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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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RBC annonçait hier qu'elle investira 30 millions $ dans la rénovation de ses bureaux au 1, Place Ville Marie.

 

Les travaux de rénovation devraient commencer en octobre 2011 et être achevés d'ici le printemps 2013. Ce projet permettra d'offrir aux employés un environnement de travail moderne et à la fine pointe de la technologie, qui favorisera la collaboration et l'innovation et améliorera l'expérience employé dans son ensemble.

 

En plus d'ajouter à ses bureaux du 1, Place Ville Marie de nouvelles salles de conférences et de formation, RBC procédera entre autres à la rénovation des toilettes et des halls d'entrée des ascenseurs. Les espaces de travail des employés et les salles de réunion seront rénovés conformément aux normes de conception globales de RBC, qui prévoient une utilisation de matériaux, de meubles, de tapis et de technologies qui permettent à l'entreprise de réduire ses empreintes écologique et opérationnelle.

 

Source : RBC Banque Royale

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RBC annonçait hier qu'elle investira 30 millions $ dans la rénovation de ses bureaux au 1, Place Ville Marie.

 

Les travaux de rénovation devraient commencer en octobre 2011 et être achevés d'ici le printemps 2013. Ce projet permettra d'offrir aux employés un environnement de travail moderne et à la fine pointe de la technologie, qui favorisera la collaboration et l'innovation et améliorera l'expérience employé dans son ensemble.

 

En plus d'ajouter à ses bureaux du 1, Place Ville Marie de nouvelles salles de conférences et de formation, RBC procédera entre autres à la rénovation des toilettes et des halls d'entrée des ascenseurs. Les espaces de travail des employés et les salles de réunion seront rénovés conformément aux normes de conception globales de RBC, qui prévoient une utilisation de matériaux, de meubles, de tapis et de technologies qui permettent à l'entreprise de réduire ses empreintes écologique et opérationnelle.

 

Source : RBC Banque Royale

 

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  • 3 semaines plus tard...

Avenue McGill College: la rue la plus chère pour les bureaux

 

Publié le 14 septembre 2011 à 07h15 | Mis à jour le 14 septembre 2011 à 07h15

 

 

André Dubuc

 

La Presse

 

(Montréal) Ce sont les bureaux situés sur l'avenue McGill College qui ont les loyers les plus chers à Montréal, selon une étude d'un courtier immobilier parue hier.

 

L'avenue de prestige, incluant la Place Ville-Marie, serait au 5e rang des rues les plus chères du pays avec un loyer brut moyen de 41,05$ le pied carré, d'après le courtier Jones Lang LaSalle. Elle se classe au 15e rang en Amérique du Nord.

 

Bay Street, à Toronto, rue Albert, à Ottawa, Burrard Street, à Vancouver, et Third Avenue, à Calgary, la devancent avec des loyers moyens plus coûteux. Dans Bay Street, la rue de la finance, le loyer brut moyen s'élève à 52,09$/pi2. Le loyer brut inclut le loyer de base ainsi que les frais d'exploitation.

 

Pourquoi ces rues sont-elles si chères? En immobilier, l'emplacement fait foi de tout. «McGill College traverse le coeur du quartier des affaires», fait remarquer Christian Guay, président de l'Immobilière Nationale, à qui on a demandé de commenter l'étude du courtier Jones Lang LaSalle.

 

Un autre avantage de l'avenue est sa proximité du métro. La plupart des immeubles ont un accès direct à la station de métro McGill, l'une des plus fréquentées du réseau, et au Montréal souterrain.

 

Quels types d'entreprises trouve-t-on sur l'avenue de prestige? Des banques, des compagnies d'assurances, des cabinets d'avocats et des sociétés en vue. Banque Laurentienne, Astral, RSM Richter Chamberland et Google ont tous en commun de partager une adresse sur l'équivalent montréalais de l'avenue des Champs-Élysées.

 

D'après le courtier Jones Lang LaSalle, les loyers payés de part et d'autre de l'avenue commandent une prime de près de 60% par rapport au loyer moyen en vigueur dans la région montréalaise. La demande reste soutenue en dépit du prix plus élevé. Le taux d'inoccupation se situe à 8,1% au premier semestre 2011, un taux légèrement inférieur à la moyenne régionale, plus près des 9% à la fin du deuxième trimestre.

 

Après McGill College, c'est le tronçon de René-Lévesque situé entre les rues University et De la Montagne qui propose les loyers les plus chers dans le bureau, d'après Peter Mouhteros, recherchiste-analyste au bureau montréalais de Jones Lang LaSalle. On y trouve notamment le 1250, boulevard René-Lévesque, l'un des trois immeubles les plus chers du centre-ville. Par exemple, on y offre actuellement un bureau à louer à un loyer brut de 56$ du pied carré.

 

Cette vitalité de l'avenue McGill College survient au moment où le marché tourne à l'avantage des propriétaires avec un taux d'inoccupation qui poursuit sa descente et des loyers dont la hausse s'accélère.

 

Loyer moyen d'un bureau sur McGill College : 41,05 $/ pi2 > Loyer moyen dans la région de Montréal : 26,02 $/pi2 > Écart : 57,8 % Source : Jones Lang LaSalle

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  • 3 semaines plus tard...

Cet article a été publié par morceaux sur le forum, le voici en intégralité :

 

Immobilier commercial: des projets en cours... et à venir

 

Publié le 06 octobre 2011 à 05h05 | Mis à jour le 06 octobre 2011 à 05h05

André Dubuc

 

La Presse

 

Des occupants de bureaux à Montréal seraient sur le point de changer d'adresse, ce qui déclencherait la construction de nouvelles tours au centre-ville, un phénomène que l'on n'a pas vu depuis la construction de la Cité du commerce électronique au début de la décennie 2000.

 

De la musique douce aux oreilles des défenseurs du centre-ville qui s'inquiètent de son avenir en raison de l'obsolescence de ses infrastructures de transport.

 

Ainsi, Rio Tinto Alcan quitterait ses locaux de la rue Sherbrooke pour se déplacer au Square Victoria, dans la tour Place de la Cité internationale à construire par Westcliff, selon les bruits qui courent dans l'industrie.

 

On doit à ce promoteur le 600 De Maisonneuve Ouest, qui s'est appelé Place de la Cathédrale à une certaine époque.

 

Ensuite, le géant du génie-conseil SNC-Lavalin investirait dans son siège social en allant finalement de l'avant avec la construction d'une seconde tour Place Félix-Martin, sur le boulevard René-Lévesque Ouest.

 

«SNC est propriétaire d'un terrain à côté de son siège social. Ils ont indiqué qu'il y avait des possibilités qu'ils veuillent démarrer une nouvelle tour. C'est quelque chose qui se regarde actuellement», a indiqué une personne bien au fait de l'actualité immobilière à Montréal, qui ne veut pas être identifiée.

 

Le principal intéressé dit qu'«il en est toujours à l'étape de l'étude de détermination des besoins».

 

Imaginez l'action si jamais ces deux projets allaient de l'avant, d'autant que Kevric ajoute déjà 250 000 pieds carrés de bureaux avec son projet multiusages Altoria, lequel combine environ 150 condos résidentiels et 10 planchers de bureaux au square Victoria.

 

D'autres promoteurs, comme Canderel, au Carré Philips, et Magil-Laurentienne, coin University et Notre-Dame, jonglent eux aussi avec des concepts hybrides combinant les vocations résidentielles et bureaux.

 

La demande de la copropriété au centre-ville est à ce point soutenue que les développeurs y voient l'occasion de faciliter le financement de leur projet de bureaux en le transformant de la sorte.

 

Rareté de grands locaux disponibles

 

C'est bien beau d'avoir des promoteurs, mais qu'est-ce qui déciderait les locataires à passer à l'action?

 

«Il y a de moins en moins de grands blocs de bureau contigus de disponibles. Ce sont ces blocs qui motivent et stimulent les nouveaux développements», dit Jean Laurin, président de Devencore NKF. À moins d'une crise économique, je m'attends à ce qu'au moins un autre immeuble soit annoncé (en plus de l'Altoria, actuellement en construction)»

 

Pour Pierre Houle, vice-président principal chez Colliers, c'est moins les soubresauts économiques qui menacent le centre-ville que l'état de décrépitude des infrastructures de Montréal, la ville aux milliers de cônes orange.

 

Dans l'immédiat, le centre-ville fait preuve de résilience, selon les plus récents chiffres du courtier CB Richard Ellis. Le taux d'occupation est descendu à 6,8 %. Plus de 460 000 pieds carrés de bureaux ont été loués depuis le début de l'année.

 

«Du moment que l'économie reste stable avec une croissance modeste, on se dirige vers un marché très favorable aux propriétaires», indique Brett Miller, vice-président exécutif et directeur régional, Est du Canada pour le courtier.

 

Ces proprios pourront être tentés de mettre leurs propriétés en vente dans un proche avenir dans le but de profiter de la grande liquidité du marché, alimentée par les bas d'intérêt.

 

Transactions d'envergure

 

En 2011, les deux transactions d'envergure au centre-ville ont été réalisées par des acteurs canadiens. Le fonds immobilier (FPI) Dundee a notamment acheté le 700, de la Gauchetière pour près de 278 millions en juillet.

 

D'ailleurs, dans un marché boursier qui pique du nez depuis l'été, l'indice des fiducies immobilières affiche une hausse de 14 % à la Bourse de Toronto.

 

Ce rayonnement des FPI a éclipsé les étrangers, mais l'intérêt de ces derniers demeure soutenu à l'égard des produits montréalais, assure Me James Papadimitriou, associé principal et spécialiste en droit immobilier et en services financiers chez McCarthy Tétrault que nous avons joint à Paris.

 

«En raison de la turbulence internationale, Montréal est considérée comme une valeur sûre avec des prix encore réalistes. J'ai eu deux ou trois appels dans le dernier mois d'investisseurs d'Asie, des Chinois de Hong Kong, du Moyen-Orient, des fonds souverains.»

 

Buzz autour de Montréal

 

Montréal est sur un bon élan, renchérit Daniel Dorey, ancien président d'Oxford Québec et maintenant investisseur immobilier au sein de la Financière OneCap. «Montréal attire la jeunesse avec ses universités et ses festivals. La ville est devenue cool et trendy. c'était le contraire il y a 20 ans, la jeunesse fuyait Montréal», dit-il.

 

Même la nouvelle maison de l'Orchestre symphonique contribue à la vigueur du centre-ville et son marché immobilier, selon un courtier. «La nouvelle salle de concert va aider Montréal dans sa promotion internationale, dit Jean Laurin, qui est également président du conseil d'administration de Place des Arts. Elle a fait les manchettes de journaux internationaux. Les chefs d'orchestre en ont entendu parler et voudront venir y jouer», ajoute-t-il.

 

De quoi rendre la musique encore plus douce aux oreilles des mélomanes.

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Séduire l'investisseur étranger

 

Publié le 06 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 06 octobre 2011 à 05h00

 

Guy Paquin, collaboration spéciale

 

La Presse

 

La Ville de Montréal et ses alliés font des pieds et des mains pour attirer les investisseurs étrangers dans le secteur de l'immobilier commercial. Tournées nord-américaines, numéro de séduction au Marché International des professionnels de l'immobilier (MIPIM), belle brochure présentant les atouts immobiliers de la Métropole, visites en Chine, tout est mis en oeuvre pour canaliser l'argent étranger vers les immeubles montréalais.

 

«Il y a actuellement beaucoup de fébrilité autour de la construction commerciale», constate Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

 

«Nos promoteurs locaux se tournent de plus en plus vers des partenaires étrangers, dit-il. C'est vrai aussi pour les hôpitaux universitaires (CHU), qui sont des PPP. Or les grands fonds étrangers ont les ressources importantes pour appuyer des projets de cette envergure.»

 

Andrée de Serres, titulaire de la Chaire SITQ d'immobilier à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM, observe aussi que les conditions sont excellentes pour attirer les investisseurs étrangers vers l'immobilier commercial montréalais.

 

«La crise de volatilité boursière actuelle rend l'immobilier intéressant, comme tous les actifs réels», constate-t-elle.

 

Rareté du produit

 

Y a-t-il donc à Montréal, comme c'est le cas à Vancouver et à Toronto, une vague immobilière commerciale asiatique, voire chinoise?

 

«Non, pas même une vraie vague internationale, répond Joe Lomanno, vice-président, investissements de la maison de courtage Colliers International à Montréal. C'est que le produit que les grands investisseurs étrangers recherchent est très rare actuellement à Montréal. Comprenons-nous bien, les investisseurs étrangers sont à l'affut de bonnes occasions montréalaises et sont conscients de tout ce qui bouge dans notre marché. Mais leurs cibles préférées tardent à décoller.»

 

M. Lomanno mentionne deux projets de la FTQ, l'un sur Bleury, l'autre à côté de l'ancien restaurant Ben's.

 

«Les grands investisseurs attendent la même chose que le promoteur, qu'un premier grand locataire signe. C'est pareil pour le projet de Canderel au square Philips.»

 

Parmi ceux qui font du très sérieux lèche-vitrine dans nos rues, Joe Lomanno remarque de grands fonds allemands et suisses, notamment le Crédit Suisse.

 

«Ces fonds de pension ne vont même pas se déplacer sur des projets de moins de 20 millions, dit-il. Ils commencent à frétiller à 50 ou 100 millions. Et là, du côté des grands édifices locatifs ou des centres commerciaux, pas de mouvement.»

 

Gros projets récents

 

Richard Deschamps, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, énumère quelques projets réussis par des investisseurs étrangers dans les dernières années.

 

«L'Hôtel Novotel dans le Technoparc Saint-Laurent, construit par des investisseurs français au coût de 14 millions en 2006, est un bon exemple de résultat positif obtenu en participant au MIPIM. L'implantation de la société française Thales dans le Technoparc Montréal en est un autre.»

 

Mais M. Deschamps reconnaît que quelques fois les choses avortent. L'Allemande Homburg Invest, courtisée au MIPIM de 2006, a bel et bien acquis la gare/hôtel Viger, mais ses projets de construction et de rénovation ont tourné court quand la crise financière mondiale de 2008-2009 a sapé les fondations de l'édifice.

 

Joe Lomanno a aussi vu de grosses transactions internationales il y a deux ou trois ans.

 

«Le fonds d'investissement allemand KanAm Grund a acquis le Campus Bell de son constructeur Canderel pour 400 millions en 2008 et il a aussi mis la main sur la Cité du commerce électronique.»

 

Plus tôt cette année, M. Lomanno a vu un groupe chinois et son partenaire local acquérir entre 1 et 2 millions de pieds carrés de terrain à Candiac. Il s'agit d'un projet immobilier mixte. Comme quoi, quand les conditions gagnantes sont là, Montréal reçoit sa part du gâteau.

 

Opération charme

 

Michel Leblanc et Richard Deschamps rappellent que les efforts montréalais de séduction en Chine ont très récemment porté des fruits?: un consulat général de Chine s'établit à Montréal.

 

Pour M. Leblanc ce n'est toutefois pas d'abord dans l'immobilier que la vague chinoise va déferler.

 

«Les investisseurs chinois se portent vers les ressources naturelles et le Plan Nord les intéresse grandement, rappelle-t-il. Et puis, leur marché intérieur réclame de la nourriture. Les voici donc très intéressés par l'agroalimentaire québécois. Ce qui ne signifie pas que l'immobilier n'est pas sur leur liste. Mais pas tout en haut.»

 

Ce qui n'empêche pas Montréal de continuer ses efforts de séduction.

 

Élie Farah, vice-président, investissements, chez Montréal International, souligne le tir groupé montréalais.

 

«Cela fait plusieurs années que le Service de développement économique de la Ville de Montréal, Montréal International et d'autres partenaires locaux tels que le Technoparc Montréal et Aéroports de Montréal collaborent ensemble pour former un consortium qui fait la promotion du Montréal immobilier au MIPIM», dit-il.

 

Et les Chinois ainsi que les autres investisseurs immobiliers de la zone Asie-Pacifique, M. Farah les rencontre aussi dans ses tournées canadiennes, surtout à Toronto et à Vancouver.

 

On reste encore loin du boom immobilier asiatique, mais il y faudra deux qualités que rappelle Richard Deschamps: «continuité et régularité».

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La mixité, l'avenir de l'immobilier commercial

 

Publié le 06 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 06 octobre 2011 à 05h00

 

 

Sophie Bernard, collaboration spéciale

 

La Presse

 

Tours à bureau proposant des condos, hôtels offrant des espaces de bureaux, condos accompagnés de commerce. La mixité arrive à Montréal.

 

Baptisé «mixed-use», le phénomène existe aux États-Unis et à Toronto depuis plusieurs années. À Montréal, l'hôtel boutique Le Crystal, rue de la Montagne, une tour de 27 étages, a réservé 188 condos aux acheteurs désirant être chez eux tout en bénéficiant des services d'un hôtel. Rue Sherbrooke, le Ritz-Carleton a emboité le pas.

 

«Montréal n'est pas rendu aussi loin que d'autres villes nord-américaines, mais il s'agit d'une tendance très forte, reconnait Claude Gilbert, associé, groupe Transactions, PwC Montréal. Les villes veulent créer des environnements où les gens puissent vivre, travailler et s'amuser 24 heures par jour.» La Ville de Montréal a d'ailleurs augmenté la densité des constructions, les promoteurs peuvent dorénavant construire plus en hauteur. Des tours de 25, voire 30 étages vont pousser dans les prochaines années. «Il est plus facile pour les promoteurs d'aller en prévente avec ce type de projets, car cela permet de diminuer les risques financiers», ajoute Claude Gilbert.

 

Il ne se fait plus un seul projet au centre-ville de Montréal qui ne soit mixte, affirme Michel Rémy, rédacteur en chef du site Le Pied Carré, un portail relationnel du secteur immobilier. «Devimco développe District Griffin, avec le Groupe Cholette, note-t-il. Il comprendra une composante hôtelière avec le Groupe Germain.» Selon cet observateur, même si ce n'est pas inscrit dans le projet initial, il y aura toujours une composante commerciale dans les développements futurs à Montréal.

 

«Montréal vit actuellement un développement du centre-ville, à cause des congestions et de l'état des ponts, mais aussi grâce aux transformations des deux hôpitaux universitaires et à la croissance des universités, explique Claude Gilbert. Il faut donc prévoir des infrastructures pour que les gens puissent y vivre et y travailler.

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Les loyers des espaces à bureaux montent à Montréal

 

Un taux d'inoccupation en baisse et des prix de loyer en hausse démontrent que la construction de nouvelles tours à bureaux est nécessaire à Montréal, affirme la société Colliers International.

 

Le spécialiste du marché immobilier a indiqué mercredi que le taux d’inoccupation au centre-ville de Montréal a connu une «baisse significative» au premier trimestre, passant de 8,2% à 7,8%.

 

Quant au loyer moyen net demandé, il est passé de 13,75$ à 14,19$, toutes classes confondues.

 

Selon Andrew Maravita, directeur général de Colliers International à Montréal, le marché montréalais des immeubles d’espaces à bureaux est sur le point de connaître un véritable renouveau, après une décennie marquée par l’absence de projets d’envergure.

 

«Dans ce dynamisme de croissance, les propriétaires sont avantagés par le marché actuel et les promoteurs immobiliers se montrent aussi très enthousiastes à l’idée de pouvoir concrétiser plusieurs projets immobiliers majeurs, affirme M. Maravita.

 

Parmi les projets immobiliers annoncés, Colliers note la construction d’un nouvel édifice de 35 étages, d’une superficie de 230 000 pieds carrés, par la Corporation Kevric, face au Square Victoria, de même que la phase 2 de la Place de la Cité internationale, toujours au Square Victoria.

 

Le portrait est moins rose pour le marché industriel, au point où Collier le qualifie d'«inquiétant».

 

Depuis le second trimestre de l’année 2011, le taux d’inoccupation connaît une légère hausse, passant de 5,45 % à 5,81 %, alors que la portion d’espace disponible est au-dessus de la barre de 8%.

 

« Il existe une pénurie d’espaces de bonne qualité entre 20 000 pieds carrés et 30 000 pieds carrés, causant ainsi un ralentissement de l’activité dans le marché», estime M. Maravita.

 

«Les entreprises mettent leurs projets d’expansion en veilleuse en se contentent de renouveler leur baux avec une préférence pour des termes plus courts, tandis que les Fonds de placement immobilier (FPI) préfèrent saisir les meilleures occasions pour acheter des espaces industriels qui présentent les meilleures caractéristiques possibles», a-t-il expliqué mercredi.

 

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/10/20111012-122237.html

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TVA NOUVELLES - Argent

Première publication 12 octobre 2011 à 12h25

 

Un taux d'inoccupation en baisse et des prix de loyer en hausse démontrent que la construction de nouvelles tours à bureaux est nécessaire à Montréal, affirme la société Colliers International.

 

Le spécialiste du marché immobilier a indiqué mercredi que le taux d’inoccupation au centre-ville de Montréal a connu une «baisse significative» au premier trimestre, passant de 8,2% à 7,8%.

 

Quant au loyer moyen net demandé, il est passé de 13,75$ à 14,19$, toutes classes confondues.

 

Selon Andrew Maravita, directeur général de Colliers International à Montréal, le marché montréalais des immeubles d’espaces à bureaux est sur le point de connaître un véritable renouveau, après une décennie marquée par l’absence de projets d’envergure.

 

«Dans ce dynamisme de croissance, les propriétaires sont avantagés par le marché actuel et les promoteurs immobiliers se montrent aussi très enthousiastes à l’idée de pouvoir concrétiser plusieurs projets immobiliers majeurs, affirme M. Maravita.

 

Parmi les projets immobiliers annoncés, Colliers note la construction d’un nouvel édifice de 35 étages, d’une superficie de 230 000 pieds carrés, par la Corporation Kevric, face au Square Victoria, de même que la phase 2 de la Place de la Cité internationale, toujours au Square Victoria.

 

Le portrait est moins rose pour le marché industriel, au point où Collier le qualifie d'«inquiétant».

 

Depuis le second trimestre de l’année 2011, le taux d’inoccupation connaît une légère hausse, passant de 5,45 % à 5,81 %, alors que la portion d’espace disponible est au-dessus de la barre de 8%.

 

« Il existe une pénurie d’espaces de bonne qualité entre 20 000 pieds carrés et 30 000 pieds carrés, causant ainsi un ralentissement de l’activité dans le marché», estime M. Maravita.

 

«Les entreprises mettent leurs projets d’expansion en veilleuse en se contentent de renouveler leur baux avec une préférence pour des termes plus courts, tandis que les Fonds de placement immobilier (FPI) préfèrent saisir les meilleures occasions pour acheter des espaces industriels qui présentent les meilleures caractéristiques possibles», a-t-il expliqué mercredi.

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TVA NOUVELLES - Argent

Première publication 12 octobre 2011 à 12h25

 

 

Parmi les projets immobiliers annoncés, Colliers note la construction d’un nouvel édifice de 35 étages, d’une superficie de 230 000 pieds carrés, par la Corporation Kevric, face au Square Victoria, de même que la phase 2 de la Place de la Cité internationale, toujours au Square Victoria.

 

Le "projet annoncé" de Kevric, c'est l'Altoria. Il n'est plus annoncé, il est en construction. Allo.

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http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/333977/le-marche-immobilier-d-affaires-se-raffermit-a-montreal

 

Le taux d'inoccupation des édifices à bureaux recule, mais la Cité du multimédia présente encore beaucoup de locaux vacants

 

Le taux d'inoccupation des grandes tours à bureaux de Montréal a diminué si vite depuis un an que les conditions du secteur immobilier sont en train de revenir au niveau qui prévalait avant la crise financière, montrent les nouvelles données de la firme conseil Newmark Knight Frank Devencore.

 

Les chiffres montrent aussi qu'à la Cité du multimédia, où de moins en moins de locataires profitent des crédits d'impôt instaurés à la fin des années 90, le taux d'inoccupation qui a explosé l'an dernier n'est pas du tout résorbé. Après un sommet de 37 % à la fin 2010, il est maintenant de 26 %.

 

De manière générale, bien des espaces vides se sont remplis. Dans les immeubles de catégorie «A», décrits comme des édifices prestigieux construits ou rénovés après 1990, à peine 6,1 % de l'espace était inoccupé au deuxième trimestre. À la même période en 2010, le taux se chiffrait à 8 %. Dans la catégorie «B», le taux a suivi la même descente rapide, passant de 8,5 % à 6 %.

 

En guise de comparaison, le centre-ville de Québec est à 6,3 %, contre 5,5 % à Toronto et 2,9 % à Vancouver.

 

«Ce que les chiffres traduisent, c'est une activité économique surprenante, dans un sens, a dit lors d'un entretien le chef de la direction de Devencore, Jean Laurin. Ce qu'on entend beaucoup, ce sont des mauvaises nouvelles concernant les marchés financiers américains et européens, mais ici, on tire relativement bien notre épingle du jeu.»

 

«Si le marché continue de se resserrer, nous nous attendons à ce que les locataires commencent à examiner les occasions de location que présentent certains projets de construction d'immeubles à bureaux en cours ou sur le point d'être entamés. De plus, certains locataires pourraient également envisager d'autres options, dans des immeubles existants à l'extérieur du coeur du centre-ville», a écrit la firme.

 

Selon Jean Laurin, le milieu des affaires est sans cesse préoccupé par le climat économique, mais la baisse des taux d'inoccupation tend à suggérer qu'ils continuent malgré tout de prévoir des projets d'investissement. Le raffermissement du marché a fait en sorte que les promoteurs ont mis leurs projets en branle. Par exemple, a mentionné Devencore, Cadillac Fairview est à la recherche de grands locataires pour un projet près du Centre Bell.

 

Loyers en hausse

 

Logiquement, la baisse de disponibilité dans les immeubles de catégorie «A» a fait en sorte que les loyers ont augmenté. Alors que le coût brut du pied carré était de 38,42 $ au deuxième trimestre de 2010, il est maintenant de 40,35 $. Dans certains cas, ils pourraient augmenter à nouveau, car de nombreux immeubles ont tenté de retenir leurs locataires en 2009 et 2010 par divers incitatifs, a dit Devencore.

 

Il faudra suivre de près le cas de la Cité du multimédia, ce complexe du Vieux-Montréal qui appartient à la société torontoise Allied Properties. Pour attirer et encourager le secteur florissant qu'était celui des nouvelles technologies dans les années 90, le gouvernement de l'époque avait mis sur pied des crédits d'impôt pour les sociétés qui décidaient de s'y établir. En 2003, le Parti libéral a annoncé la fin de cette aide et offert des mesures transitoires qui se termineront en 2013.

 

Les locataires de la Cité du commerce électronique, située au centre-ville, qui ont déjà profité des mêmes crédits, sont également touchés par des mesures transitoires.

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