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jerry

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  • 2 semaines plus tard...

Ce qui suit n'est pas vraiment une nouvelle, même si le tweet ne date que de quelques heures, mais on peut le voir comm une confirmation:

Le projet de transformation de l’édifice Rodier, bâtiment patrimonial au cœur du @QIMontreal dans #Griffintown, va de l'avant. Une fois le projet terminé, il sera dédié au développement et à l'accélération des entreprises culturelles et créatives.

https://twitter.com/avison_young_qc

Modifié par Normand Hamel
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http://montrealgazette.com/news/local-news/rodier-building-gets-new-lease-on-life

Triangular Rodier Building in Griffintown gets new lease on life

Executive committee approves $75,000 grant to La Piscine, a small-business incubator taking over landmark building on Notre Dame St.

 Marian Scott,
Montreal Gazette

Published on: May 23, 2018 | Last Updated: May 23, 2018 8:36 PM EDT

A non-profit organization that is breathing new life into the landmark Rodier Building is getting a $75,000 contribution from the city of Montreal.

The executive committee approved the one-time grant to La Piscine, a small-business incubator that will soon open in the triangular building on Notre Dame St. in Griffintown, just west of the Central Station railway viaduct and Bonaventure Expressway.

In addition to helping creative entrepreneurs found startups, the organization will offer CEGEP-level courses in conjunction with Dawson College and CEGEP du Vieux Montréal 

The 1875 building, which has been called a small-scale version of New York’s Flatiron, had been slated to be cut in two and partly demolished about seven years ago for a proposed bus corridor on Dalhousie St. The controversial project was later cancelled. 

After that, it was placed under a reserve by the Quebec government, raising concerns it could be expropriated for the Réseau express métropolitain (REM) train, but that did not happen.

Long home to Baron Sports, it has been vacant since 2010.

The late film producer Kevin Tierney wrote in a column for the Montreal Gazette last August that the building reminded him of “a great ship nosed toward the west, ready to plow through the waters of Griffintown headed who knows where.

“Or maybe it’s just anchored there, waiting for its next expedition,” he wrote.

Last year, the city sold it for $930,000 to a numbered company belonging to Georges Coulombe, a building manager who specializes in restoring heritage buildings. Current renovations include restoring windows that had long been bricked up.

“It’s a wonderful project in a very beautiful building that will be revamped,” executive-committee chairperson Benoît Dorais said at the executive committee’s weekly meeting.

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Le ‎2018‎-‎05‎-‎03 à 15:24, Normand Hamel a dit :

Pour ceux que cela intéresse j'ai retrouvé dans mes archives un concept antérieur qui n'a vraisemblablement rien à voir avec le projet actuel. Je ne sais pas exactement ce qu'ils ont l'intention de faire avec les rénovations courantes car je ne dispose d'aucune illustration récente. Voyez quand même les possibilités même si on ne reverra sans doute jamais un tel projet.

Concept 1.jpg

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Concept 6.jpg

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exactement le type de projet j'aurais aimé pour cet édifice

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Le 2018-05-14 à 14:51, MtlMan a dit :

 

 

20180505_125754.jpg

20180505_125802.jpg

 

 

Heureusement qu'on l'a sauvé celui-là. J'adore cet édifice. Sa destruction aurait été un véritable scandale sur le plan patrimonial. Vivement "la cure de rajeunissement", mais dans le respect de l'intégrité du bâtiment.

Modifié par santana99
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il y a 4 minutes, santana99 a dit :

Heureusement qu'on l'a sauvé celui-là.

Je dois avouer que j'ai été stressé pendant plusieurs mois, ne sachant ce qu'il adviendrait de cet édifice pour lequel j'éprouve une grande affection. La dernière menace venait du REM, un projet d'une très grande importance et auquel je tiens énormément.

Je suis donc soulagé que l'on ait réussi à sauvegarder l'édifice dans son intégralité et suis particulièrement heureux que les travaux de rénovation soient bien entamés et semblent aller dans la bonne direction. J'attends également avec beaucoup d'impatience de voir ce qu'ils feront avec l'intérieur de l'édifice.

  • Like 1
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J'espère ardemment qu'ils remmettent le pignon original sur le toit. Et quelle perte l'édifice qui était juste en face.. Montréal avait de véritables joyaux.

edifice-rodier.jpg

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Est-ce que quelqu'un sait si l'édifice Rodier a ainsi été nommé en l'honneur de l'ancien maire de Montréal?

Je serais porter à croire que oui car le Rodier est un édifice de Griffintown et le maire Rodier est intervenu lors des inondations de 1861. On peut donc penser qu'on a voulu honorer sa mémoire dans Griffintown, région particulièrement affectée pas ces inondations. 

En toute éventualité voici sa biographie tirée d'un extrait de Wikipédia:

Fils de Jean-Baptiste Rodier, forgeron, et de Julie-Catherine Le Jeune, Charles-Séraphin Rodier étudie au Collège de Montréal. Il fait d’abord carrière dans les affaires et le commerce où il fait fortune.

Très tôt, il s’intéresse aux affaires municipales. Il fait partie des signataires de la pétition de 1831 demandant l’octroi d’une charte municipale à Montréal. Il est des premiers conseillers de la ville élus en 1833 et qui siégeront jusqu’en 1836. À l’élection de 1858, Charles-Séraphin Rodier est élu maire de Montréal, ce qu’il répétera aux élections suivantes de 1859, 1860 et 1861.

Il parvient à améliorer la situation financière de la ville. On lui doit l’instauration d’un système de transport public en 1861. Sous son administration, il accueille en 1860 le Prince de Galles venu inaugurer le pont Victoria. Il intervient personnellement lors de la grande inondation d’avril 1861; il part en barque distribuer des vivres aux sinistrés.

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Screen Shot 2018-05-24 at 15.10.45.png

 

CHARLES-SÉRAPHIN RODIER (1818-1890)
D’origine modeste, fils de boulanger, Charles-Séraphin Rodier Jr , est né à Montréal en 1818. Il porte les mêmes prénoms et nom que son oncle, maire de Montréal de 1858 à 1862. En 1848, il épouse Angélique Meunier dit Lapierre avec qui il a 12 enfants. Sa carrière est un exemple de la réussite d’un self -made man canadien-français du XIXe  siècle. Il est à la fois un industriel, un financier, un important propriétaire foncier et un homme politique, sans compter son activité au sien de plusieurs associations. Il meurt le 26 janvier 1890 à l’âge de 72 ans.
Il commence à gagner sa vie à 14 ans en s’engageant comme menuisier et quatre ans plus tard, il devient entrepreneur en construction. Homme d’affaires, c’est vraisemblablement en 1859 qu’il devient manufacturier de machine à battre le grain
 (Acte notarié, MJ-BPD, Montréal-Ouest, no 48769 ,16 décembre 1867). Il s’intéresse au monde de la finance. Avec d’autres partenaires – Jean-Louis Beaudry, André Lapierre, Hubert Paré et Romuald Trudeau – il fonde en 1861 la Banque Jacques-Cartier. Il en est l’un des administrateurs (1861-1870) et en devient le vice-président (1870-1876) et le principal actionnaire. Cette aventure se termine en 1876, lorsque la banque connaît des difficultés financières et qu’il perd 145 000$. Par la suite, il siège aux conseils d’administration de la Scottish Commercial Life Insurance Company et de la Mutual Life Insurance Company.
Il est considéré comme le plus important propriétaire foncier individuel de son époque dans la région de Montréal. Ses propriétés sont acquises par achat, mais il possède des hypothèques sur de nombreux terrains et terres qu’il récupère à la suite de fautes de paiement. Il s’intéresse à la politique municipale et devient conseiller du quartier Saint-Antoine de 1847 à 1850. Conservateur en politique canadienne, il est un conseiller privilégié de Sir George-Étienne Cartier. En 1888, il accepte le poste de sénateur.
Il est marguillier et président de l’Association de la Société Saint-Jean-Baptiste et de la Société Saint-
Vincent-de-Paul.

 

Bureau du patrimoine, de la toponymie et de l’expertise
Avril 2010

 

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