estimé que l'usage des réseaux est véritablement inscrit dans l'ADN des Québécois:

 

«La culture québécoise s'est construite par l'usage des réseaux fluviaux, des réseaux ferroviaires, des réseaux hydroélectriques, des réseaux d'économie et d'entraide et des réseaux téléphoniques qui ont façonné son identité et développé sa culture entrepreneuriale. Aujourd'hui, avec son édifice branché au réseau de fibre optique, la SAT peut à son tour jouer pleinement son rôle de Hub urbain.»

 

Lors de la conférence de presse, un branchement vidéo et sonore en direct a été réalisé avec le Hangar, un organisme similaire à la SAT, à Barcelone, en Espagne.

 

Organisme à but non lucratif, la SAT est reconnue sur la scène internationale en tant que premier Living Lab en Amérique du Nord. Fonctionnant au croisement des arts, des sciences et de la technologie, elle participe à des activités de recherche appliquées au milieu médical, par exemple avec l'hôpital Sainte-Justine, et va former des enseignants du secondaire de la Commission scolaire de Montréal à l'utilisation des technologies en tant qu'outils de création, a indiqué Mme Savoie.

 

Sur l'étage-terrasse du Sensorium (salle de la Satosphère et bar-restaurant Food-Lab), l'artiste Marie-France Brière a créé, dans le cadre du Programme du 1%, l'oeuvre Réminiscences-fiction-vagabondage, une sorte de cloison en aluminium rappelant les anciennes clôtures en lattes de bois qui entouraient des maisons ou des bâtiments.

 

En ce moment, la Satosphère propose du mercredi au samedi, jusqu'au 10 décembre, de 17h à 20h, Salon de massage McLuhan, une installation immersive et participative créée par Luc Couchesne et qui rend hommage à Marshall McLuhan et à son livre The Medium Is the Massage

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  • 2 mois plus tard...

Goo to see SAT getting some well deserved exposure (outside of Québec)

 

DISCOVERIES

The future of cinema?

JAMES MARTIN

Globe and Mail Update, clarified version

Published Friday, Jan. 13, 2012 6:02AM EST

Last updated Tuesday, Jan. 17, 2012 10:42AM EST

 

Capturedcran2012-02-04123043.png

 

INFOGRAPHIC

How the 360-degree movie experience works

 

VIDEO

Space adventure fun in Quebec

Now a new technology, being developed on a sketchy block of downtown Montreal, promises viewers an immersive film experience to out-plunge the Lumières’ train or Scorsese’s masterful 3D. No glasses required. No chairs, either.

 

The Satosphere is an experimental cinema located in a building that began life as an actual meat market, before that particular stretch of lower Boulevard Saint-Laurent took a turn for the carnal. The shiny new glass façade stands in stark contrast to the neighbouring porn theatre and transvestite burlesque club, but what truly marks the Satosphere as a new kind of spectacle is the massive dome protruding from the roof.

 

Eighteen metres in diameter, the three-month-old Satosphere is a round cinema, but—unlike similar planetarium theatres of old—it uses a hi-tech network of eight video projectors and 157 speakers to completely surround (save the floor) up to 400 people with lifelike sound and images. The effect isn’t 3D in the comin’-at-ya! sense recently back in vogue. Rather, it gives viewers the sense of moving inside the images—even, during particularly kinetic sequences, verging on motion sickness.

 

“It’s like being in a transparent bubble that’s floating through an environment,” says Louis-Philippe St-Arnault, the director of production and immersive development for the Society for Arts and Technology, the digital arts research, training and performance centre behind the Satosphere. The 32-year-old started his career as a set designer for stage and film, but found himself increasingly drawn into the SAT’s science-for-art’s-sake milieu. Five years ago, he joined SAT full-time.

 

“People have made domed theatres before,” admits Mr. St-Arnault. “But, strangely enough, they still tried to make the viewer look only at the front, like in a regular cinema. We’re trying to move away from that by not having fixed seating. We want people to be able to walk around, to choose their point of view, both by their body position and what captures their interest.”

 

[...]

 

http://www.theglobeandmail.com/news/technology/science/the-future-of-cinema/article2301207/

Modifié par Habfanman
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