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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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avec gerald tremblay nous n'avons rien dutout ... et j'avoue ne pas assez bien connaitre ce monsieur leopold pour me prononcer, il s'agissait simplement d'une impression.

 

c'est juste qu'a mon avis on n'a plus l'air d'etre capable d'apporter quelque idee que ce soit, ou d'etre en mesure d'accomplir quoi que ce soit sans que la motivation premiere ne soit "de rendre la ville plus verte". OK pour le vert, mais la pollution n'est pas le seul probleme qui afflige les villes - et j'irais meme jusqu'a dire que ca ne devrait meme pas etre a elles de s'en preoccuper ! je mefie alors de tout ceux et celles qui semblent placer les considerations environementales comme principal enjeux en matiere de vie urbaine et de politique municipale ... on a d'autres chats a fouetter, surtout a montreal !

 

Faut dire aussi que ce n'était pas dans le cadre d'un discours comme futur maire de la ville de Montréal. Sa vision s'étend plus à la grandeur du Québec. Je crois pas qu'il aurait comme idée de mettre des barrages hydroélectriques à Montréal.

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La verdure à plusieurs effets économique non négligeable. Son effets sur la pollutions est minime, mais l'augmentations de l'attrait, de la qualité de vie ainsi que la diminutions des îlots de chaleurs sont des effets non négligeable.

 

Surtout pour ces derniers, on parle d'énergie considérable pour climatisé des immeubles et/ou maisons qui reçoivent un vent qui a été chauffé par ces ilots de chaleurs. Des stationnements, des boulevards et immeubles(surtout avec les toits goudronné et/ou du bardeau noir) plus ou moins foncé qui reçoivent directement le soleil et qui absorbe la chaleur. Les surfaces montent de plusieurs degrés et le vent absorbe cette chaleur par convection pour ensuite la redistribuer partout.

 

Les quartiers les moins touchés par les grosses vagues de chaleurs sont ceux qui sont le plus emboisé. Par exemple dans mon coins à Pointe aux trembles, la différence est marqué versus d'autres arrondissement.

 

Il y a aussi l'attrait. Les gens aiment la nature et aime rester près de celle ci. en créant des parcs et autres espaces de verdures, on augmente la qualité de vie et la valeur des terrains. On donne aussi des endroits ou les gens seront attiré et cela fait sortir des gens qui normalement resterait à la climatisation. On dynamise ainsi la ville

 

Ensuite il y a les autres facette des verts, comme le transport en commun, qui est un excellent moteur de développement économique, surtout avec un bon plan pour développer des quartier en fonction ce celui ci.

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Le taux d’inoccupation des bureaux devrait baisser à Montréal

 

 

MATHIAS MARCHAL

 

MÉTRO

 

Publié: 11 avril 2011 22:25

 

*Le marché du bureau va-t-il redécoller à Montréal? Les études se contredisent

 

*À Toronto, le taux d’inoccupation est de 6,5 %. Il se construit là-bas 13 fois plus de bureaux qu’à Montréal.

 

Même si le marché immobilier du bureau est moins vigoureux à Montréal que dans les autres métropoles canadiennes, «tout indique qu’une période d’activité intense est sur le point d’éclater», selon une étude de Colliers international.

 

Trois grosses transactions récentes (effectuées par Hydro-Québec, l’Agen*ce métropolitaine de transport, et la Banque HSBC) ont contribué à la stabilisation du taux d’inoccupation, qui flirte avec les 8 % après deux années moyennes. Une baisse de 0,5 % est attendue cette année.

 

Au centre-ville, le taux d’inoccupation est de 7,4 %. Un taux de 6 % est généralement considéré comme le seuil de rentabilité, en dessous duquel de nouvelles tours doivent être érigées, note l’auteur de l’étude, Andrew Maravita, DG de Colliers pour la région de Montréal.

 

Quant aux loyers demandés, ils se rapprochent de leur niveau record, à environ 12 $ le pied carré. Malgré tout, plusieurs projets tardent à se concrétiser, comme celui du 900, rue de Maisonneuve, qui a nécessité la destruction du restaurant Ben’s il y a plus de deux ans.

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  • Administrateur

Merci pour l'article!

 

Quant aux loyers demandés, ils se rapprochent de leur niveau record, à environ 12 $ le pied carré. Malgré tout, plusieurs projets tardent à se concrétiser, comme celui du 900, rue de Maisonneuve, qui a nécessité la destruction du restaurant Ben’s il y a plus de deux ans.

 

Wow! Des gens BBBBIIIEEEENNNN informés!

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J'étais au courant du renouvellement du bail d'Hydro-Québec à la Place Dupuis, mais ils ont réduits leurs espaces de beaucoup.

 

Vrai qu'il commence à avoir une certaine pénurie d'espace au C-V de Montréal, mais il y a quand même des eapaces disponibles. Les loyers demandés devront augmenter avant de voir une nouvelle tour(à moins qu'un locataire majeur décide qu'il va payer le gros prix). Les loyers sont toujours trop bas...

Modifié par Habsfan
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J'étais au courant du renouvellement du bail d'Hydro-Québec à la Place Dupuis, mais ils ont réduits leurs espaces de beaucoup.

 

Vrai qu'il commence à avoir une certaine pénurie d'espace au C-V de Montréal, mais il y a quand même des eapaces disponibles. Les loyers demandés devront augmenter avant de voir une nouvelle tour(à moins qu'un locataire majeur décide qu'il va payer le gros prix). Les loyers sont toujours trop bas...

 

When demand rises new towers are built, but any major tower takes up to 3 years to complete anything can happen in those 3 years, so whats the logic of playing a waiting game, and what prevents the developers of a new tower from signing tenants from other buildings.

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and what prevents the developers of a new tower from signing tenants from other buildings

 

90% of the time its the asking rates. An existing building in Montreal will normally go for 40 to 50$ per sq foot...a new tower will cost about 60$ per sq foot.

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La verdure à plusieurs effets économique non négligeable. Son effets sur la pollutions est minime, mais l'augmentations de l'attrait, de la qualité de vie ainsi que la diminutions des îlots de chaleurs sont des effets non négligeable.

 

Surtout pour ces derniers, on parle d'énergie considérable pour climatisé des immeubles et/ou maisons qui reçoivent un vent qui a été chauffé par ces ilots de chaleurs. Des stationnements, des boulevards et immeubles(surtout avec les toits goudronné et/ou du bardeau noir) plus ou moins foncé qui reçoivent directement le soleil et qui absorbe la chaleur. Les surfaces montent de plusieurs degrés et le vent absorbe cette chaleur par convection pour ensuite la redistribuer partout.

 

Les quartiers les moins touchés par les grosses vagues de chaleurs sont ceux qui sont le plus emboisé. Par exemple dans mon coins à Pointe aux trembles, la différence est marqué versus d'autres arrondissement.

 

Il y a aussi l'attrait. Les gens aiment la nature et aime rester près de celle ci. en créant des parcs et autres espaces de verdures, on augmente la qualité de vie et la valeur des terrains. On donne aussi des endroits ou les gens seront attiré et cela fait sortir des gens qui normalement resterait à la climatisation. On dynamise ainsi la ville

 

Ensuite il y a les autres facette des verts, comme le transport en commun, qui est un excellent moteur de développement économique, surtout avec un bon plan pour développer des quartier en fonction ce celui ci.

 

Mais a Montreal, ville nordique, n'est pas l'effet "ilot de chaleur" desirable pour son rechauffement durant l'hiver? C'est comme l'autre fil sur les troittoirs chauffes, on l'a deja :P

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Mais a Montreal, ville nordique, n'est pas l'effet "ilot de chaleur" desirable pour son rechauffement durant l'hiver? C'est comme l'autre fil sur les troittoirs chauffes, on l'a deja :P

 

Les ilots de chaleur sont actifs durant l'été. Ils augmentent la chaleur dans des secteurs bien précis et peuvent causer des problèmes de santé aux résidents.

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