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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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Public Works and Government Services Canada (PWGSC) is seeking information for the possible lease of space that meets the following criteria:

 

(A) Lease components

 

A lease term of ten (10) years, commencing on March 1, 2013; with the amount of space equal to approximately 4 040 usable square metres (um2) of contiguous office space in a block of space, on a minimum of two (2) consecutive floors and maximum of three (3) consecutive floors with a minimum area of approximately 1 350 um2 per floor and with access to the same elevators; twenty (20) um2 of contiguous storage space in the basement; thirteen (13) indoor parking spaces reserved for the exclusive use of the occupant; 52 um2 of contiguous workshop and storage space adjacent to the parking spaces; and available approximately twenty-four (24) weeks prior to the above-noted commencement date so all spaces may be prepared for occupancy. Only office and commercial buildings will be considered. Buildings and sites under industrial use will not be considered. The space shall be no more than 500 metres walking distance from a metro station and located within the following boundaries:

 

North: Sherbrooke Street

South: St-Jacques Street

East: St-Urbain Street

West: De la Montagne Street

 

The geographical boundaries include sites on either side of the roads. PWGSC may wish to visit or inspect the premises upon reasonable notice. PWGSC’s Standards for Leased Accommodation apply; a copy may be obtained through the contact listed below.

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AbitibiBowater: le siège social déménage... dans la Cité du Multimédia

 

Publié le 14 avril 2011

 

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Maxime Bergeron

LA PRESSE

 

(Montréal) Fini le cachet luxueux de l'édifice Sun Life pour AbitibiBowater (T.ABH). Le géant des pâtes et papiers déménagera son siège social dans un immeuble moins prestigieux - et moins cher - de la Cité du multimédia, a appris La Presse Affaires.

 

L'entreprise, qui sort d'une pénible restructuration judiciaire, s'installera l'automne prochain dans l'immeuble CGI en bordure de l'autoroute Bonaventure. AbitibiBowater laissera derrière elle deux étages complets de la tour Sun Life, gratte-ciel historique de catégorie A qui demeure l'un des fleurons du centre-ville de Montréal.

 

La raison derrière ce déménagement est simple: économiser. «Il y avait une volonté de vraiment regarder notre structure de coûts, a dit hier Pierre Choquette, directeur principal des affaires publiques d'AbitibiBowater. C'est à tous les niveaux: dans les usines, ça va de soi, mais aussi au siège social.»

 

Les quelque 300 employés du siège social ont appris la nouvelle la semaine dernière. Selon nos informations, ils quitteront des locaux d'environ 94 000 pieds carrés aux 8e et 9e étages du gratte-ciel de la rue Metcalfe pour gagner des bureaux totalisant 71 000 pieds carrés à l'édifice CGI.

 

Pierre Choquette n'a pas été en mesure de quantifier les sommes qui seront épargnées grâce à ce déménagement. «Ça représente quand même une économie substantielle sur une base annuelle», a-t-il souligné.

 

Vaste restructuration

 

Ce transfert s'inscrit dans la réduction massive des coûts entamée depuis plusieurs années par le groupe, déstabilisé par les difficultés de l'industrie des pâtes et papiers.

 

Depuis la fusion entre Abitibi-Consolidated et Bowater en 2007, l'entreprise a fermé de nombreuses usines et réduit ses effectifs totaux de 18 000 à 11 000 postes. Le nombre d'employés au siège social montréalais est quant à lui passé d'environ 450 à un peu plus de 300 aujourd'hui. La société papetière a terminé sa restructuration judiciaire de 20 mois à la fin de l'an dernier.

 

Le porte-parole a insisté hier sur la volonté du nouveau président, Richard Garneau - nommé en janvier -, de maintenir le siège social d'AbitibiBowater dans la métropole, peu importe l'immeuble. «On est à Montréal pour y rester.»

 

Un geste «particulier»

 

Il reste que le déménagement prochain du siège social a fait jaser hier matin, pendant une conférence sur la location immobilière qui réunissait des dizaines de professionnels de l'industrie. La rumeur de cette installation dans la Cité du multimédia avait commencé à circuler depuis quelques jours dans le milieu.

 

Un conférencier a jugé «particulier» ce transfert d'un siège social d'un immeuble prestigieux de catégorie A vers un autre de catégorie B, dont la configuration à aire ouverte était destinée au départ à des sociétés de haute technologie. «C'est complètement différent de ce qu'ils avaient», a-t-il noté.

 

«C'est quand même assez inhabituel de penser qu'une entreprise quitte ses bureaux pour aller dans la Cité du multimédia alors qu'elle n'est même pas dans le multimédia», a pour sa part commenté Marie-France Benoît, directrice du développement de la firme immobilière Altus InSite, qui animait un groupe d'experts.

 

AbitibiBowater ne sera pas le principal locataire du 111, rue Duke, où CGI ne loge plus depuis quelque temps. L'occupant principal demeurera l'entreprise de logiciels SAP, dont l'enseigne remplacera d'ailleurs celle de CGI sur la façade de l'immeuble. Abitibi aura aussi le droit d'afficher son logo sur le bâtiment, selon nos informations.

 

La venue d'Abitibi contribuera à abaisser de beaucoup le taux d'inoccupation de cet immeuble, qui atteint aujourd'hui 50%. L'immeuble a été acquis en 2007 par le fonds de placement immobilier torontois Allied Properties, en même temps que six autres immeubles de la Cité du multimédia.

 

AbitibiBowater est revenue dans le vert en 2010 après quatre années pénibles. Le groupe a enregistré des profits nets records de 4,24 milliards US au quatrième trimestre grâce à des gains comptables exceptionnels liés à sa restructuration. Cela se compare à une perte de 314 millions US un an plus tôt.

 

Le titre de l'entreprise a clôturé à 25,09$ hier à la Bourse de Toronto, en hausse de près de 1%.

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Les grues bientôt de retour au centre-ville

 

21 avril 2011 | 04h00

Carl Renaud

Argent

 

Le centre-ville de Montréal est sur le point d’accueillir de nouvelles tours à bureaux car les espaces locatifs disponibles se font rares dans la métropole. Le taux d’inoccupation des immeubles de catégorie «A», les adresses les plus prestigieuses, a chuté de plus de 10% en 2010.

 

Photo : Agence QMILe taux d’inoccupation des immeubles locatifs du centre-ville s’est établi à 6,8% au quatrième trimestre de 2010. Il s’agit d’une solide amélioration par rapport au taux de 7,6% observé au dernier trimestre de 2009.

 

« Actuellement, le marché montréalais ne pourrait pas répondre à la demande d’une entreprise à la recherche de 200 000 pieds carrés pour loger 800 ou 1000 employé s», a commenté Jean Laurin, président et chef de la direction de Newmark Knight Frank Devencore.

 

Selon l’étude de la firme montréalaise, le nombre d’espaces contigus de plus de 25 000 pieds carrés a aussi commencé à diminuer dans les immeubles du centre-ville. «Je ne serais pas surpris qu’un chantier soit lancé avant l’été», a poursuivi Jean Laurin.

 

La vigueur de l’économie canadienne et le regain de confiance des entrepreneurs ont poussé plusieurs sociétés à relancer des projets d’expansion et d’embauche, interrompus lors de la dernière récession.

 

Le climat est donc favorable à l’érection de nouvelles tours dans les rues du centre-ville, où plusieurs projets sont sur la table depuis quelques années.

 

La Corporation Kevric va bientôt lancer la construction de la tour Altoria, au Square Victoria. Deux autres immeubles sont projetés à proximité de ce gratte ciel de 32 étages, composé de bureaux et d’espaces résidentiels. La SITQ souhaite de son côté construire un immeuble de 27 étages sur le boulevard Maisonneuve. D’autres tours devraient voir le jour près du Centre Bell et au Square Phillips.

 

« Dans toutes les villes, il y a beaucoup de projets dans l’air. Mais les promoteurs doivent trouver un important locataire avant de se lancer dans la construction », a expliqué M. Laurin.

 

Plusieurs grandes villes du pays ont enregistré des améliorations dans le marché de l’immobilier de bureaux au cours de la dernière année. À la fin de 2010, le taux d’inoccupation moyen s’élevait à 6,76 % à travers le pays. Il s’agit d’une diminution de près de 4 % par rapport à 2009.

 

Winnipeg et Edmonton ont les taux d’inoccupation les plus élevés à 15,3 % et 9,1 %. Vancouver et Ottawa sont les villes qui performent le mieux. Leurs taux d’inoccupation ont atteint 3,3 % et 4 % à la fin de 2010.

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Ce qu'il y a de trompeur dasn les chiffres avancés par mon ancien patron c'est qu'il parle uniquement des immeubles de clase "A". Le problème avec Montréal c'est que

 

1) Les loyers sont toujours trop bas pour justifier une nouvelle construction

2) Les Locataires qui sont présentement dans un immeuble de classe "A" vont préférer se relocaliser dans un immeuble de classe "B" (où il y a l'espace nécessaire et où les loyers sont beaucoup moins chers) que de déménager dans un immeuble neuf de classe "A".

3) À part Rio Tinto(qui recherche 200,000p²), il n'y a pas de gros locataires qui proviennent de l'extérieur du Québec à la recherche de 100,000p² et + à Montréal. Toronto nous les a tous volé!

 

Je ne serai pas surpris de voir une tour monter(grace à Rio Tinto), mais pas vraiment plus!

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Le siège social de Rio Tinto Alcan est à vendre

Hugo Joncas . les affaires.com . 20-04-2011 (modifié le 21-04-2011 à 16:12)

 

Ça y est. Rio Tinto Alcan met son siège social de Montréal en vente, a appris Les Affaires. Cushman Wakefield a obtenu le mandat pour mettre en marché le complexe formé par les 1172, 1176 et 1188, rue Sherbrooke Ouest, et du 2085, rue Drummond, dans le centre-ville.

 

« Nous étudions actuellement les offres reçues », dit Bryan Tucker, porte-parole de l’entreprise. Alcan a confié le mandat à la firme Cushman Wakefield.

 

Le géant de l’aluminium pourrait encore décider de garder ses immeubles et d’y réaliser les rénovations de « 40 à 50 millions » de dollars annoncées en 2007, mais suspendues lors de la crise financière, indique le porte-parole.

 

Mais dans la rue, les courtiers considèrent le complexe en vente, et sa fiche descriptive circule. La Ville de Montréal l’évalue à environ 47 millions de dollars.

 

L’acheteur devra se soumettre aux exigences du ministère de la Culture et des Communications. Le complexe d’Alcan inclut la maison Lord-Atholstan (1176, rue Sherbrooke Ouest). Construite en 1894 et 1895, puis agrandie en 1929 et 1978, elle est « reconnue » comme monument historique. « Le propriétaire aura l’obligation d’informer la ministre de tous travaux ou modifications au moins 60 jours avant de les faire », dit Annie LeGruiec, porte-parole du Ministère.

 

Si Québec considère que les changements sont inacceptables, il peut lui donner à l’édifice le statut de monument historique « classé ». Le cas échéant, il serait protégé de toute altération sans autorisation.

 

Rue Drummond, l’ancienne Église de la Citadelle fait aussi partie du complexe du géant de l’aluminium. Elle est inventoriée par le Ministère et devra elle aussi faire l’objet d’une attention particulière par le futur propriétaire.

 

Alcan veut un immeuble à la fine pointe

 

« Si nous optons pour la réinstallation, nous prévoyons étudier uniquement les propositions de locaux ultramodernes, situés au centre-ville et durables, dont Rio Tinto serait le locataire principal, dotés de toutes les commodités auxquelles nous sommes maintenant habitués (cafétéria, centre de conditionnement physique, garderie et accès aux transports publics) », précise Bryan Tucker par courriel.

 

C’est donc dire qu’Alcan magasine ses pieds carrés surtout auprès des promoteurs des projets de nouvelles tours de bureaux de prestige dans le centre-ville de Montréal. Selon nos sources, l’entreprise serait en discussions avec SITQ, Magil Laurentienne, Westcliff et Cadillac-Fairview, qui ont tous des projets de gratte-ciel dans le cœur de la métropole.

 

Le géant de l’aluminium cherche 200 000 pieds carrés, soit 100 000 de moins que ce qu’il occupe en ce moment à son siège social. « Cette réduction de la superficie s’explique par une utilisation plus efficace d’un complexe de bureaux moderne, explique Bryan Tucker. Dans nos installations actuelles, l’espace est utilisé de façon très inefficace; on y retrouve par exemple beaucoup de longs corridors. »

 

Alcan a 700 employés à Montréal, dont la vaste majorité à son siège social. Pour les reloger, l’entreprise met la barre haute pour son futur siège social. Selon nos sources, elle tient mordicus à s’installer dans un immeuble LEED Platine. C’est le plus haut niveau de cette certification environnementale.

 

Depuis des années, SITQ compte justement construire un gratte-ciel certifié LEED au 900, de Maisonneuve Ouest. Mais la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec refuse de commenter. « Toutes les discussions qui mènent à la signature d’un contrat sont de nature confidentielles », dit Jean-Michel Laberge, porte-parole de SITQ.

 

Le vice-président, location chez Canderel, qui a aussi un projet de tour au square Philips, dans le centre-ville, indique qu’il a lui aussi eu des discussions avec Alcan, sans succès. « Nous ne sommes pas dans les alternatives retenues », dit Peter Picciola. Il n’a pas été possible de joindre les responsables des autres projets de tours de bureaux.

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Il y a 25 ans la Maison Alcan, construite spécifiquement pour les besoins de Alcan, était ce qui se faisait de plus high-tech en matière de bureaux. Alcan a été pionnière de la réhabilitation d'anciens bâtiments mixés avec du neuf. Le projet était vu comme innovateur et a gagné de multiples prix d'architecture. 25 ans plus tard, on revient à la bonne vieille tour en hauteur et le concept de "maison" est déjà dépassé.

 

En passant devant la Maison Alcan actuelle, on peut remarquer l'intérieur très "brun" des murs et planchers, l'aspect campus et très théâtral du lieu avec ses ilôts de verdure et ses nombreuses arcades, ainsi qu'une plaque près de la porte d'entrée portant l'inscription: "1983, A la gloire de Dieu"

 

Autre temps, autres moeurs....

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Office vacancy rate shrinking

Robert Gibbens, Special to THE GAZETTE April 22, 2011

 

MONTREAL - The downtown Montreal property market has finally thrown off the stigma of the 2008-09 recession and vacancy rates are shrinking for both A and B class buildings, says a new study by broker-adviser Newmark Knight Frank Devencore.

 

The space inventory is declining and a steady increase in demand indicates the market may soon favour landlords as business confidence improves, CEO Jean Laurin said.

 

Some big Class A projects on the shelf for several years are being updated to meet the needs of several big firms wanting to move, he said. Also, the timing of developer Cadillac Fairview’s announcement of a start this year on Phase I of its $1-billion multi-use project near the Bell Centre – a $400-million, 27-storey office tower – is encouraging, he added.

 

“We’re finally seeing some cranes climbing high in the downtown core and the pick-up is being driven by the private sector and not governments and their agencies,” he said.

 

Some sources put a total value of at least $12 billion on downtown projects that could go ahead in this cycle, so long as the economy improves further and demand stays.

 

The study indicates the combined A & B vacancy rate has fallen below 7.5 per cent from eight per cent a year ago, while the A vacancy rate alone has dipped to 6.8 per cent or less.

 

“Because there are no new major developments about to break ground, the downtown space inventory will likely return to pre-recession levels in the next few months,” Laurin said.

 

Occupancy rates in downtown Montreal peaked at just over 95 per cent in mid-2008, he recalled, but the global financial crisis put an end to speculation that some delayed projects might go ahead. “Now with demand improving, the market should maintain momentum, putting pressure on rental rates.”

 

Downtown Montreal has 46.3 million square feet of A and B office space and about 3.5 million square feet are available for lease or sublet. Class A includes 49 buildings with 23 million square feet and 1.6 million square feet of vacant space, mostly in a few large properties.

 

In the Class B sector, two buildings totalling 300,000 square feet have recently been added to inventory, and about 2 million square feet of space is available.

 

Laurin said the Quartier International, surrounding Victoria Square, is in the running for new office development in this cycle, with three big projects ready if anchor tenants can be signed. It has excellent infrastructure and services in place.

 

René Lévesque Blvd., the market’s Grande Dame, remains a prime development corridor, with many sites available especially east and west of the centre core. McGill College Ave., one of Montreal’s three most attractive streets, is staging a sharp recovery from the departure of several big tenants over the past few years.

 

Cité Multimédia, the high-tech centre between Old Montreal and the downtown core, had a 36.6-per-cent vacancy rate at Dec. 31, due to the recession, expiry of tax subsidies and the loss of two companies.

 

The study puts average Montreal Class A gross rental rates at $39.11 per square foot at the end of 2010, Toronto $43.32, Ottawa $47.71, Calgary $54.65 and Vancouver $46.44.

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/business/Office+vacancy+rate+shrinking/4658557/story.html#ixzz1KbC6cS9b

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2) Les Locataires qui sont présentement dans un immeuble de classe "A" vont préférer se relocaliser dans un immeuble de classe "B" (où il y a l'espace nécessaire et où les loyers sont beaucoup moins chers) que de déménager dans un immeuble neuf de classe "A".

 

I generally don't like to quote myself, but the Abitibi-Bowater example is exactly what I was talking about a few days ago! Trop de Locataires à Montréal préfère aller dans un immeuble de Classe "B" au lieu de chercher des espaces dans un nouvel immeuble de Classe "A".

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