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Ils ont lancés des pierres sur la vitrine du 400 Sherbrooke Ouest...

 

 

Je suis allé sur Sherbrooke après la manifestation, et c'est vraiment triste de voir que plusieurs vitres ont été brisées.

 

Les vitres du 400 et du Mariott entre autres.

 

Le problème n'est pas que les cons qui participent que pour briser tout ce qui se trouve sur leur chemin, le problème est aussi que le Collectif contre la brutalité policière refuse, à chaque année, de dévoiler son parcours à la Ville, ce qui cause la confusion et l'anarchie.

 

Les rues ne peuvent être bloquées d'avance, rien ne peut être préparé et adapté.

 

Ces gens là, comme tu le dis Lindtberg, creusent le propre tombe.

 

Et l'administration Tremblay ne met pas ses culottes non plus.

 

 

"Marche contre la brutalité policière

Le maire Tremblay fait confiance aux manifestants"

 

Ça fait quatre ans qu'on sait qu'on ne peut faire confiance aux manifestants de cette manifestation. Où est la logique de M Tremblay ?

 

 

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/03/20090316-051700.html

 

Vandalisme

Le centre-ville livré aux casseurs

Marc Pigeon

Le Journal de Montréal

16/03/2009 05h17

 

Le centre-ville de Montréal a été le théâtre d'une manifestation qui a tourné en véritable spectacle, hier. Le jeu du chat et de la souris entre anarchistes et policiers a donné lieu à plus de 200 arrestations.

 

Avec le soleil et la température clémente, l'événement est devenu un happening urbain auquel ont pris part des milliers de manifestants et de badauds.

 

Les manifestants ont répondu nombreux à l'invitation du Collectif opposé à la brutalité policière, au métro Mont-Royal.

 

Cagoules, foulards, pantalons de camouflages, pancartes, fanfare: tout y était. On y fournissait même des légumes à lancer aux policiers.

 

Les agents étaient eux aussi très nombreux au rendez-vous avec l'escouade anti-émeute, la cavalerie et les policiers à vélos. Les bouteilles, pierres et légumes se sont rapidement mis à voler vers les policiers.

 

De nombreux autres policiers casqués attendaient plus loin, cachés dans des véhicules banalisés. Des ambulances d'Urgences-Santé et des autobus de la STM loués pour l'événement, étaient aussi en retrait.

 

Gaz lacrymogène

 

Un commandant de la police a déclaré l'attroupement illégal au micro vers 14 h 45 et a sommé les manifestants de se disperser. Ils ont alors pris la direction sud, sur la rue St-Denis.

 

Les premiers gaz lacrymogènes ont été lancés par la police angle Saint-Denis et Sainte-Catherine. Les manifestants ont pris la direction ouest, piquant par le Carré Saint-Louis.

 

C'est sur la rue Sherbrooke que la casse s'est amorcée : vitrines éclatées, poubelles vidées et incendiées.

 

«J'ai entendu un gros bang et je suis sorti voir ce qui se passait, dit Robert Labrecque, du magasin Dormez-Vous. Un gars m'a menacé : rentre en dedans si tu veux pas te faire frapper à ton tour. Ils manifestent contre la violence et ils en font eux-même!»

 

Scandant des slogans du genre «justice nulle part, police partout» ou «f... the police», la foule a investi le site de l'université McGill pour reprendre vers le sud jusqu'à la rue Sainte-Catherine.

 

Barricade

 

Les sirènes ont retenti dans le centre-ville pendant plusieurs heures. L'hélicoptère de la Sûreté du Québec, venu en appui avec ses caméras, a survolé la manif tout l'après-midi. La direction de la police coordonnait ses troupes au sol depuis le quartier général, où étaient colligés tous les mouvements de foule, en temps réel.

 

Après quelques dommages à des commerces et quelques voitures sur la rue Sainte-Catherine, la foule s'est retrouvée devant la Place des Arts. Les manifestants ont bravé la police en leur lançant pierres, briques et autres projectiles.

 

Ils ont démoli un chantier de construction pour ériger une barricade sur Sainte-Catherine, avec planches et clôtures. Les policiers ont rapidement dispersé une grande partie de la foule en fonçant sur les manifestants. Les plus récalcitrants se sont retrouvés à l'angle des rues Sainte-Catherine et Bleury, où des gaz lacrymogènes ont été lancés.

 

Les policiers ont encerclé une soixantaine de manifestants et les ont arrêtés un à un au cours de la soirée. Le plus jeune manifestant arrêté avait 14 ans.

 

Le Mur de la honte

 

Non loin du magasin Future Shop, rue Sainte-Catherine, un mur de briques s'est effondré sur le trottoir, environ 30 minutes avant le passage des manifestants. Voilà des projectiles parfaits pour les manifestants mal intentionnés, servis sur un plateau d'argent. Après avoir cassé la vitre d'une voiture stationnée tout près, des casseurs s'en sont emparés pour ensuite les lancer aux policiers, une fois rendus devant la Place des Arts. Un policier a d'ailleurs été blessé après avoir reçu une brique. Un autre s'est blessé en chutant.

 

Journalistes arrêtés

 

Quatre journalistes de grands médias ont été arrêtés par les policiers au cours de l'après-midi. Selon la police, ils ont été encerclés en compagnie de plusieurs manifestants.

 

Lorsqu'ils ont fait valoir leur statut de représentants de la presse afin d'être libérés, plusieurs des manifestants arrêtés ont aussi prétendu (faussement) être des journalistes.

 

Une situation qui a donné du fil à retordre aux forces de l'ordre.

 

Stratégie efficace

 

La police a mis en oeuvre une stratégie qui semble s'être avérée efficace, hier. Des agents d'infiltration mêlés à la foule ont eu pour mandat d'identifier des fauteurs de troubles et de les neutraliser dès le début de la manifestation. Des manifestants ont notamment "disparu" de la circulation au cours d'une opération-choc rapide.

L'un d'entre eux s'amusait à lancer des feux d'artifice en direction des policiers.

 

Pantalons de camouflage

 

Malgré l'appel de la direction de retirer leurs pantalons de camouflage durant la manifestation, plusieurs agents portaient leur tenue de combat. L'escouade antiémeute avait toutefois revêtu l'habit réglementaire. Ce sont majoritairement les agents chargés de la circulation qui portaient le kaki, mais aussi le brun, le bleu et le orange. Rappelons que la direction du SPVM s'est adressée au Conseil des services essentiels la semaine dernière pour demander que les agents retirent leur tenue de camouflage durant la manifestation jugeant qu'elle pouvait entraîner une confusion dangereuse. La direction a toutefois été déboutée.

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  • Administrateur

Beaucoup de ces manifestants se disant anarchistes, ils sont les preuves vivantes qu'une société anarchique, sans autorité ni ordre, ne pourrait fonctionner.

 

Si les principaux intéressés par cet idéologie ne sont même pas capable de se rassembler sans faire de la casse, il est utopique de croire qu'une société au complet pourrait fonctionner ainsi.

 

C'est très très désolant, et c'est comme ça a chaque année.

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Je suis allé sur Sherbrooke après la manifestation, et c'est vraiment triste de voir que plusieurs vitres ont été brisées.

 

Les vitres du 400 et du Mariott entre autres.

 

Le problème n'est pas que les cons qui participent que pour briser tout ce qui se trouve sur leur chemin, le problème est aussi que le Collectif contre la brutalité policière refuse, à chaque année, de dévoiler son parcours à la Ville, ce qui cause la confusion et l'anarchie.

 

Les rues ne peuvent être bloquées d'avance, rien ne peut être préparé et adapté.

 

Scandant des slogans du genre «justice nulle part, police partout» ou «f... the police», la foule a investi le site de l'université McGill pour reprendre vers le sud jusqu'à la rue Sainte-Catherine.

 

HEIN!

Dimanche, ayant oublié que c'était la journée de la manifestation, j'ai travaillé au centre-ville (en passant sur St-Denis, Sherbrooke); j'ai marché dehors de 14h à 14h30, puis à 17h, et j'ai absolument rien vu...

D'après ce que je lis, ils sont passés à comme 100 mètres de là où j'ai laissé l'auto... :eek: Merci à la police...!

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c'est ridicule !

 

j'étais au centre-ville pour magaziner avec ma femme, a 17h on a marcher vers l'est et c'est là qu'on c'est retrouvé à côté de la manifestation, il y avait des vitres brizées, des tags dans le métro, ....

 

et les policiers étaient vraiment sur l'adrénaline,

 

le collectif contre la brutalité policière devrait être interdit et tenu responsable, c'est leur faute si la manifestation a dégénéré avec leurs speechs à la con et leur refus de dévoiler leur parcours.....ils font exprès....une belle grosse amende et un dossier criminel leur ferait le plus grand bien

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Ce qui m'attriste le plus, c'est que ces casseurs enlèvent de la crédibilité à un débat que l'on se doit d'avoir suite aux évènement de Montréal Nord: Non, les policiers ne devraient pas bénéficier d'une protection juridique à tout risque, mais non, le moyen d'arriver à soulever ce débat n'est pas en brisant les vitres du Hilton Garden Inn, ou de l'UQAM!

 

Je suis d'avis que cette manifestation devrait être interdite, et qu'on devrait arrêter même les curieux qui s'y "égarent". C'est vraiment une honte.

 

Ces jeunes zélés n'ont donc rien de mieux à faire par un dimanche après-midi ensoleillé?

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En plus, à cause de ça, la ville songe à obliger tous les manifestant de tout genre à obtenir un permis de la ville sinon c'est la tôle (incluant les groupes de 2-3 retraités qui on une pancarte en étant assis devant un métro)!

 

Le but (contre la brtalité policière) est louable. On en a pas beaucoup ici, mais ça existe et une manif d'appui aux autres pays, c'est toujorus bon pour sensibiliser. C'est juste que là c'est tout simplement une manif pro anarchie. C'est pas nécessairement blâmable en soit, mais si au moins ils arrêtaient de se cacher derrière se prétexte, on les prendrait peut-être plus au sérieux dans leur but d'anarchie ou, du moins, on prendrait la cause de la brutalité policière plus au sérieux.

 

Encore du mélange de cause qui fait tout fouarer!

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