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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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L'hydro électricité, bien que préférable au charbon et autres technologies polluantes, n'est pase considérée comme énergie verte au même titre que le solaire ou l'éolien, car elle oblige l'innondation de grands écosystèmes importants.

 

 

Par contre, beaucoup plus efficace en termes de capacité de production d'énergie! Dans les circonstances actuelles, et vu les rendements de la technologie éolienne et solaire, notre hydro électricité est de loins le meilleur deal disponible en regard de son impact environnemental vs son potentiel de création énergétique.

Modifié par MtlMan
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  • 4 semaines plus tard...

La première partie de l'article résume ce qu'il a déjà dit il y a quelques semaines mais la deuxième partie est interéssante dans le sens ou il ne ferme pas la porte à la mairie et donne quelques idées s'il était Maire.

 

Stephen Léopold: un choc électrique pour Montréal

 

VINCENT FORTIER

MÉTRO

Publié: 04 avril 2011

 

Exploiter davantage les énergies vertes pour que Montréal redevienne une ville phare, c’est ce que propose Stephen Léopold, un vieux routier de l’industrie immobilière qui pense que la métropole stagne. Métro s’est entretenu avec lui.

 

Montréal a tout ce qu’il faut pour devenir une ville phare. Il suffirait que le Québec exploite davantage les énergies vertes et en fasse la promotion, au dire de Stephen Léopold. «Nous pouvons devenir la société la plus électrique du monde», résume simplement cet entrepreneur qui a fait sa marque dans le secteur de l’immobilier Stephen Léopold est de retour à Montréal depuis 1 an, après avoir passé 17 ans à New York. Et il a de grandes ambitions pour sa ville natale, qui fait du surplace selon lui.

 

Aujourd’hui président du conseil d’Avision Young Québec, une société de services immobiliers commerciaux, il souhaite que le Québec se concentre sur ce qui le différencie : l’hydroélectricité. «Aucun autre endroit n’a une aussi grande capacité de faire dans le vert et le renouvelable que le Québec, croit M. Léopold. Les États-Unis veulent une énergie verte à 85 % d’ici 2035. Ici, on est déjà à 98 %!» note-t-il.

 

Si le Québec devient le lieu par excellence de l’énergie renouvelable, Mont*réal pourrait attirer de nombreuses compagnies. «Beaucoup de gens seraient intéressés à vivre et à travailler ici. Nous pourrions attirer des compagnies, des chercheurs, des universitaires», pense l’homme de 59 ans.

 

M. Léopold, qui est cité dans le livre de Donald Trump The Best Real Estate Advice I Ever Received, fixe donc à sa province un objectif plus qu’ambitieux : 5 millions de voitures électriques d’ici 2020. «Neuf ans, c’est beaucoup. Les villes hôtes des Jeux olympiques sont choisies sept ans avant la tenue de l’événement, et voyez tout ce qui change dans ces métropoles», affirme M. Léopold, qui souhaite également que le Québec profite de ses grands espaces pour développer l’énergie éolienne.

 

L’incident nucléaire qui secoue le Japon présentement pourrait bien jouer en la faveur du Québec. «Le nucléaire est mort pour 20 ans, avance M. Léopold. La situation au Japon est une tragédie, mais ça nous met dans une position encore plus forte en matière d’énergie.» Les grands projets hydroélectriques ont été un levier majeur de l’économie québécoise, mais selon Stephen Léopold, il est temps que nous cessions de regarder les succès du passé et que le Québec passe à la prochaine étape. M. Léopold croit qu’il serait très facile d’installer des bornes de rechargement un peu partout. «Le leadership doit venir du gouvernement du Québec», croit l’entrepreneur qui se décrit comme un nationaliste.

 

«Les intérêts du Canada sont peut-être différents de ceux du Québec à cause du pétrole. Mais la seule chose dont nous avons besoin de la part du Canada pour le moment, c’est un nouveau pont Champlain!» Si la collectivité fait le choix vert, M. Léopold croit que les gouvernements n’auront pas le choix de suivre. «Le jour est venu de stopper le lobby du pétrole. Les gens veulent de l’énergie verte. C’est comme dans un mariage. Si ça pousse plus fort d’un côté que de l’autre, l’union est rompue.»

 

Si j’étais maire de Montréal...Plusieurs voient Stephen Léopold à la mairie de Montréal. L’homme a déjà reçu quelques offres l’incitant à faire le saut en politique. «Est-ce que ça m’intéresse? Peut-être, mais pas pour le moment. Je garde la porte ouverte.» «Le maire Drapeau a fait beaucoup d’erreurs, mais c’était un maire de vision. Il avait des idées de très grande envergure, mais il pensait aussi aux petites choses, explique M. Léopold. Nous n’avons pas eu de maire comme ça depuis. Il est temps que le maire pense aux petites choses qui touchent les citoyens.» Nous avons demandé à Stephen Léopold de poser son regard sur sa ville.

 

Transports en commun«Les actions sont contradictoires. On dit qu’on veut du transport en commun et on y consacre beaucoup d’effort. Cependant, quand il y a une tempête, on déneige les rues, mais les trottoirs – qui sont les rues de ceux qui prennent le transport en commun – restent glacés.»

 

Commerce«Il y a 20 ans, tout le monde venait au centre-ville pour magasiner. Aujourd’hui, les gens vont au Dix30 ou au Carrefour Laval. Pourquoi ne rendrait-on pas le station*nement plus abordable la fin de semaine? Il faut inciter les gens à venir dépenser à Montréal. Les commerçants seront ensuite en mesure de payer des taxes foncières plus élevées.»

 

Architecture«On mesure la richesse d’un peuple par son architecture. En regardant le Vieux-Montréal, on remarque que Montréal a déjà été très riche. Les années 1960 ont aussi été une période faste. Malheu*reusement, les choses n’ont pas beaucoup bougé depuis.»

 

Propreté«Les nids-de-poule et les graffitis donnent une très mauvaise impression aux gens. Ce sont de petites choses, mais elles laissent leur marque.»

 

http://www.journalmetro.com/linfo/article/823350--stephen-leopold-un-choc-electrique-pour-montreal

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Je ne connais pas beaucoup ce bonhomme (Stephen Leopold) mais il me semble très intéressant. Bien sur qu'il est encore trop tot pour prévoir qui sera le prochain Maire de Montréal mais je trouverais rafraichissant que ce genre d'homme puisse se présenter à la Mairie. Il n'aurait qu'à faire équipe avec quelqu'un de plus ''connu'' qui provient d'un milieu différent, de l'est de la ville par exemple.

 

Voilà pourquoi, à ce jour, je le trouve intéressant....toujours sans le connaitre, ou presque!

 

Premièrement il vient du milieu des affaires (de l'immobilier), et il semble avoir très bien réussi. Il semble aussi indépendant de fortune ce qui peut-etre important. Il ne semble pas avoir la lourdeur politique que certains autres ont (Tremblay, Harel ...) et en plus il se dit nationaliste. Je comprends qu'il se dit nationaliste au sens ou il aime Montréal et veut absolument y apporter sa contribution. Tout en étant pro ''business'' il semble assez sensible aux questions environnemental ce qui pourrait surement lui apporter un soutient d'une certaine gauche.

 

Bref, il serait notre Michael Bloomberg !!! Je ne sais pas si c'est une bonne chose ou non mais le débat est lancé.

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Un anglophone bilingue nationaliste, déjà c'est quelque chose de particulier! Et en plus, c'est un homme d’affaire qui voit vert!

 

Surtout qu'il ne soit pas lié à un parti ou à un autre aiderait à ce que les gens le voient comme étant neutre.

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Interessant article. En fait, en le lisant bien, on comprend que le leadership est a Quebec, que le federal se passe tres bien de Montreal, et que pour le maire de Montreal, et bien il ne reste que les petites choses. Son influence serait peut etre plus grande si il restait en dehors de la mairie?

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montreal a t elle vraiment besoin d'un autre visionnaire vert ? j'ai rien contre les principes, mais batard la ville pourrait franchement utiliser une administration un peu plus pragmatique, pour quelques termes au moins.

 

je ne suis pas assez vieux pour me rapeller avec detail de l'epoque de jean dore et du rcm, mais il me semble que depuis bourque, il n'y a eu que ca a se mettre sous la dent, des "visionnaires verts".... ya tu qqun dans la batisse qui n'a pas la tete pleine de bulles ?!

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Je ne suis pas de ton avis, pour une administration pragmatique, ce n'est pas ce que nous avons avec Gérald Tremblay?

 

Le vert n'est pas nécessairement non rentable, au contraire, il faut juste que ce soit bien fait. Et si on regarde, il y a quelques trucs qu'il propose qui ferait ragé les verts pur et dur.

 

Diminuer le stationnement les fds ! ouff! les éco-communo-terroriste ferait une crise de coeur en entendant cela ! Et puis pour la qualité de vie en général, nous n'avons plus le choix de voir plus vert, surtout que l'avantage économique est la.

 

Quelqu'un qui voit vert sans nécessairement diabolisé ceux qui ne peuvent ou ne sont pas vert, j'aime bien.

 

Et puis fait attention à ce que tu dis de Pierre Bourque ! :eek:

 

Mais il y a eu plusieurs vague de vert. Pierre Bourque était principalement pour la verdures, ce qui à mon avis n'est pas un mal en soit. Quand on regarde que maintenant, on plante des arbres dans certains endroit pour éliminer des îlots de chaleurs. (purifiant l'air, améliorant la vue et surtout, diminuant les coûts de climatisation)

 

Je ne suis pas un extrémiste vert, ou comme j'aime le dire, un éco-communo-terroriste, mais je préfère qu'on pense vert pour la ville pour toute les qualités que cela apporte.

Modifié par Davidbourque
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montreal a t elle vraiment besoin d'un autre visionnaire vert ? j'ai rien contre les principes, mais batard la ville pourrait franchement utiliser une administration un peu plus pragmatique, pour quelques termes au moins.

 

M Léopold semble avoir un fort penchant pour le ''vert'', aucun doute, mais il ne provient pas d'un milieu écolo ou gauchiste du tout et c'est en cela qu'il est original car il pourrait ''marier'' le pragmatisme des affaires et la promotion de ''l'énergie verte''. D'ailleurs il met en relief le coté écologique de Montréal, avec l'hydro-électricité, et inclu constamment le potentiel de faire de bonnes affaires tout en étant leader dans ce domaine, c'est assez différent de ce que nous entendons habituellement. On voit déjà le pragmatisme du businessman-vert, ce qui est intéressant, non ?

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avec gerald tremblay nous n'avons rien dutout ... et j'avoue ne pas assez bien connaitre ce monsieur leopold pour me prononcer, il s'agissait simplement d'une impression.

 

c'est juste qu'a mon avis on n'a plus l'air d'etre capable d'apporter quelque idee que ce soit, ou d'etre en mesure d'accomplir quoi que ce soit sans que la motivation premiere ne soit "de rendre la ville plus verte". OK pour le vert, mais la pollution n'est pas le seul probleme qui afflige les villes - et j'irais meme jusqu'a dire que ca ne devrait meme pas etre a elles de s'en preoccuper ! je mefie alors de tout ceux et celles qui semblent placer les considerations environementales comme principal enjeux en matiere de vie urbaine et de politique municipale ... on a d'autres chats a fouetter, surtout a montreal !

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